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(23/02/2007 18:20:22)
Sun se repositionne sur le marché des serveurs 2006, selon Gartner
Le marché des serveurs se porte toujours aussi bien. Avec 8,2 millions d'unités vendues en 2006 au niveau mondial, il enregistre même, selon Gartner Dataquest, une croissance de 8,9 % par rapport à 2005. Avec respectivement 32,1 % et 27% de part de marché en valeur, IBM et HP restent les leaders incontestés de ce secteur. Pourtant un autre constructeur fait une remontée spectaculaire : Sun Microsystems. Alors qu'il sortait d'une année 2005 mauvaise pour lui, le constructeur affiche une progression de 15,4 % de ses revenus en 2006. Avec un chiffre d'affaires de 5,7 Md$, il affiche désormais une part de marché de 10,8 %. Selon Adrian O'Connel, analyste principal de Gartner, cette croissance s'explique car « Sun a commencé à améliorer ses performances. Il a également introduit de nouveaux produits x86 pour le marché d'entrée de gamme, agrandissant ainsi ses clients potentiels. D'autre part, les clients traditionnels de la société dans les télécommunications et la finance ont également été plus acheteurs de serveurs». Deux atouts qui se sont particulièrement fait sentir sur le marché européen où, bien qu'encore derrière IBM et HP, Sun s'impose comme le troisième vendeur en chiffre d'affaires et s'offre la plus belle croissance avec 15,9 % (soit un chiffre d'affaire en 2006 de 1,9 Md$) et 11,6 % de part de marché. Sun s'offre même le luxe d'être le principal vendeur européen de serveurs haut de gamme à base de processeurs RISC/Itanium avec 1,749 Md$ de chiffre d'affaires et une hausse de 12,9 % de ses ventes par rapport à l'an dernier. Attention tout de même à ne pas se réjouir trop vite, car selon le vice-président de Gartner, Jeffrey Hewitt, les ventes de serveurs Unix RISC/Itanium restent faible et l'autre secteur où Sun a fait de gros investissements, les serveurs x86, va voir son rythme de croissance s'affaiblir : « Le quatrième trimestre de 2006 a vu la plus lente progression des serveurs x86 depuis des années», affirme Jeffrey Hewitt. «Ce ralentissement s'explique en grande partie par un allongement des cycles de ventes dû à l'introduction anticipée des processeurs x86 quadricoeurs et, plus faiblement, à la virtualisation de ces serveurs.» (...)
(23/02/2007 17:55:38)SAP prépare son offre de gestion hébergée « à la demande » pour les PME
SAP prévoit de livrer une suite d'applications hébergée pour les PME dans le courant de cette année sur certains marchés. L'éditeur donnera davantage de précisions sur le prix et les fonctionnalités de cette offre, connue en interne sous le nom d'A1S, après le Cebit de Hanovre. Henning Kagermann, PDG de SAP, a néanmoins fourni quelques indications sur cette solution de gestion intégrée en ligne. A1S s'adressera aux PME qui recherchent une suite applicative financièrement abordable, facile à déployer et n'obligeant pas l'entreprise à s'engager à long terme. Elle proposera les fonctions de gestion d'un PGI (progiciel de gestion intégré), c'est-à-dire, principalement la comptabilité, la gestion commerciale (facturation, gestion du catalogue produits et des stocks, etc.), mais aussi les fonctions de GRC (gestion de la relation avec les clients). Le produit s'utilisera sur la base d'un abonnement mensuel, ce qui donnera aux petites entreprises ayant des ressources financières limitées la possibilité de tester le service et de ne pas y donner suite s'il ne leur convient pas. Cette nouvelle offre se prépare alors que SAP se réorganise afin d'étendre sa présence sur l'énorme segment de marché que représentent les PME à un moment où celles-ci manifestent leur intérêt pour les applications de gestion hébergées comme celles que propose Salesforce.com (ou encore Google, depuis hier, dans le domaine de la bureautique et des outils de communication). Forte préconfiguration, personnalisation réduite Henning Kagermann présente A1S comme un produit entièrement nouveau qui ne sera pas une version hébergée du progiciel All-in-One. Rappelons que ce dernier est une version adaptée aux PME de mySAP Business Suite, le produit phare de SAP conçu pour les grandes entreprises. Ce produit hébergé sera très fortement préconfiguré. Il s'agira d'un produit « prêt à utiliser » qui n'est pas destiné à être adapté par les entreprises. « Pour être en mesure de proposer un prix réduit, il faut que le produit soit très standard, rappelle Henning Kagermann. La nécessité de se borner à un jeu standard de fonctions