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(13/07/2006 16:29:59)
Un Eclipse client de Team Foundation Server
Les équipes de développement en entreprise se retrouvent de plus en plus confrontés au problème de la cohabitation des plates-formes .NET et Java, avec en particulier la problématique des différents référentiels liés aux plates-formes de développement. Teamprise propose une solution sous forme d'un plug-in qui permet aux développeurs sous Eclipse d'accéder à un serveur Microsoft Visual Studio 2005 Team Foundation Server. Teamprise Client Suite fonctionne pour Eclipse sur Windows mais également sur MacOS X, Linux et Solaris. Teamprise Client Suite permet notamment aux clients Eclipse d'accéder au système de contrôle de code source, au suivi des "work items" sur Team Foundation Server. Partant du constat que la majorité des développements aujourd'hui se font sous .NET, c'est une manière d'uniformiser les besoins en gestion de cycle de vie des applications de l'entreprise en se basant sur Visual Studio Team System. Le plug-in Teamprise est écrit en Java et nécessite sur le système hôte le support de JRE (Java Runtime Environment). La suite Teamprise inclut le plug-in pour Eclipse, Teamprise Explorer et Teamprise Command-Line Client (CLC). Le plug-in est compatible avec Eclipse 3.0 et 3.1. Teamprise Explorer est une application autonome. (...)
(13/07/2006 16:29:15)L'OMG adopte SysML
L'Object Management Group (OMG) a annoncé l'adoption du langage OMG SysML (Systems Modeling Language) en tant que standard. SysML est un langage de modélisation graphique généraliste pour spécifier, analyser, concevoir et vérifier des systèmes complexes qui peuvent inclure du matériel, du logiciel, des informations, des personnes, des procédures... En particulier, le langage fournit des représentations graphiques avec une fondation sémantique pour modéliser des exigences système, des comportements, des structures, et l'intégration avec un large éventail d'outils d'analyse et d'ingénierie. SysML est un sous-ensemble de UML 2.0 auquel on a rajouté des extensions pour satisfaire aux exigences de UML for Systems Engineering RFP. SysML utilise le standard XMI (XML Metadata Interchange) de l'OMG pour échanger les données de modélisation entre les outils, et a l'intention d'être compatible avec le standard ISO 10303-233 d'échange de données d'ingénierie de systèmes. Plusieurs implémentations d'outils SysML sont disponibles ou en développement : ARTISAN Software Tools (http://www.artisansw.com/) ; EmbeddedPlus Engineering (http://www.embeddedplus.com/) ; Telelogic AB (http://www.telelogic.com/corp/index.cfm) ; Sparx Systems (http://www.sparxsystems.com/). Un des reproches que l'on fait à UML est que c'est un langage plutôt orienté modélisation d'application, donc limité dans ses domaines d'applications. Microsoft a préféré pour sa part s'orienter vers des langages de modélisation spécifiques à chaque domaine (Domain Specific Language, DSL). Ainsi avec l'initiative DSI (Dynamic Systems Initiative) Microsoft propose un DSL lui aussi pour les systèmes complexes. SysML est en quelque sorte une réponse de l'OMG pour faire d'UML un langage plus universel. Espérons que les ajouts de fonctionnalités à UML ne finissent pas par rendre la situation inextricable et le langage inutilisable. (...)
