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(15/02/2007 17:03:09)
600 000 informaticiens en 2015 (selon CAS/Darés)
Le rapport « Les métiers en 2015 » co-écrit par le CAS (Centre d'analyse stratégiques) et la Darés (Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques) examine en détail une vingtaine de domaines professionnels sous l'angle de la demande et de l'offre de travail. Sans réelle surprise si l'on s'en réfère aux dernières analyses d'emploi dans l'informatique, qui montrent d'excellents chiffres en 2006 et des perspectives sur des bases semblables voire meilleures en 2007, cette étude indique que dans huit ans, la France devrait compter un peu plus de 600 000 informaticiens, alors qu'ils n'étaient que 200 000 en 1985, près de 300 000 dix ans plus tard et que la barre des 500 000 devrait être franchie en 2010. Ces chiffres sont très encourageants pour les collégiens et étudiants qui cherchent une carrière aux perspectives florissantes. Moins de cadres et plus de techniciens Sur l'ensemble du secteur, 224 000 créations nettes d'emplois seraient faites, réparties en 149 000 pour les « informaticiens », 60 000 dans la filière « personnels études et recherche » et 15 000 seulement dans celle « ingénieurs et cadres de l'industrie ». A noter toutefois qu'il n'y a pas de grands projets créateurs d'emplois de cadres en vue, comme ce fut le cas il y a quelques années avec le passage à l'an 2000 ou à l'euro. De plus, beaucoup d'entreprises sont maintenant équipées en informatique : on s'orienterait plutôt vers des activités de maintenance et moins vers du développement. Et contrairement à la tendance actuelle, on pourrait avoir à l'avenir moins de cadres et davantage de techniciens. A court terme cependant, le rapport souligne que les recrutements se focalisent « sur les jeunes diplômés de niveau Bac+5 et parfois uniquement les diplômés de certaines écoles d'ingénieurs. Si les employeurs ne diversifient pas leurs profils de recrutement, des difficultés à recruter pourraient surgir. » Enfin, si ce rapport montre explicitement que l'informatique continuera de recruter, il indique également que seules les personnes dotées d'un excellent bagage universitaire ou sortant des meilleures écoles pourront prétendre aux fonctions de cadres. La promotion pourrait être beaucoup plus difficile qu'aujourd'hui. Et la sélection, conditionnant ensuite la carrière, pourrait se faire dès le départ, à la fois par le choix des études et par l'obtention d'un bon diplôme d'une grande école. (...)
(15/02/2007 17:08:11)Alcatel-Lucent : au débrayage prévu, succède la grève
Suite à l'annonce de la suppression d'emplois chez Alcatel-Lucent, avec la fermeture de ses deux sites de Rennes et des activités regroupées à Orvault et Lannion, l'intersyndicale (5 syndicats) qui avait prévu un débrayage de deux heures, a transformé ce mouvement en grève sur plusieurs sites. « Ce ne sont pas 1 468 postes qui vont être supprimés, mais au moins 1 800 car il ne faut pas oublier les intérimaires, CDD et sous-traitants. La direction ne prend pas en compte les emplois indirects », indique Jean-Pierre Clavaud, délégué CGT sur le site d'Orvault. Les raisons de cette colère sont multiples. Mais la principale est « cette politique de suppression d'emploi financière, car le secteur n'est absolument pas menacé. Le groupe veut procéder à des transferts dans des pays à bas coûts, c'est scandaleux », poursuit Jean-Pierre Clavaud. Ironie tragique de ce bras de fer : à l'heure où, sous le choc, les salariés réfléchissaient à leur avenir et aux suites à donner à leur mouvement, un communiqué de presse était publié sur le site de l'opérateur, annonçant un important contrat : « Barcelone, le 15 février 2007 - Alcatel-Lucent a signé un contrat avec T-Mobile, la branche mobile de Deutsche Telekom, un des plus grands fournisseurs de services au niveau mondial, pour moderniser son réseau GSM avec les dernières technologies radio GSM/Edge et améliorer de manière spectaculaire sa vitesse. (...) Selon les termes de l'accord, Alcatel-Lucent remplacera plusieurs milliers de stations de base GSM installées dans le réseau de T-Mobile par ses dernières stations de base multistandards 9100 MBS. » (...)
