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(13/09/2007 18:23:25)

Unilog : Patrick Guimbal va remplacer Didier Herrmann

Dans un e-mail envoyé aux salariés d'Unilog, Jim McKenna, le directeur général et futur PDG de LogicaCMG (qui a absorbé la SSII française en 2006), annonce le nom du successeur de Didier Herrmann, le patron des activités françaises, allemandes et suisses en conflit avec le groupe depuis fin juillet. Ce sera Patrick Guimbal, actuel membre du comité exécutif du groupe et directeur des activités de conseil en management, qui prendra la relève. « Patrick Guimbal aura la responsabilité de l'ensemble de la France, coordonnant, en tant que représentant officiel, toutes les décisions relatives à l'activité française », écrit Jim McKenna. La prise de fonction de Patrick Guimbal reste suspendue au vote d'une assemblée générale des actionnaires d'Unilog, qui se tiendra le 8 octobre prochain. La fin de la marque Unilog Contraint en juillet dernier à démissionner de son poste au conseil d'administration du groupe, Didier Herrmann avait refusé de se démettre de ses fonctions opérationnelles. La direction de LogicaCMG avait alors demandé au conseil de surveillance d'Unilog la convocation en urgence d'une assemblée générale, afin de demander le départ du Français, convocation que ledit conseil avait dans un premier temps refusée. Mardi, ce dernier s'est finalement décidé à provoquer la tenue de cette assemblée. Une issue qui paraissait inéluctable, LogicaCMG ayant entamé une action au tribunal de commerce pour parvenir à ses fins. Pour nombre de salariés, le départ de celui qui fut présenté au moment du rachat comme le garant des valeurs Unilog signe la disparition de la culture qui avait fait la réussite de cette SSII. Fin août, l'intersyndicale adressait ainsi une lettre aux salariés et à la presse s'inquiétant du départ du dirigeant français, pourtant crédité de résultats positifs au premier semestre 2007. Selon nos informations, LogicaCMG s'apprête dès la fin de l'année à faire disparaître la marque Unilog. Depuis le rachat, la société évolue sous l'appellation : « Unilog a LogicaCMG Company ». (...)

(13/09/2007 18:06:43)

Microsoft publie la R2 de Biztalk Server 2006

La Release 2 de Biztalk Server 2006, serveur de règles métier de Microsoft, est officiellement disponible. Cette R2, sixième version de Biztalk depuis son lancement en 2000, comporte des améliorations conséquentes. Elle intègre, en particulier, le support en natif des outils RFID. Microsoft promet la reconnaissance plug & play de tous les périphériques de collecte d'ondes RFID ainsi que de ceux de lecture de code barre (EPC). Un nouveau module EDI, entièrement réécrit, supporte le protocole AS2. AS2 permet des échanges EDI via HTTP ou HTTPS plutôt que via de coûteux réseaux propriétaires. Les "accélérateurs verticaux" tels Swift pour le monde bancaire, ou RosettaNet pour l'industrie, sont désormais intégrés à Biztalk sans augmentation du prix. Enfin, la réécriture du code en .Net 3 permet, selon l'éditeur, d'atteindre un niveau d'abstraction tel qu'il découple les services de la plateforme. Microsoft en profite pour commercialiser séparément des Adapter Pack pour SAP, Siebel et Oracle. Vendus six fois moins cher que Biztalk Server, ils permettent de partager des informations entre ces environnements et les outils Microsoft (SharePoint, SQL...). (...)

(13/09/2007 17:32:18)

