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(15/06/2007 18:28:26)

Le prix IE-Club distingue les PME Kxen et Sparus Software

L'éditeur de solutions de datamining Kxen a reçu hier soir le prix Réussite des « Leaders de la ITech-Economie », un événement organisé par l'IE-Club, association qui réunit autour de PME jugées innovantes les autres acteurs de l'écosystème de l'innovation. Dans la même catégorie « Outils et logiciels », le prix Espoir a été accordé à Sparus Software, qui édite une suite de gestion centralisée de terminaux mobiles communicants. C'est Microsoft qui a accueilli, dans ses locaux de la rue de l'Université à Paris, la 5e édition de ce prix qui soutient les PME disposant des meilleurs atouts pour réussir à l'international. Interrogée sur le cru 2007, Florence Ribes, partner d'Iris-Finance, banque d'affaires pour PME, et présidente pour la deuxième année du jury, a indiqué que la qualité des dossiers était très bonne. « Nous avons eu beaucoup de mal à effectuer notre seconde sélection et il y avait d'excellents dossiers parmi ceux que nous n'avons pas pu retenir. Ce qui est également remarquable, c'est qu'une bonne moitié des trente sociétés sélectionnées se sont déjà bien développées à l'international, ce qui n'était pas le cas lors des précédentes éditions du prix. On peut même dire que pour certaines d'entre elles, le marché français n'est pas significatif comparé à leur implantation internationale. » Un bon équilibre entre acteurs du logiciel, des télécommunications et de l'Internet Florence Ribes note par ailleurs dans l'édition 2007 du prix un bon équilibre entre les sociétés investies dans les activités de développement de logiciels, dans les telécommunications et sur le secteur Internet. Avec un regret toutefois. « Nous aurions aimé qu'il ait une meilleure représentation de sociétés engagées dans des projets de développement durable qui correspondent vraiment à une préoccupation du moment. C'est en partie la raison de notre coup de coeur à Recupyl, impliqué dans la récupération et le retraitement de piles. Un acteur de surcroît très international. Nous espérons orienter davantage notre sélection dans cette direction l'an prochain. » Quatre autres distinctions ont été décernées hier soir. Dans la catégorie « Services », le prix Réussite a été accordé à Arkadin, une société spécialisée dans les services de téléconférence (audio et Web), et Ubiquick qui s'est vu remettre le prix Espoir. Cette société organise l'accès à l'information sectorielle publiée sur Internet à destination des PME. Enfin, dans la catégorie « Equipement », les prix Réussite et Espoir ont été respectivement remis à Xiring et Quescom. Le premier est un éditeur de solutions de sécurité pour les transactions à distance, tandis que le second conçoit des solutions innovantes de convergence téléphonique Fixe-Mobile pour les entreprises et les fournisseurs de services. Un tremplin pour le prix European ICT Sur les quatre-vingts dossiers sélectionnés à la suite de l'appel à candidatures de l'IE-Club, trente sociétés ont fait l'objet d'une seconde sélection avant le choix final des lauréats. Trois critères de sélection ont été retenus par le jury du prix, composé d'entrepreneurs, d'investisseurs et de dirigeants de grandes entreprises (comme Microsoft ou Adobe). D'une part, le caractère innovant du service ou du produit proposé, d'autre part, le potentiel du marché sur le plan européen et international et, enfin, les réalisations effectuées par les sociétés (prix Réussite) ou leurs capacités de réalisation (prix Espoir) de l'entreprise à l'international. Florence Ribes rappelle que le prix de l'IE-Club se veut le pendant français du concours European ICT Prize qui distingue chaque année les entreprises européennes les plus innovantes. Les trente dossiers français retenus par le jury français constituent d'ailleurs une préselection pour ce prix européen organisé par Euro-Case, le Conseil européen des Académies des technologies et la Commission européenne. Si le prix de l'IE-Club était au départ ouvert à des entreprises européennes, dans les faits, ce sont essentiellement des entreprises françaises qui concourent. L'IE-Club regroupe des entreprises comme PriceMinister, Microsoft, Ernst & Young, le Groupe La Poste, Cartesis, EDF-DPAN, Inria-Transfert, Siparex Ventures ou encore la CCI de Paris. L'association s'est donnée pour mission d'observer les synergies qui se créent entre les PME innovantes et les autres grands acteurs de leur écosystème. Des rendez-vous réguliers lui permettent d'informer les actions les plus créatrices de valeur qui ont pu être identifiées. (...)

