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(30/03/2007 17:54:40)

Red Hat dit conserver la clientèle de Yahoo! malgré Oracle Unbreakable Linux

C'est la parole de Matthew Szulik, PDG de Red Hat, contre celle de Larry Ellison, le patron d'Oracle. Non, affirme le premier, Yahoo! ne l'a pas quitté pour le second, qui propose depuis peu une offre alléchante de support aux utilisateurs de Linux Red Hat. C'est à l'occasion de la présentation de résultats guère encourageants (des bénéfices au quatrième trimestre de 20,5 M$ contre 27,3 M$ pour la même période l'année précédente) que Matthew Szulik a tenu à apporter ce démenti aux affirmations d'Oracle, qui citait il y a quelques jours des noms prestigieux de clients pour son offre de support Linux « incassable ». « J'ai parlé avec Yahoo! hier et ils ont rapidement dit qu'ils ont eu et continuent d'avoir une relation très réussie avec Red Hat », a insisté Matthew Szulik lors d'une conférence de presse téléphonique. Il a même laissé entendre que le groupe de médias Web pourrait augmenter son utilisation de Linux Red Hat. Yahoo! a de son côté publié un communiqué, indiquant qu'il utilise à la fois des produits Red Hat et Oracle dans son infrastructure. (...)

(30/03/2007 17:35:04)

IBM fournit du code Open Source pour migrer de JBoss à Websphere

Dans un grand élan de générosité, IBM et Covalent (spécialiste de la maintenance de Geronimo) ont fait don de code source à la communauté Apache Geronimo. Les outils donnés servent en fait à automatiser la migration d'applications écrites pour le serveur d'applications JBoss vers un serveur d'applications basé sur les technologies Apache. Dont Geronimo... mais aussi Websphere Application Server Community Edition, le serveur d'applications Open Source d'IBM (acquis via la rachat de Gluecode en mai 2005). Les outils sont constitués de plug-in pour l'environnement de développement Eclipse. Ils génèrent les fichiers de configuration appropriés, explique Paul Buck, directeur du programme Websphere Open Source d'IBM. « Par le passé, dit-il, les entreprises qui voulaient migrer [vers Apache Geronimo] devaient fournir un gros effort manuel pour changer les descriptifs de l'application... et réaliser les changements de code là où il y a des nuances subtiles entre les deux serveurs d'applications. L'outil examinera l'application J2EE elle-même afin d'identifier tout changement requis dans le code source aux endroits où nous savons qu'il existe des différences. » (...)

(30/03/2007 17:01:51)

Un club utilisateurs pour le PGI Microsoft Dynamics NAV

Sur les 52 000 clients de son progiciel de gestion intégré Dynamics NAV, venus à lui par le rachat du Suédois Navision en 2003, Microsoft en compte 1 350 en France. Rappelons que ce PGI a été conçu pour des PME comptant de 20 à 500 salariés. En France, la moitié de la base installée Dynamics NAV est constituée par des PME filiales de grandes entreprises. C'est à l'occasion de la présentation, par l'éditeur, de la version 5.0 du produit que ces clients ont annoncé la création d'un club des utilisateurs français de MS Dynamics NAV, association indépendante de Microsoft. Le nom choisi pour ce club, « Evoluons ensemble », dénote comme pour toute initiative de ce genre la volonté de mettre en commun les expériences concrètes des utilisateurs pour tirer le meilleur parti de l'outil. C'est le directeur des systèmes d'information de la société Holdis, Christophe Turlin, évoluant dans le secteur de la distribution agricole, qui prend en charge les fonctions de président du club. Les fonctions de trésorier sont quant à elle assurées par Bernard Scherer, directeur administratif et financier de la société Steritech, fabricant de systèmes de stérilisation pour les industries agro-alimentaires et pharmaceutiques. (...)