(15/02/2007 16:54:29)Un serveur p5 rajeuni pour séduire le monde Linux
A l'occasion du Linux World Open Solution à New York, IBM a présenté une nouvelle version de son serveur p5 560Q. Outre des processeurs Power5+ à 1,5 GHz, ce nouveau serveur pourra également accueillir des Power 5+ à 1,8 GHz., dans un module quadri-coeur (c'est à dire deux processeurs bi-coeurs réunis sur un même socket). Suivant les besoins de l'entreprise, ce serveur 4U pourra donc accueillir 4, 8 ou 16 coeurs suivant le nombre de processeurs installés. Au-delà d'une augmentation de fréquence, ce p5 560Q se distingue de son prédécesseur sorti l'an dernier par sa compatibilité avec Red Hat Linux Enterprise 4 et Suse Linux Enterprise Server 10 de Novell. Tout en restant compatible avec l'Unix maison : AIX 5L 5.3. IBM a également l'intention d'étendre son programme Integrated Stack for Suse Linux Enterprise aux systèmes basés sur les processeurs Power. Ce programme offre, avec une version de Suse Linux Enterprise, des logiciels maison gratuits tels que Websphere Community Edition, DB2 Express-C et l'outil d'administration Centeris. Toutes ces offres n'ont qu'un but : convaincre les utilisateurs Linux que les processeurs Power sont une alternative viable aux processeurs x86. « En utilisant des technologies de virtualisation sur des systèmes Power, IBM peut remplacer des serveurs x86 sous-utilisés », affirme les porte-paroles de la compagnie, en précisant qu'un seul rack de cinq serveurs p5 560Q peut remplacer jusqu'à huit racks de 320 serveurs Web sous Linux montés sur des systèmes X86. Commercialisé à partir de 43 800 dollars, le nouveau p5 560Q sera disponible dès le 23 février. (...)
(15/02/2007 16:47:19)Annuels 2006 : les services ne parviennent pas à hisser Bull hors du rouge
Résultats 2006 Chiffre d'affaires : 1,146 Md€ (-2,3%) Résultat net : -17,1 M€ (bénéfice net de 15,8 M€ en 2005) Si Bull était « back in the race » en 2005, selon l'expression de Didier Lamouche, le PDG du groupe, la bonne aventure n'aura duré qu'un an. Une année exceptionnelle qui pourrait ne laisser que le nostalgique souvenir d'un heureux accident. Bull vient en effet de publier un chiffre d'affaires en baisse et une perte nette pour son exercice 2006, qui avait pourtant gentiment commencé. A l'issue du premier trimestre, le groupe tablait ainsi sur une progression de ses revenus comprise entre 4 et 4,5%. Neuf mois plus tard, il publie une baisse de 2,3%, reportant un chiffre d'affaires de 1,146 Md€. Un recul qui aurait pu s'avérer plus profond si les revenus des services n'avaient pas progressé de 12,2%, à 359,7 M€, et compensé en partie les mauvaises performances des divisions produits (-6,8%) et maintenance (-9,7%). Les produits ont pâti du ralentissement de la gamme des serveurs Unix et d'une base de comparaison 2005 défavorable en ce qu'elle incluait la livraison d'un supercalculateur au CEA. Du côté de la maintenance, le groupe impute la baisse des revenus au recul de l'activité systèmes propriétaires. Pour corriger le tir, un directeur de division a été nommé et un plan d'action entrepris en cours d'année. Signe encourageant : la baisse du CA s'est montrée deux fois moindre au dernier trimestre qu'au début de l'année. L'Italie, source de bien des maux Surtout, et c'est le point sur lequel