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(30/07/2007 15:46:49)
Trois semaines après Intel, Cisco investit dans VMWare
150 millions de dollars, c'est la somme que Cisco s'apprête à débourser pour investir dans VMWare, spécialiste de la virtualisation logicielle. Au terme de cette opération, l'équipementier réseau devrait s'emparer de 1,6% du capital de la filiale d'EMC. Côté administratif, l'arrivée d'un membre de Cisco au sein du conseil de direction de VMWare est à l'étude. Au début du mois, Intel injectait pour sa part 218,5 M$ chez ce même éditeur (ce qui correspond à 2,8 % du capital). VMWare profite ainsi d'argent frais pour poursuivre ses développement sur un marché hautement concurrentiel, tandis que Cisco et Intel s'assurent une présence dans une technologie promise à un bel avenir. VMWare avait été racheté 635 M$ par EMC en 2004, et le constructeur a introduit en Bourse un dixième du capital. (...)
(30/07/2007 15:24:53)Pas de certification GIE CB pour une éventuelle Kedra Box
On ne sait toujours pas si Iliad se lancera sur le marché des professionnels avec la marque Kedra comme les rumeurs l'annonçaient. Mais une chose est sûre, contrairement à ce qu'indiquait le site kedra.fr (désormais fermé), l'hypothétique boîtier ADSL/GSM Kedra Box n'a pas été approuvé par le G.I.E. Cartes bancaires. Interrogé par lemondeinformatique.fr, le groupement a indiqué qu'« il n'y a pas de traces de certification de notre part, donnée à la société Iliad ni au produit Kedrabox ». La maison mère de Free n'ayant toujours pas souhaité nous répondre, le lancement d'une offre destinée aux professionnels sous la marque Kedra reste à l'état de rumeur. Seule certitude : selon le bulletin des annonces légales obligatoires, Iliad détient bien plus de 50% des parts dans la société Kedra. (...)
(30/07/2007 15:23:08)Les Etats-Unis attirent les spécialistes IT du monde entier
Depuis ces dix dernière années, le nombre de spécialistes IT ne cesse d'augmenter aux Etats-Unis. Pour le National Science Foundation, l'immigration est l'une des principales raisons de cette montée en puissance outre-Atlantique : dans un bilan publié au mois de juin 2007, l'organisme montre ainsi qu'en 2003, sur les 21,6 millions de scientifiques et d'ingénieurs employés par les Etats-Unis, 3,35 millions venaient d'autres pays du monde, soit 16%. Les trois quarts d'entre eux sont Asiatiques (56%) ou Européens (19%), suivis par les ingénieurs des pays d'Amérique centrale et du Sud, des Caraïbes (15% pour l'ensemble), et ceux venus du Canada et d'Afrique. Plus d'Asiatiques que d'Américains dans la fonction IT Ainsi, à la fin 2003, les Asiatiques étaient les plus nombreux (1,8 millions) au pays de l'oncle Sam, loin devant les Américains (179 000). Quant aux Français, ils n'occupent qu'une modeste place dans ce flux migratoire, avec un total de 25 000 chercheurs et ingénieurs de l'Hexagone installés aux Etats-Unis, soit 0,7% seulement du total des immigrants. En comparaison, les Britanniques sont cinq fois plus nombreux (122 000) et les Allemands, environ trois fois plus (71 000). On dénombre également 63 000 Russes, 45 000 Ukrainiens, et une proportion quasi équivalente de Polonais. Et ce sont les Européens qui affichent le niveau d'éducation le plus élevé, avec une forte proportion de doctorants (13,8%). Au rang des motivations qui conduisent ces populations immigrées à s'êtres installées aux Etats-Unis, les Européens placent en tête le fait de rejoindre les membres de leur famille (37%). 30% des immigrés entendent profiter d'une opportunité éducative, et 21% pensent répondre un besoin économique. (...)