(30/03/2007 16:55:27)

Les informaticiens ont meilleur moral que les autres salariés

Heureux informaticiens, particulièrement sensibles au retour à une conjoncture favorable. Satisfaits globalement de la façon dont leurs employeurs les considèrent, ils estiment (dans près de 80% des cas) que leur entreprise est performante, réactive, innovante. Et que celle-ci traite bien ses clients, ses fournisseurs, ses actionnaires et ses salariés - sauf pour un tiers d'entre eux qui se montrent plus critiques. Ainsi, selon l'enquête réalisée en février pour l'Association nationale des informaticiens de France (Anif) par OpinionWay auprès d'un échantillon représentatif de 1184 informaticiens (échantillon représentatif des diverses catégories d'employeurs - SSII, entreprises utilisatrices, éditeurs, distributeurs, opérateurs -, des tranches d'âge, de la répartition géographique), le camp des optimistes est nettement plus fourni chez les professionnels de l'informatique que parmi les salariés cadres et non cadres (échantillon comparable de 1012 personnes travaillant dans des grandes entreprises, baromètre HR Tracking d'OpinionWay). Un optimisme manifeste, tant pour la pérennité de leur emploi (75% des informaticiens se disent optimistes, contre 63% pour l'ensemble des salariés), que pour l'intérêt de leur travail (65% contre 51%), ou pour l'évolution de leur parcours professionnel (62% contre 38% pour les salariés). Tout juste se montrent-ils plus critiques concernant la charge de travail (alourdie pour 46% d'entre eux), l'évolution de leur rémunération (en dessous de leurs espérances pour 56%) et sceptiques quant au niveau de leur future retraite (pour 74%). Une certaine fierté Le fait le plus marquant de cette enquête : en large majorité, les informaticiens ne doutent guère de leur valeur sur le marché de l'emploi. Ils se sentent capables d'intéresser d'autres employeurs (81%) et d'échapper à la discrimination à l'embauche (76%). « Sans doute, la conjoncture actuelle joue-t-elle à plein, commente Michèle Avelka, vice-présidente de l'Anif, et la même enquête faite trois ans plus tôt n'aurait pas donné les mêmes résultats ». D'ailleurs, à 90%, ils estiment que l'état actuel du marché est clairement en leur faveur. A 88%, ils sont plutôt fiers d'exercer ce métier qui, pensent-ils, conserve une bonne image (86%). Néanmoins, ils doutent un peu plus de leur capacité à garder un emploi jusqu'à la retraite (46% en doutent). [[page]] Et c'est là tout le paradoxe relevé par cette enquête d'opinion. Car si, globalement, l'optimisme l'emporte au vu de leur situation actuelle (avec de bonnes relations avec les collègues de travail, un travail de qualité, de bonnes conditions et une bonne ambiance de travail, une sécurité de l'emploi supérieure à la moyenne des salariés, etc.), l'avenir est pour eux beaucoup plus flou. Des besoins de formation non assumés Ainsi, près de la moitié note l'insuffisance des possibilités de formations (49%) et des perspectives d'évolution dans leur entreprise (57%). Et 36% des informaticiens interrogés se disent prêts à changer d'entreprise (contre 31% pour l'ensemble des salariés). Voire, si nécessaire, à changer de région (52%) ou de pays (41%). Ils reconnaissent (pour 83%) qu'être capable de mobilité fonctionnelle est un atout incontestable pour leur évolution professionnelle, mais que leur entreprise ne le leur propose pas (63%) et qu'ils ne comptent pas trop non plus sur leur entreprise pour le leur permettre (45%). De fait, pour plus d'un informaticien sur deux, les besoins de formation ne sont pas suffisamment couverts par l'entreprise. Un comble à l'heure du DIF (droit individuel à la formation), pour une profession qui dépend de façon quasi-existentielle de l'actualisation des compétences. De même, si les informaticiens ont pris conscience des risques de perdre de leur valeur sur le marché du travail (la fameuse employabilité), ces risques sont pour eux liés à l'externalisation (pour 56%), à l'offshore (54%), à l'évolution accélérée des technologies (49%) plus qu'à leur âge (28%, probablement du fait de la constitution de l'échantillon de l'enquête). Si, globalement, les informaticiens ont une critique à formuler à l'égard de la gestion des ressources humaines, c'est majoritairement sur le volet de la gestion des carrières (pour 63% d'entre eux) et de la prise en compte de leurs besoins de formation (pour 55%), plus que sur le volet des relations sociales (56% se disent satisfaits). Mais en prennent-ils leur parti ? Indifférents car opportunistes ou résignés, ou encore naïfs ? Toute la question est là, selon l'état major de l'Anif. Pour cette association qui a pour vocation d'aider les informaticiens à prendre en mains l'évolution de leur parcours professionnel, sur la base d'une information actualisée et concrète, la suite de ce relevé barométrique de l'état d'esprit et du moral des informaticiens passe par la mise à disposition sur le site de l'Anif du questionnaire qui a servi de base à l'enquête, afin que chacun puisse librement se « benchmarker ». Avec un relais assuré - probablement - par le site de Microsoft France. Et avec l'espoir de pouvoir renouveler, l'an prochain, le constat d'une profession consciente de ses atouts, mais aussi de ses risques. (...)