a lourdement insisté Didier Lamouche lors de la conférence téléphonique qu'il a tenue ce 15 février, les médiocres résultats doivent être expliqués à la lumière des piètres performances de la filiale italienne, « un foyer historique de pertes ». Si celle-ci a finalement été vendue, en décembre, à Eunics SpA, elle a largement pesé sur les chiffres 2006. Sans elle, le groupe aurait ainsi publié un chiffre d'affaires en progression de 0,7%. Elle a également contribué à la baisse de la marge brute (-1 point par rapport à 2005, à 24,8% du CA), notamment en raison de la faible rentabilité de la maintenance au pays de Materazzi. Au total, Didier Lamouche estime que l'Italie a coûté 100 M€ à Bull en cinq ans. La filiale transalpine a, en outre, participé à faire passer le groupe dans le rouge en 2006. Après avoir publié un bénéfice net de 15,8M€ en 2005, il affiche une perte de 17,1 M€ pour 2006. Si le bénéfice opérationnel s'élève à 19,7 M€, soit plus que ce que le groupe escomptait en juin 2006, Bull doit supporter plusieurs lourdes charges dont une de 32,9 M€ pour restructuration. Pour l'exercice en cours, Bull entend poursuivre le ralentissement du rythme de décroissance de la maintenance, améliorer la marge des services et augmenter ses ventes de serveurs ouverts. Le groupe table sur un profit opérationnel en hausse, compris dans une fourchette de 20 à 24 M€. (...)
(15/02/2007 15:31:35)Le directeur du labo Open Source de Microsoft s'explique sur les travaux avec Novell
Sam Ramji, directeur du laboratoire Open Source de Microsoft, a publié sur Port 25, le blog du labo, une note expliquant la nature des travaux menés avec Novell, dans le cadre du partenariat signé entre les deux éditeurs. Sam Ramji s'étend ainsi longuement sur les besoins en matière d'interopérabilité pour consolider des serveurs Linux et Windows sur une même machine. Et notamment sur les essais à mener avec les standards, WS-Federation et WS-Management. « Un certain nombre de personnes m'ont approché au sujet de ce projet, écrit-il, pontifiant : 'si vous [Microsoft] implémentiez simplement ces spécifications comme elles sont écrites, vous n'auriez pas besoin de faire tout ce travail'. En fait, cela relève d'une méconnaissance de l'ingénierie logicielle et de l'intéropérabilité. » (...)
(15/02/2007 15:28:18)Apple dope Leopard au collaboratif Open Source
En annonçant l'arrivée de Calendar Server dans la version pour serveur de son futur système d'exploitation Leopard (Mac OS X 10.5), Apple fait un pas de plus vers le travail collaboratif professionnel. Même si la communauté Mac le voit ainsi, Calendar Server ne sera pas la réponse d'Apple à Microsoft Exchange. Loin d'être un serveur de messagerie, ce logiciel servira à synchroniser des rendez-vous venant d'Outlook, d'iCal (le logiciel maison d'Apple) ou de SunBird (édité par Mozilla). Il s'ajoutera ainsi aux outils collaboratifs déjà présents dans Mac OS X Server ou à venir, comme le Wiki Server. Développé à partir du protocole CalDav, Calender Server est lui aussi totalement open source. Les développeurs qui veulent d'ores et déjà s'en servir peuvent en télécharger les sources sur Sourceforge.net. Outre Leopard Server et Mac OS X 10.4 (Tiger) Server, Calendar Server fonctionne également sur des serveurs Linux et FreeBSD. (...)
