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(16/02/2007 16:42:42)

Annuels Capgemini : la rentabilité dopée par l'ensemble des activités

Résultats exercice 2006 : Chiffre d'affaires : 7,7 Md€ (+12,1%) Résultat net : 293 M€ (+107,8%) L'exercice 2006 de Capgemini restera un grand cru. Non seulement le spécialiste français du service IT a publié un chiffre d'affaires et un résultat net qui dépassent les prévisions des analystes, mais il se paye aussi le luxe de voir sa rentabilité opérationnelle doubler en l'espace d'un an. A 7,7 Md€, les revenus du groupe progressent de 12,1% en organique par rapport à l'exercice 2005. Capgemini reste sur une dynamique intéressante avec une croissance qui a accéléré au cours de l'année, passant de 10,6% pour le premier semestre à 13,7% sur les six derniers mois. Le groupe aura réussi à dépasser les attentes des analystes en termes de rentabilité opérationnelle. La marge atteint ainsi 447 M€ et bondit de 98,6% en un an. Elle s'aligne à 5,8% du chiffre d'affaires, soit 2,6 points de plus qu'il y a un an. Toutes les activités de Capgemini ont contribué à l'amélioration de la marge opérationnelle, à commencer par le conseil. A la faveur d'un « meilleur équilibre des effectifs », selon le groupe, cette branche gagne cinq points. L'intégration de systèmes progresse de deux points, et profite d'une bonne maîtrise des coûts et d'un meilleur taux d'utilisation des ressources. Du côté de l'infogérance - dont la marge gagne trois points - Capgemini se réjouit d'avoir dépassé les objectifs qu'il s'était fixés fin 2005. Enfin, la branche consacrée aux services de proximité (Sogeti) progresse de 0,7 point grâce à l'augmentation du prix moyen des prestations. Conséquence de l'augmentation de la marge : le résultat net s'envole de 107,8%, à 293 M€. Heureux actionnaires, ils devraient pouvoir compter sur un dividende de 0,70 € par titre, soit 40% de plus que l'an passé. Du point de vue géographique, l'Europe tire les revenus du groupe vers le haut en affichant une croissance de son chiffre d'affaires de 14%. L'Amérique du Nord, après des périodes de vaches maigres, relève la tête et voit le revenu de ses activités progresser de 3,8%. Autre fait marquant, les pays émergents ont le vent en poupe, notamment l'Inde, la Pologne et la Chine : dans ces trois pays, les effectifs ont augmenté de 92% au cours de l'année écoulée. Et, en rachetant récemment l'Indien Kanbay, Capgemini fait du Sous-Continent le deuxième pays du groupe en termes d'emplois (près de 20% des salariés se trouvent en Inde). La finalisation de l'acquisition de Kanbay consitutera l'un des objectifs de l'exercice 2007. Le groupe de Paul Hermelin mettra également l'accent sur les activités de conseil et la poursuite de l'amélioration de la rentabilité de l'infogérance. Il vise une croissance organique du chiffre d'affaires de 8% et une marge opérationnelle qui continue de progresser en atteignant 7%. (...)

(16/02/2007 15:11:09)

HP dope sa ligne Integrity à l'entrée de gamme

Un nouveau système d'exploitation et deux nouveaux serveurs, HP relance sa gamme de serveurs Integrity, basée sur les processeurs Itanium d'Intel. Alors que le constructeur réservait traditionnellement cette gamme au marché haut de gamme, il vise l'entrée de gamme avec ces deux serveurs multi-OS. Le premier, le rx2660, est un serveur rack 2U. Vendu à partir de 4016 E, il embarquera des processeurs bi-coeur Itanium 9000 à 1,4 GHz ou 1,6 GHz. Il pourra supporter jusqu'à 1,2 To de mémoire et semble plutôt destiné aux fermes de calculs. Le deuxième est un serveur lame, le BL860c, qui reprend peu ou prou les mêmes caractéristiques que le rx2660, mais dans une forme différente. Il sera commercialisé à partir de mars pour 3010 E. "Une des caractéristiques de ces serveurs a été le partage et la réutilisation des composants des Proliant, confie Benoît Maillard, responsable des serveurs critiques chez HP France, et notamment au niveau des fonctions d'administration". "Une initiative qui a notamment permis de pratiquer ainsi de nouveaux tarifs intéressants", ajoute Frédéric Léonetti, directeur de la division serveurs d'HP France. Et de pousser le support du rx2660 à trois ans au lieu d'un, comme c'était le cas précédemment. Cette concentration des investissements sur l'entrée de gamme ne rime toutefois pas avec une baisse des performances, laisse entendre Benoît Maillard. "Le chipset HP zx2 est la clé de la performance sur la lame BL860c. Il prend en charge la continuité de services, ce qui est traditionnellement réservé aux mainframe". HP a également annoncé la nouvelle version de son Unix : HP-UX 11iV3. Par rapport à la version précédente, celle-ci gère mieux les environnements virtualisés et garantit, selon HP, un gain de 20 à 30 % en rapidité pour les applications installées sur le serveur. "L'accent a été mis sur la logique de continuité, explique Benoît Maillard. Nous avons travaillé à limiter les suspensions de services, à réduire les temps d'indisponibilité et à améliorer la stabilité". (...)