Virtualisation rime aussi avec complexification

Si la virtualisation recèle d'importants gisements d'amélioration de l'utilisation des ressources système, elle promet aussi d'être la source d'un net accroissement des difficultés à gérer les centres systèmes. Elle cristallise même autour de son nom le manque d'outils d'administration des centres systèmes. C'est le message principal recueilli par le cabinet Lighthouse pour le compte de Novell auprès de 441 centres systèmes d'entreprises américaines de plus de 500 salariés dont le chiffre d'affaires va de 10 M$ à plus de 100 M$ (26% dans ce cas). Pour l'ensemble de la population sondée, la virtualisation déboule en force. 45% des data centers ont déjà un pied dedans et plus de la moitié de ceux qui n'ont pas encore sauté le pas déclarent qu'ils ne vont pas tarder à le faire. Pour 65% des sondés, la virtualisation vise à optimiser la consommation électrique et l'espace qu'occupent leurs serveurs. Cette technologie rime donc avec des préoccupations de l'ordre du développement durable. Le hic, c'est que ces projets de virtualisation s'inscrivent dans un paysage technique où les logiciels d'administration font cruellement défaut. 61% des responsables interrogés déclarent qu'ils ne suivent pas l'utilisation des ressources systèmes ou qu'ils le font manuellement. Du coup, 79% sont impuissants à suivre l'évolution de la charge des systèmes ou s'essayent à la répartir manuellement. D'ailleurs, 25% des responsables de centres de calcul où sont déjà installées des solutions de virtualisation ne sont pas satisfaits de leur efficacité. Au cours des deux ans à venir, près des deux tiers des sites (72%) interrogés prévoient d'implanter des outils pour l'automatisation du déploiement de mises à jour et des rustines. 75% prévoient aussi d'installer des outils de monitoring de leurs serveurs capables d'en assurer les réglages automatiquement. (...)

(13/09/2007 17:32:56)

Le fossé entre Linus Torvalds et Richard Stallman s'agrandit

Interrogés sur les même sujets par nos confrères de Computerworld au Brésil, Linus Torvalds, père du noyau Linux, et Richard Stallman, initiateur du projet GNU, semblent définitivement irréconciliables. Questionné sur la version 3 de la licence GPL, officiellement lancée début juillet, Linus Torvalds explique que pour lui, la version 2 « est une licence supérieure », et qu'il ne voit pas le noyau changer de licence. « Mais d'autres personnes ont leur propre opinion, ajoute-t-il, et d'autres projets utiliseront la GPLv3. » Pour lui, tout cela n'a finalement guère d'importance : « Nous avons quelque chose comme 50 licences Open Source, et en fin de compte, la GPL est juste une licence de plus. » Une telle attitude fait bondir le fondateur de la Free Software Foundation. « Le fait que Torvalds dise 'Open Source' plutôt que 'logiciel libre' montre d'où il vient. J'ai écrit la GNU GPL pour défendre la liberté pour tous les utilisateurs de toutes les versions d'un programme. J'ai développé la version 3 pour mieux y parvenir et se protéger contre de nouvelles menaces. Torvalds dit qu'il rejette cet objectif ; c'est probablement pourquoi il n'apprécie par la GPL version 3. Je respecte son droit à exprimer son point de vue, même si je le trouve pas très malin. Cependant, si vous ne voulez pas perdre votre liberté, vous feriez mieux de ne pas le suivre. » Etre anti-Microsoft ou ne pas être... Même la question sur Microsoft, qui prétend que l'Open Source viole 235 de ses brevets, montre des divergences claires. Richard Stallman dénonce ainsi jusqu'à l'utilisation de l'expression « propriété intellectuelle », comme un moyen « de propagande », destiné à « vous décourager de vous focaliser sur la loi spécifique, la loi sur les brevets, qu'ils ont tenté d'utiliser pour interdire le logiciel libre ». De son côté, Linus Torvalds critique la façon de jouer de Microsoft mais pas l'éditeur en lui-même. Pour lui, Microsoft essaie d'alimenter le FUD (fear, uncertainty and doubt, c'est-à-dire peur, incertitude et doute). « Microsoft a du mal à être compétitif sur le plan technique, ils ont traditionnellement joué plutôt sur les prix, mais visiblement cela ne fonctionne pas non plus, pas contre l'Open Source. Donc ils continueront de ficeler des packages et de vivre sur l'inertie du marché, mais ils veulent alimenter cette inertie avec le FUD. » En revanche, Linus Torvalds ne se sent absolument pas investi d'une mission anti-Microsoft. « Je fais ce que je fais parce que je pense que c'est intéressant et que cela en vaut la peine, et pas à cause de problèmes anti-Microsoft. Je n'ai utilisé que peu de produits Microsoft jusqu'à présent, mais je n'ai jamais eu d'antipathie forte à leur égard. Microsoft ne m'intéresse tout simplement pas. » Et d'ajouter que l'Open Source dans son ensemble n'est pas un mouvement anti-Microsoft non plus. Pour lui, l'Open Source finira par l'emporter tout naturellement, car il s'agit juste « d'une façon de faire les choses supérieure aux autres ». (...)

