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(12/11/2007 14:38:27)

IBM va racheter Cognos pour 4,9 Mds de dollars

IBM et Cognos se sont accordés sur une transaction d'environ 5 milliards de dollars pour faire tomber l'éditeur canadien d'outils décisionnels dans l'escarcelle de Big Blue. Les actionnaires et les autorités de régulation de la concurrence doivent encore se prononcer sur la transation. En cas d'accord, elle devrait se clore au premier trimestre 2008. Lemondeinformatique.fr reviendra sur le sujet dans la journée. (...)

(12/11/2007 13:39:48)

Intel lance ses premiers Penryn sur le marché

Ils sont là. Les nouveaux processeurs Intel Penryn gravé à 45 nanomètre avec le nouvel alliage « high-k gate » sont disponibles depuis hier. Plus exactement 12 processeurs Xeon quadri-coeurs, trois processeurs Xeon bi-coeurs pour le marché des serveurs et un processeur Core 2 Extreme pour les PC haut de gamme sont en vente. Ils seront suivis durant le premier trimestre 2007 par des processeurs pour PC et portables. Ces nouveaux processeurs, plus économes en énergie, seront également de 15 à 20% plus rapides selon Intel. Les processeurs pour serveurs seront commercialisés de 177 à 1279 dollars par lot de mille, le Core 2 Extreme QX9650 sera commercialisé à 999 dollars par lot de mille. (...)

(12/11/2007 12:44:44)

Le réseau sans-fil de la Silicon Valley en panne faute de financement

Comme dans beaucoup de villes américaines, le gigantesque projet de réseau sans fil de la Silicon Valley est en rade. Il semblerait en effet que le consortium en charge du projet baptisé Silicon Valley Metro Connect n'ait pas réussi à réunir les fonds nécessaires à son déploiement. Un souci de financement qui masque toutefois des problèmes autrement plus complexes. L'expérience de ces dernières années montrerait en effet que les réseaux municipaux sans fil intéressent peu ou prou les utilisateurs, selon les analystes du marché. Mais c'est surtout la complexité de mise en oeuvre qui freine réellement ces projets. Le « Silicon Valley Metro Connect » prévoyait en effet de relier 2,4 millions d'utilisateurs à Internet, soit de couvrir les 40 communes de la péninsule (environ 4000 kilomètres carrés) avec un réseau large bande. Le déploiement du réseau global était estimé à 200 millions de dollars. Il impliquait des acteurs tels que Cisco pour l'équipement, l'opérateur Azulstar Networks, IBM pour l'intégration ou encore Seakay, un organisme public destiné à soutenir le secteur non-marchand. Pour chaque commune, qui disposait déjà de ses propres équipements et technologies, toute la question est de savoir sur quel modèle économique et quelles technologies l'offre va reposer. La complexité du projet provient de l'absence de consensus technologique parmi les partenaires, de la taille du projet et des problèmes politiques inévitables dès lors qu'on cherche à mettre d'accord un consortium de partenaires impliquant 40 communes. Après l'enthousiasme du lancement, on a vu apparaître un désintérêt de la part des partenaires technologiques il y a cinq mois, qui semble aujourd'hui se confirmer. Les investisseurs souhaitent en effet avoir la preuve que le projet peut être mené à bien en mettant en place deux sites de tests (Palo Alto et San Carlos) mais ne veulent pas, par ailleurs, débourser un centime pour financer cette phase pilote du projet, peu convaincus de l'intérêt d'un vaste réseau. Bref, le « Silicon Valley Metro Connect » tourne en rond et a peu de chance d'aboutir si personne ne cède du terrain. (...)