(13/07/2006 16:28:34)La cote d'amour des IDE (bis)
Le cabinet Evans Data Corporation (EDC) vient de publier une nouvelle étude sur les environnements de développement intégrés (IDE), « Developers' Choice - IDE Scorecard ». Les résultats sont assez surprenants. IBM Rational Application Developer serait l'IDE le plus apprécié ; quant aux IDE Open Source NetBeans et Eclipse, ils seraient les plus mal aimés et arriveraient en queue. Durant le printemps 2006, les 1200 développeurs consultés ont jugé leurs IDE sur seize critères de fonctionnalités : qualité du compilateur/interpréteur, débogueur, éditeur, make/build, documentation, outils de modélisation, de conception Web, performance du compilateur, des applications résultantes, etc. Dans cette étude, onze IDE étaient en lice : Adobe/Macromedia Studio 8, Borland Delphi, Borland JBuilder, Eclipse, IBM Rational App Developer, IBM WebSphere Studio, Microsoft Visual Studio .NET, NetBeans, Oracle JDeveloper, Sun Java Studio, Sybase PowerBuilder. L'objectif de cette étude est de mesurer l'indice de satisfaction des développeurs sur chacune des fonctionnalités et au final sur l'ensemble de leurs IDE. Au préalable, l'étude montre les pourcentages d'utilisation des IDE. Visual Studio .NET de Microsoft continue de régner comme l'IDE le plus utilisé avec 31,7%. Derrière, on trouve Macromedia Studio 8 d'Adobe avec 11,8%. Avec Dreamweaver, Flash, FireWorks et d'autres outils, Studio 8 fournit une suite d'outils complète, bien implantée chez les concepteurs Web et dont les parts de marché ne cessent de croître. L'autre progression remarquable est celle de l'IDE Open Source Eclipse avec 11,2%. C'est maintenant l'IDE Java le plus populaire et il est en passe de devenir un des plus populaires pour les autres langages. Derrière, on trouve Borland Delphi (7,6%), Sun Java Studio (6,2%), NetBeans (4,6%), Borland JBuilder (4,5%), Oracle JDeveloper (4%), IBM WebSphere Studio (3,5%), IBM Rational Application Developer (2,5%) et Sybase PowerBuilder (1,9%). Les plus satisfaisants : IBM, puis Microsoft et Borland L'indice de satisfaction proprement dit a été calculé à partir des indices relevés pour chaque catégorie. Le résultat est un indice général combiné. IBM Rational Application Developer semble très apprécié de ses utilisateurs et arrive en tête avec 1386 points. Avec déjà les meilleurs scores dans les catégories modélisation, documentation, make/build et support, il reçoit par ailleurs de très bons scores dans quasiment toutes les autres catégories. Pas très loin avec 1310 points on trouve Visual Studio .Net en seconde position. Il possède le meilleur programme de relations développeurs et obtient lui aussi de bons scores dans quasiment toutes les catégories. Juste derrière on trouve Borland Delphi avec 1302 points. Assurément, les développeurs Delphi aime leur IDE. Les deux IDE Open Source NetBeans et Eclipse reçoivent les plus mauvais scores. Selon Evans Data, cela est dû à la nature ouverte et évolutive des logiciels Open Source. Ils seraient défavorisés par rapport aux logiciels commerciaux « qui sont soigneusement étudiés, conçus, architecturés et produits par des éditeurs qui se tiennent derrière leurs produits avec du support et du service » précise l'étude. « La force de la communauté derrière [les logiciels Open Source] cherche les faiblesses comme des opportunités et qui seront adressées de manière plus innovative et puissante », rajoute Evans Data, qui s'attend à de meilleurs scores pour NetBeans et Eclipse dans la prochaine version de l'étude. Que faut-il en retenir ? Comme toutes les études basées sur des sondages, il convient de la prendre avec précaution. Ainsi l'IDE le mieux noté, Rational Application Developer, ne représente que 2,5% de la population. Sur la population sondée (1200), cela représente 30 personnes. Bon, 30 développeurs dans le monde qui s'enthousiasment pour leur IDE, il n'y a peut-être pas de quoi en tirer de conclusion hâtive. Quant à Eclipse, faut-il chercher à tout prix des excuses improbables à son mauvais score, histoire de ménager la susceptibilité des partisans du logiciel libre ? Peut-être qu'Eclipse, bien qu'il soit de plus en plus utilisé, n'est pas encore vraiment satisfaisant. Si l'on se réfère à la même étude parue en mars de cette année, que nous rapportions dans cet article, on pourra remarquer la nette montée de Visual Studio .NET qui passe au deixième rang devant Delphi, résultat d'une politique d'évangélisation .Net qui commence à porter ses fruits. (...)
