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(05/07/2007 15:05:50)

Le Danemark va tester ODF et Open XML pendant un an

Pragmatique et ouvert, le Danemark a décidé que ses administrations utiliseront concomitamment les formats bureautiques ODF et Open XML pendant un an, à compter du 1er janvier 2008. Tant ODF, promu par l'Oasis, que Open XML, fruit du retournement de Microsoft, sont jugés par les Danois incomplètement matures. Au terme de cette période, une autorité indépendante rendra son verdict à la mi-2009. Il sera alors décidé lequel des deux formats sera retenu comme standard au sein des services publics danois. D'ici là, ils sont tenus de supporter les deux. (...)

(05/07/2007 14:40:19)

L'électronique de loisir représentera les trois quarts de la facture énergétique des Anglais

Electronique et environnement ne font décidément pas bon ménage. Selon la dernière étude « Les Ampères contre-attaquent » de la fondation anglaise Energy Saving Trust, d'ici 2020, l'informatique et les appareils électroniques de loisir seront responsables de 45 % des dépenses électriques des foyers anglais. Il faudra alors 14 centrales électriques uniquement pour alimenter les écrans plats, les téléphones mobiles, les ordinateurs et autres baladeurs MP4. En effet, les appareils les plus récents sont plus gourmands que leurs ancêtres. Noel Willams, représentant en Irlande du Nord de l'Energy Saving Trust, explique : « Un nouvel écran plat peut utiliser jusqu'à trois plus d'électricité qu'une « télévision » traditionnelle. Et avec la tendance à la hausse à écouter la radio via la télévision ou sur Internet, les consommateurs ne réalisent pas que cela utilise bien plus d'énergie que par des moyens conventionnels. Ou que les radios numériques consomment presque autant d'énergie en veille, qu'allumées. » (...)

(05/07/2007 14:30:45)

Cegid revoie son plan d'embauche à la hausse

Janvier dernier, Cegid annonçait la mise en place d'un programme de recrutement de 100 personnes. Vu les bons résultats enregistrés ces derniers mois, l'éditeur de solutions de gestion informatique revoie ses prévisions à la hausse : la société souhaite en réalité se doter de 150 collaborateurs supplémentaires. A travers cette campagne, Cegid espère accompagner la croissance de son activité. Trois typologies de profils sont particulièrement recherchées : ingénieur commercial, consultant formateur et ingénieur développement. (...)

(05/07/2007 12:38:26)

Google n'abandonne pas son offensive contre Microsoft

Google ne jette pas l'éponge dans le combat qu'il a entrepris contre Microsoft, auquel il reproche les fonctions de recherche intégrées dans Vista. Alors que le moteur de recherche a essuyé un revers de la part de la justice américaine - qui a refusé de l'inclure dans le cadre d'une procédure antitrust initiée en 2002 contre le géant de Redmond - il revient à la charge et se tourne de nouveau vers les tribunaux. Cette fois, le groupe de Mountain View demande le droit à une cour de Columbia d'intervenir dans les débats afin de peser de tout son poids sur les modifications que Microsoft est susceptible d'apporter à l'outil de recherche et d'indexation de fichiers intégré à Windows Vista. Rappelons que Google reproche à cet outil de nuire à la concurrence en rendant délicate l'utilisation de programmes tiers. Microsoft avait fait un pas en direction de Google en modifiant les fonctions mises en cause de façon à permettre aux utilisateurs de choisir l'outil de recherche interne utilisé par l'OS. Une réaction jugée toutefois insuffisante par le pantagruélique moteur de recherche. (...)

(04/07/2007 17:16:25)