(09/11/2007 18:41:07)

La nouvelle stratégie publicitaire de Facebook fait grincer des dents

L'annonce de la nouvelle plate-forme publicitaire de Facebook n'a pas manqué de susciter des réactions plus ou moins indignées, voire virulentes, de la part des internautes et des associations de défense de la vie privée. Il faut dire qu'avec son outil « complètement innovant, très puissant, et jamais vu ailleurs » (comme l'a lui-même qualifié Mark Zuckergerb, P-dg de la société), Facebook propose à ses annonceurs un accès direct vers les informations concernant ses membres, afin de les aider à mieux cibler leurs campagnes publicitaires. Facebook n'est pas le premier réseau social à avoir mis en place une plate-forme de « publicité comportementale ». Ses concurrents MySpace et Yahoo l'ont devancé de quelques semaines. Mais chez Yahoo (qui recense 12 millions de visiteurs uniques par mois), on se défend de tout amalgame entre les deux modèles : « notre stratégie publicitaire est très différente de celle de Facebook », explique ainsi Christophe Pelletier, le responsable de la communication. Une publicité comportementale à plusieurs niveaux Yahoo ne vend pas à ses annonceurs les informations concernant ses membres. Les informations qu'il récolte avec les cookies (c'est-à-dire les publicités sur lequel l'internaute a cliqué, les mots clés tapés et les pages visitées sur Yahoo) sont stockées, analysées et exploitées uniquement en interne. « Ces données servent ensuite à créer des profils, à qui nous diffusons les publicités que nous jugeons les plus pertinentes », explique encore Christophe Pelletier. Yahoo précise par ailleurs que, depuis le lancement de cette plate-forme publicitaire interactive, un bandeau rouge placé en bas de chaque page avertit les membres de la présence de ces cookies et lui propose, s'il le souhaite, de les désactiver. Chez Facebook, le principe de cookies « récolteurs d'informations » est le même. Mais à la différence de Yahoo, les partenaires annonceurs de Facebook peuvent eux-mêmes (moyennant finances) piocher à leur guise dans les informations glanées à propos des membres du site communautaire (date de naissance, lieu de résidence, loisirs, études, activités professionnels, sites visités...), afin de les exploiter. Autre différence de taille, chez Yahoo, les annonces publicitaires « ciblées » sont envoyées uniquement à l'utilisateur profilé. Chez Facebook, si l'utilisateur clique sur la bannière publicitaire, elle sera automatiquement transmise à l'ensemble de son réseau d'amis, un peu à la manière d'un virus. Une pratique à la limite de la légalité [[page]] Selon le New York Times, une loi concernant la protection de la vie privée pourrait remettre en question la nouvelle plate-forme publicitaire de Facebook. Cette loi, qui date de cent ans, stipule que tout personne « dont le nom, l'image, les informations personnelles ou la voix sont utilisés dans un but commercial sans son consentement écrit peut intenter un procès en justice pour réclamer des dommages et intérêts ». Facebook se défend évidemment contre cette accusation, arguant que cette loi est brandie dans un contexte beaucoup trop général. De son côté, Andrew Frank, analyste pour le cabinet d'études Gartner, estime pour sa part que « chaque membre est libre de déterminer les informations qu'ils souhaite rendre publiques ou pas », sous-entendu, lors de son inscription. Sauf que le système de Facebook va plus loin. Sa plate-forme (et plus particulièrement une application baptisée « Beacon ») est capable de suivre les déplacements des utilisateurs, même lorsqu'ils se rendent sur d'autres sites. Et cela, peu de membres le savent. D'après nos confrères du Point, le Center for Digital Democracy, une société qui lutte pour que la protection de la vie privée soit renforcée, aurait d'ores et déjà demandé à la Federal Trade Commission (FTC-Commission fédérale sur le commerce) d'enquêter sur les pratiques publicitaires de Facebook, mais également sur celles de MySpace. (...)