(13/07/2006 17:10:51)SAP support de cours pour les grandes écoles
Après les DSI, SAP jette son dévolu sur les profs. "On n'a rien à vendre" a pris soin de répéter l'éditeur, hier, soucieux de se dégager de son image commerciale à la Maison des Polytechniciens de Paris où il avait réuni des représentants d'écoles de commerce, d'écoles d'ingénieurs et d'universités. Le choix de ce lieu était évocateur de la logique estudiantine dans laquelle il entendait placer son intervention. Il est vrai qu'il cherchait à susciter l'intérêt de l'enseignement supérieur pour les attraits pédagogiques de son PGI et non pas à remplir son carnet de commandes dans l'immédiat. Mais il n'a pas caché toutefois les enjeux de cette réunion et des partenariats qu'il propose aux écoles pour asseoir sa position sur le marché. "Nous avons pour objectif de compter 150 000 clients en 2010 sur le plan mondial au lieu de 32 000 aujourd'hui. Cela passe aussi par le monde de l'éducation », explique Frédéric Massé, chef de secteur marché public chez SAP France. Nous souhaitons accroître le nombre de ressources formées sur nos produits (SAP estime à 600 le nombre de jeunes qui sortent chaque année de l'école avec une sensibilisation à ses outils, NDLR) pour améliorer la capacité de nos partenaires à déployer les solutions chez les clients. C'est un crève-coeur lorsque ceux-ci sont amenés à refuser des projets. L'autre enjeu majeur est de participer à l'éducation des futurs utilisateurs et décideurs de l'achat de systèmes PGI». Cinq écoles inscrites au programme Pour répondre à ces objectifs, l'éditeur propose aux écoles et aux universités d'intégrer son programme UAP (University Alliance Programme) qui leur permet de se connecter en permanence à son centre de compétences suisse, installé à l'Université des Sciences Appliquées de Valais. Pour 7000 euros par an - une somme destinée à faire vivre le centre- il leur donne accès, via un navigateur Internet ou SAP GUI (l'interface classique de SAP, installée en local et plus rapide) à tous les modules de son progiciel de gestion intégré préparamétrés (MySapERP), aux "meilleures pratiques" de dizaines de sociétés fictives ainsi qu'à SAP Netweaver (socle d'intégration du PGI) et BI Warehouse (informatique décisionnelle). Le but est que les enseignants utilisent ces outils comme supports pédagogiques à leurs enseignements, comme le fait par exemple l'ENI de Tarbes dans son cours de gestion de production. Avec elle, quatre écoles ont déjà franchi le cap UAP, l'Insa de Lyon, le Cesi de Paris, l'IUT de Tarbes et tout récemment, l'Insead. Pour ces établissements, l'intérêt d'un tel outil est d'ancrer leur cours dans la réalité de la gestion d'entreprise et de répondre à une demande des étudiants. Former sans faire de publicité L'enjeu pédagogique est aussi de réfléchir à un projet qui leur permet de se dégager du PGI pour n'en faire qu'un support et non pas de former les étudiants à la logique de gestion qu'il suggère, ni en faire sa promotion. « Il faut prendre garde à ne pas utiliser des TP tout faits proposés par SAP pour aller plus vite », note par exemple la représentante d'une grande école d'ingénieur. « Tant que l'on conserve la maîtrise de nos cours, que nous faisons intervenir des utilisateurs qui parlent de leurs bonnes et de leur mauvaises expériences avec le PGI et que nous expliquons que ses propositions ne reflètent que des choix de gestion liés à des contextes d'utilisation, on n'assure pas sa promotion », ajoute Bernard Grabot, professeur à l'ENI de Tarbes. Avec cette proposition, SAP va plus loin qu'avec ses modalités de partenariat habituelles. L'une d'elle consiste à louer aux écoles l'accès à ses serveurs sur une semaine (pour 500 euros), ce qui est limité pour établir un programme pédagogique. L'éditeur parie avec UAP sur un mode de collaboration non exclusif et non contraignant, basé sur la confiance avec les enseignants ( qui doivent être certifiés sous SAP) qui utiliseront ses systèmes, pour qu'ils s'approprient ses outils à leur rythme. Il entend ne rien imposer aux écoles, mais compte aussi sur l'émulation que créent à la fois la concurrence et la coopération entre elles pour favoriser l'adhésion à son programme. Il a aussi fourni aux participants les codes d'accès à ses solutions, ouverts jusqu'à mi-août, pour qu'ils puissent se faire rapidement une idée. (...)
(13/07/2006 12:37:50)Etude : les DSI américains regrettent l'externalisation
Et si l'externalisation n'était pas l'Eldorado tant vanté ? Si l'étude publiée par DiamondCluster International ne met en lumière aucune révolution, elle illustre néanmoins le ralentissement du recours à l'externalisation par les entreprises IT. Selon l'institut, les DSI américains sont de plus en plus nombreux à réaliser qu'ils font une erreur en recourant à l'outsourcing de façon prématurée. Certains se mettent même à rapatrier une partie des tâches précédemment confiées à des tiers. C'est le cas de Nissan Amérique du Nord : le constructeur s'était tourné vers IBM en 1999 pour un contrat d'externalisation estimé à 1 Md$. En avril 2006, Nissan indiquait qu'une partie des postes confiés à Big Blue étaient retournés dans son propre giron. La même étude avait été réalisée il y a deux ans. A l'époque, aucun responsable IT ne songeait à diminuer le recours à l'externalisation. En 2006, ils sont 9 % à envisager cette possibilité. Les raisons de ce léger revirement sont variées : certains groupes externalisent trop rapidement et ne confient pas les bonnes activités à leurs co-contractants, d'autres n'étaient simplement pas préparés à franchir le cap, d'autres enfin choisissent des prestataires inadaptés. Reste que le recours à l'externalisation continue de progresser, certes à un rythme qui s'essouffle. 64 % des DSI interrogés indiquent qu'ils entendent augmenter la part de leur activité confiée à un prestataire dans les prochains mois. En 2004, ils étaient 86 % à faire la même réponse. Autre élément intéressant : 47 % des sondés ont mis une fin prématurée, au cours de l'année écoulée, à un contrat d'externalisation. Ils n'étaient que 21 % en 2004. (...)
