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(13/08/2007 16:13:16)
Virtualisation : XenSource veut rattraper l'offre de VMware
Avec la version 4 de son logiciel de virtualisation tout juste livrée, XenSource apporte des fonctionnalités qui lui permettent de mieux rivaliser avec l'offre de VMware, filiale d'EMC et chef de file incontesté des solutions de virtualisation de serveurs. Pour un prix moindre. La licence pour XenEnterprise v.4 revient à 2 499 dollars auxquels s'ajoutent 500 dollars par mois pour le support technique (incluant les mises à jour). Alors que la version comparable chez VMware, Virtual Infrastructure 3, revient à 5 750 dollars par licence pour un serveur bi-processeur avec un support mensuel de 1 200 dollars. Néanmoins, le prix n'est pas le premier critère de ce type de solutions. Les entreprises qui décident d'acquérir un hyperviseur de machines virtuelles pour leur centre de données privilégient la performance, la haute disponibilité et les fonction d'équilibrage de charge, rappelle John Humphreys, analyste senior pour IDC. Toutefois, si XenSource, acteur de l'Open Source, prouve que son hyperviseur est à la fois fiable, stable, efficace et moins cher, il peut gagner des parts de marché. Provisionnage groupé et transfert d'applications L'hyperviseur 64-bit XenEnterprise peut héberger jusqu'à huit serveurs virtuels sur un serveur physique. Dans sa version 4, l'outil XenResourcePools permet de provisionner de façon groupée les ressources des serveurs et des systèmes de stockage. Cette version dispose aussi d'une nouvelle interface d'administration. Autre nouveauté, Xen Motion permet de transférer une application d'un serveur vers un autre en cours d'exploitation. L'offre de VMware dispose depuis mai dernier d'une fonctionnalité similaire, VMotion. Enfin, Chris Wolf, analyste chez Burton Group, estime que XenSource a réussi un bon coup en s'associant à Symantec afin d'inclure dans XenEnterprise 4 le logiciel Veritas Storage Foundation pour gérer les sauvegardes et les restaurations. Symantec apporte ainsi son support pour ces fonctions dans le cadre de sa plateforme Net Backup. (...)
(13/08/2007 16:08:58)Le fondateur de Systinet quitte HP pour fonder une start-up Web 2.0
Le serial entrepreneur tchèque Roman Stanek a de nouveau frappé. Le fondateur de Netbeans (outils de développement, acquis par Sun) et de Systinet (outils de gestion des services Web, acquis par Mercury, lui-même gobé par HP) a créé au début du mois la start-up Good Data. Dont on ne sait pas encore grand-chose hormis que son fondateur l'estampille comme une entreprise Web 2.0... bien que son nom contienne trop de voyelles, explique-t-il avec humour sur son blog. HP perd ainsi l'architecte en chef de son référentiel, élément au coeur de sa stratégie d'infrastructure logicielle pour les architectures orientées services (SOA). Radovan Janecek, ami et ex-collègue de Roman Stanek, venait justement de répondre sur son propre blog à une mise en doute de la capacité de HP à mettre sa stratégie à exécution : « Bien que je reconnaisse que HP ne soit pas connu comme le meilleur fournisseur de logiciels, je crois que cela est en train de changer depuis l'acquisition par Mercury. Donnez-nous encore quelques mois, nous y travaillons ! » (...)
