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(15/11/2007 17:39:41)
Le Libre tente de mobiliser pour poursuivre Iliad en justice
Des éditeurs de logiciels libres, épaulés par la FSF (Free Software Foundation), ont décidé d'entamer une procédure judiciaire à l'encontre d'Iliad, maison mère de Free. Ils lui reprochent pour ne pas avoir reversé à la communauté du Libre les modifications du code des logiciels embarqués dans la Freebox. Comme le demande pourtant la licence GPL sous laquelle sont placées les applications (à savoir redistribuer le code source des logiciels qui ont été modifiés). C'est après avoir essuyé une série de refus de publication du code source des logiciels en question que les éditeurs ont décidé de porter l'affaire devant la justice, indique en substance le site Internet "Campagne Freebox" mis en ligne pour l'occasion - afin d'informer et de recueillir des fonds pour soutenir la campagne. La procédure a été ouverte par Harald Welte, auteur d'iptables (module de configuration de paquets IP), intégré au noyau Linux qui motorise les Freebox. Il est également soutenu par les auteurs du projet BusyBox, Rob Landley et Erik Andersen. Lesquels avaient déjà porté une affaire similaire devant les tribunaux américains et obtenu, à cette occasion, une sortie à l'amiable. La plainte visait Monsoon Multimedia qui fabrique des appareils électroniques multimédia. Tout en disant apprécier "Iliad pour son côté trublion des télécoms", les plaignants demandent au groupe "de revenir à son ambition première, de respecter l'esprit dans lequel nous avons développé ces logiciels et de ne pas céder aux sirènes des techniques des grands groupes de médias." Dans une FAQ publiée sur le site de la campagne, il est expliqué que les réclamations des plaignants se limitent à rajouter "quelques lignes dans la documentation livrée à l'utilisateur, afin de mentionner l'utilisation de logiciels libres dans la Freebox, ainsi que de proposer d'envoyer les sources aux utilisateurs en faisant la demande". Dans un interview à la presse, Xavier Niel, actionnaire principal du groupe, avait indiqué que "tout est dit et présent sur ftp.free.fr" - en parlant des sources, et estimé que la FSF se servait de la renommée de Free comme d'une caisse de résonance à des fins marketing. Les éditeurs de logiciels estiment de leur côté que les argument d'Iliad et son refus de dévoiler des modifications que l'opérateur juge pourtant minimes sont incompréhensibles. (...)
(15/11/2007 17:03:33)Très nette hausse de l'emploi IT et R&D, en octobre
Le Monster Index de l'Emploi en France laisse apparaître une hausse significative du volume d'offres d'emploi en ligne à destination des informaticiens au mois d'octobre. Au cours de cette période, l'activité de recrutement en ligne s'est en effet solidement intensifiée dans la catégorie des professions intellectuelles et scientifiques, avec un Index qui atteint son plus haut niveau depuis un an, à 164, en progression de 9 points, par rapport au mois précédent, et en hausse de 28 points par rapport à octobre 2006. L'Index montre également une hausse des recrutements par secteur d'activité : dans l'informatique, l'Index gagne 7 points au mois d'octobre 2007, par rapport au mois précédent, pour s'établir à 118, soit le plus haut niveau observé depuis un an. Mais c'est en recherche et développement que la dynamique de recrutement en ligne reste la plus soutenue : en octobre 2007, l'Index a bondi de 24 points en un mois, à 189, soit + 79 points par rapport à octobre 2006. Pour Bruno Brémond, vice-président directeur général de Monster France et Europe du Sud, l'activité de recrutement en ligne, qui s'est considérablement intensifiée au mois d'octobre, devrait être particulièrement soutenue au cours du quatrième trimestre. (...)
