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(14/03/2007 12:22:53)

Viacom poursuit YouTube et réclame 1 Md$

Viacom, l'un des géants des médias américains, poursuit YouTube - et sa maison mère, Google, pour violation massive et intentionnelle du droit d'auteur. Le site de partage communautaire aurait diffusé 160 000 vidéos dont les droits appartiennent à Viacom, lesquelles auraient été visionnées plus d'un milliard et demi de fois. En réparation, le plaignant réclame 1 Md$ à YouTube, site que Google s'est payé pour 1,65 Md$ en octobre 2006. Le mois dernier, Viacom enjoignait le tentaculaire moteur de recherche de retirer 100 000 clips de YouTube. Une requête à laquelle Google semblait vouloir accéder. Mais le propriétaire de MTV et Paramount Pictures n'a pas souhaité attendre un éventuel signe de bonne volonté de Google et a préféré porter l'affaire devant les tribunaux, soulignant l'existence de négociations improductives. « YouTube a bâti une activité lucrative en exploitant l'attachement d'admirateurs à la création des autres afin de s'enrichir. Leur modèle économique, basé sur le trafic et la vente de publicité reposant sur un contenu non autorisé, est clairement illégal et va manifestement contre les lois sur le droit d'auteur », estime Viacom dans son dépôt de plainte. De son côté, Google estime que "YouTube offre aux détenteurs des droits l'opportunité d'interagir avec les utilisateurs, de promouvoir leur contenu auprès d'une audience jeune et grandissante, et de se positionner sur le marché de la publicité en ligne". Un marché sur lequel repose la fortune de Google via les liens sponsorisés commercialisés par sa régie. Et Google de poursuivre : "Nous ne laisserons certainement pas cette affaire venir distraire la croissance continue et les solides performances de YouTube ni sa capacité à attirer davantage d'utilisateurs, davantage de trafic et à bâtir une communauté plus solide". En novembre 2006, soucieux d'éviter l'écueil d'un dispendieux procès comme celui intenté par Viacom, les dirigeants de Google avaient multiplié les contacts avec les représentants des médias traditionnels afin de signer des accords de diffusion, quitte à y laisse quelques centaines de millions de dollars. Viacom faisait partie de la liste des entreprises avec lesquelles les VRP de Google s'étaient entretenus. En dépit de l'extraordinaire succès dont jouit YouTube, il est légitime de s'interroger sur la pertinence de l'opération qu'a réalisée Google en se payant le site de partage de vidéos. La somme dépensée n'était-elle pas démesurée au regard du mode de fonctionnement "limite" de YouTube et des onéreuses conséquences judiciaires susceptibles d'en découler ? D'autant que les recettes publicitaires ne semblent pas à la hauteur des espérances : alors que Google espérait pouvoir tirer 100 à 150 M$ de son acquisition en 2006, le cabinet Bear Steams a récemment estimé que YouTube n'aurait rapporté que 15 M$ à son nouveau propriétaire. (...)

(14/03/2007 11:24:25)