(13/08/2007 12:43:08)Microsoft perd un point dans sa quête du standard ISO pour Open XML
Nouveau revers pour Microsoft dans la quête qu'il mène pour que son format de document Open XML (celui de sa suite bureautique Office 2007) soit accepté comme un standard ISO, à l'instar d'ODF (Open Document Format), format soutenu par IBM et Sun standardisé ISO depuis 2005. Il a en effet manqué une voix à l'éditeur, jeudi dernier, au sein du comité exécutif de l'INCITS (International committee for information technology standard), l'un des organismes qui recommandent, pour les Etats-Unis, quelles technologies peuvent recevoir la norme ISO. Parmi les votants, IBM et Oracle ont, sans surprise, voté non. Sur la même ligne, on trouve Lexmark, le département américain de la Défense, NIST (National Institute of Standards and Technology), GS1 US et Farance. L'IEEE a préféré s'abstenir. Apple, EMC, HP, Intel, Sony, Electronic Industries Alliance, le département de la sécurité intérieure ont de leur côté donné leur approbation pour recommander Open XML à la normalisation ISO. De même que Microsoft, bien sûr. Soit, au total, huit voix "pour", sept voix "contre" et une abstention. Pas de majorité, donc, pour soutenir Open XML. L'INCITS a jusqu'au 2 septembre pour décider s'il supportera Open XML au sein du JTC-1 (Joint Technical Committee 1), le comité technique qui établit pour l'ISO les standards relatifs aux technologies de l'information. Mais, à moins d'un revirement, les choses semblent mal engagées pour Microsoft de ce côté. Rappelons qu'Open XML a déjà été standardisé par l'ECMA. (...)
(13/08/2007 11:32:49)Les clients payants prioritaires pour l'édition Entreprise de MySQL
L'édition Entreprise de la base de données MySQL va rester sous licence GPL mais ne sera plus aussi facilement accessible. Le fichier binaire à installer directement sera réservé aux clients payants de MySQL, qui auront souscrit à une offre de support. Comme l'indiquent les dirigeants de MySQL, le logiciel restera librement accessible sur le site comme l'exige la licence, mais, de fait, cela demandera plus de temps et d'efforts pour l'installer. L'annonce est déjà reprise et critiquée sur les blogs, parfois avec virulence. On reproche surtout à MySQL de respecter la lettre de la licence GPL et non son esprit. Le fondateur du club utilisateur britannique Andrew Poodle cherche de son côté à calmer les esprits : « [Les gens de] MySQL ne ferment pas le code [...], ils séparent simplement leur côté commercial de leur côté communautaire. » Il est aussi reproché à MySQL, qui introduit ses nouvelles fonctionnalités en premier dans l'édition Community de son produit, de s'en servir comme outil de test pour ne pas déstabiliser l'édition Enterprise. Du coup, MySQL a décidé de changer cela aussi : les nouveautés seront testées dans des versions alpha et bêta de la MySQL Community Edition avant de rejoindre la version stable de la base de données. Enfin, à ceux qui craignent que cela ne préfigure un changement vers une licence non Open Source, Kaj Arno, vice-président responsable des relations avec la communauté, répond que le seul changement envisagé concerne un éventuel passage de la GPL v2 à la GPL v3. (...)
(13/08/2007 09:33:36)SCO perd en justice contre Novell sur le copyright d'Unix
L'éditeur le plus honni de toute la communauté Open Source, SCO, vient de perdre sa bataille judiciaire la plus importante. Une cour de l'Utah a tranché en faveur de Novell : c'est ce dernier qui détient le copyright sur Unix et UnixWare. SCO accusait notamment Novell de violation de copyright pour avoir versé du code source Unix lui appartenant à Linux. Or non seulement le jugement reconnaît que Novell était dans son droit, mais il indique en outre que SCO devra verser à Novell une partie de ses revenus provenant de ses accords de licence passés avec Sun et Microsoft. La somme sera déterminée ultérieurement. SCO avait estomaqué les partisans de Linux en attaquant début 2003 IBM en justice pour vol de secrets industriels et concurrence déloyale, en expliquant qu'IBM s'était servi de leurs travaux communs pour nourrir Linux. D'autant qu'à l'origine, SCO était lui-même éditeur d'une distribution Linux, Caldera. La société Caldera a en effet racheté à Santa