(13/09/2007 17:24:34)

14 000 visiteurs à la Convention E-Commerce Paris

Hier, à l'issue de sa deuxième journée, la 4e Convention E-Commerce Paris (Porte Maillot, 11-13 septembre) avait déjà accueilli 9 000 personnes. Pour Alain Laidet, commissaire général de cette manifestation consacrée au commerce électronique et à l'e-marketing, l'édition 2007 devrait se clore sur 14 000 visiteurs, à comparer aux 6 000 de l'an dernier. Joli score pour une convention qui a démarré en 2004 avec quatre intervenants, au nombre desquels PowerBoutique et Morin Logistic, toujours présents aujourd'hui. Cette année, entre exposants et conférenciers, ce sont près de 300 acteurs des sites marchands (éditeurs, hébergeurs, agences de création de sites, mais aussi logisticiens et institutionnels) qui ont fait place à la centaine d'exposants de 2006. Au menu des 150 conférences, dont certaines affichaient complet avant même l'ouverture, la création de boutiques en ligne, bien sûr, mais aussi les liens sponsorisés, le référencement, les comparateurs de prix, le paiement sécurisé, le e-commerce sectoriel, la mesure d'audience ou encore l'affiliation. Vidéo en ligne et commerce international Aux responsables marketing et commerciaux des grands groupes, la convention a réservé des ateliers à la mesure des chantiers qu'ils doivent affronter : la vidéo en ligne pour le lancement des produits, les outils d'analyse des flux de e-marketing et l'externalisation de la logistique. Interrogé sur le profil des visiteurs, Alain Laidet constate que « tout le CAC 40 est là », tout en soulignant aussi la présence de nombreuses PME et l'affluence, cette année, des « micros marchands » (entre 15 et 20% des personnes sillonnant les allées), l'une des grandes tendances du crû 2007. Des micros-marchands, encouragés par les possibilités de vente entre particuliers offertes par les eBay, PriceMinister, Alapage, Amazon, 2xmoinscher, etc. Et Alain Laidet de rappeler les 6,5 millions de membres de PriceMinister et les 10 000 ventes enregistrées chaque jour par le site. Relayant le témoignage des exposants, le commissaire du salon cite aussi de nombreux projets de commerce électronique dans l'habillement et, surtout, un intérêt croissant pour l'exportation en ligne. Alain Laidet rappelle que plusieurs projets de plateforme de dématérialisation administrative sont en cours dans ce domaine (la plateforme eComExt et le projet de Pari-eCI.net, notamment). Un thème justement abordé lors de la conférence plénière de clôture (complète), qui porte sur le commerce international. (...)

(13/09/2007 17:07:03)

Symantec/Altiris : retour sur une fusion tranquille

Annoncée en janvier dernier, l'intégration d'Altiris dans Symantec s'est concrétisée en avril en faisant d'Altiris l'une des quatre divisions du groupe. Sans déchirement, cette décision a été bien accueillie par les clients. « Ils comprennent que l'administration et la sécurité doivent aller ensemble et constatent : "Désormais nous pouvons avoir plus de produits" », explique Ed Reilly, vice président en charge des ventes EMEA chez Symantec. Et pourtant, cette fusion a apporté du changement dans les gammes des deux sociétés. Ainsi, chez Symantec, l'application LiveState Discovery, et chez Altiris, les logiciels CarbonCoby et Recovery, ne figureront plus au catalogue. Leurs utilisateurs actuels bénéficieront d'une maintenance de deux ans avant de devoir migrer respectivement vers Altiris Client Management Suite, pcAnywhere et Symantec BackUp Exec. Ce dernier produit intégrera entièrement les fonctions d'Altiris Recovery for client and server, avant de faire partie de la future plateforme d'administration Altiris 7.0 attendue pour le second trimestre 2008. De la même façon, les produits Ghost de Symantec seront utilisés comme outils pour la création d'images disques dans Altiris Deployement Products. « Mais il restera toujours une gamme Ghost indépendante développée en parallèle et identique à celle intégrée à Altiris Deployement Solutions », assure Eric Beaurepaire, responsable marketing pour l'Europe du Sud de Symantec. En attendant Altiris 7.0, la mise à jour Altiris 6.8 intégrera directement Symantec BackUp Exec et un nouvel outil appelé Altiris Privilege Management Essentials, qui gère les droits d'accès aux applications et les mots de passe pendant le déploiement pour limiter les pertes de productivité. Et pour l'avenir ? Altiris pourrait profiter du savoir-faire de Symantec pour faire ses premiers pas dans le grand public avec des outils de déploiement pour particuliers (pour passer d'un vieux PC à un ordinateur plus récent). Toutefois, les premiers produits ne devraient pas voir le jour avant septembre 2008 au plus tôt. (...)

