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(14/11/2007 17:34:51)
Top 500 : Sept millions de milliards d'opérations à la seconde
Les évolutions du top 500 - le classement des 500 plus gros systèmes informatiques au monde - reflètent les grandes tendances de l'industrie. Le secteur HPC (High performance computing) n'est plus l'univers exceptionnel qu'il était jusqu'à il y a peu de temps. Tandis que des composants de machines de tous les jours trouvent leur place dans ces super clusters de calcul scientifique, l'architecture des systèmes d'entreprise s'inspire de plus en plus des modèles élaborés dans les plus grands centres de calcul. Cette "banalisation" s'accompagne d'une course à la performance toujours plus rapide. Le trentième classement semestriel du top 500 montre que la puissance totale de ce parc d'HPC a augmenté de 50% en six mois pour atteindre 6,97 Pétaflops*. Le système le moins puissant produit tout de même 5,9 Téraflops*. Si les États-Unis caracolent en tête, saluons l'apparition du premier système indien dans les dix plus puissants de la planète. L'arrivée des processeurs x86 64 bit (alias x64) multi-coeurs joue un rôle clé dans cette montée en puissance. Plus de 80% des systèmes reposent sur des systèmes x86 32 ou 64 bit. L'IBM Blue Gene/L du laboratoire national Lawrence Livermore est toujours en tête depuis novembre 2004. Sa dernière mise à jour porte sa puissance de calcul à 478,2 Téraflops. IBM reste le premier fournisseur avec 46,4% du parc installé et 45% des Pétaflops disponibles. HP arrive deuxième (32,3% du parc, 23,9% de la puissance). Avec 14 machines présentes, Cray n'est plus que l'ombre de lui-même. Avec SGI (22 systèmes) et Dell (24), cinq sociétés fournissent 458 des 500 systèmes répertoriés. Notons que Windows, absent encore l'an dernier de la liste, est parvenu à glisser six systèmes. Mais ils ne délivrent que 0,7% de la puissance totale. Linux, présent sur 426 systèmes, est, lui, à l'origine de plus de 70% des Pétaflops disponibles. * Téraflops : mille milliards de Flops (Opération à virgule flottante par seconde) * Pétaflops : un million de milliards de Flops (...)
(14/11/2007 17:00:01)2008, l'année du paiement sans contact
Dédié à la carte à puce et l'identification, Carte 2007 (jusqu'au 15 novembre au Parc des Expositons de Paris-Nord Villepinte) est placée cette année sous le signe du paiement sans contact. En effet, si la France en est à ses premiers balbutiements, il existe, selon Eurosmart, plus de 45 millions de cartes de paiement ou de porte-monnaies électroniques de paiement dans le monde. Le Japon, avec son standard FeliCa, est déjà bien installé, avec notamment 50 % des téléphones mobiles commercialisés actuellement dôtés de puces sans contact et d'antennes radio-fréquences. Aux Etats-Unis, Visa avec PayWay et MasterCard avec PayPass ont déjà mis en circulation plus de 20 millions de cartes. Avec les porte-monnaies électroniques Moneo sans contact distribués dans certaines universités, et le projet Pegasus qui concernent 1000 usagers et 200 clients à Strasbourg et Caen, la France semble bien en retard. Un marche dans les starting-blocks Pourtant, en se promenant dans les allées du salon, il est facile de voir que les obstacles techniques sont levés. Les fabricants français - Gemalto, Oberthur et Sagem en tête - ont tous une offre étoffée de puces (hybride contact/sans contact, bi-coeur avec une partie dédiée à la téléphonie et l'autre au paiement sans contact, etc...) et de lecteurs. Xiring a même lancé son CL Watcher, un petit étui métallique qui empêche le vol d'argent sur une carte sans contact et affiche le montant réel de la transaction. Sur un plan pratique, les principaux obstacles sont en passe d'être levés. « Les opérateurs télécoms ont abandonné l'idée de se faire payer sur la transaction, explique Jacques Scion, responsable mobilité chez Gemalto. Ils se contentent de mettre en place l'infrastructure pour les banques. » Contre une redevance non communiquée. Et d'ici la fin de l'année, un standard validé par l'ETSI devrait définir les spécifications pour des téléphones dotés d'antennes sans fil. Ce qui permettra de proposer un plus grand choix aux clients que les prototypes actuels de Sagem, LG, Motorola et Nokia. « Ainsi, nous aurons au début 2008, les premiers pilotes massivement déployables et, en deuxième partie de l'année, une généralisation des paiements par téléphones mobiles, » estime Jerôme Scion. L'association Eurosmart partage, au niveau mondial, son optimisme puisque sur les 4 285 000 000 cartes qui sont, selon elle, en circulation cette année, 543 000 000 sont dotées de capacités sans contact. Et elle s'attend à 60 millions de cartes de paiement sans contact - intégrées dans un téléphone ou non - pour l'an prochain, contre les 45 millions actuels. A lire aussi : Panorama des usages de la carte sans contact dans le monde (PDF) (...)
