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(07/08/2007 19:17:54)

Wikiversity veut explorer de nouvelles méthodes pédagogiques

Les initiateurs de Wikiversity, université virtuelle communautaire, libre et gratuite, explorent de nouvelles pistes pour développer leur projet de cours et d'outils éducatifs en ligne, soutenu par la fondation Wikimedia. Samedi dernier, à l'occasion de la conférence internationale et annuelle Wikimania, Cormac Lawler et Teemu Leinonen, deux coordinateurs du projet, ont dressé un état des lieux de cette communauté pédagogique. « Wikiversity devrait connaître de l'ampleur, d'ici deux à trois ans, ont-ils estimé. Il s'agit donc d'aller plus loin dans les méthodes d'apprentissage en ne se bornant pas à fournir des informations, mais en testant aussi différentes théories pédagogiques pour juger de ce qui fonctionne vraiment. » Si la communauté des utilisateurs et les coordinateurs du projet décident de la direction suivie par Wikiversity, en revanche n'importe qui peut y dispenser des cours, et de la même manière, n'importe qui peut les suivre. "Or certains professeurs commencent leurs cours, puis disparaissent, abandonnant ainsi leurs élèves," déplore Cormac Lawler. Avec le développement de Wikiversity, il devient nécessaire de trouver des remèdes à ce type de problème. La collaboration avec d'autres projets d'apprentissage basés sur Internet présente aussi des inconvénients car les universités qui les proposent n'ont pas toujours la même vision des choses. Par exemple, le projet MIT OpenCourseWare du Massachusetts Institute of Technology n'est pas jugé assez « libre » pour Wikiversity. Quoi qu'il en soit, le projet se développe et Cormac Lawler a confirmé que de nouvelles fonctionnalités allaient progressivement être mises à disposition. (...)

(07/08/2007 18:27:42)

LinuxWorld : Google, premier utilisateur à rejoindre l'OIN

Google a confirmé son soutien à Linux en devenant le premier utilisateur du système Open Source à prendre une licence auprès de l'Open Invention Network. L'annonce a été faite à l'occasion de la conférence LinuxWorld qui se tient cette semaine (06-09 août) à San Francisco. L'OIN est un fonds de propriété intellectuelle créé fin 2005 par IBM, Novell, Philips, Sony et Red Hat dans le but d'acheter des brevets et de les mettre à disposition des développeurs libres afin de protéger Linux. La licence garantit ainsi l'exploitation du fonds détenu par l'OIN. Jerry Rosenthal, PDG de l'OIN, espère que l'initiative de Google inspirera de nombreux autres utilisateurs, petits et grands, du système d'exploitation. Sur son blog, Chris DiBona, responsable des programmes Open Source de Google, rappelle l'importance qu'a eu Linux pour le géant des moteurs de recherche. « Depuis le début, cet environnement nous a donné la puissance et la flexibilité nécessaires pour servir des millions d'utilisateurs à travers le monde. Rejoindre l'OIN permet à des entreprises comme la nôtre de s'investir dans le développement des logiciels sans se préoccuper des problèmes de brevets. L'innovation autour de Linux avance plus vite quand les développeurs peuvent partager leurs connaissances en toute tranquillité d'esprit. » Sur le même sujet : - Accord Novell/Microsoft : l'OIN rejette l'argument de la protection juridique - IBM, Novell, Philips, Sony et Red Hat créent un fonds de brevets pour protéger Linux (...)