(15/06/2007 18:15:29)

ASS2L + grandes SSII = Fnill

Voilà plusieurs mois qu'Alexandre Zapolsky, PDG de Linagora et fondateur de l'ASS2L, Association des sociétés de service en logiciels libres, voulait transformer sa structure pour accueillir des acteurs plus importants. C'est désormais chose faite : le médiatique patron de Linagora a profité de la deuxième édition de la manifestation 'Paris, Capitale du Libre' pour se rebaptiser. Il faut donc désormais parler de la Fnill, Fédération nationale des industries du logiciel libre. La raison de ce changement de nom est simple, explique Alexandre Zapolsky : « Nous accueillons dans nos rangs six grosses SSII (Sopra, Unilog, Unisys, Osiatis, Steria et Cap Gemini), il nous est donc apparu nécessaire de rassembler nos membres (de petite, moyenne ou grande taille) au sein d'une véritable fédération, où chacun trouve son compte. » Mais pourquoi des SSII de cette taille souhaitent-elles faire partie de la fédération ? Jusqu'à présent, l'ASS2L comptait une soixantaine de membres, pour la plupart des petites sociétés, hormis Bull et, très récemment, IBM (c'est d'ailleurs à l'occasion de l'adhésion d'IBM que l'idée de la Fnill avait été évoquée). Pour Marc de Beaurecueil, responsable informatique de CRP et co-fondateur de l'ASS2L, ce phénomène semble logique pour deux raisons : « Le marché de l'Open Source, même s'il reste anecdotique (entre 2 et 3 % du marché selon le Syntec), est en forte croissance (+ 50 % par an, toujours d'après la même étude). Ces grosses SSII possèdent par ailleurs très souvent un département logiciels libres. Elles souhaitent mettre cette activité en lumière, promouvoir leur implication dans le domaine de l'Open Source, et gagner de la visibilité auprès de leur clientèle. » Autre explication, d'Alexandre Zapolsky cette fois : « La plupart des SSII ont développé un pôle OS, mais elle doivent accepter de nouveaux codes jusque-là inconnus : communiquer, partager les informations au sein d'une même communauté. Nous les aidons à franchir ce cap. » La Fnil ne compte pas s'arrêter là. Prochain objectif : conquérir d'autres SSII de grandes tailles, voire nouer des partenariats avec Dell ou HP. Pour le moment, la Fnill garde le même siège social que l'ASS2L, situé à Paris, mais une assemblée générale devrait décider en septembre prochain de l'implantation du siège, ainsi que de son nouveau directeur. Sans surprise, Alexandre Zapolsky sera candidat. (...)

(15/06/2007 17:44:41)

Sept universités et le Cnam basculeront sur SAP au 1er janvier 2008

Au 1er janvier prochain, dans le cadre du projet Sifac (système d'information financier), sept universités et le Cnam vont basculer leur gestion comptable sur un nouveau progiciel de gestion intégré (PGI), signé SAP : le CNAM, Lille 3, Nancy 1 et Nancy 2, Nantes, Paris 6, Paris 7 et Rennes 1. A l'issue d'un appel d'offres, l'Amue (l'agence de mutualisation des universités et des établissements d'enseignement supérieur et de recherche), qui pilote ce projet, a en effet retenu la solution de gestion comptable et financière de SAP pour équiper les universités françaises qui veulent renouveler leur système d'information. Les prestations de services associées sont assurées par l'intégrateur Steria, avec Accenture. Evoquant en toile de fond la perspective de l'autonomie renforcée des universités (un projet de loi se prépare), Jean-Pierre Finance, premier vice-président de la conférence des présidents d'université a souligné, lors d'une conférence de presse à la Sorbonne, « la nécessité impérieuse de disposer dans les meilleurs délais d'un système d'information pour maîtriser les leviers comptables permettant de mener de nouvelles actions et, surtout, de disposer d'outils de pilotage. » D'autres universités vont emboîter le pas aux huit établissements qui ont choisi de se lancer les premiers dans la migration. « Des déploiements industriels se feront à partir de 2009 », a précisé Michel Lussault, président de l'Amue. Trois vagues sont prévues. Un coût consolidé de 19 millions d'euros D'ici à 2012, quatre-vingts établissements vont rejoindre le projet Sifac. « Le coût consolidé sera de 19 millions d'euros », a indiqué Jacques Bernard, directeur de l'Amue en précisant que 11 millions d'euros seront financés par le fond de réserve constitué par l'agence de mutualisation et que les huit autres millions seront à la charge des établissements, se répartissant entre l'achat de la licence et la redevance annuelle. Le directeur de l'Amue estime que, par la suite, d'autres universités devraient également faire le même choix. De son côté, Michel Lussault commente la nécessité d'un nouveau système de gestion en rappelant que les partenariats entre les établissements et toutes sortes d'opérateurs imposent de se connecter aux autres systèmes d'information, ainsi qu'à ceux de l'Etat. Les capacités d'interfaçage de SAP ont pesé dans la décision. « Les établissements connaissent très mal leurs coûts », a par ailleurs rappelé Pierre Dumaz, président de l'association des agents comptables d'université, illustrant l'importance de disposer d'outils de comptabilité analytique. La loi organique oblige notamment à quantifier par rapport à des objectifs. Limiter les coûts de déploiements Enfin, la démarche proposée par Steria a également compté dans le choix effectué par l'Amue. Pour réduire les coûts de déploiement, l'intégrateur a proposé de capitaliser sur des développements déjà réalisés, notamment pour les modules de gestion des marchés publics et de mission des agents. Il a également été décidé un paramétrage commun à l'ensemble des universités avant le déploiement. Ce paramétrage a été réalisé au cours d'ateliers (160 personnes de 17 universités y ont participé deux jours par semaine pendant six mois) et il n'empêchera pas chaque établissement de respecter ses spécificités d'organisation. (...)