(15/11/2007 15:58:14)Microsoft dévoile une bêta du successeur de Windows Compute Cluster Server
Un peu plus d'an après la sortie de Compute Cluster Server, la version de Windows Server 2003 dédiée au calcul hautes performances (HPC, high performance computing), Microsoft lance déjà une version bêta de son successeur : Windows HPC 2008, attendu pour une commercialisation générale fin 2008. Ce système sera, selon Microsoft, 30% plus performant que son prédécesseur. Il s'en distinguera également par une connexion réseau plus rapide, l'ajout de gestion des grappes de calculs, un planificateur de tâche SOA (architecture orientée services) et la possibilité de travailler dans un environnement hétérogène. Plus concrètement, Microsoft s'est rapproché du Global Grid Forum (plutôt pro-Linux jusqu'ici) pour développer un méta-planificateur capable de répartir le travail entre différentes grappes quel que soit le système d'exploitation installé. Microsoft s'est engagé à distribuer gratuitement ce logiciel avec HPC 2008. La gestion de fichiers devient également plus ouverte. Le système sera compatible avec les systèmes de fichier Panasas, Polyserve et GPFS. Kyril Faenov, directeur de l'unité HPC de Microsoft, espère qu'il en sera de même pour Lustre, le système de fichiers Open Source maintenu par Sun. Avec ce système d'exploitation, Microsoft veut devenir l'un des acteurs incontournables du calcul haute-performance. « Nous pensons que nous sommes prêts à nous mesurer à certains des plus grands clusters sur le marché » estime, confiant, Kyril Faenov. Il faut d'ailleurs noter que six systèmes basés sur CCS 2003 ont fait leur entrée dans le Top 500 des supercalculateurs. (...)
(15/11/2007 15:15:22)La GSM Association vote en faveur de LTE
Puissante association regroupant des opérateurs du monde entier, la GSM Association (GSMA) vient de faire savoir à l'occasion du salon 3GSM Asia, qu'elle adoptait la technologie LTE (Long-Term Evolution) comme standard pour les communications sans fil et successeur du HSPA (High-Speed Packet Access). Une annonce qui positionne LTE sur le devant de la scène dans la guerre qui oppose les standards 4G de demain. Les opérateurs ont donc apparemment décidé d'offrir un front commun aux opposants de LTE, Wimax (soutenu par l'industrie informatique) et l'UMB (Ultra Mobile Broadband) de Qualcomm. La GSMA s'est engagée à soutenir les entreprises et les organisations dans le développement de LTE dont la finalisation n'est pas prévue avant 2010. L'association est également intervenue auprès de l'ITU, l'Union internationale des télécoms, afin d'obtenir des garanties en matière de fréquences nécessaires au déploiement de LTE. Très impliqué, l'opérateur japonais NTT DoCoMo milite en faveur du haut débit pour les périphériques sans fil et estime qu'il y a de fortes chances que son réseau soit déployé en LTE d'ici à 2009, en précisant toutefois que la technologie utilisée dépendra avant tout des fréquences attribuées par son gouvernement. Pour NTT DoCoMo, le passage de HSPA à LTE signifie des opportunités de marché énormes en matière d'usages sur le téléphone portable. « Bien plus rapide, LTE permettrait en effet de télécharger un magazine de 500 pages en 3 secondes là où il faut trois minutes en HSPA », précise le patron de l'opérateur, Masao Nakamura. En d'autres termes, la position adoptée par la GSMA ouvrirait les portes de la vidéo, de la musique et même des jeux perfectionnés aux téléphones portables. En attendant, la GSMA n'en continue pas moins de travailler sur HSPA. L'association vient en effet d'annoncer en partenariat avec Microsoft un concours destiné à récompenser le meilleur ordinateur portable équipé de puces HSPA, l'idée étant de favoriser le développement du téléchargement sur de nombreux périphériques et pas seulement les ordinateurs portables et téléphones mobiles : caméra, lecteurs multimédia, etc. (...)
(15/11/2007 13:19:08)François Drouin, patron de la nouvelle agence Oseo/AII
Exit, l'Agence de l'innovation industrielle (AII ou A2I). La fusion de l'agence avec l'organisme Oséo, spécialisé dans le soutien et le financement des petites structures, est désormais officielle. Le décret a en effet été présenté hier, au Conseil des ministres. Effective le 1er janvier prochain, la nouvelle entité sera présidée par François Drouin, ancien président du directoire du Crédit foncier. Annoncé cet été, ce rapprochement devrait permettre, selon le communiqué officiel, « de remédier à la faiblesse actuelle du soutien aux entreprises moyennes innovantes et de mettre en place au sein d'Oseo un guichet unique proposant une gamme complète d'aides adaptée à toutes les tailles d'entreprises et de projets innovants ». Pour 2008, la dotation d'Oseo garantie est fixée à 280 millions d'euros, l'activité traditionnelle d'Oseo innovation sera quant à elle dotée de quelque 220 millions d'euros, et les nouveaux financements en faveur des entreprises moyennes seront portés à hauteur de 300 millions d'euros, permettant d'envisager, dans ce champ d'action, la sélection de plusieurs dizaines de projets par an. L'A2I avait été instaurée par Jacques Chirac en 2005 pour soutenir les grands projets technologiques. Comme Quaero, ex-future réponse européenne à Yahoo et Google. (...)
