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(12/04/2007 00:00:00)

Thierry Drilhon, Directeur général Cisco France, vice-président Cisco Europe

Propos recueillis par Olivier Rafal, Rédacteur en chef, lemondeinformatique.fr (...)

(12/04/2007 00:00:00)

Interview vidéo de Pascal Houillon, Directeur général de Sage France

Propos recueillis par Olivier Rafal, Rédacteur en chef, lemondeinformatique.fr (...)

(11/04/2007 18:00:21)

Cisco, Sun et IBM poussent un standard pour le Fibre Channel

Neuf constructeurs impliqués dans les réseaux de télécommunications parmi lesquels Cisco, IBM (pourtant un des promoteurs de la technologie iSCSI), Brocade Communications, EMC, Intel ou encore Sun, viennent de demander au comité T11 de l'ANSI (American National Standards Institute), la mise en place d'un standard FCoE (Fibre Channel over Ethernet), destiné au stockage réseau (SAN). Il s'agit de concurrencer les solutions SAN iSCSI, réputées plus économiques, en permettant notamment l'utilisation de ports Ethernet standard à la place de cartes dédiées à la fibre, employées jusqu'ici par la technologie Fibre Channel. Autre avantage d'un tel standard : les temps de latence seraient raccourcis. Enfin, la nouvelle solution permettrait également d'abandonner le protocole TCP/IP jugé plus gourmand. Dans le même temps, les constructeurs ont soumis à l'IEEE (Institute of Electrical and Electronics Engineers) un projet pour améliorer l'efficacité du transport par Ethernet et d'éviter la perte de données en définissant jusqu'à 8 classes de transport. Le transport des paquets sur Ethernet nécessite en effet des étiquettes utilisées par les commutateurs du réseau pour définir les priorités et répartir les flux. L'étude des nouveaux standards par l'ANSI et l'IEEE devrait prendre entre 18 et 24 mois. En cas d'acceptation, il ne faut donc pas s'attendre à voir l'émergence de produits certifiés FCoE avant 2009 au mieux. (...)

(11/04/2007 17:58:58)

Bisbille entre Apache et Sun autour de la licence du Java Compatibility Kit

Dans une lettre ouverte adressée à Jonathan Schwartz, le PDG de Sun, la fondation Apache accuse le constructeur d'apposer une licence trop restrictive au Java Compatibility Kit (JCK), limitant ainsi le champ d'application d'Hamony, projet Open Source d'implémentation de Java SE de la fondation. Le JCK est indispensable à Harmony pour évaluer sa compatibilité avec les spécifications Java SE définies par Sun. "La licence que Sun offre pour le JCK impose des restrictions en termes de propriété intellectuelle qui en limitent le panel d'usage à nos utilisateurs", affirme Geir Magnusson, vice-président du projet Harmony et auteur de la lettre. "Ces restrictions sont totalement inacceptables pour nous. [Elles] sont contraires aux termes du Java Specification Participation Agreement (JSPA) auquel Sun est lié.", ajoute-t-il. Le JSPA représente l'ensemble des règles de gouvernance qui régissent le JCP (Java Community Process - qui coordonne les évolutions du langage Java). Et Geir Magnusson d'enfoncer le clou : la licence du JCK de Sun protègerait ainsi les propres intérêts commerciaux de Sun autour de Java, et ce au détriment des logiciels ouverts d'Apache. Magnusson explique avoir sollicité Sun pour l'obtention d'une licence depuis août 2006. En vain. Il conclut en demandant à Sun de lui fournir une licence en conformité avec la JSPA sous 30 jours. Ou de s'expliquer en public. (...)