(15/06/2007 17:24:41)

Les budgets sécurité ne suivent pas les paroles, constate Devoteam

Pour la quatrième fois, la SSII Devoteam a fait le point sur la sécurité des systèmes d'information. Cent cinquante entreprises (grosses PME, grands comptes) et administrations, en majorité françaises, ont répondu à son questionnaire de trente-quatre questions. Il en ressort un constat paradoxal : si, d'un côté, l'importance de la sécurisation des systèmes d'information est reconnue, on ne trouve pas en face les ressources nécessaires pour sa prise en compte. Ainsi, pour 63% des entreprises, la sécurisation des systèmes d'information est un enjeu stratégique. Il n'empêche qu'elles sont 47% à ne pas avoir de budget dédié et que 86% estime que 5% de leur budget informatique suffit à sécuriser leurs systèmes. Elles ne sont d'ailleurs que 33% à avoir réalisé une évaluation globale des risques en 2006. Si on leur ajoute les 19% qui disent s'appuyer sur les résultats d'évaluations réalisées auparavant, on constate que près d'une entreprise sur deux n'a jamais conduit d'évaluation globale des risques. L'an dernier, la gestion des accès a été la préoccupation majeure dans 65% des entreprises. Ces risques liés à la malveillance arrivent juste devant ceux liés à l'indisponibilité du système d'information (46% des entreprises). Derrière ces deux menaces considérées comme majeures, arrivent très loin derrière les risques liés aux attaques DoS/DDoS (déni de service, 4%), aux messageries instantanées (6%), aux intrusions (7,5%). On notera encore que plus d'un RSSI sur deux (52%) dépend de la Direction des systèmes d'information de son entreprise. Ils ne sont que 31% à être rattachés à la direction générale. (...)

(15/06/2007 16:50:02)

Intel offre un coup de jeune à l'Itanium

Laissé de côté par la guerre des processeurs quadri-coeurs que se livrent actuellement Intel et AMD, Itanium n'est pas pour autant mis au rancard. Au contraire, Intel a annoncé une nouvelle feuille de route pour son processeur 64 bits historique. Celle-ci commencera dès la fin de cette année par Montvale, un dérivé du format Montecito actuel doté d'un bus frontal plus rapide. Les grands changements interviendront, eux, fin 2008, avec la nouvelle architecture Tukwila. Tukwila fera d'Itanium un processeur quadricoeur mais utilisera toujours une gravure à 65 nanomètres, à une date où le reste des processeurs Intel seront censés être en 45 nanomètres. Avec Tukwila, Intel proposera un chipset unique capable d'accueillir des processeurs Itanium et de futurs processeurs Xeon. Tukwila sera également doté d'une nouvelle technologie de mémoire appelée Double Device Data Correction, afin de permettre au serveur de continuer à fonctionner même après deux erreurs successives de la mémoire vive. Dès 2010, un troisième processeur Itanium devrait voir le jour, Poulson. Même si Intel n'a pas donné beaucoup de détails sur lui, ce processeur devrait être gravé à une finesse de 32 nanomètres. Il sera doté d'une nouvelle microarchitecture avec plus de coeurs et de mémoire cache, mais devrait pouvoir s'implanter sur les mêmes sockets que Tukwila. (...)

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