signifie donc, aussi, moins d'options pour personnaliser le produit ». En limitant la personnalisation, mais ce faisant, en réduisant la complexité de l'offre, SAP et ses partenaires pourront déployer plus rapidement l'application, précise le PDG. « Les entreprises auront besoin de moins de consultants pour la mettre en place et les coûts s'en trouveront réduits. » Entre All-in-One et Business One Dans son offre, SAP prévoit d'intercaler cette solution hébergée entre ces deux produits déjà disponibles pour les PME : All-in-One et Business One. A1S visera les entreprises comptant entre 100 et 1 000 salariés, tandis que All-in-One s'adressera aux structures ayant de 1 000 à 2 500 salariés et Business One à celles de 10 et 100 personnes. SAP estime que le lancement du produit en ligne ne détournera pas les clients de Business One, une offre également très préconfigurée et abordable (2 500 € HT par utilisateur incluant la licence, le matériel, la base de données et vingt jours d'intégration). Au contraire, Henning Kagermann espère bien que, sur l'objectif de 100 000 clients qu'il vise d'ici 2010, la moitié sera des utilisateurs de Business One. Quant aux clients qui souhaitent disposer d'une couverture fonctionnelle plus large et d'une plus grande flexibilité dans l'adaptation du progiciel, ils porteront leur choix sur All-in-One. La base installée de SAP compte actuellement 39 000 clients. Henning Kagermann pense que c'est aux Etats-Unis que la demande pour l'offre hébergée sera la plus forte. Le marché américain étant plus avancé que l'Europe sur ce terrain des applications fournies « comme un service » ou « à la demande » (Saas, software as a service, ou on-demand services). La tarification sera très claire, précise encore le PDG de SAP, mais sans fournir plus de précisions pour l'instant. Il n'entend pas non plus révéler le nom définitif du produit. « Nous discutons en ce moment avec nos clients et partenaires sur de nombreux points de cette offre, incluant les tarifs et les fonctionnalités. Il est trop tôt pour donner des détails ». (...)
(23/02/2007 17:07:21)L'argent : première motivation des salariés français et européens
Dans un contexte d'emploi hyper-tendu comme celui de l'informatique, les analystes essayent de montrer que l'argent n'est pas tout dans une carrière. Pour débaucher les talents qui leur font défaut, les entreprises n'hésitent pas à mettre en avant les moyens nécessaires pour être les plus convaincantes. D'ailleurs, indiquant « en off » craindre une inflation des salaires sur les profils les plus recherchés, les DRH ont modifié leur communication. Ils relèguent de plus en plus l'aspect financier au second plan, préférant mettre l'accent sur « un plan de carrière très intéressant », des conditions de travail technologiques optimales ou des à-côtés attractifs (crèche d'entreprise, emploi situé sur une ligne de métro ou de RER bien desservie...). « Pas complètement d'accord » leur rétorquent les internautes français à 58%, suite à un sondage original imaginé par Monster. Grands vainqueurs de cette enquête où ils pourfendent une certaine hypocrisie et dépassent de 10 points de la moyenne européenne, les Français sont suivis de près par les Britanniques (54%), Irlandais (53%) et Belges (52%). Et sous couvert d'anonymat, ils le disent haut et fort : ce qui les motive et les fait se lever chaque matin est d'abord et surtout le désir de gagner de l'argent ! 3% seulement des Français travaillent « pour se dépasser » ! Si les Français travaillent donc pour gagner de l'argent, la seconde réponse, très loin derrière (22%) est « la satisfaction personnelle », la troisième étant « je travaille pour ma famille » (16%). Nourrir les siens passe donc derrière un travail intéressant. De manière presque anecdotique, ils sont 4% des Français à travailler « pour s'arrêter et partir à la retraite » et 3% « pour se dépasser ». Quatre fois plus de Britanniques en revanche estiment le besoin de se dépasser (13%), Allemands et Irlandais les suivant de près (12%). Sont-ce la crainte de perdre un emploi, ou la difficulté de sortir du chômage ou encore la baisse du pouvoir d'achat, thèmes récurrents dans toutes les conversations qui indiquent des résultats aussi peu nuancés ? En grosse période de recrutement qui ne se dément pas dans le domaine de l'informatique, chasseurs de têtes et DRH ont intérêt à réaliser que la préoccupation principale de près de 60% des candidats qu'ils reçoivent... et qui sont également de futurs électeurs, est l'argent ! (...)