(13/09/2007 16:21:06)

EDS propose à 12 000 salariés de partir en préretraite

La société de services EDS (Electronic Data Systems) vient de proposer à 12 000 de ses salariés américains de partir en préretraite, soit près du quart de ses effectifs aux Etats-Unis, rapporte l'agence de presse Reuters. Cette restructuration devrait occasionner une charge de 70 à 130 M$. La SSII, qui emploie 136 000 personnes dans le monde, dont 50 000 aux Etats Unis, avait déjà supprimé 5 000 postes l'an dernier. Les salariés qui accepteront un départ en retraite anticipé pourront notamment toucher une indemnité représentant cinq fois le montant annuel crédité sur leur plan de retraite entreprise. «Cette annonce constitue l'une des dispositions du plan de transformation que suit actuellement EDS pour se restructurer et améliorer sa compétitivité. », a justifié un porte-parole. (...)

(13/09/2007 16:14:23)

VMWorld 2007 : VMWare ouvre à l'Open Source ses outils de gestion de machines virtuelles

Clin d'oeil de VMWare à la communauté Open Source. La filiale Virtualisation d'EMC a profité de VMWorld 2007 pour annoncer la mise à disposition en Open Source de la majorité des composants de VMWare Tools. Ces derniers sont un jeu de composants pour systèmes « host », permettant d'améliorer les performances et la gestion des machines virtuelles VMWare. Réunis sous la bannière Open Virtual Machine Tools, les modules Open Source devraient, primo, permettre à VMWare de se rapprocher de la communauté Open Source, et secundo, mieux interopérer avec les distributions Linux. Red Hat, Novell et Ubuntu travaillent déjà à intégrer les Open Virtual Machine Tools à leur distribution respective. Notons au passage que le récent rachat de XenSource par Citrix en août dernier avait semé la confusion dans le monde Open Source. Les développeurs de la communauté s'interrogeant sur l'avenir du moteur Xen, désormais placé entre les mains d'un éditeur propriétaire. On comprend l'enjeu que peut représenter l'Open Source pour le n°1 de la virtualisation. (...)

(13/09/2007 16:11:28)

Bruxelles révise l'utilisation du financement en R&D

La Commission européenne cherche à améliorer l'utilisation des sources de financement dédiées à la recherche et l'innovation. Elle a donc décidé de lancer plusieurs actions qui devraient conduire à une meilleure utilisation des financements européens en R&D : un guide pratique sera publié avant la fin de l'année pour aider les instituts de recherche et les entreprises à déterminer la source de financement la plus appropriée dans leur cas. La Commission invite également les acteurs de la recherche, de l'innovation et du développement régional à se réunir régulièrement pour partager des idées, échanger les meilleures pratiques, et obtenir du soutien et des conseils. Au niveau européen, la Commission veille à ce que, malgré les différences d'approche (portée géographique ou portée thématique ; financement par appels d'offres européens ou sélection à l'échelon national et régional), les programmes puissent être utilisés pour réaliser le même objectif de croissance et de création d'emplois. La première mesure qui facilitera cette interaction porte sur l'harmonisation des périodes couvertes par les différents programmes (2007-2013). (...)

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