Cruz Operation en 2001 sa division systèmes et serveurs, le SCO originel se concentrant sur son logiciel de travail à distance, et adoptant même son nom, Tarantella. Caldera s'est renommé SCO l'année suivante, mais ses ventes de systèmes Unix n'ont pas décollé. L'éditeur a alors créé une filiale, SCOsource, chargée de générer du chiffre d'affaire en exploitant son portefeuille de brevets, dont ceux issus du rachat de USL (Unix System Labs, les labos d'AT&T) à Novell. SCOsource avait alors menacé les entreprises utilisant Linux de poursuites, et proposé de lui acheter des licences pour se prémunir. Beaucoup d'éditeurs et de constructeurs ont alors mis en place des « programmes d'indemnisation », sortes d'assurance pour les utilisateurs au cas où les prétentions de SCO seraient reconnues. Le procès de SCO contre IBM se présente mal Le procès contre Novell date de 2004. L'éditeur avait en effet pris la défense d'IBM et demandé à SCO de cesser de clamer ses droits sur la propriété intellectuelle d'Unix. SCO l'avait alors attaqué en justice, l'accusant de ternir sa réputation et lui demandant des dommages et intérêts. Puis, SCO a alourdi sa plainte début 2006, y ajoutant une violation de propriété intellectuelle et un comportement concurrentiel déloyal. Observatrice aiguisée du sujet, Pamela Jones écrit sur son site Groklaw que le procès de SCO contre IBM se présente mal, maintenant que la justice a reconnu que le premier ne pouvait revendiquer la paternité du copyright sur Unix. Néanmoins SCO, qui indique dans un communiqué que beaucoup de points restent en suspens, pourrait toujours faire appel de la décision de cette première décision. SCO se dit « blessé seulement », ironise Pamela Jones, qui compare l'éditeur au chevalier noir du Sacré Graal des Monty Python (alors qu'il ne lui reste que le tronc, il crie au chevalier vainqueur de revenir se battre). Jim Zemlin, directeur exécutif de la fondation Linux, se réjouit de son côté de la décision. « Du point de vue de l'entreprise adoptant des solutions Open Source, cela prouve que l'industrie va défendre la plateforme. Et que si quelqu'un l'attaque sur une base juridique, c'est l'industrie tout entière qui prendra sa défense. » (...)
(10/08/2007 14:55:51)Microsoft va adapter Commerce Server au Web 2.0
Même si les outils de création de places de marché ne suscitent plus autant d'intérêt qu'aux débuts du commerce électronique, Microsoft s'est néanmoins engagé à poursuivre le développement de son offre Commerce Server, au moins sur les trois prochaines années. L'éditeur a indiqué que la prochaine mise à jour majeure (nom de code : Commerce Server 7) était prévue pour mi-2010. Elle sera fortement intégrée avec les prochaines versions d'autres produits Microsoft et tout particulièrement avec l'environnement .Net et la base de données SQL Server. L'éditeur prévoit de la pourvoir des fonctionnalités nécessaires pour que les entreprises puissent créer des réseaux sociaux à partir de leur site de commerce électronique. Il compte aussi permettre de relier les catalogues de produits à des outils de blogs et de syndication de contenus. Selon Ryan Donovan, l'un des responsables produit de Microsoft, il est également prévu d'améliorer les fonctions facilitant la navigation d'un visiteur sur un site lorsqu'il y est déjà venu plusieurs fois. Et d'ici à 2010, des « accélérateurs » D'ici à 2010, l'éditeur prévoit de sortir pour l'actuelle version, Commerce Server 2007, des mises à jour dites « accelerators ». Microsoft travaille actuellement avec Cactus Commerce, un éditeur canadien basé à Ottawa, pour développer ces add-ons qu'il commencera à livrer au second semestre 2008. On y trouvera une meilleure intégration avec la solution de collaboration SharePoint Server, ainsi qu'avec la gamme Dynamics (progiciels intégrés et gestion de la relation client). Microsoft proposera aussi un lien direct entre Commerce Server et des services de recherche sur le Web tels que Windows Live Search et Windows Live Local et adCenter pour l'achat de publicités basées sur des mots-clés. Selon Ryan Donovan, la base d'utilisateurs de Commerce Server compte actuellement 5 000 clients. Parmi ses concurrents figurent IBM WebSphere Commerce et ATG Commerce d'Art Technology. (...)
