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(19/06/2007 17:36:08)

Une importante majorité des 18-39 ans sont prêts à gagner moins... pour vivre mieux

La troisième vague de l'observatoire Cadremploi (faite avec LH2) propose un tableau très intéressant de la vie en entreprise : si 55% de l'ensemble des cadres aspirent à une relative stabilité professionnelle, 42% des jeunes cadres affirment vouloir changer d'entreprise dans les mois à venir. Autre information : l'attractivité d'une entreprise se mesure aux possibilités d'évolution en interne, mais l'ambiance régnant sur le lieu de travail arrive en deuxième position. Néanmoins, des divergences interviennent selon le sexe des cadres : pour les hommes, l'atout le plus important d'une entreprise est la rémunération proposée. Viennent ensuite les opportunités d'évolution (39%), l'ambiance et l'implantation géographique (32%). Mais pour 52% des femmes, l'élément qui pourrait les faire choisir une entreprise est l'ambiance, suivie par les opportunités d'évolution (49% soit 10 points de plus que les hommes). En revanche, 29 % d'entre elles envisagent la rémunération comme point capital, contre 41% chez les hommes. 54% de l'ensemble des informaticiens et cadres du technique sont prêts à gagner moins Un autre point intéressant de l'étude est la divergence constatée entre plus et moins de 40 ans. En effet, 57% des 18-39 ans se disent prêts à abandonner une partie de leur salaire pour améliorer leur qualité de vie alors que leurs aînés sont moins enclins à cette idée (seuls 39% des plus de 40 ans y souscrivent). De même, une majorité de cadres ayant une fonction technique sont plus favorables à un salaire moindre pour augmenter leur qualité de vie : 54% d'entre eux sont prêts à l'envisager, contre 46% de l'ensemble des cadres. Est-ce la pression rencontrée quotidiennement au sein de leur entreprise ? Ou bien est-ce le fait de savoir qu'en poste, ils pourront retrouver un emploi, qui pousse les informaticiens à préconiser le « mieux vivre » ? A l'instar d'autres analyses qui se multiplient depuis le début de l'année, celle de Cadremploi montre que cette tendance se développe dans un marché de l'emploi qui est favorable aux cadres en général, aux informaticiens en particulier. Sophie Ak, responsable de la marque cadremploi.fr évoque une autre hypothèse pour comprendre cette quête de la qualité de vie : une rémunération confortable. « Les salaires peuvent varier du simple au double. Certains cadres techniques sont payés entre 50 K€ et 60 K€ en région parisienne, de 30 K€ à 35 K€ en province. Ils peuvent donc se poser légitimement la question de leur qualité de vie puisqu'ils gagnent suffisamment. De plus, nous entrons dans une ère de « plein emploi » qui prévoit 220 000 recrutements de cadres cette année, tous secteurs confondus. Ceux qui arrivent sur le marché ou qui n'ont pas connu des périodes plus difficiles sont sensibles aux possibilités qui leur sont offertes et, désormais, la mobilité comme critère de gestion de carrière est une donnée que nous exploitons. Les informaticiens qui sont très recherchés examinent attentivement toutes les opportunités que leur proposent les entreprises. » Il est possible que désormais, le choix d'une carrière passe aussi par cette notion de qualité de vie sur laquelle les candidats à l'emploi s'interrogent moins, impatients de (re)trouver un poste. Mais la médiatisation du stress au travail (des suicides en particulier), des témoignages sur les conditions de travail dans certaines sociétés de services sont autant de facteurs qui incitent les informaticiens de 2007 à réfléchir à leurs priorités. (...)

(19/06/2007 17:05:07)

Google alimente son campus à l'énergie solaire

Google ne se contente pas de faire de l'« agit-prop » écologique au sein de consortium comme la Climate Savers Computing Initiative. La société a décidé d'appliquer à elle-même ses propres règles. Elle vient en effet de couvrir les toits de son campus de Mountain View de panneaux solaires. D'une capacité de production totale de 1,6 mégawatts - soit l'équivalent de la consommation de 1000 demeures californiennes -, ceux-ci devraient couvrir 30 % des besoins du site en électricité. Selon Google, cette nouvelle installation est la plus grande installation privée des Etats-Unis, et l'une des plus grandes au monde. Cette annonce intervient le même jour où Google.org, la fondation philantropique de la société, lance son initiative de promotion pour le développement durable, RechargeIT. Ce projet vise à financer à hauteur d'1 M$ l'adoption de voitures électriques et compte également soulever jusqu'à 10 M$ de fonds pour le développement des énergies renouvelables. Le campus de la société servira donc de vitrine, d'autant que cent bornes de recharges seront installés sur le parking pour les voitures électriques des employés. Mais c'est également pour la société une façon de faire des économies, puisqu'à terme, elle réduira sa facture d'électricité d'un tiers. (...)

