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(15/06/2007 16:33:31)

Libre vs propriétaire : le Syntec tranche... pour l'interopérabilité

Pour ne pas être pris en défaut de complaisance, le Syntec Informatique (principale chambre syndicale des SSII et des éditeurs de logiciels en France) s'est prononcé dans la bataille qui oppose les tenants de l'Open Source à ceux qui défendent les positions des technologies propriétaires. Sans grosse surprise, il a démontré sa volonté que le monde informatique, appelé à se prononcer en faveur de l'un ou l'autre, se dirige vers l'interopérabilité, vecteur selon lui d'innovations. Mais le Syntec Informatique a également adressé des critiques à peine voilées au service public qui privilégie, depuis quelques années, l'Open Source : « par le poids de l'investissement IT représenté en France par le secteur public, Syntec Informatique souligne l'importance pour le "Client du Secteur Public" d'interpréter la coexistence et le développement des deux modèles qui garantissent aux utilisateurs une création de valeur optimale au sein d'un écosystème logiciels et services plus compétitif. » En clair, face au modèle Open Source qui privilégie surtout le service, le Syntec rappelle qu'il existe des éditeurs en France à faire vivre... Les logiciels et services propriétaires représentent encore 98,6% du marché total Or, selon le Syntec Informatique, « le marché des logiciels et services de l'Open Source représente 450 millions d'euros sur un marché total des L&S de plus de 30 milliards d'euros, soit 1,4%. Ce marché devrait croître de 50% par an. » Ce qui signifie qu'en dépit d'un secteur public visiblement tenté par des solutions libres, les solutions propriétaires restent encore largement majoritaires en France. Pas de quoi s'affoler, donc. Mais la tendance est forte, soulignait récemment le cabinet Markess International. Selon lui, 11% des budgets informatiques du secteur public devraient être orientés vers les technologies Open Source cette année, et 14% en 2009. Dans la mesure où le gouvernement verra probablement s'ajouter quelques secrétaires d'Etat (dont un pour les NTIC ?), le Syntec essaie en ce moment de faire passer quelques messages au monde politique, et notamment celui-ci : ce serait se tirer une balle dans le pied pour un Etat que de privilégier systématiquement l'Open Source. Comme aime le rappeler Patrick Bertrand, DG de Cegid, le secteur du logiciel propriétaire en France fait vivre beaucoup de monde. (...)

(15/06/2007 16:04:54)

Une entreprise sur deux externalise ses applications et processus RH

La tendance à l'externalisation des fonctions d'entreprise, et plus particulièrement celles qui sont fortement répétitives et gourmandes en ressources, s'accélère. D'après une enquête menée par le société d'études Markess International auprès de 400 entreprises privées et publiques, la moitié d'entre elles déclare avoir déjà eu recours en 2006, ou envisage de recourir d'ici 2008, à une forme ou une autre d'externalisation de leurs applications et processus de ressources humaines (RH). Et ce de manière partielle ou totale, en recourant à des solutions RH en mode ASP, en externalisant une fonction RH complète dans le cadre de contrat de type BPO - Business Process Outsourcing - ou en s'orientant vers des services de traitement (infogérance d'application ou l'hébergement d'application RH). La réduction et la maîtrise des coûts restent les principales motivations poussant les entreprises à faire ce choix Parmi les deux autres apports majeurs cités figurent le recentrage sur le coeur de métier ou sur des tâches à valeur ajoutée (pour 42% des entreprises) et l'optimisation du « budget temps » (pour 16% des entreprises). Forte dynamique sur la paie, la formation et l'administration du personnel Tâche complexe, répétitive et à faible valeur ajoutée, le traitement de la paie est le premier domaine que les entreprises externalisent. Ainsi, 62% d'entre elles l'ont confié à un prestataire externe en 2006. Cette tendance va se poursuivre, pour concerner 68% des entreprises en 2008. Le deuxième domaine est celui de la formation et du développement des compétences (36% en 2008, contre 24% en 2006). Les évolutions légales et réglementaires, comme le DIF (droit individuel à la formation), constituant l'un des facteurs explicatifs de cette montée en charge. Enfin, l'administration du personnel, externalisée par 22% des entreprises interrogées en 2006, s'octroie la troisième position. Top 6 des applications et processus RH concernés par l'externalisation entre 2006 et 2008

Domaine applicatifTaux en 2006Taux en 2008
Paie 62%68%
Formation et développement 24%36%
Administration du personnel22%32%
Gestion du temps et des activités24%28%
Recrutement21%26%
Tableau de bord social et indicateurs15%19%
Source: Markess International (...)