(07/08/2007 18:01:56)

En France, 22 universités font partie des 500 meilleures mondiales

Les chercheurs de l'Université Jiao Tong de Shangaï de Shangaï viennent de publier l'édition 2007 du classement des 500 premières universités mondiales les plus performantes. Cette année, la France améliore un peu son score. Rappelons que le palmarès est réalisé à partir de cinq critères : les lauréats du prix Nobel, le nombre de chercheurs de haut niveau, les articles parus dans Nature et Sciences et dans l'Index des citations (scientifiques et sciences sociales) et la performance universitaire de chaque faculté. Si ce sont les universités américaines qui s'octroient les premières places du palmarès, avec dans le trio de tête Harvard, Stanford, et l'université de Californie et Berkeley, 22 établissements de l'Hexagone figurent parmi les 500 meilleurs mondiaux. Trois des quatre premières universités françaises gagnent des points supplémentaires, et deux établissements provinciaux (Lille-1 et Rennes-1), font désormais leur apparition dans le Top 500. Obtenant le meilleur score des facultés françaises, l'université de Paris VI occupe le 39ème rang (contre une place de 45ème l'année dernière). Paris- XI obtient la 52ème place, l'ENSP se situe en 83eme position et Strasbourg-1, en 99ème. Seul établissement ne figurant plus au classement, l'Ecole supérieure de physique et chimie industrielle. Reste que la France devra se contenter d'une sixième place, derrière les Etats-Unis, la Grande Bretagne, le Japon et l'Allemagne et le Canada. (...)

(07/08/2007 16:12:45)

Lenovo et Acer seraient intéressés par l'acquisition de Packard Bell

Selon Reuters, qui cite le Hong Kong Economic Journal, le constructeur chinois de PC Lenovo serait intéressé par le rachat du fabricant Packard Bell pour renforcer ses activités en Europe. Selon les mêmes sources, le Taïwanais Acer serait également sur les rangs pour mettre la main sur ce constructeur, revendu par Nec à Lap Shun Hui (ex-propriétaire américain d'e-Machines) en 2006, et quatrième vendeur de PC en France au premier trimestre 2007, selon Gartner. En dehors de l'Europe, Packard Bell est présent en Extrême Orient et en Amérique du Sud. Acer s'est hissé à la deuxième place des vendeurs de PC en Europe sur le premier semestre 2007, derrière HP et devant Dell. Sur les ventes de PC mondiales, en revanche, Lenovo le devance de nouveau sur le deuxième trimestre 2007, l'un et l'autre occupant respectivement les troisième et quatrième places, en volume, avec 8 % et 7,2 % de parts de marché, derrière HP (18,2 %) et Dell (15 %), selon les chiffres de Gartner. (...)

(07/08/2007 15:42:17)

Microsoft n'a plus à verser 1,5 Md$ à Alcatel-Lucent

Condamné en février dernier à verser 1,5 Md$ à Alcatel-Lucent pour avoir violé des brevets relatifs au format MP3, Microsoft a gagné en appel : il n'aura pas à verser cet argent... sauf rebondissement judiciaire. Un juge fédéral de Californie a en effet statué que les conclusions tirées en février étaient erronées. Pour la cour de San Diego, il y a deux brevets dans cette affaire, et l'un n'a pas été violé par Microsoft. Quant à l'autre, le juge estime qu'il n'appartient pas complètement à Alcatel-Lucent, puisque l'institut Fraunhofer en est co-auteur. AT&T, la maison-mère de Lucent, avait signé un accord de co-développement avec l'institut Fraunhofer, auprès duquel Microsoft dit avoir pris une licence en bonne et due forme. L'organisme allemand de recherches ne s'étant pas joint à la plainte d'Alcatel-Lucent, la Cour de San Diego a estimé qu'on ne pouvait donc pas poursuivre Microsoft. Bien évidemment, Alcatel-Lucent a déjà annoncé son intention de porter l'affaire devant une Cour d'appel fédérale. (...)

(07/08/2007 14:03:33)

Le gouvernement commande une charte pour les centres d'appel

La question des centres d'appels est au coeur de l'actualité, du fait de l'externalisation par SFR de trois de ses centres d'appel (soit 1 900 salariés), au début du mois. Le ministère de l'Économie, des Finances et de l'Emploi a décidé de réagir en annonçant, jeudi dernier, le lancement d'une étude stratégique sur les pratiques des centres d'appels chargés de la relation avec les clients. Objectif du rapport confié par la ministre de l'Economie Christine Lagarde au Conseil général des technologies de l'information (CGTI) : lutter contre la tendance générale à l'externalisation de certaines activités, en établissant une charte de « bonnes pratiques en matière de prestations de services de relation clientèle ». Egalement sollicitée par le ministère, l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) s'attaquera aux questions relatives au télétravail dans les centres d'appel. Les deux rapports devront être rendus à la fin du mois de septembre. (...)