(23/02/2007 17:06:16)Avaya donne de la voix sur IP à la suite hébergée de Google
Avaya vient d'annoncer qu'il allait intégrer son offre IP Office à la suite bureautique présentée hier par Google, ce qui permettra, notamment, d'étoffer les fonctions de voix sur IP et de messagerie instantanée de Google Talk. Cette offre combinée vise les petites entreprises. Elle sortira à l'automne prochain et sera distribuée par le réseau de revendeurs d'Avaya. Rappelons que la suite Google Apps existe dans une version gratuite (Edition Standard), assortie de publicités, et dans une version vendue 50 dollars par utilisateur et par an, Google Apps Edition Premium. Dans les deux cas, elle rassemble des fonctions de messagerie (Gmail), de dialogue en direct (Google Talk), un agenda, un traitement de texte, un tableur, un outil pour créer une page d'accueil (Start Page), un logiciel pour concevoir un site Web (Page Creator), un antivirus et un antispam. La version payante se complète d'API (interfaces de programmation) qui permettent à d'autres fournisseurs de développer des applications autour de la suite de Google. C'est sur ces API qu'Avaya s'appuie pour développer son offre combinée. La solution d'Avaya fournira aux abonnés de Google Apps Edition Premium une seule boîte de réception pour leurs échanges vocaux, leurs courriels, leurs dialogues en direct et leurs télécopies. Le fournisseur prévoit aussi des fonctions permettant aux abonnés du service de partager des contacts, des alertes et des informations sur le profil des autres utilisateurs (en ligne/absent...). Le responsable d'une équipe itinérante pourra ainsi vérifier rapidement quels sont les collaborateurs connectés avec qui il peut entrer en contact, tout en ayant accès aux informations sur les fournisseurs et les clients. Mieux encore, Avaya cite l'exemple d'un fabricant américain capable de passer en un instant d'un mode de communication longue distance avec son usine chinoise à un échange voix/données avec l'un de ses clients, en utilisant d'un côté le réseau Google Network et, de l'autre, les outils de communication d'Avaya. (...)
(23/02/2007 17:04:31)La CCIP met l'accent sur les technologies
La CCIP (Chambre de Commerce et d'Industrie de Paris) organise plusieurs journées où les technologies seront mises à l'honneur. La première se déroulera le 6 mars sur le thème : « le pôle de compétitivité System@tic Paris-Région : mode d'emploi pour les PME ». Pour mémoire, ce pôle de compétitivité mondial fédère 200 acteurs industriels, académiques et institutionnels franciliens autour de projets R&D coopératifs et développe la maîtrise de trois technologies (optique, électronique et logicielle) sur quatre marchés porteurs : automobile et transports ; outils de conception et de développement de systèmes ; sécurité et défense ; télécoms. La CCIP organise également le 9 mars un colloque qui abordera une question d'actualité : « Droit d'auteur et numérique : quelles réponses de la Dadvsi ? » En effet, la loi relative au droit d'auteur et aux droits voisins dans la société de l'information (Dadvsi), adoptée le 1er août 2006, avait initialement pour objectif de « trouver les voies permettant de favoriser une diffusion plus large de la culture tout en préservant les droits des créateurs ». L'idée de cette rencontre est de savoir si ce texte controversé, ayant fait l'objet d'un des plus longs débats parlementaires de la législature, a atteint son but de départ. Elle permettra peut-être aussi de déterminer les perspectives pour les différents acteurs de ce marché certes récent, mais qui drainent un fort chiffre d'affaires. (...)