(15/06/2007 15:50:13)

29% des réseaux WiFi parisiens ne sont pas sûrs, alarme RSA

En matière de sécurisation des réseaux WiFi, « la France est à la traîne », dénonce Bernard Montel, directeur technique pour la France et Israël de RSA, la division sécurité d'EMC. Selon la dernière étude sur la sécurité des réseaux sans fil des grandes villes réalisée par RSA, le nombre de réseaux WiFi détectés à Paris a en effet augmenté de 44% entre 2006 et 2007. RSA recense ainsi 566 points d'accès sécurisés, 93 hotspots et 145 points d'accès non sécurisés. Globalement, le nombre de réseau non sécurisés augmente de 35% par rapport à 2006. Toutefois, alors qu'ils représentaient 31% des réseaux en 2006, ce taux tombe à 29% cette année. Selon RSA, les hotspots publics sont également vulnérables. « Les collaborateurs nomades s'appuient sur des hospots fournis par des opérateurs ou établissements offrant un accès à Internet. Ces réseaux peuvent être sources de menaces importantes », assure Bernard Montel. RSA indique dans son rapport que, souvent, ces hotspots n'utilisent aucun système de sécurité. Aucune technologie ne serait aujourd'hui capable de garantir l'identité du fournisseur du point d'accès. Certains hotspots frauduleux sont tagués avec des noms de fournisseurs connus et de confiance. Pourtant, ils sont contrôlés par des pirates qui s'en servent pour soutirer des informations personnelles (numéros de cartes de crédit, login, mot de passe, etc.) aux utilisateurs connectés. Ce procédé est connu sous le nom de 'man in the middle'. Pour s'assurer de la sécurité d'un réseau WiFi, RSA recommande de mettre en place un VPN SSL ou IPSec, des processus d'authentification par mots de passe et certificats « et surtout d'adopter des règles de bon usage », énumère Bernard Montel. A Paris, même si le taux de réseaux sûrs atteint 71%, « il reste encore beaucoup d'entreprises pour lesquelles il y a beaucoup à faire ». Entre 20 et 25% des réseaux WiFi d'entreprise sont sans protection, à Paris comme à New York et Londres. La capitale française est cependant légèrement en retard en matière d'adoption de systèmes évolués de cryptage. Seuls 41% des réseaux sécurisés utilisent les normes 802.11i ou WPA. (...)

(15/06/2007 15:33:48)

Le DVD de Vista permet de craquer un système sous XP

Le meilleur outil pour craquer un système sous Windows XP ? Le DVD de Vista. Lancé en mode récupération de systèmes, le système du DVD ouvre une invite de commande avec les privilèges d'administrateur sans aucun mot de passe. Pratique, efficace, et certifié par Microsoft... Les détails de cette découverte (réalisée par un Finlandais, cf. ci-dessous) et moult commentaires (im)pertinents en français dans la section sécurité de notre site frère Réseaux et Télécoms.net. (...)

(15/06/2007 15:27:35)

Quelques compensations en créations de postes chez Alcatel-Lucent

Les négociations se poursuivent chez Alcatel-Lucent France. Lors de la seconde partie du comité central d'entreprise (CCE) qui s'est déroulé les 12 et 13 juin sur le site de l'équipementier de Vélizy, dans les Yvelines, la direction, qui refuse de revenir sur le plan de suppressions de 1 468 postes en France, s'est néanmoins engagée à créer 135 postes : 80 emplois ont été annoncés sur le site d'Orvault (fortement impacté par le plan de sauvegarde de l'emploi, avec 27 % des effectifs supprimés, soit 218 postes), 15 à Vélizy, 30 à Châteaufort et 10 à Lannion. Fin mai, la direction de l'équipementier télécoms avait déjà porté de 140 à plus de 300, le nombre de créations de postes dans ses activités en forte croissance. Pour les syndicats, ces mesures constituent un « progrès », mais elles restent loin d'être suffisantes. « Ces décisions sont loin d'être équitables, déplore Christian Le Bouhart, secrétaire du CCE. Certains sites ne sont pas logés à la même enseigne. Notamment Lannion et EU, confrontés à un problème de pyramide des âges, qui appelle à un renforcement de leurs activités. Nous demandons à ce que la direction, qui réfléchit actuellement à des solutions, soit en mesure de résoudre le problème. » Réponse le 18 juillet, date du prochain CCE de l'équipementier. (...)