Sous la pression, Parallels se met en règle avec le monde Open Source

Sous la pression des internautes et pour éviter un boycott de son logiciel, voire un procès, l'éditeur a dû livré une partie de son code source pour se mettre en conformité avec la licence LGPL (Lesser General Public License). Destiné au grand public, Parallels Desktop for Mac permet de faire tourner des logiciels Windows ou Linux sur un Mac sans redémarrage de la machine et de partager des fichiers entre les deux environnements. L'éditeur s'est appuyé sur plusieurs outils Open Source (Wine, MacFuse, JPEG, MPI, Libmspack, etc.). Il l'a affiché clairement sur son site et a indiqué quelles licences couvraient quel logiciel. Il a également précisé qu'il s'engageait à envoyer les codes sources indiqués sur simple retour de courrier. Et c'est ici que le bât blesse. L'émulateur Wine est distribué sous licence LGPL. Cette petite soeur de la GPL est certes moins stricte, mais elle réserve quelques obligations aux sociétés intégrant les logiciels qu'elle couvre dans leurs produits. Notamment celle de remettre à la disposition de la communauté toutes les modifications du code source emprunté. Appels au boycott sur le Web Début juin, les développeurs Wine apprennent que Parallels fait appel à leur logiciel, ou plutôt à quatre de ses composants. Ils demandent donc à l'éditeur de leur communiquer les modifications effectués. Celui-ci les promet pour « dans un ou deux jours », mais il traîne des pieds. Et malgré des courriers répétés, il n'envoie toujours rien. Fin juin, l'affaire déborde du simple cadre de la communauté Wine et s'invite sur les forums de Slashdot et de Digg.it, suscitant une vague de protestation et de menaces de boycott de la part des internautes. Lundi dernier, soit un mois après la demande, Parallels a finalement envoyé le code source de Wine par courriel au développeur qui en a fait la demande et s'est engagé à en faire de même pour tous les autres demandeurs. Anecdotique a priori, ce type de problème peut coûter cher aux éditeurs. Ainsi en 2005, le développeur Harald Welter a pu bloquer légalement la distribution des logiciels de sécurité de Fortinet Inc, jusqu'à ce que celui-ci se mette en règle avec la licence GPL. (...)

(04/07/2007 16:17:12)

Microsoft s'offre deux centres serveurs pour 200 M$

Petit à petit, l'oiseau fait son nid. A quelques heures de la clôture de son exercice fiscal 2007, Microsoft a déboursé 200 M$ pour prendre le contrôle de deux centres serveurs à Santa Clara, en Californie, dont la surface totale atteint 23 000 mètres carrés. Microsoft n'a pas, à proprement parler, acheté ces centres. Il s'est contenté de reprendre à son nom l'intégralité d'un contrat de colocation qu'il partageait avec Savvis. Depuis janvier, c'est, au moins, la troisième opération que réalise Microsoft en vue d'augmenter sa capacité de traitement en ligne. En janvier, l'éditeur avait annoncé un investissement de 550 M$ dans la construction d'un centre de 37 000 mètres carrés à San Antonio (Texas) et l'achat d'un terrain dans l'Etat de Washington pour les mêmes raisons. Des services en ligne qui devront concurrencer Google On n'en sait pas plus sur la puissance de traitement en ligne dont dispose Microsoft que sur celle de Google. Les informations qui suintent à coup de 600 M$ par centre en construction à propos de Google laissent supposer une énorme infrastructure avec des centres équipés chacun de dizaines de milliers de CPU (processeur). En position de challenger, Microsoft se doit de faire mieux. Il est donc logique que, parallèlement aux annonces autour de Windows Live et d'Office Live, Microsoft construise une infrastructure à même de répondre sans faillir aux sollicitations de plusieurs millions d'utilisateurs en ligne des services qu'il annonce. Cette infrastructure sera principalement rentabilisée par la publicité, comme le prouve l'acquisition récente de la régie aQuantive. C'est la première fois dans l'histoire du groupe qu'il investit un nouveau marché non pas avec des logiciels, mais avec des ressources système. Rappelons que Microsoft vient de dépenser 6,2 Md$ en R&D au cours des douze derniers mois auxquels s'ajoutent 2,5 Md$ qu'il a consacrés aux immobilisations et aux acquisitions. (...)

(04/07/2007 16:03:11)

Licences 3G : la justice européenne rejette la plainte de Bouygues Telecom

Le Tribunal de première instance des Communautés européennes (TPICE) a rejeté, ce mercredi 4 juillet, le recours déposé par Bouygues Telecom concernant les conditions d'achat des licences pour la téléphonie mobile de troisième génération (3G). En 2000, SFR et France Télécom ont acheté leurs licences UMTS pour 4,95 milliards d'euros chacun. A cette époque, Bouygues Telecom avait décidé de ne pas participer aux enchères. Deux ans plus tard, en 2002, le troisième opérateur mobile français s'offrait ladite licence pour 619 millions d'euros, auxquels s'ajoutent un pourcentage du chiffre d'affaires engrangé par l'exploitation de la licence 3G. Le gouvernement avait alors décidé d'appliquer rétroactivement les nouvelles conditions tarifaires à SFR et France Télécom. Estimant cette faveur déloyale, Bouygues Telecom avait saisi la Commission européenne. La Commission européenne avait, dans un premier temps, rejeté la plainte de l'opérateur challenger. Ce dernier s'était alors retourné vers le Tribunal de première instance qui vient de conforter la première décision. L'arrêt du Tribunal indique que « la Commission a pu (...) considérer, dans la décision attaquée, que le nouveau système de redevances n'était pas discriminatoire au détriment de Bouygues Telecom ». (...)

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