(30/03/2007 16:45:12)

Un site pour tester l'éligibilité ADSL/SDSL/Fibre

Le grand public peut depuis longtemps tester gratuitement en ligne l'éligibilité d'une ligne téléphonique à l'ADSL. L'opérateur Celeste, qui revendique 10 000 utilisateurs en France et à l'étranger, propose désormais un service équivalent aux entreprises. Il s'agit cette fois de tester, sur Celeste.fr, l'éligibilité d'une ligne non seulement à l'ADSL mais aussi au SDSL et à la fibre. Le service se base sur la situation géographique du détenteur de la ligne pour déterminer son éloignement par rapport au DSLAM (pour le raccordement en ADSL et SDSL) et par rapport au réseau de fibres optiques. « On estime qu'une entreprise est éligible lorsqu'elle est à moins de 200 mètres d'un réseau de fibres optiques, explique le gérant de Celeste, Nicolas Aubé. Au-delà, le coût du raccordement est trop élevé. » Selon les politiques de subvention éventuelles de la part des collectivités locales, le coût du raccordement à la fibre peut se situer bien en dessous de 3000 euros, indique Nicolas Aubé. Donc clairement moins que ce doivent coûter les travaux de génie civil. (...)

(30/03/2007 15:46:07)

Test d'une batterie verte pour alimenter l'OLPC à 100$

L'OLPC embarquera-t-il une batterie verte avant tous les autres fabricants ? C'est ce qu'a laissé entendre un responsable de One Laptop Per Child, projet visant à équiper tous les enfants des pays en voie de développement d'un petit ordinateur à 100 $. En mai, la troisième version test de l'OLPC devrait être équipée d'une batterie Lithium Ion Phosphate. Les avantages ? Moins de risque d'accidents, des matériaux moins toxiques. Ce type de batterie peut certes stocker plus d'énergie que la batterie NiMH retenue à l'origine pour l'OLPC. Mais moins que les batteries Lithium Ion, qui équipent la plupart des ordinateurs portables récents. Comment recharger cette batterie, lorsqu'on n'a pas courant électrique ? Les recherches du MIT Media Labs s'orienteraient désormais vers un générateur manuel, qui ressemble à un Yo-Yo équipé d'un fil. Il suffirait de tirer sur ce fil pendant 10 minutes pour produire 1 heure d'énergie sous traitement de texte, ou 40 minutes en application multimédia. Ce générateur développé par Potenco pourrait être incorporé au chargeur électrique du portable, plutôt qu'à l'ordinateur, pour éviter de soumettre l'OLPC à des contraintes physiques trop violentes. (...)