(19/06/2007 16:59:01)

Red Hat et IBM proposent la première version hautement sécurisée de Linux

Dix-huit mois d'efforts viennent d'aboutir à la certification de la version 5 de Red Hat Enterprise Linux au niveau 4+ de l'EAL (Evaluation Assurance Level) des CC (Common Criteria), standard international pour la sécurité des systèmes d'information. Cette certification, la plus haute pour les systèmes d'information civils, a été obtenue par Red Hat en partenariat avec IBM pour les aspects suivants : LSPP (Labeled Security Protection Profile), CAPP (Controlled Access Protection Profile) et RBAC (Role-Based Access Control Protection Profile). Elle valide que cet OS respecte les standards de sécurité qui garantissent les échanges d'information au sein et entre les différentes administrations gouvernementales. Cette certification est valable pour RELH 5 sur l'ensemble des systèmes IBM qui supportent Linux : les System x, p, z et BladeCenter. EAL4 est assorti d'un "+" en raison de l'ajout de la conformité à ALC_FLR.3 (correction d'erreurs systématiques). Comment IBM et Red Hat sont-ils parvenus à obtenir cette certification alors que REHL 5 n'est disponible que depuis le mois de mars ? Les deux partenaires ont répondu que le mode de développement Open Source a permis de lancer la procédure de certification dès septembre 2005. Cette annonce menace directement Sun, jusque-là fournisseur quasi-exclusif des administrations américaines pour des systèmes certifiés. Rappelons que Sun a annoncé une version "trusted" de Solaris 10 11/06. C'est la première version de cet OS que Sun soumet à la certification depuis Solaris 8. Par ailleurs, IBM participe aussi à la validation de SLES 10 SP1 de Novell au même niveau que RHEL 5, lequel est en phase de certification sur les matériels de Hewlett-Packard. (...)

(19/06/2007 16:23:43)

Google inaugure YouTube.fr

C'est officiel. Google donne le coup d'envoi de la version française de YouTube, ainsi que de huit autres éditions localisées de son service de vidéo en ligne (Brésil, Irlande, Japon, Italie, Pays-Bas, Pologne, Espagne et Royaume-Uni). La localisation totale s'est effectuée en deux étapes. La première, annoncée aujourd'hui mardi 19 juin, voit les fonctionnalités de recherche ainsi que la page d'accueil entièrement traduite dans la langue cible. Le contenu est pour l'heure pioché dans la base de données de vidéo du site américain. La seconde étape a permis de localiser les classements et les commentaires, ainsi que les sections vidéo, chaînes, catégories et communauté, indique YouTube dans un communiqué. Comme nous l'annoncions le 12 juin dernier, Google, pour développer son service, s'est entouré de diffuseurs français. Et le panel est hétéroclite. Des chaînes de télévision (France 24, France 4, Euronews) côtoient des agrégateurs de contenu (INA), des organisateurs d'évènements (Le Tour de France 2007), des maisons de disques (Sony-BMG France), des associations humanitaires (Médecins du Monde), la presse (Glamour et le Nouvel Obs), des distributeurs (Fnac) et des plateformes de VOD (Vodeo.tv). Et même des représentants de partis politiques, tels que François Bayrou, Nicolas Sarkozy, Philippe de Villiers et Ségolène Royal. Au total, 29 partenaires français diffuseront un contenu sur YouTube. "Ouvrir un espace promotionnel dédié à France 4 et sous les couleurs de la chaîne est une réelle opportunité. Les 15-34 ans qui sont la cible de France 4 se trouvent aussi sur YouTube. C'est tout l'enjeu de cette opération : optimiser l'audience de France Télévisions sur les nouveaux supports ", explique Patrick de Carolis, président de France Télévisions. Selon une étude Comscore, la version américaine de YouTube totalisait autant de visites françaises que le site DailyMotion (français) en avril. Notons au passage l'absence de version allemande de YouTube, qui reste, toujours selon Comscore, le site de vidéo le plus regardé, loin devant MyVideo, en langue allemande et hébergé en Roumanie. "Les internautes allemands ont suffisamment de connaissance en anglais pour naviguer sur des sites anglophones", confiait Anca-Alina Seghedi à nos confrères d'IDG News Service. Et pour cause : on retrouve dans la liste des partenaires, la ZDF, la 20th Century Fox et la chaîne du FC Bayern. (...)

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