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(19/02/2007 00:00:00)
Interview vidéo de Jeff Kimbell, Vice President, EBU Marketing, Dell Europe, Middle East and Africa
Propos recueillis par Christophe BARDY, journaliste sur Le Monde Informatique (...)
(16/02/2007 17:16:29)La Navale assure ses arrières et forme les futurs ingénieurs
A Toulon, la politique d'innovation de la DCN (Direction des constructions navales) inclut, depuis début février, un partenariat formel avec l'école d'ingénieurs ISITV (Institut des sciences de l'ingénieur de Toulon et du Var). Objectif pour le constructeur de systèmes navals: formaliser la participation à la formation de futurs spécialistes des diverses ingénieries intervenant dans la chaîne de valeur de ces systèmes (mécanique, matériaux, calcul scientifique, systèmes embarqués, réseaux et télécoms, traitement du signal). Un partenariat qui couvre des interventions directes dans l'enseignement, des projets d'études, des essais sur des thématiques ciblées, une coopération R&D ouverte aux enseignants-chercheurs. Mais aussi, pour le groupe DCN qui figure au premier rang des industriels varois (3000 salariés à Toulon et à Saint-Tropez), un engagement à simplifier les démarches de recrutement des diplômés de l'école. Cet accord vient compléter une série d'initiatives de coopération, également formalisées depuis l'été 2006 par des accords de partenariat, avec des écoles, viviers naturels de futures recrues. Dont l'Ecole Navale, l'Ensieta de Brest (un tiers d'élèves militaires, deux-tiers de civils), l'université de Poitiers et l'ENSMA (ingénieur des industries du transport, à Poitiers), l'ECN (Centrale Nantes), l'ENSTA (Techniques avancées, école d'application de l'X). A noter, à l'Ensieta de Brest, l'ouverture à la rentrée 2006 d'une filière de formation d'ingénieurs par alternance, ouverte aux bac+2, destinée aux débouchés dans le domaine des systèmes mobiles et des technologies embarquées, avec en particulier, du fait de la collaboration avec la DCN (contrat d'apprentissage pour trois ans), des profils de spécialisation en plate-forme navale et systèmes embarqués. (...)
(16/02/2007 17:11:04)Unix maintient sa position dans les data center
Unix est-il toujours un système d'exploitation populaire dans les systèmes d'information ? Pour répondre à cette question, le cabinet d'analyses Gabriel Consulting Group a effectué un sondage, non pas auprès des directeurs informatiques, mais directement auprès des responsables de data centers. Durant le dernier trimestre 2006, la société a interrogé 277 d'entre eux venant de toutes sortes d'entreprises (40% travaillent en PME) et gérant des parcs allant d'un ou deux serveurs Unix à plus d'une centaine. Et la réponse est sans appel. A près de 68%, ils considèrent que l'usage des serveurs Unix dans leur entreprise va s'accroître prochainement. « Ceci montre que le marché Unix est en bonne santé », affirme l'analyste Dan Olds. « Les systèmes Unix et les applications qui leurs sont associées remplissent des missions vitales dans de nombreuses entreprises. Les coûts et risques liés au passage à une autre architecture sont trop élevés pour justifier des bénéfices pas aussi significatifs qu'annoncés ». Si l'on regarde plus en détail, les serveurs d'entrée de gamme ne semblent pas représenter l'avenir des systèmes Unix. 46,7% des responsables interrogés ne voient pas l'usage d'Unix croître dans ce domaine et près de 18% n'en ont aucune idée. En revanche, 54,09% d'entre eux pensent que le besoin en serveurs Unix haut de gamme va augmenter. « Cela montre que l'idée de systèmes Unix à grande échelle est encore à la mode et restera encore populaire dans le futur. Cela ne signifie pas que les systèmes basés sur des processeurs x86 ne peuvent obtenir les mêmes résultats en terme de capacités, d'échelles ou de disponibilité. Ils le peuvent », prévient Dan Orbs. « Nous disons juste que ces systèmes ont encore du chemin à parcourir pour égaliser ou dépasser la valeur totale des systèmes Unix, en particulier dans le haut de gamme ». Selon vous, votre usage des serveurs Unix croît...