(30/03/2007 15:33:12)

Quinze mesures pour réduire la fracture numérique

Une vingtaine de chercheurs, juristes et chefs d'entreprise du secteur des NTIC, réunis au sein de l'association Renaissance Numérique, décrite comme un club de réflexion, viennent de présenter un livre blanc intitulé « L'Internet pour Tous ». On y lit notamment qu'avec 40 % de foyers connectés contre 70 % en Allemagne, la France est en retard « contrairement à ce que nos bonnes performances en matière de haut débit peuvent laisser croire ». Renaissance Numérique envisage donc 15 mesures pour que 80 % de foyers disposent d'Internet en 2010. Un discours en phase avec la sinistrose ambiante, mais pas forcément raccord avec le discours que des grands patrons de l'industrie informatique en France peuvent développer (voir notre série d'interviews vidéos au sujet des programmes des candidats à la présidentielle en matière de NTIC). « En France, le taux de connexion des foyers est inférieur à la moyenne de celui des 25 pays européens » écrivent les signataires du livre blanc. Qui expliquent que « cette situation n'est pas une fatalité et des solutions existent pour rattraper ce retard d'ici 2010. Renaissance Numérique a élaboré 15 mesures-clés pour faire de notre pays une puissance au coeur du numérique et pour permettre l'accès de tous à Internet. » Renaissance Numérique estime que « la maîtrise des Technologies de l'Information et de la Communication (NTIC) permettra de redonner un second souffle au pluralisme démocratique et de stimuler la productivité de notre économie ». Qui devrait se traduire par un point de croissance supplémentaire, comme le Syntec le disait dans sa propre lettre ouverte aux candidats à la présidentielle. Renaissance Numérique souhaite aller au-delà des mesures gouvernementales telles que « le portable à 1 E » - qui est en fait une mesure liée au crédit - en proposant notamment de subventionner 100 000 étudiants boursiers pour l'achat de leur micro-ordinateur, de mettre sur le marché des ordinateurs reconditionnés à 99 E (l'association estime que 50% des ordinateurs jetés peuvent être reconditionnés) ou encore de faciliter la donation - ou la vente à prix réduit - par les entreprises et les administrations de leurs PC à leurs employés par des mesures fiscales et comptables appropriées. Pour la création d'un poste ministériel lié aux NTIC Un effort doit également être fait pour combattre l'appréhension numérique, notamment par la formation. Particulièrement dans la sphère professionnelle et parmi les retraités. Le livre blanc préconise notamment l'échange « RTT contre formation NTIC », à raison d'une journée par an dans le cadre du dispositif 'compte épargne temps'. Renaissance Numérique propose aussi de fédérer et systématiser les initiatives liées au 'passeport Internet', en y associant notamment l'ANPE, afin de former les chômeurs. Le club demande aussi une campagne de sensibilisation du grand public, et davantage d'efforts en faveur des handicapés et des personnes âgées - en termes d'accessibilité aux sites Web, ainsi qu'en faveur des « jeunes des quartiers défavorisés », par exemple en multipliant le nombre de bornes publiques d'accès à Internet. A l'instar du Syntec, Renaissance Numérique recommande de sensibiliser et de former les TPE à l'usage d'Internet. Cela passerait notamment par « la poursuite du développement des services d'administration en ligne destinés aux TPE, les incitant à s'équiper et à se connecter », et par la mise en place de crédits d'impôts pour l'achat d'équipements. Le livre blanc s'intéresse également à « un modèle de société numérique permettant de hisser la France au rang des premières puissances numériques dans le monde ». D'après les auteurs, un accès à Internet plus égalitaire permettrait de « réduire l'e-exclusion ». Et afin que la France accorde aux NTIC l'attention qu'elles méritent, Renaissance Numérique suggère, toujours comme l'avait fait le Syntec, « la désignation d'un haut fonctionnaire en charge des NTIC, sinon d'un ministre délégué auprès du Premier ministre ». (...)

