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(17/09/2007 17:35:09)
Coda développe une offre de gestion sur Force.com
Le Britannique Coda va développer une solution comptable qu'il proposera comme un service en ligne. Ce qui fait la particularité de cette annonce, c'est le choix de la plateforme de développement Force.com de Salesforce pour la conception de ce logiciel, baptisé Coda 2go. Une plateforme que Salesforce vient tout juste de présenter à sa conférence Dreamforce (San Francisco, 16-19 septembre). Coda fait donc partie des premiers éditeurs à se lancer dans le développement d'applications construites nativement sur Force.com. Elargissant sa cible traditionnelle constituée des moyennes et grandes entreprises (2 600 clients dans le monde), le logiciel Coda 2go répondra cette fois aux « besoins financiers de tous types d'organisations », des petites structures de 10 salariés jusqu'aux groupes comptant des dizaines de milliers de collaborateurs. Cette offre « à la demande » sera commercialisée par domaines fonctionnels dans le courant de l'année 2008. La première livraison concernera la gestion commerciale, couvrant le processus allant de la commande client jusqu'à l'encaissement. Viendront ensuite le suivi des achats, puis l'ensemble de la gestion comptable et financière. L'éditeur précise que l'offre reprendra les éléments phares de ses produits traditionnels, notamment « le grand livre unifié ». Cette annonce conjointe de Coda et Salesforce d'une future solution de gestion en ligne intervient deux petits jours avant la présentation attendue de l'offre « à la demande » de SAP, en cours de développement depuis plusieurs mois. (...)
(17/09/2007 17:27:17)L'Esiea et Sopra Group montent une chaire d'entreprise SOA
Pour former ses étudiants aux architectures des systèmes d'information orientées services (SOA), l'Esiea (Ecole supérieure d'informatique électronique automatique) s'est associée à la société de conseil et de services Sopra Group pour monter une chaire d'entreprise. S'adressant aux étudiants de cinquième année, cette chaire permettra aux futurs ingénieurs de connaître les techniques liées à la problématique des SOA, en particulier dans le monde des services financiers et de la banque. Des interventions d'experts de Sopra Group viendront compléter les réflexions pédagogiques délivrées par l'école d'ingénieurs Ainsi, les étudiants en dernière année de cursus pourront se préparer à intégrer des équipes projets au sein de SSII, au terme de leur formation. (...)
(17/09/2007 17:15:59)L'UE confirme la condamnation de Microsoft (mise à jour)
Le couperet est tombé. Après trois années riches en rebondissements, la justice européenne a rendu son verdict dans le cadre du procès antitrust qui l'oppose à Microsoft. La Cour a bien confirmé en appel, à une exception près, la décision prise par la Commission européenne en 2004 : l'éditeur de Redmond est condamné pour abus de position dominante en Europe et versera les quelque 497 M€ d'amende prévus. Le Tribunal européen (Court of First Instance), basé à Luxembourg, a ainsi validé les deux points clés ordonnés par la Commission. Primo - et c'est une question qui selon le communiqué de l'UE n'implique aucune interprétation -, la Cour donne raison à la Commission dans le dossier sur l'interopérabilité. « La Cour confirme que le degré d'interopérabilité nécessaire requis par la Commission est bien fondé et qu'il n'y a pas l'illogisme entre ce degré d'interopérabilité et les mesures prises par la Commission », indique le communiqué de l'UE. Ce point de litige avait été parsemé de rebondissements. Dans son verdict de 2004, la Commission avait imposé à Microsoft de dévoiler et de partager avec les autres éditeurs et constructeurs les informations techniques (comme les protocoles) de façon à améliorer l'interopérabilité entre les systèmes extérieurs à Windows. Microsoft avait freiné des quatre fers pour prendre en compte cette mesure, suscitant à maintes reprises l'ire de la commissaire en charge du procès, Neelie Kroes (voir notre dossier), laquelle estimait abusif le refus de se soumettre aux contraintes imposées par Bruxelles. Aujourd'hui, la Cour de justice « rejette l'argument de Microsoft qui expliquait que le degré d'interopérabilité demandé par la Commission vise en réalité à permettre aux concurrents du marché des serveurs de fonctionner comme Windows et ainsi, de leur permettre de cloner ou reproduire ses produits ». En revanche, toujours dans le chapitre interopérabilité, la Cour a rejeté la décision de la Commission de désigner un mandataire indépendant, estimant notamment que le corps executif européen n'a pas le pouvoir d'imposer à Microsoft la présence d'un mandataire (monitoring trustee) et de lui en répercuter, en partie, les coûts. Media Player et vente liée Deuxième point confirmé par la Cour de justice, l'intégration par défaut de Windows Media Player à Windows. La Cour valide le fait que cette vente liée induit des