(16/02/2007 12:47:48)

Henning Kagermann reste à la tête de SAP jusqu'en 2009

Au sortir d'un exercice 2006 pas franchement brillant, l'éditeur allemand SAP pourra se consoler avec la prolongation du contrat de son PDG, Henning Kagermann, jusqu'en mai 2009. Les statuts de SAP prévoient qu'au-delà de 60 ans, les contrats des membres du conseil d'administration soient renégociés par le conseil de surveillance. Soixante ans, c'est justement l'âge que l'homme fort du groupe a atteint en juillet 2006. A l'approche de cette échéance, des rumeurs ont commencé à circuler, qui faisaient de Léo Apotheker ou de Shai Agassi, les éventuels successeurs d'Henning Kagermann. Ils devront finalement attendre 2009 avant de voir la place se libérer. Entré chez SAP en 1982, Henning Kagermann a coprésidé le groupe de 1988 à 2003 avec Hasso Plattner avant d'en prendre, seul, les rênes. Dans un court communiqué, le géant allemand des PGI couvre de louanges son PDG, par la plume d'Hasso Plattner : « Le conseil de surveillance a exprimé sa confiance en Henning Kagermann et souligne ses extraordinaires réalisations dans la conduite d'une stratégie gagnante de croissance organique ». (...)

(16/02/2007 12:46:50)

Nokia Siemens Networks se montre à Barcelone

Nokia a profité du 3GSM pour occuper le devant de la scène en attendant la création effective de la coentreprise avec Siemens. Annoncée en juin dernier, la création de Nokia Siemens Networks, la coentreprise qui rassemble les activités réseaux et téléphonies mobiles des deux fabricants, devait être finalisée en janvier. Cette réponse au rachat de Marconi par Ericsson et à la fusion Alcatel-Lucent avait d'ailleurs obtenu le feu vert de l'Europe. Le responsable du projet chez l'équipementier allemand étant suspecté de corruption, le mariage sera finalement repoussé vers la fin du premier trimestre. En attendant, la nouvelle entité, détenue à 50/50 par les deux groupes mais dominée, sur le plan opérationnel, par les équipes de Nokia (c'est Simon Beresford-Wyllie, chargé de la branche réseaux chez Nokia qui est d'ailleurs à la barre) se montre au 3GSM. Elle a notamment profité du salon catalan pour annoncer la signature d'un accord avec NEC, qui prend le relais de Mobisphere, la joint-venture entre le Japonais et Siemens Networks. Il s'agit ici de poursuivre la collaboration dans le développement de la 3G et - éventuellement - du LTE (long term evolution), concurrent du Wimax mobile pour l'après 3G. Nokia Siemens Networks affirme également sa présence à Barcelone en y présentant une large gamme de solutions orientées communication d'entreprise dans les domaines du haut débit, de la mobilité et de l'IP. Le nouvel acteur semble ainsi beaucoup miser sur le « personal infotainment » multi accès (TV Mobile, d'IPTV, broadcasting...). Pour Simon Beresford-Wyllie, cinq milliards de personnes seront « connectées » en 2015 et le trafic multiplié par 100. (...)

(16/02/2007 12:43:55)

IBM veut rassurer les utilisateurs d'Informix avec une bêta et un package Linux

Le programme de bêta publique de la prochaine version d'Informix vient d'ouvrir. Soucieux de montrer que les développements de la base de données acquise lors du rachat d'Informix en 2001 continuent, IBM a dévoilé hier ses intentions concernant Cheetah, la mise à jour d'IDS (Informix Dynamic Server), attendue d'ici à la fin de l'année. Parmi les nouvelles fonctions détaillées, on attend des améliorations concernant les requêtes sur de multiples instances, et concernant le support des structures de données hiérarchiques, ainsi que des outils pour faciliter le portage d'applications sur la base. IBM travaille actuellement avec Novell afin de proposer, dès la sortie de la base, un package matériel/logiciel pour les PME. Il reposera sur l'édition Linux Enterprise Server de Suse, préinstallée sur un serveur IBM xSeries 3105 (à base d'AMD Opteron). (...)

(16/02/2007 11:16:07)

