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(22/11/2007 18:23:37)
Gestion des documents d'entreprise : Open Text premier éditeur indépendant, selon Forrester
Une étude de Forrester, datée de novembre 2007 et portant sur onze suites de gestion des contenus d'entreprise (ECM), place les offres d'IBM/Filenet, ECM/Documentum et Oracle/Stellent en tête du classement en raison de leur couverture fonctionnelle. Le cabinet d'analyse distingue juste après la suite d'Open Text, un spécialiste de l'ECM (acquéreur de Hummingbird), dont le noyau fonctionnel est également très étendu. Néanmoins, Kyle McNabb, auteur de l'étude, estime que le statut d'éditeur indépendant d'Open Text peut rendre son offre moins attrayante pour des entreprises qui voient l'ECM comme l'une des pièces d'une plateforme globale de gestion de l'information. L'analyste signale toutefois qu'Open Text compense résolument ce défaut en nouant des partenariats avec Microsoft et Oracle pour s'intégrer, d'une part avec la bureautique Office et le portail Sharepoint du premier, et d'autre part avec l'offre Fusion middleware du second. Kyle McNabb cite ensuite Interwoven, Hyland et Vignette, dont les offres sont solides mais, là encore, plus axées sur la gestion de contenus que sur la fourniture d'une plateforme d'ECM. A Microsoft, autre acteur de poids sur ce marché, il manque encore d'importantes fonctions (dans la gestion des images et de la conservation légale, notamment), mais son avenir est prometteur, juge l'analyste. Enfin, Forrester estime que les offres des trois derniers éditeurs retenus pour l'étude, SAP, Xerox et Alfresco Software (fournisseur d'une offre en Open Source), manquent encore d'étendue et de profondeur fonctionnelle, mais le cabinet pense qu'elles vont évoluer pour constituer des alternatives à EMC, IBM, Microsoft et Oracle. Rappelons par ailleurs qu'Open Text a racheté il y a quelques années Ixos, dont l'offre a été développée pour l'univers de SAP. Soixante critères en trois catégories Pour analyser les onze offres, Kyle McNabb s'est appuyé sur soixante critères répartis en trois catégories : la suite logicielle proprement dite, la stratégie mise en place par son éditeur (examen des sorties de produits prévues) et la présence du fournisseur sur son marché (taille de la base installée, chiffre d'affaires réalisé, répartition géographique). L'analyste de Forrester note que les entreprises veulent pouvoir gérer tout à la fois les documents, les images, la conservation légale des pièces et fichiers et l'archivage, ainsi que les contenus Web et les actifs numériques. Mais elles entendent aussi disposer d'une plateforme qui puisse s'intégrer dans le système d'information de l'entreprise et exploiter les outils de développement courants (support d'Eclipse et de Visual Studio .Net, notamment). L'analyste retient trois autres pré-requis : pouvoir déployer largement dans l'entreprise les outils de gestion de contenus, pouvoir appliquer les mêmes politiques à l'ensemble des contenus et être capable d'afficher les informations dans leur contexte. (...)
(22/11/2007 17:44:58)Une initiative pour standardiser l'échange des données personnelles par les réseaux sociaux
Bonne idée que celle de définir un standard de description des données personnelles pour faciliter leur dissémination dans les réseaux sociaux qui font florès sur la Toile. C'est en tout cas celle d'un petit groupe d'Australiens qui propose de fédérer plusieurs normes ou spécifications aussi diverses qu'OpenID, gestion d'identités open source, et rss, et d'y ajouter des microformats descriptifs de l'identité de chacun comme APML (Attention profiling mark-up language). A l'heure où l'usage à vocation mercantile des informations personnelles diffusées dans des réseaux sociaux comme FaceBook fait débat, il est aussi utile de rappeler qu'il faudra un jour ou l'autre normaliser et encadrer ces pratiques. Notons que cette initiative, qui en est à la version 0.1 de l'aveu même de ses promoteurs, est concurrencée par d'autres microformats comme hCard et XFN XHTML Friend Network). (...)