(30/07/2007 13:42:59)Une action en justice pour protester contre la faible batterie de l'iPhone
Jose Trujillo, habitant dans l'Illinois, a de la chance, il a un iPhone. Mais José Trujillo n'est pas content de la batterie du mobile d'Apple. A tel point qu'il vient d'initier une action collective (class action) contre le géant à la pomme et At&T, pour l'instant le seul opérateur à proposer le terminal, pour manque d'information au sujet de la batterie. Celle-ci a une durée de vie limitée et n'est pas amovible. Or, passé 300 charges, elle doit être remplacée selon le plaignant, chose qu'un utilisateur lambda ne peut faire. Sans présager des suites de cette action, M.Trujillo ne semble pas s'être beaucoup renseigné avant son achat. Depuis les premiers détails révélés sur l'iPhone, la faible capacité de la batterie avait été pointée du doigt, et le constructeur le savait puisqu'il a mis en place différentes solutions de remplacement payantes. Une politique critiquable certes mais qui avait au moins le mérite d'aborder le sujet. D'autre part, Apple annonce qu'après 400 charges la batterie de l'iPhone est moins réceptive (20% de performances en moins) mais pas hors d'usage. Enfin, le système de batterie scellée est largement utilisé dans de nombreux produits (dont les iPod) sans que la justice n'y ait trouvé à redire. Difficile d'anticiper un quelconque résultat de cette class action. Les griefs de M.Trujillo sont avérés mais ce sera à la Court de déterminer s'il y avait défaut d'information et préjudice pour le consommateur. (...)
(30/07/2007 13:43:46)Microsoft cherche la certification Open Source pour ses licences Shared Source
Microsoft tente de se faire admettre par la communauté Open Source. A l'Oscon, la Convention O'Reilly Open Source qui s'est tenue à Portland du 23 au 27 juillet, Bill Hilf, responsable de la stratégie plateforme de l'éditeur de Windows, a indiqué que Microsoft allait soumettre ses licences Shared Source à l'OSI (Open Source Initiative, l'organisme garantissant la validité de la marque Open Source), afin qu'elles puissent être certifiées et considérées comme de véritables licences Open Source. Les intentions de Microsoft sur ce dossier sont également commentées sur « Port 25 », un blog tenu par le laboratoire Open Source Software de Microsoft. Russ Nelson, qui siège au comité d'approbation des licences de l'OSI, a confirmé qu'il s'attendait à ce que Microsoft soumette ses licences Shared Source à l'OSI d'ici une semaine. Cette décision semble bien accueillie. Sur le blog qu'il tient sur CNET, Matt Asay, l'un des membres du bureau de l'OSI, y voit un signe de respect pour « la communauté ». Il juge même que Microsoft fait partie des quelques grands acteurs qui comprennent vraiment l'Open Source, « même si je n'aime pas toujours la façon dont ils travaillent avec la communauté Open Source ». Pour Zack Urlocker, vice-président marketing de l'éditeur de base de données MySQL AB, ce pas est très significatif. Il montre que Microsoft cherche à adapter ses pratiques pour réussir dans cette communauté qui existe en dehors de lui. Rappelons que dans le cadre de son initiative Shared Source, Microsoft a ouvert le code source de ses produits selon trois modèles de licences précisant les conditions d'accès et de diffusion. La moins restrictive, la Microsoft Permissive Licence (Ms-PL), permet de consulter, modifier et redistribuer du code source dans un but commercial ou non. La Microsoft Community Licence (Ms-CL), qui cible les développements collaboratifs, est soumise à des conditions spécifiques et assortie d'accords de réciprocité. Quant à la Microsoft Reference Licence (Ms-RL), elle autorise uniquement la consultation du code source, en excluant toute modification ou redistribution, même non commerciale. (...)