(15/02/2007 14:48:29)Orange va étendre son offre FTTH
En juin 2006, Orange lançait en région parisienne son pilote d'accès à Internet par la fibre optique (FTTH). Aujourd'hui, l'opérateur s'estime satisfait du résultat et s'apprête à entamer le 1er mars la seconde phase de l'opération baptisée pré-déploiement. Entre ces deux dates, près de 100 000 Km de fibre GPON (Giga Ethernet Passive Optical Network) - qui autorise le dégroupage -[auront été installés et 700 accords signés avec les syndics d'immeubles. En tout, 11 500 clients seraient raccordables à ce jour. En terme de contrats signés, on est toutefois loin du compte puisqu'à peine 500 clients avaient basculé fin décembre vers la FTTH. Un chiffre que ne renie toutefois pas Orange qui fait remarquer qu'avec un taux de pénétration d'environ 5%, on se rapproche des chiffres constatés lors du démarrage de l'ADSL en 1999. Les zones concernées par le pré-déploiement sont les mêmes que celles de la phase pilote: certains quartiers de Paris ainsi qu'une partie des communes d'Asnières sur Seine, Boulogne Billancourt, Issy-les-Moulineaux, Rueil-Malmaison et Villeneuve-la-Garenne. Au cours du premier semestre, l'offre sera progressivement étendue à d'autres quartiers de la capitale ainsi qu'aux villes de Clichy-la-Garenne, Levallois et Neuilly-sur-Seine. Marseille, Toulouse, Lille, Lyon et Poitiers sont également en point de mire. Pour 44,9 €/mois, l'offre inclut un accès Internet jusqu'à 100 Mbit/s en réception et jusqu'à 10 Mbit/s en émission (100 Mbit/s symétriques en option), la TV numérique, le téléphone illimité ainsi que l'accès à un portail dédié (Web 2.0) personnalisable. (...)
(15/02/2007 14:21:24)Red Hat renforce les liens entre JBoss et Windows
Red Hat a annoncé avoir adhéré à l'Interop Vendor Alliance de Microsoft. Mis en place fin 2006 par l'éditeur de Redmond en partenariat avec une vingtaine d'éditeurs et de constructeurs, le programme IVA vise à s'assurer de la bonne interopérabilité des technologies tierces avec celles de Microsoft. En l'occurrence, Red Hat entend optimiser le fonctionnement de sa plateforme middleware Jems (JBoss enterprise middleware system) sur Windows. Cette adhésion d'un éditeur Linux à l'IVA peut paraître surprenante, mais elle n'est en fait que le prolongement d'un accord passé fin 2005 entre Microsoft et JBoss (alors indépendant). Accord qui avait fait beaucoup jasé. Sacha Labourey, directeur général de JBoss Europe, nous avait expliqué : « La moitié environ de nos déploiements sont sur Windows. Cela me paraît normal de discuter avec Microsoft, comme nous le faisons avec d'autres fournisseurs de systèmes d'exploitation, tels Novell, HP ou Unisys. » Tandis qu'Alain Le Hégarat, responsable marketing plate-forme de développement chez Microsoft France, confirmait : « Nous nous positionnons comme un fournisseur de plateforme, et, pour nous, JBoss est un éditeur comme un autre, dont le logiciel doit pouvoir fonctionner de la meilleure façon possible sur Windows. » A ce jour, écrit Red Hat dans un communiqué, les efforts entrepris ont principalement porté sur les services Web, ainsi que sur la certification d'Hibernate, solution de gestion de la persistance des données, avec le pilote JDBC de la base SQL Server de Microsoft. Maintenant, Red Hat dit vouloir aller « au-delà des standards » et travailler au support natif de Jems sur Windows. (...)
(15/02/2007 12:35:15)Alcatel-Lucent et Orange rapprochent leur offres IP
Alcatel-Lucent a profité du Forum Alcatel (du 14 au 16 février, Palais de Congrès, Paris) pour annoncer un accord mondial avec Orange Business Services, en vertu duquel les deux entreprises proposeront une offre IP commune clés en main. Les clients d'Orange auront la possibilité de déployer des technologies Alcatel-Lucent de bout en bout, soit dans l'environnement classique d'un réseau exploité par leurs soins, soit dans le cadre d'un contrat d'hébergement de leurs infrastructures par l'opérateur. L'offre d'Orange Business Services s'étend de la conception du réseau jusqu'à son déploiement. Sont notamment inclus dans l'accord : les services de téléphonie professionnelle, les réseaux VPN IP, les offres de convergence fixe/mobile, les logiciels de communication unifiée ainsi que les centres de contacts avec traitement multimédia du trafic. On rappelle toutefois chez Alcatel-Lucent que cette alliance n'est pas exclusive, chacun étant libre de se trouver d'autres partenaires. (...)
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