(22/11/2007 17:00:52)Etudier la danse des abeilles pour optimiser le rôle des serveurs Web
Sans intelligence centralisé, les abeilles ouvrières arrivent à communiquer efficacement pour accomplir des tâches complexes comme indiquer aux autres où se trouvent les fleurs, récolter du pollen et le transformer en nectar. A partir de ces observations, deux chercheurs de l'institut de technologie de Géorgie, Craig Tovey, entomologue amateur, et Sunil Nakrani, détaché de l'université d'Oxford, ont conçu une méthode pour améliorer l'efficacité des serveurs Web. En effet, les abeilles et les serveurs Web sont confrontés au même type de problème. Chaque essaim n'a qu'un nombre limité d'ouvrières pour accomplir toutes les tâches nécessaires à sa survie, qu'il y ait une abondance de fleurs sur lesquelles collecter le pollen ou non. De même, chaque site Web dépend d'un nombre fini de serveurs ou de ressources informatiques quels que soient le nombre de visiteurs à un instant T et leurs demandes (accéder à une vidéo ou effectuer un achat). Pour pallier ce problème, les abeilles ont un système de danse dans lequel l'éclaireuse indique aux autres ouvrières le lieu de récolte (la direction prise par la danseuse), la distance par rapport à la ruche (le nombre de détours) et la richesse potentielle de la récolte (la durée de la danse). Les deux chercheurs se sont inspirés de ce modèle pour créer un « parquet de danse » virtuel où les serveurs Web peuvent s'échanger des informations sur les tâches à accomplir. Il s'agit de placer une « publicité » interne à un pool de serveurs pour indiquer une tâche à accomplir. Plus longtemps cette publicité reste affichée, plus elle est urgente et potentiellement rentable. Et donc plus de serveurs inactifs l'accompliront. Testé dans des conditions réelles de trafic, ce parquet de danse a pu augmenter l'efficacité des sites de 4 à 25 %. (...)
(22/11/2007 15:45:04)Les antivirus aussi vulnérables que les logiciels qu'ils protègent
Conçus pour inspecter nos courriers électroniques, analyser notre navigation sur le Web et de manière générale espionner tous les fichiers à la recherche du moindre indice qui laisserait entendre qu'on est victime d'une attaque, les anti-virus pourraient être la porte par laquelle entreraient les virus... C'est du moins les conclusions d'une enquête menée par la société de conseil allemande n.runs AG, spécialisée notamment dans la sécurité. D'après Thierry Zoller, consultant en sécurité de n.runs AG, les entreprises qui essaient de renforcer leur sécurité en multipliant les anti-virus ne font en fait qu'accroître les risques. Son enquête démontrerait en effet que les anti-virus contiennent des 'parseurs' (ou analyseurs de code), programmes indispensables pour ouvrir des fichiers de format, susceptibles de comporter des bugs, lesquels pourraient être facilement exploités par des programmes malveillants. Menée sur deux ans, l'enquête aurait démontré que la majorité des grands acteurs du marché de l'anti-virus sont touchés par ces bugs, Thierry Zoller affirmant avoir trouvé plus de 80 bugs différents dans les parseurs des logiciels d'anti-virus qui n'ont pas été corrigés. La plupart de ces bugs autoriserait l'exécution de code malveillant sur un système. De fait, l'information n'est pas vraiment nouvelle : les bugs de parseurs au sein des navigateurs, pour ouvrir des fichiers graphiques notamment, ont déjà fait couler beaucoup d'encre et laissé passer de nombreux virus. Mais c'est la première fois qu'on s'attaque réellement aux parseurs de logiciels supposés protéger l'entreprise et non ouvrir de nouvelles brèches dans leur politique de sécurité. Les éditeurs du marché de la sécurité n'ont bien entendu pas manquer de réagir à cette enquête. Ils estiment que les saboteurs ont d'autres chats à fouetter que de s'attaquer aux logiciels de sécurité et qu'il est beaucoup plus facile pour eux de continuer à faire circuler des virus dans les pièces jointes des courriers électroniques par exemple. Des arguments qui finalement laisseraient entendre qu'on a beaucoup de chance : les saboteurs n'ont pas encore pensé à attaquer les programmes de sécurité ! De quoi clairement défrayer la chronique surtout quand on tient compte de la réaction de Marc Maiffret, CTO de eEye digital security, éditeur de solutions de sécurité : « les logiciels de sécurité sont aussi vulnérables que n'importe quel autre logiciel. Nous employons tous les mêmes développeurs qui sont allés dans les mêmes écoles que celles des employés de Microsoft et ils y ont tous appris les mêmes choses. » (...)