(10/08/2007 12:12:15)SAP mettra à jour l'offre PLM sur le modèle adopté pour son PGI
SAP compte mettre à son jour son offre de gestion du cycle de vie des produits (en anglais PLM, pour product lifecycle management) sur le mode qu'il a adopté pour son produit phare, le progiciel de gestion intégré (PGI) mySAP ERP. Fin 2006, l'éditeur s'était engagé à maintenir la version courante de son PGI, mySAP ERP 2005, jusqu'en 2010 et d'y apporter des mises à jour sous la forme de packages d'amélioration optionnelles n'obligeant pas à procéder à de lourdes migrations à chaque montée de version. Fin juillet, SAP a ainsi livré le deuxième package d'améliorations pour son PGI. Celui-ci permet aux utilisateurs d'installer les ajouts fonctionnels de façon sélective ; une flexibilité permise par l'architecture orientée services (SOA) sur laquelle s'appuie désormais l'offre de SAP. Parmi les nouveautés figurent, notamment, des outils pour accéder plus facilement aux données clients et pour simplifier la gestion des commandes avec des fonctions de recherche sur les factures. D'autres ajouts concernent la gestion de production (suivi des processus Kanban), le module financier et la gestion interne (suivi des voyages, des locaux et des actifs). Le PLM, un marché concurrentiel La même approche d'amélioration par mises à jour périodiques va donc s'appliquer à l'offre de PLM, une gamme d'applications qui représente déjà un pan important de l'offre de SAP. L'éditeur compte à ce jour quelque 5 500 clients, utilisateurs de son logiciel SAP PLM. Les prochaines améliorations, annoncées pour la fin de l'année, apporteront de nouveaux processus pour planifier les gammes de produits, selon Hans Thalbauer, vice président de l'offre SAP PLM. SAP prévoit ensuite, en 2008, de simplifier l'interface, d'affiner les rôles par catégories d'utilisateur et de fournir davantage d'informations contextuelles. Sur le terrain, on constate que les entreprises cherchent à mieux tirer parti de cette catégorie d'applications, en particulier en récupérant des données gérées par les autres composantes du système d'information (progiciel de gestion intégré ou système de gestion des relations avec les clients et fournisseurs). Et sur le marché, la concurrence s'aiguise. Oracle, le principal rival, a annoncé en mai son intention d'acheter le spécialiste du PLM Agile Software pour 495 M$ pour renforcer son offre dans ce domaine. Le géant industriel allemand Siemens a lui aussi investi dans le secteur en récupérant UGS pour 3,5 Md$. Quant au Français Dassault Systèmes, il a absorbé MatrixOne pour 408 M$ en mars 2006 et, plus récemment, ICEM pour 51,4 M$. (...)
(10/08/2007 11:40:01)BPM : Metastorm s'offre Proforma
La concentration dans la gestion des processus métier, ou BPM, continue son petit bonhomme de chemin. L'éditeur américain Metastorm s'est offert son compatriote Proforma, pour un montant non communiqué (on sait néanmoins que Metastorm a levé récemment 30 M$). Editeur d'une plateforme d'exécution des processus métier, Metastorm complète ainsi son offre d'un outil de BPA (analyse des processus métier), utilisé en amont pour identifier et visualiser les processus. Proforma sera intégré dans une nouvelle suite, Metastorm Enterprise, mais restera utilisable seul, sur un marché où la concurrence est rude (IDS Scheer, Mega International, Casewise...) et où la concentration a aussi débuté (Telelogic a repris Popkin en 2005). Le marché du BPM est toutefois encore plus rude. Il y a un an, Gartner prédisait que seuls 25 des 150 éditeurs survivraient jusqu'en 2008. L'une des clés pour survivre étant bien sûr d'offrir toutes les fonctionnalités sous un même toit. (...)
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