(07/08/2007 12:55:05)

Wipro acquiert l'Américain Infocrossing pour 600 M$

Wipro, l'un des géants indiens de l'offshore sur le secteur informatique, vient d'annoncer pour 600 M$ le rachat de l'Américain Infocrossing, spécialisé dans l'externalisation de services IT. C'est à ce jour l'acquisition la plus importante de Wipro qui a déjà, au cours des deux dernières années, absorbé plusieurs petites entreprises aux Etats-Unis et en Europe ; des opérations qui ont contribué à faire sensiblement progresser son chiffre d'affaires (3,44 Md$, + 41%) et son bénéfice net (677 M$, + 44%) sur son exercice fiscal clos le 31 mars dernier - en dépit d'une parité désavantageuse pour la roupie par rapport au dollar. Depuis quelque temps, les entreprises indiennes cherchent des compétences hors de leurs frontières pour pallier une pénurie de main-d'?uvre qualifiée sur leur territoire et se rapprocher de leurs commanditaires. Wipro emploie actuellement 72 000 personnes, contre 13 700 il y a seulement quatre ans. Infocrossing compte de son côté 900 employés. Créée il y a vingt ans et installée sur la côte Est (à Leonia, New-Jersey), la société exploite cinq centres de données et gère les infrastructures informatiques et les applications d'entreprises comme le Reader's Digest. Elle dispose également d'une expertise dans le secteur de la santé. L'an dernier, elle a réalisé un chiffre d'affaires de 229,2 M$ et un bénéfice net de 8,5 M$. Lors de l'annonce du rachat, le PDG d'Infocrossing, Zach Lonstein, a indiqué à ses clients qu'ils pouvaient s'attendre à une continuité de service puisque l'équipe d'encadrement de la société ne bougeait pas. Il estime que le rachat procurera aux clients d'Infocrossing les capacités étendues de Wipro. (...)

(07/08/2007 12:13:42)