liens abusifs entre l'OS et l'application qu'elle considère comme indépendante. Elle estime également que « cette pratique a permis à Microsoft d'obtenir un avantage sans pareil quant à la distribution de son produit et d'assurer l'omniprésence de Windows Media Player sur les PC clients à travers le monde, dissuadant ainsi les utilisateurs d'user les media players tiers, et les revendeurs OEM de pré-installer ces mêmes outils sur [leurs] PC ». La Cour du Luxembourg, enfin, précise dans un dernier point que Microsoft sera également tenu de commercialiser une version de Windows dépourvue de Media Player. « Il est clair que Microsoft conserve le droit de continuer à offrir une version de Windows avec le Media Player et qu'il est seulement demandé de rendre disponible un OS sans Media Player, une mesure qui n'implique pas [d'imposer] des modifications aux pratiques techniques actuelles de Microsoft mais seulement le développement de cette version [appauvrie] de Windows. » Dans une téléconférence, Brad Smith, l'avocat principal de Microsoft, a déclaré être très attentif à la décision de la Cour de justice, et dit qu'il appréciait notamment le point relatif au mandataire. Tout en soulignant les efforts que Microsoft a réalisés depuis les début du procès et des débats constructifs tenus avec la Commission en un an, Brad Smith ouvre la porte : « Nous allons étudier attentivement cette décision et s'il y a d'autres exigences auxquelles nous pouvons nous conformer, nous le ferons. » Aucun mot en revanche sur une éventuelle poursuite de la procédure devant une autre instance européenne. Une énième étape dans la procédure ? Cette confirmation en appel peut, en effet, n'être qu'une étape dans la longue procédure juridique. Microsoft pourrait se tourner vers la Cour de Justice des Communautés européennes, dans les deux mois à partir de la notification du premier appel, pour interjeter un nouvel appel dans l'hypothétique espoir de faire flancher le tout puissant exécutif européen. (...)
(17/09/2007 16:50:28)Créez votre SSII virtuelle en quelques clics
Vous rêviez de lancer votre société de services informatiques, sans savoir comment ? C'est désormais réalisable en vous connectant sur www.ssii-lejeu.com. Au menu : réponses aux appels d'offres, contrats d'embauche, négociations salariales, requêtes auprès d'un chasseur de tête ou encore cotation virtuelle en bourse. En bref, vous vous retrouvez à la tête d'une entreprise de services informatiques, avec toutes ses problématiques. Plus de 9600 SSII « virtuelles » sont actuellement inscrites sur le site. La simulation est gratuite et un forum est là pour guider les premiers pas des nouvelles « cyber-SSII ». L'objectif : réaliser le plus gros chiffre d'affaires, afficher la meilleure marge, mais aussi trouver de nouvelles idées et s'amuser avec un emploi d' « informaticien virtuel ». (...)
(17/09/2007 16:13:53)SCO se met sous la protection de la loi américaine sur les faillites
SCO se met sous la protection du Chapitre XI de la loi américaine sur les faillites. Cette mesure conservatoire vis-à-vis des créanciers intervient après que SCO a été débouté par la justice américaine dans le procès qu'il avait intenté à Novell. SCO, qui fut un temps une société phare du monde Unix sur plateforme x86, pâtit directement du succès de Linux. SCO poursuit Novell et IBM, deux sociétés parmi les principaux donateurs de code source à la communauté libre. En France, Marc Puteaux, directeur général d'une filiale française "profitable depuis 15 ans", se montre serein. Selon lui, le réseau de distribution français, fort de 400 revendeurs actifs, continue d'alimenter des marchés verticaux avec des solutions intégrées. Parmi les secteurs les plus dynamiques, Marc Puteaux insiste sur ceux des pharmacies, des laboratoires d'analyse et de la grande distribution. (...)
(17/09/2007 16:04:41)La virtualisation se heurte à la dure réalité du stockage
Aujourd'hui, la virtualisation des serveurs s'arrête au niveau des entrées/sorties réseau. Demain, VMWare promet de supporter n-Port I/O virtualization, alias NPIV. Mais NPIV ne sera pas supporté par VMWare avant la prochaine version de Virtual Infrastructure. D'ici là, toutes les machines virtuelles installées sur un même serveur physique doivent partager la même adresse et le même HBA (Host Bus Adaptor). Emulex clame le plus fort qu'il supporte déjà NPIV, mais Q-Logic, son habituel concurrent, n'est pas en reste. De plus, il existe d'ores et déjà une alternative aux futurs produits d'Emulex et Q-Logic qui ont la douloureuse habitude de pratiquer des tarifs prohibitifs. Chez Xsigo et 3 Leaf Systems, on trouve des boîtiers, comparables à des commutateurs, qui prennent en charge la virtualisation du stockage. Ce sont ces boîtiers qui se chargent de la virtualisation des éléments de stockage. Ils assurent le mappage entre les serveurs et les différents équipements de stockage. (...)
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