(11/04/2007 16:45:43)

Citrix virtualise le poste de travail

Avec son Citrix Desktop Server 1.0, Citrix transforme le poste de travail Windows en service à la demande. Ce logiciel permet d'envoyer des environnements de travail entièrement personnalisés vers n'importe quel type de plateforme (client léger, PC ou Mac) accessible par le Web, et ce, que l'utilisateur final soit dans les locaux de l'entreprise ou chez lui, sur son ordinateur personnel. De plus, l'utilisateur peut choisir de stocker ses fichiers soit sur le disque dur de son ordinateur, soit sur l'espace de stockage virtuel qui lui est réservé sur le serveur de son entreprise. Pour Citrix, les coûts de gestion des postes de travail dans les grandes entreprises peuvent atteindre jusqu'à 5000 dollars par an, principalement pour adapter le parc à des systèmes d'exploitation toujours plus gourmands. Selon la société, le Citrix Desktop Server réduirait ces coûts de 40 %, puisque les services informatiques peuvent ajouter de la puissance de calcul, de la mémoire ou de l'espace de stockage directement dans la salle de serveurs sans se déplacer jusqu'au poste de travail. Le Desktop Server sera disponible avant l'été et reviendra à 75 $ par utilisateur. En attendant, Citrix commercialise dès à présent la huitième version de son distributeur d'application NetScaler. Cette nouvelle version intègre un réseau privé virtuel SSL et un pare-feu Web. Elle dispose également d'une méthode plus simple pour établir les règles de configuration et d'un moyen de surveiller l'utilisation d'une application par un utilisateur final. NetScaler 8.0 est commercialisé à partir de 17 500 $. (...)

(11/04/2007 16:30:01)

Quinze propositions pour relancer la création d'entreprise chez les jeunes diplômés

Les grandes écoles : un vivier d'entrepreneurs ? Allons donc. Parmi les jeunes passant directement du statut d'étudiant à celui de créateur d'entreprises, à l'origine de près de 7000 nouvelles entreprises en 2004, les bac+2 sont quasiment aussi nombreux (48% des jeunes entrepreneurs) que les ingénieurs (1,5% des promos sortantes) et les diplômés des écoles de commerce ou des formations au management (3,3% des promos, cursus universitaires inclus). Au delà de ce bilan quantitatif, l'étude commanditée au réseau d'innovation Retis (incubateurs et technopoles) et remise au ministre de l'Industrie ce 5 avril, résume la situation par deux autres constats de faiblesse : d'une part, l'insuffisance des collaborations tripartites entre les écoles d'ingénieurs, les cursus de management et les réseaux d'appui à l'innovation ; d'autre part, l'insuffisance des ressources mobilisables pour le développement du capital humain des jeunes entreprises innovantes. Ainsi, de la concertation organisée autour de ce rapport (250 personnes impliquées, questionnaire proposé à 150 écoles d'ingénieurs et une trentaine de cursus de gestion), trois séries de mesures ont émergé, susceptibles de remédier à cet état de fait. Des stages dans les PME innovantes Parmi la quinzaine de propositions présentées le 5 avril par Francis Bécard, directeur de l'ESC Troyes et président du réseau Retis, le ministre François Loos s'est dit particulièrement réceptif à celles visant directement le développement de l'esprit entrepreneurial des jeunes durant leurs études. A savoir : -la mise en place d'un parcours « Entrepreneurs-Etudes », à l'image des parcours « Sports-Etudes », qui serait proposé aux étudiants ayant fait preuve de certaines pré-dispositions dans leurs activités extra-scolaires ; -la promotion de stages et de missions amenant les étudiants intéressés au contact de la réalité des PME innovantes ; -l'attribution d'un label aux cursus axés sur l'entrepreneuriat étudiant qui associent écoles d'ingénieurs et de management ; -l'organisation d'un concours de l'entrepreneuriat étudiant (à la manière des concours de créateurs d'entreprises et autres tremplins de l'innovation, déjà organisés par l'Etat). Le rapport met l'accent, par ailleurs, sur l'un des paradoxes souvent signalé au sujet du fonctionnement des jeunes pousses dont les investissements sont principalement canalisés vers le R&D et le déploiement des compétences techniques au détriment des compétences managériales. D'où la suggestion d'attirer l'attention des étudiants au plus tôt, mais aussi celle de leurs enseignants et des dirigeants de start-up, sur les risques liés à ce déséquilibre. Et ce, par des mesures bien concrètes, allant de l'organisation de stages et de missions, facilitée dès lors que les étudiants les effectuent auprès de jeunes entreprises innovantes ou dans les structures d'appui (incubateurs, etc), jusqu'à la création d'un statut de dirigeant apprenant. (...)

