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(10/11/2011 10:00:23)
Sapphire Madrid : SAP dope BW avec HANA et ouvre SAP Store
« Chez SAP, nous avons choisi d'innover et d'accélérer la façon dont nous innovons », a rappelé Jim Hagemann Snabe, co-PDG de l'éditeur allemand, à l'ouverture de l'édition européenne de Sapphire, mardi matin, à Madrid. Pas de surprise ici, les grands axes d'innovation choisis par la société sont déjà connus des clients et des partenaires présents à la conférence : le cloud, la mobilité, le in-memory. Le dirigeant en ajoute un quatrième, évident : le coeur historique de l'offre, c'est-à-dire les solutions de gestion, sur lesquelles tout s'appuie. Pour que sa Business Suite tire parti des évolutions sans heurt, SAP a indiqué en octobre qu'il prolongeait de 5 ans, jusqu'en 2020, la maintenance de la version 7, y compris pour l'ERP 6.0 et la plateforme NetWeaver.
HANA remplace la base de données sous BW
Sur la partie in-memory, SAP a annoncé à Sapphire Madrid que la plateforme d'analyse en mémoire HANA allait pouvoir être exploitée par les utilisateurs de sa solution de datawarehouse BW en venant remplacer la base sous-jacente. Ainsi qu'il l'avait prévu, SAP commence ainsi à réviser l'approche traditionnelle de la base de données. HANA va permettre d'accélérer sensiblement les requêtes sur les données non agrégées et les temps d'extraction et de chargement dans l'entrepôt. Pour en profiter, il n'est pas nécessaire de remettre en oeuvre Business Warehouse. Il suffit de faire migrer la base de données, explique SAP. Pas besoin non plus de reformer les utilisateurs. L'offre est susceptible d'intéresser de nombreux clients, BW comptant plus de 16 000 déploiements dans le monde.
Sur la partie cloud, la suite intégrée Business ByDesign hébergée par SAP totaliserait maintenant 700 clients dans le monde, selon le PDG. Du côté des offres OnDemand pour grandes entreprises, également hébergées sur son datacenter de Walldorf, l'éditeur prépare pour l'an prochain des solutions de recrutement (Career OnDemand) et de gestion des frais de déplacement (Travel OnDemand).
SAP Store accueille des applications mobiles
SAP a par ailleurs ouvert sa boutique SAP Store, discrètement, il y a quelques jours (http://store.sap.com/public). Lors de sa mise en bêta en mars, celle-ci présentait 25 add-ons et applications pour compléter Business ByDesign, venant de SAP et de partenaires. Elle en comporte aujourd'hui soixante. Et désormais, elle propose aussi des applications mobiles que les clients peuvent évaluer avant d'acheter. Trente sont développées par SAP et, pour l'instant, et une quinzaine par des partenaires. Deux cents autres sont en préparation dans l'écosystème. « Parce que nous ne pensons que nous ne pouvons pas développer seuls tout ce dont les clients ont besoin », reconnaît Jim Hagemann Snabe. Les premières apps mobiles sont sous iOS (récupérables via l'Apple iTunes Store et une app locale), quelques-unes bientôt sur BlackBerry. SAP avance plus prudemment pour celles sous Android, en raison du procès Oracle/Google, même s'il en montrait tout de même une sur Sapphire.
L'iPad au chevet des patients hospitalisés
Dans le domaine de la mobilité, l'éditeur allemand a particulièrement mis en avant le témoignage de l'hôpital Charité, de Berlin, client pilote pour l'application SAP Electronic Medical Record. Ses développeurs se sont rapprochés des soignants pour mieux comprendre leur façon de travailler et adapter la solution sur iPad. Le dossier médical (résultats des examens et radiographies...) est consulté sur le terminal mobile, au chevet des personnes hospitalisées et les médecins peuvent affiner leur diagnostic en consultant à distance d'autres médecins. Un développement qui s'appuie sur SUP (Sybase Unwired Platform).