Cebit 2007 : une édition en perte de vitesse, selon les critiques

Le virage grand public opéré il y a quelques années du plus grand salon de l'informatique et de l'électronique en Europe, le Cebit, donne cette année des frissons aux organisateurs. L'édition 2007 de la grande Messe pourrait bien manquer sa cible, et définitivement perdre son identité professionnelle. Effet Comdex ? En jouant la carte de la variété et en proposant de plus de plus de stands réservés au grand public (jeux, gigantesques écrans), le Cebit pourrait se couper de ses exposants de base, historiquement professionnels, qui désormais réfléchissent à deux fois avant de s'inscrire, notent certains critiques. Pire, le salon pourrait davantage séduire un public de consommateurs lambda, attiré par la multitude de téléphones portables et de stands multimédia. Privant au passage les entreprises exposantes de leur principal point de rencontre avec leur cible « business ». Le Comdex de Las Vegas avait décliné et fini par disparaître du même mal, les constructeurs et éditeurs préférant rencontrer leurs clients professionnels dans des hôtels aux abords du salon lui-même. En se positionnant sur le grand public, le Cebit risque également de rivaliser avec l'IFA de Berlin, autre salon spécialisé dans les produits du marché de l'électronique « Consumer ». « Le retour sur investissement d'une présence au Cebit n'est pas vraiment valable », souligne ainsi Christine Nöstelbacher, directrice marketing d'Open Text, qui a fait le choix de ne pas participer au salon cette année. « Notre cible ne correspond finalement plus avec celle du Cebit », poursuit-elle. Un sentiment partagé par d'autres gros fournisseurs de technologie, pourtant engagés sur le front du grand public : Motorola et Nokia ont également décidé d'éviter l'édition 2007. S'engageant dans une brèche laissée béante par Dell et HP qui, eux aussi, ont abandonné la Grand Messe il y a des années. « Le nombre d'emplacements vendus a lui aussi chuté cette année », regrette Kristina Siebert, porte-parole de la Deutsche Messe, société organisatrice de l'événement. 280 000 m² vendus cette année, contre 300 000 m² en 2006. Une perte de vitesse qui se transmet également au nombre de visiteurs pré-enregistrés : « 6 000 sont attendus pour cette édition, contre 6 200 en 2006, et 8 000 en 2001 », note Katharina Siebert. La Deutsche Messe avait recensé plus de 450 000 visiteurs pour l'édition 2006. Un plan pour raccourcir le Cebit et le recentrer en semaine Pour la première fois, les hôtels d'Hanovre n'affichent pas complet plusieurs mois avant l'ouverture du Cebit. Et les réservations de dernière minute sont « un peu difficiles », mais réalisables, commente un responsable de Travel2Fair, qui prend en charge les réservations des visiteurs. Impensable pour une ville dont la population triplait durant la période il y a quelques années. Pour la Deutsche Messe, interrogée par IDG News Service, « le Cebit n'a rien perdu de sa verve professionnelle et le salon a toujours exposé des produits grand public, qui attirent à la fois les professionnels et les consommateurs lambda ». Et de lancer : « 85 % des participants sont toujours pro ». Quoiqu'il en soit, la Deutsche Messe a décidé de prendre le problème à bras le corps et, dans le cadre d'un plan de restructuration, propose de raccourcir la manifestation de sept à six jours et de fixer son ouverture le mardi au lieu du sacro-saint jeudi. « Quatre jours consécutifs en semaine sont généralement plus enclins à séduire les entreprises. Le week-end attirant davantage le grand public. » La rédaction du mondeinformatique .fr couvrira le Cebit jusqu'à la fin de la semaine. Visionner notre reportage sur l'ouverture du Cebit 2007 (...)

(14/03/2007 10:29:21)