(30/03/2007 12:43:52)

Trois écoles en finale du concours de développement Ricoh-Sun

Aujourd'hui, 30 mars, trois équipes d'étudiants sélectionnées pour participer à la deuxième manche du concours européen de développement organisé par Ricoh et Sun, se confrontent au siège francilien du fournisseur de solutions d'impression Ricoh. Et les gagnants français de la première manche de sélection sont... les étudiants de l'université du Havre, de Supinfo et de l'IIE (Institut Informatique & Entreprises) de Valenciennes. L'épreuve d'aujourd'hui consiste à présenter les travaux de migration vers un périphérique multifonction de l'application innovante (application Java, développée à l'aide de l'atelier SDK/J) qui leur a permis de se distinguer. A savoir : - pour l'équipe de l'IEE Valenciennes, un « ChatTools » qui permet d'instaurer un dialogue en temps réel entre un client en difficulté sur un équipement multifonction et la hotline ; - pour l'équipe du Havre, l'application « Timager » qui permet d'automatiser des tâches sur une imprimante multifonctions, et modulaire, de façon à ce que l'utilisateur puisse configurer lui-même les fonctionnalités qu'il souhaite ; - pour l'équipe de Supinfo, l'application «Get&Print» qui permet de simplifier la gestion distribuée des documents de l'entreprise (en intégrant les connexions Samba et FTP) avec un suivi du parcours des documents sur les différentes connexions via un explorateur, doté de fonctions de filtrage et de recherche. Dans la sélection des projets-étudiants entrait également un critère pédagogique, notamment la confrontation aux contraintes du matériel, que ne manquent pas de souligner les enseignants qui ont encadré ces équipes. Avec de plus, en ligne de mire, une invitation à la grand-messe JavaOne de San Francisco. L'équipe gagnante de cette seconde manche nationale sera invitée à participer à l'épreuve de sélection européenne qui aura lieu les 19 et 20 avril à Prague, au Centre de développement de Sun Microsystems. (...)

(30/03/2007 11:28:54)

L'Afdel propose une assurance spécifique pour les éditeurs de logiciel

L'Afdel (Association française des éditeurs de logiciel) s'est associée à un assureur, Hiscox France, pour mettre au point une assurance responsabilité civile spécifiquement adaptée aux éditeurs de logiciels. L'Afdel estime que de nouveaux risques sont apparus récemment, du fait de l'essor de la fourniture d'applications hébergées, de la dépendance accrue des clients envers leurs solutions logicielles ou encore des « coûts élevés des actions récentes liées à la propriété intellectuelle ». La commission métier de l'Afdel, présidée par le patron de W4, Laurent Hénault, a donc rédigé et soumis un cahier des charges à divers assureurs, afin de couvrir « la réparation financière des préjudices subis » par les clients utilisateurs de logiciels, et « les frais de défense associés ». L'appel d'offre a été remporté par la filiale française du groupe britannique Hiscox. (...)

(30/03/2007 11:11:27)

Alcatel-Lucent atteint 25,6 Térabits/s sur une fibre optique

Lors de la conférence OFC/NFOEC d'Anaheim en Californie, Alcatel Lucent a annoncé que ses équipes de R&D avait atteint les 25,6 Tbit/s sur une seule fibre, en utilisant 160 canaux en multiplexage en longueur d'onde WDM. Le test a été effectué sur 3 tronçons de 80km. L'équipementier pulvérise ainsi le record du monde fixé depuis septembre 2006 à 14 Tbit/s. "Les réseaux optiques représentent un facteur clé dans la révolution du haut débit sur IP à laquelle nous assistons aujourd'hui dans le monde entier," a affirmé Romano Valussi, président des activités optiques d'Alcatel-Lucent. "L'expérience que nous acquérons lors de ces essais aidera Alcatel-Lucent à concevoir les systèmes dotés de la plus grande densité spectrale d'information et de la plus large bande passante possibles dont nos clients bénéficieront lorsque des réseaux de ce type seront déployés », conclut-t-il. (...)

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