Selon le co-PDG, plus de 1 500 clients de SAP participeraient ainsi aux processus de conception des applications. Il est de ceux qui pensent que les utilisateurs vont amener leurs terminaux mobiles dans l'entreprise. « Nous voulons amener la mobilité à chacun et la première chose qu'il nous fallait, c'était une infrastructure sur laquelle bâtir les applications. C'est pour cela que nous avons racheté Sybase. Et je pense qu'à l'avenir, nous commencerons à concevoir les applications à partir de leur version mobile ».
Dossier Sécurité : les nouvelles menaces à la porte des entreprises
La multiplication des usages comme les terminaux personnels (smartphones et tablettes), les réseaux sociaux et les services cloud doit alerter les responsables informatiques, mais aussi les dirigeants d'entreprise sur la nécessité d'engager une nouvelle politique de sécurité pour contrer les menaces. Ces dernières se font de plus en plus persistantes et cachées. Derrière ces dangers, les organisations criminelles se professionnalisent et ont comme objectif de rentabiliser financièrement les données volées. Notre rédaction a mené une vaste enquête sur la sécurité informatique telle qu'elle se présente aujourd'hui.
Crédit photo : D.R.
Fujitsu Forum 2011 : Accompagner toutes les facettes du cloud
Rolf Schwirz, PDG de Fujitsu Technology Solutions explique dans la conférence d'ouverture du Forum 2011 à Munich, « le cloud n'est pas une rupture technologique, il s'agit d'un changement de modèle économique basé sur la délivrance de service IT ». Et le dirigeant entend bien générer du revenu sur ce modèle, d'ici à 2015, le cloud devrait représenter 30% du chiffre d'affaires global de Fujitsu (cela représente 20 milliards de dollars en se basant sur l'exercice fiscal 2010). Une fois planté le décor économique et stratégique, place aux annonces technologiques. Joseph Reger, CTO CEMEA chez Fujitsu Technology Solutions, est revenu sur les présentations du jour.
En premier lieu, Fujitsu a présenté sa boutique d'applications professionnelles, baptisée Business Solution Store. Pour Joseph Reger, « il est nécessaire de créer un écosystème applicatif sur notre offre global cloud (l'offre PaaS de Fujitsu en collaboration avec Microsoft) ». Le constructeur prévoit un millier d'applications provenant d'une centaine de partenaires, qui pourront proposer leurs produits en mode SaaS.
Le groupe se lance aussi en direct en proposant une offre CRM Open Source, qui repose sur le savoir-faire technologique de la société VTiger. « Le cloud doit modifie le régime de licence en passant au modèle de paiement à l'usage, l'offre CRM en Open Source va dans cette direction », souligne Joseph Retzger. Par contre aucun prix n'a été communiqué sur cette offre et sa disponibilité est prévue au début 2012. Par ailleurs, Juan Maria Porcar, vice-président Service Business Groupe nous a indiqué, « il est probable que nous développions d'autres applications comme celle du CRM pour montrer aux fournisseurs de services l'intérêt du cloud ».
Des offres datacenter pré-packagées
Parmi les autres annonces, Fujitsu succombe aussi aux charmes du tout-en-un. Pour faire évoluer ou consolider son datacenter, le constructeur propose DI Blocks, une offre tout-en-un comprenant serveurs (Primenergy), réseau et stockage (Eternus), mais aussi des solutions logicielles pour la virtualisation (VMware ou Microsoft) et l'orchestration des ressources, dans le cadre de la création d'un cloud privé.