Convergence 2007 : Microsoft renforce la verticalisation de ses PGI

Microsoft n'a jamais caché son intérêt pour les solutions métier développées par ses partenaires autour de ses progiciels de gestion intégrés (PGI). Avec son programme Industry Builder Initiative (IBI), l'éditeur avait déjà fait une place particulière à certains développements certifiés qui bénéficiaient de son soutien rapproché. A l'occasion de sa conférence utilisateurs Convergence (San Diego, 11-14 mars), il a confirmé son intention de renforcer sensiblement son engagement sur ce terrain. Il monte ainsi en puissance sur cinq secteurs d'activité pour lesquels il proposera des fonctions métier directement dans son offre : la distribution, les circuits de vente, les industries de fabrication, le secteur public et les services. Pour la cause, son programme IBI se transforme en « Microsoft Dynamics Industry Solutions », une démarche qui, cette fois, s'apparente davantage à de l'intégration OEM. Les applications proposées sur ce mode sont en effet fortement intégrées au progiciel Dynamics qu'elles spécialisent pour un métier et elles sont vendues sous la marque Microsoft. L'éditeur de la gamme Dynamics en assure lui-même le support, ainsi que la commercialisation auprès des autres partenaires, ces derniers pouvant de leur côté concevoir des fonctions complémentaires à ces offres verticales. Et, naturellement, ces « Industry solutions » suivent les évolutions du produit Dynamics auquel elles s'intègrent, la livraison de leurs mises à jour respectives s'effectuant simultanément. Pour mener à bien cette politique, Microsoft prévoit aussi de racheter certaines technologies. En s'impliquant de cette façon sur cinq secteurs, l'éditeur apporte aux clients qui choisiront ces offres métiers une garantie de suivi par rapport à des produits gérés de façon indépendante par un partenaire. Des verticalisations dans l'industrie pour Dynamics AX L'offre Dynamics AX (7 500 clients dans le monde, principalement en Europe) illustre bien cette évolution. Bien implantée sur le secteur de la fabrication, elle dispose déjà d'une verticalisation pour les industries de process (industries produisant par mélange, typiquement l'agro-alimentaire). Cette solution, développée par l'intégrateur FullScope, fait désormais partie intégrante de la ligne AX. Et pour s'adresser aux industries d'assemblage, Microsoft vient d'annoncer l'acquisition de la société eBECS, spécialisée dans le « lean manufacturing » (méthode de gestion industrielle tournée vers la réduction des gaspillages). Cette offre sera proposée comme un module de Dynamics AX d'ici à la fin 2007. Sur le secteur public, c'est la société Tyler Technologies qui apportera son expertise en matière de comptabilité publique sur le marché américain. Mais dans ce domaine, chaque pays a ses spécificités et Microsoft prévoit de nouer des partenariats locaux pour les marchés européens. Parallèlement, Microsoft continuera à encourager, dans l'éco-système Dynamics, le développement de solutions partenaires venant compléter son offre sur des segments parfois très pointus (la gestion des déchets, par exemple, avec Naviwaste, en France). Il arrive que le choix d'un progiciel se fasse, notamment en PME, sur la disponibilité de fonctions particulièrement ajustées à un besoin précis. Actuellement, il existe quelque 5 000 applications ou add-on bâtis au-dessus ou en complément de l'offre Dynamics (à la fois pour les PGI et pour CRM, le progiciel de gestion de la relation client). Dans ce gisement, l'éditeur compte néanmoins distinguer, par le biais d'une certification particulière, les 500 produits les plus pertinents pour certains secteurs. (...)

(14/03/2007 10:26:16)

Symantec achète 4FrontSecurity

Symantec, dans le cadre d'un accord au montant non divulgué, vient d'acheter la société 4FrontSecurity, spécialisée dans la gestion et le management de la sécurité. Sorte de dataminer d'audits, inventaires et évaluation des risques, l'Assessment Manager de 4Front permet d'établir des tableaux de bord sur le suivi et l'évolution d'une entreprise cherchant à répondre aux exigences des lois, normes, méthodes et recommandations en la matière (ISO 17799, SOX, Cobit, etc.). L'éditeur possède également à son catalogue un logiciel d'aide à la gestion de risques et un système d'aide à la mise en place de politiques de sécurité. Ce sont donc typiquement des « outils de CSO », essentiellement adaptés au marché américain, et s'adressant à des clients grands comptes. La précédente acquisition opérée par Symantec concernait Altiris, également un éditeur de logiciels de gestion, orienté infrastructure et réseaux. Ce mariage avait eu lieu fin janvier 2007. (...)

(14/03/2007 10:24:51)

Accalmie des attaques par phishing

RSA, la division sécurité de l'éditeur EMC, publie la 13e édition de son rapport mensuel sur l'évolution des attaques par phishing. Ces attaques consistant à tromper des consommateurs à l'aide de vrais-faux sites ont été recensées pas la Cellule de Commandement Anti-fraudes (AFCC). Après une explosion des attaques par phishing entre novembre 2006 et janvier 2007, le mois de février connaît une accalmie. La fermeture des comptes des utilisateurs frauduleux du service de paiement en ligne e-gold est notamment responsable de la baisse d'activité de ces cybercriminels. Cependant, grand nombre de fraudeurs continuent d'utiliser e-gold, qualifié par les autorités américaines de «véritable paradis pour les criminels». En février 2007, 19% des banques américaines étaient victimes de phishing. Ces établissements représentent à eux seuls 67% de l'ensemble des établissement financiers attaqués, suivis par les banques britanniques, espagnoles et canadiennes. Les établissements financiers français représentent 1% des attaques. Comme lors du premier mois de l'année, en février 2007, 75% des sites hébergeant des attaques par phishing étaient localisés aux Etats-Unis. La France se positionne quant à elle en 6e place. (...)

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