(14/11/2007 16:36:05)Mobilisation nationale des salariés d IBM France, contre leur transfert
La journée d'action organisée mardi 13 novembre par les syndicats d'IBM, pour protester contre le projet de transfert BlueSky des activités de services réseaux (NSD) de Big Blue vers AT&T, a été commune à plusieurs sites de France. C'est à La Gaude (Alpes-Maritimes), que la mobilisation a été la plus suivie, avec environ 350 manifestants (sur 600), rassemblés à l'entrée du site. Selon Serge Kerloc'h, délégué CGT d'IBM La Gaude, l'établissement des Alpes-Maritimes serait le plus touché des sites français par le projet de transfert : entre 23 à 29 salariés, sur un total de 85, seraient concernés par des transferts vers AT&T. Le mouvement était également important en région parisienne, avec 100 personnes mobilisées à Marne la Vallée, (pour 24 personnes concernées par le projet de transfert), de même qu'à Aubière (Puy de Dôme), avec 90 manifestants, pour 21 salariés concernés par le projet BueSky. A Montpellier, enfin, 120 manifestants ont débrayé (pour 5 salariés menacés d'être déplacés). Par ailleurs, à l'initiative de la CGT, plusieurs pétitions sont également en cours dans des établissements non touchés par l'externalisation. Au 14 novembre, malgré la dispersion du personnel et des sites, 66 signatures de soutien ont été obtenues à Bordeaux, 44 signatures ont été relevées à Toulouse, et 52 à Lille. Le CCE (Comité Central d'Etablissement) d'IBM France a décidé de missionner un cabinet d'expertise comptable pour analyser les conséquences économiques et sociales du projet de transfert. La justice a également été saisie pour suspendre le transfert. (...)
(14/11/2007 16:34:32)Computer Associates externalise la R&D de ses logiciels de sécurité
En externalisant chez l'Indien HCL la recherche et le développement de sa ligne de produits de sécurisation des accès, Computer Associates innove. Cette société, qui a choisi de ne plus se faire appeler que par ses initiales CA, compte parvenir à un accord définitif avec HCL pour que cet éditeur reprenne à son compte 375 de ses salariés pour assurer l'évolution de ses logiciels contre les virus, les pourriels, les logiciels espions et tous les autres qui ont à voir avec la sécurité des accès, la prévention des intrusions et la gestion de cet ensemble. CA n'assurera plus que le marketing et la commercialisation d'une logithèque qui génère une centaine de millions de dollars de chiffre d'affaires annuels. (...)
(14/11/2007 16:25:10)Un guide éducatif pour faire carrière dans SAP
Comment optimiser les compétences des experts SAP ? SAP Job Board, spécialiste de recrutement high-tech en ligne, tente de répondre à la question en publiant un guide éducatif à l'attention des candidats, intitulé : « Les dix meilleurs moyens d'assurer votre carrière de technicien SAP ». Ce manuel a été réalisé en collaboration avec Ade McCormack, un consultant en nouvelles technologies, travaillant entre autres pour le quotidien britannique Financial Times. L'ouvrage reflète la préoccupation croissante des employeurs à recruter des professionnels de l'informatique, capables d'adapter leurs compétences aux changements rapides dans les nouvelles technologies. Il commence par présenter une vue d'ensemble du marché informatique actuel, associé aux connaissances spécifiques du marché des applications d'entreprise. Afin d'assurer une expertise SAP « à l'épreuve du temps » aux candidats, le guide expose dix principales recommandations : être présent sur le web (en proposant ses services), améliorer ses services en ingénierie logicielle, développer une expertise dans les technologies partenaires SAP, envisager la gestion de projet, développer ses compétences en conseil, et surveiller de près les programmes d'acquisition de SAP. Le manuel préconise également de se former à l'intégration des systèmes, de prendre connaissance des concurrents de SAP, de développer des compétences d'outils de gestion, et enfin, de devenir expert sur un secteur spécifique. Janet McCormack, responsable marketing du SAP Job Board, commente : « Il est essentiel que les candidats au marché de l'emploi SAP prennent la responsabilité de leur propre employabilité en regardant constamment vers l'avenir, et en veillant à mettre régulièrement à jour leurs connaissances afin de pouvoir répondre à l'expertise qui leur sera demandée d'ici un à trois ou cinq ans. » (...)