(11/04/2007 16:23:24)

Iona reprend les développeurs d'ActiveMQ et ServiceMix

Iona a mis la main sur LogicBlaze, un petit éditeur privé spécialisé dans les outils Open Source pour les architectures orientées services (SOA). Les développeurs de LogicBlaze sont parmi les principaux contributeurs aux projets Apache ActiveMQ (un bus de messages) et ServiceMix (un bus de services, ou ESB). La plateforme de LogicBlaze, Fuse, ne survivra peut-être pas telle quelle à l'absorption par Iona. Larry Alston, vice-président d'Iona, explique que l'éditeur fera en sorte d'assurer une continuité pour la vingtaine de clients de LogicBlaze, mais qu'il est probable que les produits seront dispatchés dans les solutions d'Iona. « Et s'il s'avère qu'il s'agit d'un produit que nous pensons ne pas pouvoir supporter à long terme, nous ne le ferons pas. » L'acquisition est en effet davantage liée aux compétences internes de LogicBlaze qu'à son portefeuille produit ou client. Iona utilise des éléments de Fuse, et pourra ainsi accroître son expertise technique. Au début du mois dernier, Iona avait racheté une autre société privée, C24, pour ses capacités de gestion de données, qui viendront compléter son middleware Artix. (...)

(11/04/2007 15:32:04)

La VoIP pas prête pour le grand public, juge Forrester

Les services de VoIP sur le poste de travail sont trop compliqués à utiliser pour s'imposer de façon massive auprès du grand public. C'est la conclusion principale de l'étude « The VoIP customer experience : work in progress », menée par l'institut Forrester sur la pénétration des services de voix sur IP. Si la moitié des internautes européens connaissent le terme VoIP, ils sont seulement 8% à avoir essayé ce mode de communication. Certains d'entre eux n'ont pas transformé l'essai et, au final, seuls 4% continuent d'utiliser la VoIP sur leur PC pour leurs appels personnels. L'utilisateur type est un homme, ayant suivi des études supérieures et assoiffé de technologie. Si les applications permettant de communiquer oralement et à moindre frais depuis un ordinateur sont légion - les poids lourds étant Google Talk, ICQ, Windows Live Messenger, Skype et Yahoo Messenger - et même si l'installation et l'utilisation de ces logiciels tendent vers davantage de simplicité, Forrester les estime incapables de s'attirer un large public. Zayera Khan, analyste pour l'institut d'études, explique que les utilisateurs se sentent perdus entre des menus parfois confus voire abscons et des éléments clicables - boutons, icones, etc. - peu clairs. Des efforts louables chez Microsoft Autant d'éléments qui expliquent, selon l'étude Forrester, pourquoi seuls 4% des internautes plébiscitent la VoIP à partir de leurs messageries instantanées. Et ce chiffre n'est pas propre à l'Europe : en Amérique du Nord, 5% des connectés au Web utilisent la VoIP pour communiquer de PC à PC, et un petit pour cent pour passer des appels depuis un PC vers une ligne téléphonique classique. Parmi les applications disponibles, Forrester estime que celle de Microsoft déploie les efforts les plus louables pour séduire le grand public. A l'inverse, ICQ apparaît comme la moins susceptible d'attirer les masses : « ICQ semble tout simplement ne pas vouloir séduire un large public », juge Forrester. A côté des grands acteurs émergent des projets alternatifs misant sur une utilisation facile pour s'octroyer des parts de marché. Citons, parmi eux, Jajah, SightSpeed ou Gizmo Project, trois outils disponibles en français. (...)

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