Plusieurs types de configuration seront disponibles à partir de début 2012, elles débuteront avec 48 coeurs et pourront atteindre 1 700 processeurs Intel Xeon 5600, la mémoire vive pourra évoluer jusqu'à 21 To et les capacités de stockage pourront embarquer jusqu'à 900 To. Côté connectivité, les systèmes DI Blocks accueilleront des ports 10 Gb Ethernet ou du 8 Gb en FC. Aucun prix n'a été dévoilé sur les différentes configurations. Le constructeur se lance donc dans la même aventure que HP, IBM, ou l'alliance VMware, Cisco et EMC dans l'intégration des différentes stacks au sein d'un même produit.
Supercalculateur 23,2 petaflops et tablette Android
En dehors du cloud, Fujitsu a présenté le supercalculateur PrimeHPC FX10. Il est doté d'une capacité théorique de calcul de 23,2 petaflops. Il a été utilisé au sein du supercalculateur K au Japon, qui revendiquait la première place mondiale en juin dernier. Fujitsu indique que le PrimeHPC FX10 fonctionne avec le processeur Sparc64 IXfx (le japonais avait travaillé sous licence Sun bien avant le rachat par Oracle) avec 16 coeurs cadencés à 1,8 GHz, qui succède au processeur 8 coeurs Sparc64 VIIIfx. Le modèle commercialisé par Fujitsu comprend aussi une capacité de mémoire vive de 32 à 64 Go et deux liens bidirectionnels capables de travailler à 5 Gbit/s pour la liaison entre les serveurs. Chaque serveur intègre un rack qui comprend 96 serveurs. En sachant que le modèle de base comprend 4 racks, la capacité de calcul peut atteindre en version maximale à 90 Teraflops pour une capacité de mémoire de 12 To. Ce supercalculateur utilise un système de water-cooling pour optimiser le ratio performance/consommation d'énergie. Les premiers clients devraient être servis au début de l'année 2012.
Dans un autre domaine, Fujitsu a présenté en démonstration sa tablette sous Android, la Slate PC, qui supporte le VDI via Citrix receiver et est résistant à l'eau. La tablette comprend aussi un slot pour des cartes SD ainsi qu'une carte SIM. Pour l'instant, cette tablette n'existe qu'au Japon avec l'opérateur NTT DoCoMo et il n'existe pas de plan pour développer ce produit. Joseph Reger a expliqué « nous regardons quelles sont les opportunités et nous travaillons aussi sur d'autres OS comme Windows 8 qui apporte une expérience utilisateur intéressante ».
5,8 millions de hotspots WiFi dans le monde d'ici 2015
Une étude de la Wireless Broadband Alliance (WBA) révèle que le nombre de hotspots WiFi pourrait passer de 1,3 million en 2011 à 5,8 d'ici à 2015, soit une hausse de 350%. Ce nombre n'inclut de surcroît pas les points d'accès communautaires, qui permettent aux utilisateurs de partager leur propre connexion WiFi avec d'autres. Certains pays sont particulièrement à la pointe de ces projets de développement, comme la Chine. A lui seul, le fournisseur d'accès China Mobile prévoit d'y déployer un million de nouveaux hotspots.
L'étude a révélé que cette croissance se concentrera sur trois types de lieux : les espaces extérieurs avec accès étendu (les parcs) ou accès local (les attractions touristiques) et les antennes de transport (les gares, les aéroports). Il apparaît que le nombre de connexions WiFi effectuées à partir de smartphones va bientôt dépasser celui des ordinateurs portables à l'échelle mondiale. Les ordinateurs représentent aujourd'hui 48% des connexions aux hotspots, contre 36% aux smartphones et 10% aux tablettes.
Chris Bruce, le Président de la WBA évoque un "âge d'or du WiFi" dans les années à venir.
Software AG met à jour sa feuille de route pour le cloud
Dans le cadre d'une révision de sa stratégie globale pour le cloud computing, Software AG vient d'annoncer que son middleware WebMethods et son outil de modélisation de processus ARIS (voir annonce au dernier Cebit) étaient désormais certifiés pour un déploiement sur les clouds d'Amazon et VMware. « L'entreprise avait déjà fait état de ses intentions pour ces produits plus tôt cette année. Cette annonce n'est que la première étape d'une stratégie à plus long terme, » a déclaré Matt Durham, vice-président senior du développement commercial de Software AG.