(22/11/2007 15:40:16)Des recrutements IT au beau fixe en Europe, mais plus difficiles à réaliser
L'étude sur l'emploi des cadres en Europe publiée ce jeudi 22 novembre, par l'Apec, montre une augmentation des recrutements en Europe, surtout dans la filière production/exploitation, et une intensification des difficultés à recruter, dans les métiers de l'ingénierie, et des bureaux d'études. 635 000 cadres devraient être recrutés entre juillet 2007 et juin 2008, soit 10% de plus que l'an dernier sur la même période. C'est le chiffre prévu par les entreprises interrogées par l'Apec en juin 2007. Cette étude a été menée dans les entreprises du secteur privé de huit pays, la France et ses sept principaux voisins : l'Allemagne, la Belgique, l'Espagne, l'Italie, le Luxembourg , les Pays-Bas et le Royaume-Uni. Elle montre que trois fonctions se trouvent au coeur du développement économique : production/exploitation, études/recherche et développement, et informatique. Ainsi, entre juillet 2006 et juin 2007, la fonction production - exploitation s'est imposée comme la première filière « recruteuse » des pays du panel avec 3 recrutements sur 10 réalisés. La France reste dans le peloton de tête des pays « recruteurs » de cadres, avec des prévisions allant jusqu'à 166 000 embauches d'ici à 2008 et un niveau record atteint en 2006-2007, soit 150 700 embauches réalisées au cours de cette période. Dans l'Hexagone, la fonction R&D progresse de 4 points, avec près de deux recrutements sur 10 réalisés. L'étude montre également qu'en Europe, en 2006-2007, les difficultés de recrutement étaient moins fréquentes, mais plus intenses qu'entre 2000 et 2001. Ainsi, près de 6 entreprises interrogées sur 10 ont eu un projet de recrutement mais parmi elles, 62% soulignent que recruter des cadres a été difficile, 14% déclarant même que ce processus a été « très difficile ». A titre de comparaison, en 2000-2001 la part des entreprises estimant le recrutement de cadres difficile s'élevait à 66%, la part des « très difficile » à 12%. L'inadéquation des compétences des candidats au poste à pourvoir est le motif le plus souvent évoqué (par 63% des entreprises européennes), et concerne 53% des entreprises de l'Hexagone. En France, les tensions, très ciblées, se font sentir dans les services aux entreprises : 19% des entreprises de ce secteur indiquent ainsi qu'elles peinent à recruter dans la fonction informatique. L'Apec relève également un manque de candidats, en France et en Europe, dans les métiers de l'ingénierie, et des bureaux d'études. Selon l'association, la demande croissante des ingénieurs en R&D et en études, alimentée par l'externalisation de ces métiers dans l'industrie, est supérieure au nombre de diplômés issus de ces formations. (...)