(15/11/2007 13:05:01)OpenWorld : Dell va intégrer et supporter Solaris
Il est d'usage, à OpenWorld, de voir des ténors de l'industrie informatique comme IBM, Intel, AMD, Dell ou Sun profiter de la scène que leur ouvre leur partenaire Oracle (à l'occasion de sa conférence annuelle) pour faire leurs propres annonces. Cette année, à San Francisco (11-15 novembre), Jonathan Schwartz, PDG de Sun, a accueilli lors de son discours sur scène Michael Dell, fondateur et PDG de Dell, pour révéler à deux voix un accord de partenariat autour de Solaris. Le constructeur va intégrer le système d'exploitation Solaris 10 de Sun sur certains de ses serveurs PowerEdge. La coopération entre les deux fournisseurs couvre le développement et la certification des offres communes. Des configurations sur lesquelles Dell assurera également le support aux utilisateurs par l'intermédiaire d'intégrateurs ou directement pour les grands clients. Michael Dell, grand zélateur des technologies vertes, a présenté à Jonathan Schwartz un tee-shirt vantant les mérites du green computing. Le maillot arborait aussi le slogan « I'm listening » illustrant ainsi sa volonté d'être à l'écoute de ses utilisateurs. Par exemple, en élargissant le choix qu'il leur propose avec l'ajout d'un autre système d'exploitation Open Source. Lors de l'édition 2006 d'OpenWorld, Michael Dell avait annoncé ses premiers serveurs à base d'Opteron, les processeurs d'AMD. (...)
(15/11/2007 10:27:06)Un demi-million de bases de données sans protection sur Internet
Près d'un demi-million de serveurs de bases de données Oracle et Microsoft sont laissés sans protection et sont accessibles librement depuis Internet. C'est ce qu'affirme le chercheur en sécurité David Litchfield, éditeur du site Databasesecurity.com, dans la deuxième édition de son étude Database exposure survey qui sera publiée lundi prochain. Le chercheur a scanné de façon aléatoire le port réservé à SQL Server et Oracle de presque un million d'adresses IP. Résultat : 157 SQL Server et 53 bases Oracle trouvées, et donc sans protection. En croisant ces chiffres avec les estimations d'installations, il est parvenu à la conclusion qu'"il y a approximativement 368 000 serveurs Microsoft et 124 000 serveurs Oracle directement accessibles sur Internet". Si on peut s'interroger sur la pertinence de la méthode, David Litchfield, quant à lui, se veut alarmant. Car ces résultats démontrent que le nombre de bases Microsoft et Oracle non protégées va en grandissant. Il y a deux ans, à l'occasion de la première édition de l'étude, il ne recensait alors que 140 000 systèmes Oracle et 210 000 systèmes Microsoft sans protection. L'étude, obtenue en avant-première par nos collaborateurs d'IDG News Service, explique également que les systèmes pointés du doigt reposent sur d'anciennes versions des logiciels, qui pour la plupart n'ont pas été mises à jour, ou pire, ne reçoivent plus de mises à jour de sécurité - le support ayant expiré. 13% des systèmes Oracle en question fonctionnent sur la version 9, ou précédente, de la base de données, "reconnue pour être vulnérable". 82% des systèmes Microsoft fonctionnent sous SQL Server 2000 et pour la moitié d'entre eux, sans le Service Pack 1 d'installé. Ce qui, selon David Litchfield, laisse le champ libre à des exploits majeurs pourtant très médiatisés, comme le ver Slammer. Cette année, les bases MySQL ne font pas partie du périmètre. Dans la version précédente de l'étude, David Litchfield en avait trouvé pourtant une proportion importante. Il écrivait d'ailleurs : « Il y a davantage de serveurs MySQl exposés que je n'aurais cru et, comme pour SQL Server et Oracle, la plupart des systèmes trouvés faisaient tourner d'anciennes versions, non patchées ». (...)