Il s'agit maintenant de reconstruire complètement l'architecture des logiciels de Software AG pour le cloud. « Autant dire que c'est un travail énorme», a ajouté Matt Durham. « Cela va prendre du temps. Mais, en attendant, nous avons adopté une démarche pragmatique. » Déjà, « les clients vont pouvoir profiter de certains avantages au niveau de l'infrastructure via EC2, » a-t-il déclaré. « De plus, pour certains clients qui utilisent déjà VMware, la certification va leur apporter des garanties supplémentaires, » a-t-il ajouté. « Pour utiliser EC2, les clients devront s'abonner séparément à une offre Amazon. Mais l'achat de licences CPU doit se faire auprès de Software AG, » a encore précisé Matt Durham. « La politique de licence processeur de Software AG est alignée sur le modèle de noyau virtuel d'Amazon, » a-t-il encore déclaré. Si bien que les clients de Software AG seront en mesure de déplacer des licences CPU existantes vers Amazon, selon une porte-parole. Les entreprises peuvent utiliser Amazon pour le développement, le test et la production, mais Software AG pense que la plupart des clients s'en serviront essentiellement pour le développement et le test.
Un PaaS complet à venir
Comme l'a affirmé Matt Durham, l'objectif final de Software AG est de construire un PaaS (Platform as a Service) complet. « Certains éléments sont déjà en place, comme WebMethods, qui fait office d'application serveur Java et Terracotta qui apporte une fonction de cache in-memory, » a-t-il expliqué. « Nous avons besoin d'une couche d'accès aux données (Persistance Layer) », a-t-il ajouté. « Il existe pour cela de nombreuses options possibles et nous en considérons un certain nombre. » Le PaaS de Software AG comprendra également un environnement de développement intégré (EDI), avec « une série d'options logiques » actuellement à l'étude, a indiqué Matt Durham. Software AG a également prévu de placer une couche de collaboration au-dessus des outils existants qui « permettra aux équipes virtuelles de travailler ensemble indépendamment de leur emplacement ou des paramètres d'interaction », a expliqué l'éditeur de logiciels allemand. Les clients peuvent également s'attendre à voir une nouvelle plateforme de communication en temps réel qui s'appuiera sur les technologies de traitement des évènements de Software AG, entre autres choses, a encore précisé l'entreprise.
Aucune date n'a été fixée pour la sortie de ces produits Cloud Ready. Mais Software AG compte bien les livrer avec la prochaine mise à jour importante de WebMethods, actuellement en cours de développement. « C'est notre priorité » a déclaré Matt Durham. Dans une certaine mesure, les projets de Software AG répondent à des initiatives prises par son rival Tibco, qui a livré sa plateforme de réseautage social pour l'entreprise Tibbr et sa plate-forme Silver pour la livraison d'applications cloud. Mat Durham a reconnu que les deux entreprises « étaient en concurrence sur le même marché, » mais a refusé de faire davantage de commentaires.
(...)(09/11/2011 15:29:27)Salesforce lance Do, son application de gestion de projets
Selon Sean Whiteley, vice-président senior de Salesforce.com, « Do est très proche d'un produit grand public, probablement le plus grand public que nous n'ayons jamais élaboré. » Do repose sur les logiciels de Manymoon, une entreprise achetée par Salesforce plus tôt cette année. « Nous avons pris le produit de Manymoon, nous l'avons boosté un peu et mis en route. » L'application, qui repose sur la plateforme cloud Heroku de Salesforce, a été réécrite en HTML5 pour rendre son déploiement plus facile sur plusieurs types de terminaux. « Mais Salesforce.com a tout de même créé un client natif iOS, » a précisé Sean Whiteley.