(22/11/2007 15:25:25)Une étude confirme l'ampleur croissante d'Oracle
Pas de doute, Oracle prend chaque jour une place plus importante dans les entreprises. Au-delà de ses résultats en forte croissance qui attestent visiblement sa progression, sur le terrain, les analystes prennent concrètement la mesure de l'adhésion des décideurs à son offre, qu'il s'agisse de sa base de données, de ses outils de middleware ou de ses applications. En octobre, l'enquête menée par le cabinet américain ChangeWave Investing sur les prévisions d'investissement en logiciel et sur les solutions installées, auprès de 1 780 membres de son réseau (constitué de 13 000 professionnels et experts issus de différents secteurs industriels), fait apparaître qu'Oracle est le seul fournisseur à gagner des parts dans plusieurs domaines. Principalement sur les applications décisionnelles (ou Business Intelligence, BI), la gestion de la relation client (GRC, en anglais CRM) et les progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP). Par rapport à sa précédente enquête, conduite en juillet 2007, ChangeWave Investing ne note pas de changement dans les prévisions globales d'investissement pour les trois mois à venir : 18% des responsables interrogés prévoient de dépenser davantage sur leur poste « logiciel » et 14 % pensent plutôt débourser moins. En revanche, ce qui frappe le cabinet d'analyse, c'est la proportion croissante d'entreprises prévoyant d'investir dans des solutions éditées par Oracle. Actuellement, dans le domaine du décisionnel, Oracle arrive en tête des logiciels utilisés avec 36% de parts de marché, progressant ainsi de 8 points par rapport à l'enquête de juillet dernier. Microsoft le suit de près avec 35%. Un zoom sur les solutions Hyperion permet de constater une augmentation de cinq points, à 19 %. Le rapprochement opéré entre les sociétés semble donc leur profiter à toutes les deux, rassurant sans doute sur la pérennité des offres. Sur le marché de la GRC, Oracle conserve son leadership (gagné avec le rachat de Siebel). Comme en juillet, 36% des professionnels sondés ont déclaré utiliser une solution vendue par Oracle. SAP, en revanche, perd deux points, à 17%, et Salesforce en perd 4, à 15%. Microsoft, lui, ne bouge pas, à 16 %. Le plus fort potentiel Sur le marché des PGI, ChangeWave Investing note une progression d'Oracle et de Microsoft sur les autres fournisseurs. Evidemment, SAP tient toujours la corde, mais il a perdu huit points depuis l'enquête de juillet, à 38%. Derrière, Oracle gagne deux points, à 32%. Toutefois, sur ce terrain, c'est Microsoft qui réalise la meilleure performance, prenant jusqu'à quinze points de plus, à 29%. Le cabinet d'analyse a également mesuré les tendances dans les domaines du stockage de données et des logiciels d'administration. Là, Microsoft est clairement en tête avec 30%, suivi de Symantec, avec 20%, et d'Oracle et EMC, avec 17% chacun. Mais ce qui surprend le plus ChangeWave Investing, [[page]]ce sont les intentions d'achats à 90 jours des entreprises interrogées. Alors que l'échantillon proposé n'était pas assez large pour englober tous les fournisseurs de solutions verticales pressentis, le cumul des choix désignait clairement Oracle comme l'éditeur ayant le plus fort potentiel, au détriment de Microsoft. Les positions de SAP, elles, ne bougeaient pas par rapport à l'enquête de juillet 2007. La technologie tire les applications et vice-versa Il apparaît nettement que la société de Larry Ellison reprend de la vitesse sur tous les terrains, alors qu'elle avait pu un temps se laisser distancer. Et son fondateur n'entend certes pas en rester là. Ses récentes annonces, à l'occasion de sa conférence OpenWorld (San Francisco, 11-15 novembre) l'ont confirmé : livraison d'une solution de virtualisation de serveurs, Oracle VM, renforcement des solutions middleware, présentation de la nouvelle génération d'applications (Fusion). Parallèlement, Oracle a également indiqué avoir gagné 1 500 clients en un an sur son offre de support autour des systèmes