(15/06/2007 13:59:10)

Microsoft propose de suivre les projets Scrum dans Visual Studio

Les équipes de développement de Microsoft ont trouvé la méthode agile Scrum tellement bien qu'elles se sont construit un outil pour suivre les évolutions des projets Scrum. Et elles ont trouvé leur outil tellement bien que Microsoft a décidé de le diffuser à tous ses clients. C'est ce qu'explique Soma Somasegar, vice-président de Microsoft responsable de la division développeurs, sur son blog, en annonçant la sortie de eScrum 1.0. eScrum est conçu pour s'intégrer avec les outils de gestion du cycle de vie de Visual Studio 2005 Team Foundation Server. Pour l'heure, l'interface repose sur l'explorateur de TFS, Excel et Microsoft Project. Une interface Web est prévue pour une version suivante. (...)

(15/06/2007 12:48:27)

L'ENST Bretagne ouvre son campus virtuel sur Second Life

D'ici à 2011, 80% des internautes et les entreprises les plus importantes auront une seconde vie virtuelle, prévoient certains analystes. Déjà, Second Life, en tant qu'agence de recrutement, intéresse les entreprises du secteur, comme Accenture, Capgemini et Unilog (groupe Logica CMG), et les cabinets spécialisés tels Expectra. Désormais, c'est au tour des établissements de l'enseignement supérieur de leur emboîter le pas. Après l'Insead et l'institut Ingémédia de l'université de Toulon, l'École nationale supérieure des télécommunications de Bretagne (ENST Bretagne), à la fois grande école et centre de recherche, ouvre son premier campus virtuel sur Second Life. L'île Telecom Bretagne, qui sera inauguré le 25 juin prochain, s'est fixée pour ambition de devenir un véritable lieu d'échanges virtuel pour les futurs candidats, les étudiants, les enseignants-chercheurs et les entreprises. Dans un premier temps, les lauréats du concours d'entrée pourront visiter le campus, s'entretenir avec professeurs et étudiants, et ainsi obtenir tous les éléments d'information nécessaires avant d'effectuer leur inscription. L'accès en 3D à des bâtiments dédiés à la recherche permettra également aux visiteurs de consulter les travaux des chercheurs et des thésards de l'école, de télécharger des documents, ou de diffuser des vidéos. Par la suite, les élèves seront amenés à développer des activités propres sur le campus Second Life : organisation de soirées, rencontres sportives. Ils développeront eux-mêmes les modules informatiques nécessaires à leurs activités. À terme, l'établissement développera des dispositifs de formations initiales et continues sur le principe de l'univers virtuel. Il faudra se connecter pour obtenir un suivi et un retour d'expérience. (...)

(15/06/2007 12:42:09)

Seulement 10% des formations sont consacrées à l'informatique et à la bureautique

Le secteur de la formation va plutôt bien... en dehors de l'informatique. La FFP (Fédération de la formation professionnelle) publie chaque année son observatoire. D'un point de vue général, les nouvelles sont donc bonnes, puisqu'en 2005, les organismes de formation ont réalisé un milliard d'euros de CA. L'analyse indique en outre « une progression de 4,3% pour 2005 et une évolution moyenne de 2,9% par an depuis 10 ans, à périmètre constant ». Pour ce qui est de l'activité en revanche, les résultats sont plus mitigés dans le secteur informatique : les fonctions administratives, bureautiques et informatiques représentent 10% de l'activité, classées au cinquième rang. Ces chiffres sont toutefois à relativiser puisqu'on trouve en tête, avec 27%, les formations spécifiques à des métiers, dans lesquelles on retrouve de manière transversale des modules pour les métiers de l'informatique. Ces résultats sont malgré tout très encourageants. Résultent-ils, au moins en partie, de la politique de « la formation tout au long de la vie » mise en place par Jean-Louis Borloo dans le précédent gouvernement ? La part de la VAE (validation des acquis de l'expérience) par exemple est en forte augmentation : en 2005, 32% des organismes ont reçu des demandes de VAE, soit 4 points de plus qu'en 2004. A noter que ces demandes émanent toujours en priorité des particuliers (61% contre 39% pour les entreprises). Mais des manques subsistent : sans grande surprise, le DIF (droit individuel de formation) reste marginal par rapport aux autres formations : sa part n'est que de 1,2%. Cependant pour 2006, elle passe à 2,2% et les organismes pensent qu'elle sera de 5,8% en 2007. Logiquement, sa part devrait continuer à croître chaque année. Les informaticiens, jusqu'alors réticents, résisteront-ils encore longtemps à l'appel que leur lancent les centres de formation ? (...)