Cependant, Salesforce ne continuera pas à investir dans Manymoon, une des applications les plus populaires du Marketplace de Google Apps. Les clients de Manymoon auront la possibilité de migrer vers Do, qui sera vendu selon les principes du « freemium », c'est à dire des versions de base disponibles gratuitement, mais avec des frais pour bénéficier de fonctions premium, » a expliqué Sean Whiteley. « Cela pourra concerner par exemple de meilleures fonctionnalités pour l'administration centrale, » a-t-il dit. Les concepts de base de Manymoon semblent avoir été repris tels quels au sein de Do, qui est organisé autour de listes de tâches, et donne aux utilisateurs les moyens de collaborer sur des tâches avec les autres. Il dispose de l'intégration avec Gmail et les Google Apps et du partage de fichiers avec Dropbox. Les utilisateurs de Salesforce peuvent également démarrer des projets depuis cette application.
Une interface modifiable
Les utilisateurs peuvent modifier l'interface de Do pour l'adapter à leurs habitudes de travail. Par exemple, les projets peuvent être regroupés par jour, ou dans des catégories plus larges avec une hiérarchisation par priorité. L'application peut être utilisée pour des projets personnels ou des projets professionnels. Par exemple, les personnes qui veulent suivre un projet domestique, comme des travaux, peuvent attribuer une tâche à l'achat de matériaux et une autre au calendrier à suivre avec les entrepreneurs. Do sera disponible sur des sites comme Google Apps Marketplace, l'App Store d'Apple, AppExchange de Salesforce.com, Chrome Web Store et LinkedIn Applications.
« Si Do partage certaines fonctions générales avec Chatter, le logiciel de collaboration social de Salesforce.com, il existe toutefois certaines différences importantes, » a fait remarquer Sean Whiteley. « Le premier fonctionne mieux avec des groupes d'une douzaine de personnes au maximum, tandis que Chatter est adapté pour interagir avec des milliers de contacts, » a-t-il expliqué. Cela dit, Salesforce.com est en train de mettre une touche finale pour créer une forte intégration entre les deux produits, comme l'a indiqué M.Whiteley.
Avec Do, Salesforce espère récupérer les utilisateurs de solutions de gestion de projets comme Basecamp par exemple, qui compte 5 millions de clients. La différence entre les deux, c'est que Do.com est « moderne et up-to-date, » a fait valoir Sean Whiteley. « L'application est aussi plus facile à utiliser par n'importe qui, pas seulement par les gestionnaires de projets, » a-t-il renchéri.
(...)(09/11/2011 14:43:11)La CNIL va labelliser des offres de services
Lors de la création de la CNIL (Commission Nationale Informatique et Liberté), l'un des principes de base était que cette autorité n'accordait son imprimatur qu'à des implémentations précises de traitements de données personnelles et jamais à des mécanismes ou des technologies. Les réformes se sont cependant succédées et, depuis 2009, la CNIL peut théoriquement décerner des labels à des offres en amont de leur usage.
Les deux premiers référentiels permettant d'accorder un tel label viennent d'être définis par la CNIL. Ils concernent encore des offres de services et pas des technologies puisqu'il s'agit des procédures d'audit de conformité de traitements et des formations.
Une offre obtenant le label de la CNIL bénéficie ainsi d'un certificat de qualité et l'autorité administrative indépendante garantit sa conformité à la loi. Le référentiel est là pour garantir cette qualité et cette conformité selon une procédure stricte et des critères objectifs. Tout organisme proposant des offres pouvant répondre à l'un des deux référentiels peut d'ores et déjà déposer un dossier à la CNIL ou y demander le contenu du dit référentiel pour se préparer à être en conformité.
Mais, pour l'heure, aucune technologie ou logiciel ne peut se prévaloir d'un tel label, faute d'un référentiel adapté. En admettant qu'il y en ait un un jour.
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