| En entrée de gamme | En haut de gamme | Tous types confondus | |
| D'accord | 35,41% | 54,09% | 67,71% |
| Pas d'accord | 46,7% | 29,96% | 22,96% |
| Ne sait pas | 17,9% | 15,95% | 9,34% |
Des chercheurs confirment les faiblesses des cartes de paiement RFID
Une étude réalisée par les laboratoires de RSA (avec l'aide de l'Université du Massachusetts et d'Innealta) vient bousculer le monde feutré des cartes bancaires. Présentée à la conférence « Financial Cryptography 2007 » qui vient de se conclure à Trinidad/Tobago, elle confirme des résultats préliminaires donnés il y a quelques mois : les cartes de paiement sans contact issues l'année dernière, utilisant la technologie d'échange de données par radiofréquence RFID, peuvent transmettre des informations en clair à un lecteur de puces RFID. Obtenir le nom du porteur, le numéro de la carte et la date d'expiration permettant alors d'en créer un clone (sans les trois chiffres de sécurité, toutefois). Les auteurs de l'étude disent avoir testé une vingtaine de cartes, dont la « vaste majorité » a donné ces informations en clair. Visa, qui estime que six millions de ces cartes sont en circulation (Mastercard en aurait livré le double de ce nombre, d'après le RFID Journal), explique que la seconde génération de cartes corrige ce problème, seul le numéro étant accessible en clair. Concernant la première génération de cartes, raconte Brian Tripplett, vice-président senior responsable du développement des produits émergents, Visa avait suggéré aux banques de ne pas éditer de cartes transmettant le nom du porteur. Aujourd'hui, c'est une obligation. Des cartes pas encore en circulation en France Par ailleurs, le protocole de communication utilisé est désormais un peu différent de celui utilisé par les lecteurs RFID classiques, servant par exemple à inventorier les palettes de produits dans les supermarchés. Toutefois, il faut noter que les risques soulevés sont relativement faibles. Les auteurs de l'étude reconnaissent eux-mêmes qu'il leur a fallu modifier légèrement les lecteurs RFID - ce qui demande donc des compétences plus complexes que ce qui peut se pratiquer dans d'autres types de piratage (avec un simple logiciel espion, par exemple) - et se tenir très près de la carte cible. Nous n'avons pu obtenir de précisions de la part du GIE Cartes bancaires ni de Mastercard avant la publication de cet article sur les impacts éventuels en France. Visa, quant à lui, nous a confirmé que ce type de cartes n'était pas encore en circulation en France. Toutefois, un projet pourrait être lancé dès cette année, a précisé le porte-parole. (...)
(16/02/2007 16:49:35)Fnac.com dresse un bilan positif de l'année 2006
Avec un chiffre d'affaires de 254 M€ (159 M€ hors ventes de services et billeterie) en progression de 35%, le site marchand de la Fnac représente le deuxième principal point de facturation de l'enseigne derrière le magasin du Forum des Halles. Magasin qu'il devrait dépasser cette année. Bien que distancé en terme de taille par certains de ses concurrents, Fnac.com revendique le leadership des sites marchands BtoC en termes d'audience (7 millions de connexions en décembre avec des pics à 900 000 connexions-jour) et, mieux, une rentabilité en forte croissance. Il faudra toutefois attendre la publication des résultats du groupe PPR au mois de mars pour en connaître pour en savoir plus. Parmi les facteurs qui ont contribué à alimenter la croissance de son site, la Fnac cite son service clic et magasin, qui permet d'aller retirer en magasins ses achats en ligne, et qui représente 10% des articles payés. En 2007, la croissance devrait notamment être tirée par le téléchargement (l'enseigne vient d'annoncer la mise à disposition d'un catalogue de 170 000 titres MP3 libres de DRM ) et par l'amélioration de l'ergonomie du site (un outil d'aide à la sélection va progressivement être déployé pour toutes les familles de produit). (...)
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