(30/07/2007 13:37:33)KPN veut racheter Getronics pour muscler son offre de services IT
L'opérateur télécoms néérlandais KPN vient d'annoncer une offre de rachat en cash de la société de services informatiques belge Getronics. Le montant de la transaction s'élève à 766 ME, soit 6,25 euros par action. A travers cette acquisition, l'opérateur entend essentiellement muscler son offre de services IT. "Les services convergés entre informatique et télécoms constituent notre priorité aujourd'hui", résume Jean-Claude Vandenbosch, directeur général de Getronics Belgique et France. Ad Scheepbouwerde, PDG de KPN, a déclaré pour sa part que la combinaison des activités de Getronics avec celle de KPN "apportera immédiatement de la valeur ajoutée, et transformera notre division de technologies de l'information et de la communication". Dans une même logique de convergence informatique / télécommunications, Belgacom avait déjà racheté la SSII Telindus l'année dernière. Bénéfices en baisse et suppression d'emplois A l'issue de la transaction, plusieurs centaines d'emplois devraient être supprimés, et la direction de Getronics sera remaniée. Klaas Wagenaar, l'actuel directeur général de la société, quittera notamment ses fonctions. KPN a profité de cette annonce de rachat pour avancer la publication de ses résultats. L'opérateur a enregistré au deuxième trimestre 2007 un bénéfice avant intérêts, impôts, dépréciations et amortissements (Ebitda) de 1,28 MdE, soit une baisse de 400 ME (-7,2%) par rapport à la même période en 2006. Douze analystes interrogés par Reuters prédisent à KPN un excédent brut d'exploitation aux alentours de 1,23 MdE. Getronics compte 900 collaborateurs et réalise un chiffre d'affaires de 125 ME. Les deux sociétés avaient engagé des discussions préliminaires en 2006, sans toutefois parvenir à se mettre d'accord. "Il y a eu entre-temps des changements majeurs au sein de Getronics. L'entreprise s'est séparée de beaucoup d'actifs dont nous estimions la vente nécessaire", a précisé Ad Scheepbouwer, le directeur général de KPN. L'offre, qui devrait être formellement lancée en septembre, a obtenu le soutien unanime des deux conseils de direction et de surveillance des groupes. (...)
(30/07/2007 12:42:02)Les systèmes de vote électronique perforés par les chercheurs californiens
Une équipe de chercheurs de l'Université de Californie a passé les deux derniers mois à étudier la sécurité des machines de vote électronique de Diebold Election Systems, Hart InterCivic et Sequoia Voting Systems. Le résultat est accablant : « Les équipes de sécurité ont pu contourner les protections physiques et logicielles de chaque système qu'elles ont testé », a expliqué Debra Bowen, secrétaire d'Etat de la Californie. A ce titre, Debra Bowen est responsable de l'organisation des élections, et donc chargée de certifier les machines que les différents comtés de l'Etat pourront acheter. En tout, 15 problèmes ont été identifiés. Les chercheurs ont pu, par exemple, exploiter un bug de Windows pour accéder directement aux données du système GEMS de Diebold. Ils disent avoir réussi à obtenir un même niveau d'accès sur les WinEDS de Sequoia. Il était possible, disent les chercheurs, de faire en sorte qu'au redémarrage suivant, la machine charge un firmware pirate donnant le contrôle de la machine. De même, le remplacement du firmware de la machine de Diebold (« les testeurs ont trouvé plusieurs façon de faire », précise le rapport), a permis de modifier par la suite les droits d'accès et privilèges des utilisateurs, pour transformer un électeur en administrateur, par exemple. Des accès au système des machines Hart permettant de manipuler les résultats ont aussi été démontrés. Des défauts de protection aussi bien au niveau physique qu'au niveau logique Côté protection physique, le rapport des chercheurs relève que des vis du système de Sequoia n'étaient pas protégés, et que dans certains cas il était possible d'introduire des instruments sous des caches en plastique et de manipuler des boutons internes sans endommager les sceaux externes. « Avec des objets ordinaires », il était également possible de désactiver l'imprimante du système Diebold, pour empêcher toute vérification. Les résultats pour les machines d'ES&S (Election Systems & Software), utilisées dans le comté de Los Angeles, ne sont pas encore connus, le fabricant ayant tardé à soumettre son matériel à l'examen des chercheurs. Des porte-parole de Sequoia et de Diebold ont demandé un peu de temps avant de commenter les résultats de l'étude. Sequoia a toutefois déjà indiqué que les tests pratiqués ne reflétaient pas « les processus et les procédures employés lors de la tenue d'une élection normale ». Sachant que les prochaines élections en Californie ont lieu le 5 février, et qu'enlever la certification d'une machine de vote demande un préavis de 6 mois, Debra Bowen rendra ses conclusions le 3 août. (...)
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