Avec le Niagara 2, Sun promet un serveur sur une puce

« Un E10000 dans le creux de votre main », clame la brochure de présentation du Niagara 2, évolution du processeur UltraSparc de Sun, présenté officiellement aujourd'hui. Autrement dit, il y a dix ans, il fallait un serveur Sun E10000 entier pour fournir 64 threads, tandis qu'aujourd'hui l'UltraSparc T2 fournit ces 64 threads « pour 50 fois moins cher » - étant entendu qu'il s'agit de 'threads' liés au système, c'est-à-dire des domaines d'exécution, par opposition avec les 'threads' applicatifs, ou flux d'instructions, qui se comptent par dizaines. En utilisant la technologie de containers de Solaris 10, explique Sun, on peut donc faire tourner 64 domaines. Mieux, affirme Sun, le dernier-né de ses processeurs est un véritable « serveur sur une puce », intégrant, outre les contrôleurs mémoire, deux ports Ethernet 10 Gbps et huit connecteurs d'entrées/sorties PCI-Express. Jamais à court d'une pique pour IBM (qui le lui rend bien), Sun souligne que sa seule puce vaut deux p 570, des serveurs Power6 d'IBM (lequel expliquait de son côté, lors de la présentation des Power6 en mai dernier, que 30 SunFire V890s pourraient être consolidés dans un seul rack de p 570). Sun espère que ces caractéristiques séduiront des fabricants de routeurs et de matériels de stockage. « Nous sommes en contact avec certains fabricants », a admis David Yen, vice-président exécutif de la division micro-électronique, sans donner davantage de précisions. Par rapport à l'UltraSparc T1, le T2 « double les performances sans augmenter la fréquence d'horloge », précise David Yen. C'est une innovation architecturale, continue-t-il, « contrairement à certains [IBM et son Power6, NDLR] qui suivent la vieille stratégie d'augmenter la fréquence ». Avec 500 millions de transistors gravés en 65 nm, la puce Niagara contient donc toujours huit coeurs à 1,4 GHz, mais double son nombre de threads par coeur, et chacun d'entre eux se voit désormais secondé par un coprocesseur cryptographique et par une unité de calcul en virgule flottante. Une consommation de 1,5 W par thread Bien sûr, les aspects écologiques et économiques ne sont pas oubliés dans la présentation de Sun. [[page]]En affichant la consommation de sa puce, 95 W, David Yen demande à ce qu'on ne compare pas les pommes et les oranges, puisque, faut-il le rappeler, Niagara 2 est un serveur sur une puce. Sun fournit donc un tableau comparant son T2 sur la base du nombre de Watts par thread. L'UltraSparc T2 affiche alors moins de 1,5 W par thread, contre 30 W pour l'Intel Xeon 5300, 33 W pour le Power6 d'IBM et 60 W pour l'Opteron 2nde génération d'AMD. CQFD. Sun en conclut que « l'UltraSPARC T2 est sans conteste le champion du rendement et de l'informatique 'verte' », et qu'il peut donc « faire économiser des millions de dollars dans les centres de données, face à l'envolée des coûts d'alimentation, de refroidissement et d'espace ». De fait, l'UltraSparc T2 apparaît comme la puce idéale pour un serveur de consolidation. Les premiers sont attendus sur le marché dès cet automne. Mais le processeur ne répond pas encore aux besoins des plus gourmands : comme son prédécesseur, cette version du Niagara n'existe qu'en version mono-processeur. La version bi-processeur est promise pour début 2008 : les 16 coeurs de la puce « Victoria Falls » fourniront 128 threads. Comme pour le T1, l'ensemble de la propriété intellectuelle autour du T2 sera mis en Open Source. Sun indique que le code source du T1 a été téléchargé 5400 fois. Très fier, David Yen a indiqué que des universités utilisent ce matériau pour enseigner à leurs étudiants l'architecture des processeurs. (...)

(07/08/2007 11:18:39)

L'investissement dans les SOA paie, selon Aberdeen

Après avoir sondé 400 organisations pendant un an et demi, le cabinet d'analyse Aberdeen est formel : pour les entreprises qui choisissent d'accorder du temps et du budget aux architectures orientées services (SOA), le retour sur investissement existe. D'après l'enquête réalisée par Aberdeen Group (intitulée 'SOA Middleware Takes the Lead: Picking Up Where Web Services Leaves Off'), 100% des répondants disent avoir constaté une réduction des coûts de développement, et 72% une réduction de leurs coûts de maintenance. L'intérêt n'est pas seulement financier : les organisations vues comme les plus avancées (« best in class ») par Aberdeen voient la SOA comme un moyen d'améliorer le service à l'utilisateur final (à 61%) ainsi que l'agilité du service informatique (à 60%). En revanche, cela ne s'obtient pas sans quelques efforts. Aberdeen préconise par exemple de s'atteler à des projets SOA complets plutôt que de mettre en place de simples services Web ici ou là : l'amélioration de la satisfaction des utilisateurs finaux est de 89% dans le premier cas, contre 15% dans le second. De même, c'est l'infrastructure entière qui doit être revue, plutôt que de chercher à faire de la SOA dans chaque silo du système d'information - de fait, le but des SOA est de décloisonner le SI en exposant l'ensemble de ses fonctionnalités sous forme de services réutilisables. Dernier conseil d'Aberdeen : ne pas négliger la révolution culturelle que représente la SOA pour un informaticien, et donc prévoir des sessions de formation pour ses équipes. (...)

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