d'exploitation en Open Source Red Hat Enterprise Linux et Oracle Enterprise Linux. « Nous avons dépassé nos prévisions dans toutes les catégories de produits et nous n'avons pas l'intention de nous arrêter là », déclarait Safra Catz, vice-présidente et directrice financière d'Oracle, devant un parterre d'analystes financiers, à l'issue d'OpenWorld. « La technologie tire les applications et les applications tirent la technologie », a-t-elle rappelé pour expliquer comment les différentes gammes d'Oracle autogénéraient des ventes. Et pour justifier la succession des rachats opérés par l'éditeur et qui n'est sans doute pas près de s'arrêter, notamment sur les applications métiers : « Ce que nous faisons est très évident. Nous recherchons ce que nos clients souhaitent que nous prenions en charge pour eux. Et ce qui nous paraît financièrement possible et utile pour eux, nous le faisons. » Ce qui a conduit, notamment, au récent rachat d'Agile, acteur du PLM (gestion du cycle de vie des produits). Ce qui dirige, aussi, les prises de position sur les marchés verticaux avec les rachats de Portal Software, pour les opérateurs de télécommunications, ou d'i-flex, pour les banques. Des produits qui, estampillés Oracle, acquièrent une nouvelle visibilité. En retour, les acheteurs de produits métiers Oracle seront plus enclins à s'intéresser à sa base de données, à ses offres middleware, à sa déclinaison de Linux ou à sa solution de virtualisation. Le 'sondage flash' en cours sur notre site montre toutefois que les entreprises clientes ne sont pas forcément enclines à tout acheter chez le même acteur. Alors s'agit-il vraiment d'un cercle vertueux ? Larry Ellison en est persuadé. Devant le même parterre d'analystes la semaine dernière, il a déclaré ne craindre ni une récession, ni une baisse des prix. « Si les prix baissent, nous nous en sortirons très bien et si l'économie se porte mal, je pense, qu'au pire, nos performances seront étales. » (...)
(22/11/2007 14:31:25)HP prêt à dépenser des milliards pour monter dans le logiciel
Les éditeurs de gestion des données sont prévenus : HP est sur leur piste. Dans une interview accordée à Reuters, le patron de la branche logicielle de HP, Tom Hogan, explique que son groupe est prêt à dépenser des milliards de dollars pour étoffer et diversifier son portefeuille. « Nous déterminerons qui sont les leaders, raconte-t-il à Reuters. Dans certains segments, il pourrait s'agir d'entreprises valant 300 à 500 M$. Dans certains cas, cela pourrait aller dans les 5 à 10 milliards de dollars. Mais c'est ce qu'il faut pour avoir le leader du marché. » Tom Hogan a déjà piloté les rachats de Mercury et d'Opsware Tom Hogan, ancien CEO de Vignette, dirige HP Software depuis début 2006. Il était donc déjà en poste au moment de l'offre sur Mercury, pour 4,5 Md$, puis de celle sur Opsware, un éditeur de logiciels d'administration, valorisé à 1,6 Md$. Mais désormais, HP Software - qui se place au sixième rang mondial des éditeurs de logiciels - estime que son portefeuille en matière d'administration est déjà bien garni ; ce segment représenterait 80% de son CA logiciel. Après avoir complété son offre historique, OpenView, avec la gamme d'outils de pilotage et d'optimisation de Mercury et l'offre d'Opsware, HP veut donc désormais s'attaquer à d'autres secteurs. Les premières cibles seraient spécialisées dans la gestion du contenu (archivage des emails à des fins de conformité, par exemple), et dans le décisionnel. Dans la première catégorie, Reuters cite Symantec comme une cible potentielle, depuis son acquisition de Veritas. Dans la seconde, sachant que Hyperion est passé dans le giron d'Oracle, BO dans celui de SAP et que Cognos va aller chez IBM, les rumeurs pourraient se porter une fois de plus sur Teradata, dans la mesure où Mark Hurd, l'actuel patron de HP, connaît bien la société pour l'avoir dirigée. A noter que HP était aussi régulièrement cité par les analystes comme repreneur potentiel de BEA. (...)
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