(14/11/2007 13:03:38)Microsoft dope l'accessibilité d'Open XML pour les non-voyants
Microsoft vient d'annoncer qu'il dotera son traitement de texte Word d'une option de sauvegarde de document au format Daisy XML, un standard réservé aux personnes visuellement déficientes. Le plug-in, qui sera téléchargeable gratuitement depuis SourceForge en 2008, permettra une traduction audio d'un fichier Open XML. Le convertisseur sera également disponible pour la version 2003 du traitement de texte, à condition d'installer les packs de compatibilité Open XML. Le principe de Daisy XML est de rendre accessible aux non ou mal voyants des documents intégrant des possibilités multimédia, avec des paginations compliquées. Et de les traduire, par exemple, en braille, couplé à une lecture par un synthétiseur vocal. Daisy XML est promu par le consortium Daisy (Digital Accessible Information System), créé en 1996, et qui compte désormais 70 membres. Notons que l'accessibilité est l'un des grands enjeux des formats bureautiques OpenDocument et Open XML. ODF, qui souffrait d'importantes lacunes en la matière, profite de ses influents supporters. IBM a notamment développé un jeu d'API baptisé iAccessible2, qui doit notamment permettre aux applications de mieux communiquer avec les lecteurs d'écran (logiciel permettant de transcrire en braille les données affichées sur un écran). Outre ses travaux autour de Daisy XML, Microsoft travaille également à un kit d'accessibilité pour Sharepoint (AKS - Accessibility Kit for SharePoint), disponible sur CodePlex. (...)
(14/11/2007 12:53:51)Le 29 novembre, IBM mettra du vert dans ses technologies
IBM a choisi de placer la 3ème édition de ses Journées Technologiques, sous le signe de l'environnement. Jeudi 29 novembre, à l'IBM Forum de Paris La Défense, des experts internationaux, les « IBM Fellows » se déplaceront pour présenter les technologies et services «verts » d'IBM. Les participants à cette journée, organisée à la carte, pourront ainsi découvrir les solutions de consolidation et de virtualisation les plus écologiques développées par Big Blue En matinée, une séance plénière permettra d'échanger sur les offres et solutions "Green Data Center", et la virtualisation. L'après-midi, 16 ateliers au choix seront notamment dédiés à la consolidation, et à la virtualisation, et aux nouveautés technologiques d'IBM. (...)
(14/11/2007 12:49:33)Le rapprochement de Google et Doubleclick dans le collimateur de Bruxelles
Divulgué en avril dernier, le projet d'acquisition de Doubleclick (une société spécialisée dans la régie de la publicité en ligne) par Google fera finalement l'objet d'une enquête de la part de la Commission européenne. Ce rachat, dont le montant s'élève à 3,1 Md$, avait été approuvé par les services de la concurrence australiens et brésiliens, mais les autorités européennes se montrent plus réservées. Bruxelles s'est donné pour mission de déterminer si cette fusion « pourrait donner lieu à des pratiques restrictives et anticoncurrentielles vis-à-vis des acteurs présents sur ces marchés, et de ce fait, porter préjudice aux consommateurs ». L'avis définitif de la Commission européenne sera communiqué le 2 avril prochain, au terme d'une étude approfondie de 90 jours. Si « la décision d'ouvrir une enquête ne préjuge pas de son résultat », comme le rappelle le communiqué, l'initiative de Bruxelles souligne une fois de plus à quel point la publicité en ligne est devenu un enjeu concurrentiel stratégique pour la plupart des éditeurs et moteurs de recherche. Du côté des concurrents de Google, ce projet de rachat avait suscité beaucoup d'effervescence dès son annonce. Microsoft, qui briguait la même opération, arguait par exemple que cette fusion « ferait de Google le canal dominant pour toute forme de publicité en ligne ». Pour rappel, Google détient déjà 32% du marché de la publicité en ligne. Scott Cleland, président de Netcompetition.org et représentant de fournisseurs d'accès estimait pour sa part que ce rapprochement entraînerait « une concentration sur le marché, ne laissant plus vraiment de choix aux annonceurs en ligne ». C'est donc sans surprise que Yahoo, l'un des concurrents de Google, s'est déclaré satisfait de la décision de la Commission européenne. De son côté, le PDG de Google, Eric Schmidt, s'est déclaré « déçu » par cette enquête, craignant qu'elle n'engendre des retards qui désavantagerait Google dans la course aux acquisitions sur le marché de la publicité en ligne, notamment vis-à-vis de Microsoft, Yahoo, ou encore AOL, dont les opérations ont déjà été entérinées. (...)
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