(09/11/2007 17:44:05)

Peu de monde autour du gâteau de l'anniversaire de l'union Novell-Microsoft

A l'heure du premier anniversaire de l'alliance Microsoft et Novell, les deux sociétés claironnent un bilan au-delà de leurs espérances sans parvenir à dépasser le niveau de la rhétorique habituelle des communiqués de presse. Bien sûr, il se trouve un analyste (du Gartner group) pour s'enthousiasmer sur l'accueil par les utilisateurs de l'offre combinée Suse / Windows, mais il est bien le seul. Chez Microsoft, on s'acharne à vouloir utiliser cet accord comme épouvantail. Soit les utilisateurs Linux optent pour Novell Suse, soit ils s'exposeraient aux foudres des juristes chargés de défendre les supposées propriétés intellectuelles que Microsoft menace de revendiquer sur les autres distributions Linux. La vacuité de l'argument semble ne pas avoir échappé aux utilisateurs. Microsoft n'en a trouvé qu'une trentaine à citer dans son communiqué. Toutefois, les deux sociétés ont souligné qu'elles continuaient à étendre leur collaboration technique. Les domaines au centre de leurs travaux dans leur laboratoire commun qui aura mis un an à se mettre en place sont la virtualisation, l'administration, les annuaires et la gestion des identités fondés sur les standards et la compatibilité des formats de documents. (...)

(09/11/2007 17:43:25)

L'adoption du SaaS court-circuite les DSI, selon Gartner

Les trois quarts des applications dites « SaaS », c'est-à-dire fournies comme un service sur Internet, ont été achetées par les directions opérationnelles plutôt que par les directions informatiques, a alerté Ben Pring, vice-président recherche de Gartner, à l'occasion du Symposium ITxpo 2007, organisé par le cabinet d'analyse à Cannes (4-8 novembre). Ben Pring y a exhorté les directeurs informatiques à s'impliquer dans la décision d'achat des solutions SaaS. « De toutes façons, le SaaS entre dans vos entreprises que cela vous plaise ou non », a-t-il mis en garde. Si le modèle SaaS a gagné du crédit, c'est notamment parce qu'il attaquait le traditionnel modèle client/serveur. « Il y a quelques vérités gênantes dans notre industrie », a asséné Ben Pring, en qualifiant notamment de « coupable secret du secteur informatique » le nombre important de logiciels achetés par les entreprises, mais inutilisés. Selon lui, par exemple, 65% des licences de logiciels Siebel vendues avant qu'Oracle ne rachète l'éditeur « n'ont jamais été exploitées » dans les grandes structures. Ben Pring rappelle aussi la disproportion du ratio 1/10 indiquant que pour un dollar dépensé dans l'achat des licences, les entreprises en dépensaient dix dans la mise en oeuvre de l'application. Le mode SaaS a apporté un autre choix dans ce monde de « dysfonctionnement profitable », estime l'analyste de Gartner. Et « Salesforce.com a fourni la preuve que ce concept fonctionnait ». Miser sur une plateforme pour recueillir les vrais bénéfices du SaaS Tout en rappelant les nombreux atouts du mode SaaS (la flexibilité, le coût limité aux seules fonctions que l'on utilise, l'absence de maintenance, le déploiement rapide...), il rappelle aussi que la médaille a un revers. Les licences ne constituent plus un actif et les directeurs informatiques ont moins de contrôle sur les applications. Les problématiques de sécurité et les relations avec le fournisseur de l'application peuvent aussi poser des problèmes, de même que l'intégration avec le système d'information interne qui « continuera à être très compliqué », pronostique Ben Pring. Bien que l'on en sache encore peu sur les implications à long terme du modèle SaaS, cette formule peut finalement s'avérer plus coûteuse dans le temps que le modèle traditionnel, comme peut l'être le leasing d'une voiture comparé à son achat. Mais le constat que, quoi qu'il puisse advenir, les entreprises se mettent effectivement au SaaS rend essentielle l'implication des responsables informatiques dans la décision. Leur expertise est nécessaire pour retenir une solution SaaS qui combine à la fois une interface conviviale avec une infrastructure sous-jacente « très robuste et très industrielle », juge Ben Pring. Enfin, l'analyste du Gartner pense que les décideurs doivent miser sur une plateforme SaaS plutôt que sur des applications indépendantes. L'objectif étant là de faciliter l'ajout d'applications fournies par d'autres éditeurs en engageant le minimum d'intégration. « C'est en misant sur une plateforme que l'on récoltera les véritables bénéfices du modèle SaaS », conclut-il. (...)

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