(15/11/2007 09:55:42)OpenWorld : Sun aussi virtualise gratuitement
En réaffirmant l'importance de l'Open Source et des technologies de virtualisation, lors de sa visite parisienne mardi dernier, le co-fondateur de Sun, Scott McNealy, avait invité son auditoire à ne pas manquer les annonces de Jonathan Schwartz, le lendemain sur OpenWorld (grand-messe annuelle d'Oracle, San Francisco, 11-15 novembre). L'intervention californienne du PDG de Sun a effectivement confirmé l'arrivée de xVM, une plateforme gratuite de virtualisation et d'administration de centre de données sur laquelle le fournisseur avait déjà laissé filtré des informations. Pour Jonathan Schwartz, cette annonce capitalise sur des années de recherche en virtualisation autour de la plateforme Java, du système d'exploitation en Open source OpenSolaris et du processeur UltraSparc. Le dirigeant de Sun prévoit d'investir quelque 2 milliards de dollars en recherche et développement sur sa famille xVM. Les premiers produits livrés seront l'hyperviseur xVM Server et xVM Ops Center, une console d'administration unifiée (livrée sous licence GPLv3) qui permettra de gérer à la fois les éléments virtuels et physiques de la plateforme. Une touche de Xen et une pleine mesure de ZFS De même qu'Oracle, qui annonçait deux jours plus tôt sa propre offre de virtualisation de serveurs, Sun exploite dans son hyperviseur une partie du code développé par la communauté Open Source Xen. xVM Server va permettre de virtualiser des environnements mixtes, sous OpenSolaris, Linux et Windows. Ces deux derniers, considérés comme des « instances invitées », bénéficieront alors de la technologie d'auto-dépannage Predictive Self-Healing d'OpenSolaris et de son serveur de fichiers 128 bit ZFS, qui fournit ici ses capacités de virtualisation du stockage. Le tout sur des infrastructures HP, Dell, IBM et Sun. Jonathan Schwartz souligne l'intérêt de prendre en compte l'ensemble des ressources dans la virtualisation, et notamment le stockage. Le dirigeant a évoqué au passage le procès que lui intente en ce moment même NetApp autour de ZFS. Scott McNealy l'expliquait mardi dernier : « En 1984, nous avons mis en Open Source NFS, ce qui est un cadeau énorme. NetApp s'en est emparé, sans un merci [...]. Vingt ans après, nous livrons ZFS, encore une fois en Open Source, et là nous n'avons pas de merci mais un procès ! » C'est pourquoi, comme l'a déjà raconté Jonathan Schwartz dans son blog, Sun s'est senti outragé et a décidé de répliquer en intentant un procès, respectant ainsi son principe de n'utiliser son portefeuille de brevets que « de façon défensive ». Le patron de Sun est revenu par ailleurs sur les atouts de l'Open source qui a permis une rapide adoption d'OpenSolaris et ZFS dans le monde entier, par des utilisateurs qui n'auraient sans doute jamais installé de matériel Sun. openxvm.org, une communauté pour xVM S'il en était encore besoin, le PDG n'a pas manqué de souligner les économies d'énergie générées par la virtualisation, à l'unisson avec les orateurs qui l'avaient précédé en début de semaine sur la scène d'OpenWorld (les dirigeants d'AMD, d'Intel ou de HP). « Le coût de l'énergie dépensée pour exploiter les serveurs finit par dépasser le coût des serveurs eux-mêmes », a-t-il rappelé. Enfin, Sun entend créer une communauté autour de xVM, afin d'assurer à l'offre une large adoption et de conforter son engagement auprès de ses utilisateurs, notamment ceux « qui ne peuvent pas payer le logiciel », affirme Jonathan Schwartz. « C'est un engagement que nous ne prenons pas à la légère. » (...)
(15/11/2007 09:58:04)Smile s'agrandit avec Ingénieurs et Consultants
L'intégrateur de solutions Open Source Smile annonce l'acquisition du cabinet de conseil « Ingénieurs et Consultants », pour un montant non communiqué. « Quelques mois après le rachat de la web agency E-dition, cette opération confirme l'engagement de Smile autour de la solution eZ publish, l'un des outils de gestion de contenus les plus prisés en Europe », a commenté Marc Palazon, président du directoire de Smile. Basé à Levallois-Perret, Smile compte actuellement 220 collaborateurs (auxquels se rajouteront les 15 salariés d'Ingénieurs et Consultants), et compte trois autres filiales, à Lyon, Montpellier et Nantes. La SSLL espère réaliser un chiffre d'affaires de 14 M€ en 2007. (...)
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