(15/06/2007 12:12:27)

L'Indien Wipro met ses ordinateurs au vert

Le principal fabricant d'ordinateurs indien, Wipro Infotech, succombe à son tour à la mode du « green IT ». Il ne prend d'ailleurs pas le chemin le plus simple pour mettre ses ordinateurs au vert, puisqu'il suivra désormais les normes - draconiennes - de la directive européenne RoHS (Restriction on Hazardous Substance) qui interdit l'usage de certains produits dangereux pour l'environnement. Wipro lance à cette occasion GreenWare, une gamme de trois ordinateurs portable et de quatre PC de bureau, disponible immédiatement sans augmentation significative de ses prix. De plus, les autres produits de cette société seront également garantis sans métaux lourd, PVC ou retardateurs de flamme brominés. Wipro s'est engagé pour une fabrication plus écologique depuis 2005, après que Greenpeace a manifesté devant ses locaux de Bangalore pour dénoncer l'absence de retraitement des déchets électroniques en Inde. Depuis, la société a lancé un programme en septembre 2006 de recyclage des déchets, et devient aujourd'hui le premier fabricant indien à s'engager sur la composition de ses produits. (...)

(15/06/2007 09:38:18)

IBM met ses serveurs lames à la bonne taille pour les PME

IBM a annoncé qu'il commercialiserait à la fin de l'année les BladeCenters S, un ensemble châssis / serveurs lames spécialement conçu pour les PME (i.e. les entreprises de moins de 1000 salariés). Pour séduire ces PME, les BladeCenters S sont de petits châssis (7U, six emplacements), capables d'héberger tous les éléments nécessaires au système d'information, mais qui se posent sur un bureau et se branchent sur une prise électrique normale. Les châssis S utilisent des interfaces réseau Gigabit Ethernet et non 10 Gigabit Ethernet comme sur les autres BladeCenters. Bien que les produits soient encore en développement, IBM affirme qu'ils donneront au final un ensemble complet et facile à administrer. Il est même prévu d'adjoindre deux baies externes de disques (deux fois six disques) pour renforcer l'impression d'intégration. IDC prédit au marché des serveurs lames un taux de croissance annuel de 36% jusqu'en 2010, qui fera passer le marché de 3 Md$ en 2005 à 12 Md$. Cette forte croissance, rapprochée de la relative morosité de l'investissement des PME en serveurs sur la même période (il n'augmentera que de 13% pour atteindre 25 Md$), explique l'annonce d'IBM qui aimerait bien convertir les PME (20% de son CA total) à ses lames. Une invention utile pour maintenir les prix ? L'engouement pour les lames, qu'elles soient serveurs ou PC, repose sur un paradoxe. D'un côté, les utilisateurs s'équipent de systèmes dont le TCO (coût total d'exploitation) est attrayant en raison de leur faible encombrement, de leur moindre consommation et de leur facilité d'administration. De l'autre, les constructeurs vendent, a minima au même prix, des systèmes qui coûtent moins chers à fabriquer et, surtout, qui s'enfichent dans des châssis propriétaires. Ce dernier point réduit ensuite la concurrence et permet donc de maintenir artificiellement les prix et donc les marges. IBM, qui est en tête sur le marché des lames, est le premier à tenter de faire avaler cette pilule aux PME. Histoire de geler le marché à peu de frais, Big Blue est tombé dans le travers de pré-annoncer des produits sans leur prix. (...)

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