Le Pacte PME revu par ses initiateurs, version campagne électorale

« Ce n'est pas avec une politique égalitariste de soutien aux PME que peuvent émerger des champions nationaux ». En présentant le nouveau livre blanc du Comité Richelieu, d'emblée, Emmanuel Leprince, son délégué général, met en exergue l'apport mais aussi les limites du Pacte PME, et autre plan « gazelles » visant à soutenir la croissance des petites structures. Le premier retour d'expérience du Pacte, avec treize organisations professionnelles signataires (dont le Cigref et la fédération Syntec), onze pôles de compétitivité, une trentaine de grands comptes et près d'un millier de PME, indique déjà un fort intérêt pour un tel dispositif d'intensification des contacts entre grands donneurs d'ordre et PME. Mais « il faut aller plus loin », martèle ce représentant du Comité initiateur de ce Pacte avec Oseo-Anvar. Aller plus directement vers un « Small Business Act » à l'échelle européenne. Car suivre l'indicateur achat (part des PME dans les achats des grands comptes) comme le veut le Pacte à la française, n'amène pas forcément à reconnaître le rôle-clé de la R&D de ces structures. « Il suffirait qu'une centaine d'entreprises accède au rang de leaders mondiaux, jugés au poids de leur investissement en R&D, en cinq ans, pour que la France rattrape son retard », résume Emmanuel Leprince. Ce raisonnement part du constat d'un tissu économique, porteur de R&D, beaucoup plus clairsemé en Europe (0,72 entreprise par million d'habitants, parmi le Top 1000 des acteurs R&D établi par le ministère de l'industrie britannique), qu'aux Etats-Unis (le taux est de 1,44) ou au Japon (1,62). Mobilisation positive Un objectif à cinq ans ! C'est la durée d'un mandat présidentiel et, donc, la borne d'étape suggérée pour une politique qui viserait à faire grimper dans le classement mondial une poignée de champions nationaux. Une politique qui miserait sur une « mobilisation positive » de tout l'écosystème autour des meilleures PME innovantes. Car mobilisation ne signifie pas discrimination positive (un point particulièrement sensible pour l'accès des PME aux marchés publics) qui serait contraire au principe de l'OMC. L'Europe des 27 prend d'ailleurs la voie d'un traitement privilégié pour les PME, les ministres des Affaires étrangères de l'Union ayant adopté ce lundi 12 février un texte dit « de compromis » à cet égard, entre les pays favorables et les pays opposés à ce type de dispositif (selon Le Monde, 14/02/07). Sur cette même ligne, les sept étapes préconisées par le Livre Blanc du Comité Richelieu visent autant l'élargissement du Pacte PME à d'autres acteurs (banques, investisseurs, laboratoires publics) que la part prise (ou à prendre) par les pouvoirs publics dans cette mobilisation positive. Tout en insistant sur la nécessité d'une sélection plus stricte des PME concernées, pour mieux cibler et éviter l'écueil du saupoudrage. Le label d'entreprises gazelles, sur la base de deux années successives de croissance, est déjà un signe de volonté de croissance de la part de l'entreprise. Mais ce critère reste fort limité pour cerner un potentiel de « champion national » fondé sur l'investissement en R&D. La dynamique des pôles de compétitivité, associant des PME à des projets, parfois en chefs de file, peut être un des mécanismes de repérage de ces graines de champions. Avec Oseo, comme acteur central, « naturel puisque déjà organisme porteur du Pacte PME », suggère le livre blanc. (...)

(16/02/2007 09:45:01)

Alcatel Lucent présente une stratégie plus offensive envers les entreprises

« Jusqu'à présent, nous étions trop timides, pas assez fiers de ce que l'on faisait. Nous manquions d'organisation avec nos partenaires pour adresser les opérateurs, les entreprises et les marchés verticaux ». Déclaration en forme d'auto-critique de la part d'Hubert de Pesquidoux, président des activités entreprises chez Alcatel Lucent, lors du Forum Alcatel Lucent qui s'est achevé hier au Palais des Congrès de Paris. Partant de ce constat, Alcatel Lucent a présenté sa stratégie de développement sur le secteur des entreprises. « Nous allons mettre en place un centre de développement des compétences mondial pour le management de nos canaux de distribution, a indiqué Hubert de Pesquidoux. Nous allons nous assurer que nos partenaires puissent proposer la totalité de notre portefeuille produits, que ce soit des solutions micro-ondes, optiques ou IPMPLS ». Concernant les grands comptes, le président de la division entreprises du groupe reconnaît que l'approche adoptée jusqu'à présent était « trop franco-française ». Là encore, l'objectif est d'avoir une couverture mondiale du marché. Les moyens pour adresser le marché des opérateurs vont prendre une orientation similaire. « Nous allons faire un meilleur effort pour que nos clients opérateurs puissent vendre la totalité des produits Alcatel Lucent ». Côté marchés verticaux, Alcatel Lucent mise beaucoup sur les industries de la santé et de la sécurité des personnes qui, selon lui, sont en pleine croissance et où les télécoms et la communication sont critiques. « La santé représente 9% du PNB eu Europe et 19% aux Etats-Unis, avec un grand potentiel de croissance », précise Hubert de Pesquidoux. Alcatel Lucent place désormais l'usager au centre de sa réflexion, quel que soit le moyen d'accès au réseau (ADSL, optique, 2G, 3G, hertzien...). L'équipementier va miser sur deux axes. D'une part les applications et les services. D'autre part une offre solution globale. « Nous allons nous appuyer sur le portefeuille complet d'Alcatel Lucent dans le secteur des réseaux, à l'intérieur et hors de l'entreprise », conclut Marc Charrière, vice-président pour la France des activités entreprises et marchés verticaux chez Alcatel Lucent. (...)

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