(23/02/2007 16:30:26)Mandriva ouvre un filiale en Afrique
Après avoir investi le marché brésilien en se payant Conectiva en 2005, l'éditeur Linux Français Mandriva a décidé d'étendre ses ramifications vers l'Afrique. L'éditeur annonce la création d'une filiale au Nigeria, baptisée Mandriva West Africa (localisée à Lagos), qui rayonnera sur toute l'Afrique de l'ouest. Dans un communiqué, Mandriva explique s'être fixé pour objectif de notamment "travailler avec les constructeurs locaux pour proposer des machines pré-installées avec Mandriva Linux" et" travailler avec les ISV". Il prévoit également de développer des offres commerciales adaptées en s'appuyant sur des partenaires et mettre en place des centres de formations certifiés. A cela s'ajoute, une mission plus humanitaire qui, selon Mandriva, consiste à "travailler avec les institutions scolaires afin de combattre le retard technologique". Rappelons que les pays en voie de développement constituent un marché prometteur pour les éditeurs Linux, notamment grâce au faible prix de commercialisation de leur OS. Une stratégie de croissance appliquée également par Red Hat sur les marchés brésiliens et argentins. Notons également que le Nigeria est un des premiers pays à avoir adhéré au programme OLPC (One Laptop Per Child), qui vise à fournir un ordinateur portable aux enfants les plus défavorisés. La machine, qui repose sur un OS Fedora, est commercialisée aux gouvernements, pour l'heure, au prix 150$. (...)
(23/02/2007 15:50:59)Les terminaux mobiles, un danger pour les réseaux d'entreprise
Depuis quelques semaines, on se préoccupe beaucoup de la sécurité des terminaux mobiles. Il y a d'abord eu l'annonce faite par Kaspersky de la mise à disposition sur le marché d'un antivirus protégeant les smartphones Windows Mobile ou Symbian. Il y a eu ensuite cette information dévoilée lors du 3GSM affirmant que les opérateurs européens avaient détecté plus d'un millier d'attaques sur leur réseau en 2006, soit 2 fois plus que l'année précédente. Cette fois, c'est David Champine, responsable produit chez Cloudmark, éditeur de d'outils de sécurité pour solutions mobiles, qui tire la sonnette d'alarme dans un entretien accordé à Network World. Selon lui, une des voies utilisées par les cybercriminels est l'envoi de spams SMS lors d'une connexion à un site d'achat en ligne ou, pire encore, à un site de phishing. Plus menaçantes toutefois sont les attaques qui se produisent lorsque les employés accèdent à la messagerie de l'entreprise ou aux applications professionnelles depuis leur terminal mobile. Ce dernier - souvent dépourvu d'antivirus, d'antispam et des logiciels de sécurité que l'on trouve généralement sur un PC - leur sert également pour accéder à d'autres sites ou à leur messagerie personnelle, ce qui le rend particulièrement exposé aux menaces. « Lorsqu'un employé se connecte ensuite au serveur ou envoie des données dans l'application de GRC, c'est tout le réseau de l'entreprise qui est en danger ». Selon David Champine, le risque est d'autant plus grand que les gens ont confiance en leur terminal. « Je l'ai reçu de l'entreprise, donc je suis en sécurité ». Pour lui, la meilleure parade contre les attaques consiste à interdire aux collaborateurs d'utiliser leur mobile professionnel pour leurs besoins personnels. (...)
(23/02/2007 15:36:42)La SOA aide BEA à prospérer
Résultats annuels Chiffre d'affaires : 1,4 Md$ Progression : +17% Pour son exercice fiscal 2006, l'éditeur BEA vient de publier un chiffre d'affaires en hausse de 17% par rapport à l'année dernière, à 1,4 Md$. La société, aux prises avec une enquête interne sur des pratiques liées aux stock-options, n'a toutefois pas révélé le montant des bénéfices (ou des pertes) dégagés sur la période. Cette croissance s'explique par un fort investissement de la société dans les infrastructures SOA (Services oriented architecture). « Nos produits BPM (Business process management) sont vite devenus les principaux responsables, non seulement de notre croissance, mais aussi de nos revenus. Aqualogic et les services de BEA associés au SOA nous ont attirés de nouveaux clients», affirme Alfred Chuang, PDG de BEA Systems. Ainsi, Aqualogic a représenté un quart des revenus générés par les ventes de logiciel au quatrième trimestre, et a généré au total plus de 110 M$ de chiffre d'affaires en 2006. Pour Alfred Chuang, le succès d'Aqualogic s'explique par sa capacité à co-exister dans les systèmes d'informations de ses clients avec des produits concurrents. Pourtant, il considère que les marchés d'avenir pour la SOA se situent dans des zones émergentes comme la Chine, l'Inde, la Corée et l'Amérique Latine. « Parce qu'ils n'ont pas autant de systèmes installés, les clients sur ces marchés peuvent se lancer rapidement dans ce type de projet. » (...)
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