(13/07/2006 12:38:33)Infosys démarre fort son exercice 2007
Résultats premier trimestre 2007 Chiffre d'affaires : 660 M$ (+39 %) Bénéfice net : 174 M$ (+43 %) Infosys, le numéro deux indien de l'externalisation derrière Tata Consultancy Services, a bouclé son premier trimestre fiscal sur la même tendance barométrique qu'au cours des périodes précédentes : le temps est au beau fixe. Le chiffre d'affaires atteint ainsi 660 M$, selon les normes Gaap, et progresse de 39% sur un an. "Au cours du trimestre, la croissance de notre activité en Europe est restée forte. La progression du chiffre d'affaires provient essentiellement des secteurs télécoms, financiers et industriels", a expliqué le responsable des ventes mondiales, SD Shibulal. Le bénéfice net bondit de 43%, à 174 M$. Il profite de la dépréciation de la roupie par rapport aux principales monnaies étrangères. Une dépréciation qui a permis au groupe de conserver un niveau de marge intact, en dépit d'une augmentation des charges salariales et de visa. Au cours de la période, le spécialiste de l'externalisation a recruté 5 694 salariés, portant son effectif total à 58 409. Il prévoit d'en embaucher 25 000 autres d'ici à la fin de l'exercice en cours. Fort de ces bons résultats, et de l'excellente santé du secteur de l'outsourcing en Inde - les exportations de logiciels et services devraient croître de 27 à 30% cette année et générer des revenus compris entre 29 et 31 Md$ selon l'India's National Association of Software and Service Companies - Infosys table sur un chiffre d'affaires en hausse de 36% pour l'exercice fiscal en cours, à 2,91 Md$. (...)
(13/07/2006 12:40:49)Intel programme Montecito au 18 juillet et Conroe au 27 juillet
Un été très studieux pour Intel. Le constructeur, en perte de vitesse dans les ventes de processeurs au profit d'AMD, prévoit de sortir pas moins de 10 puces entre juillet et octobre. Un calendrier métronomique qu'Intel ne doit pas manquer en raison de la rentrée scolaire, période propice aux achats de PC. Ainsi, Conroe, officiellement Core 2 Duo, processeur bicoeur pour desktop, devrait voir le jour le 27 juillet, inaugurant au passage le lancement de l'architecture vPro (qui embarque des outils d'administration de parc). Coté serveur, Montecito, version bicoeur de l'Itanium, fera son apparition le 18 juillet, moins d'un mois après Woodcrest, la déclinaison bicoeur du Xeon. Courant août, ce sera le tour de Merom, processeur double-coeur pour les ordinateurs portables. (...)
(13/07/2006 12:39:40)Yahoo et Microsoft testent l'intéropérabilité de leurs messageries
Yahoo et Microsoft testent enfin l'intéropérabilité de leurs messageries instantanées grand public. A partir d'aujourd'hui jeudi 13 juillet, les utilisateurs de Live Messenger, prochaine mouture de MSN Messenger, et de Yahoo Messenger with Voice, pourront en toute transparence s'inter-connecter, échanger des messages, signaler leur présence et partager des fichiers. A l'origine, les deux partenaires devaient rendre leurs services interopérables dès le deuxième trimestre 2006. Le programme de test public démarre dans 20 pays dont la France. Les inscriptions, pour l'heure limitées, sont ouvertes sur les sites respectifs des deux éditeurs. D'ici quelques mois, l'interopérabilité des services devrait être disponible pour tous les utilisateurs. Microsoft supportait déjà les services de Yahoo - ainsi que ceux d'AOL - dans son offre Live Communication Server (LCS) et son client Office Communicator. L'annonce d'aujourd'hui couvre les version gratuites et grand public des clients de messagerie instantanée. (...)
(13/07/2006 12:40:05)Recrutement : CBL titille le consultant SAP
« Si vous pensez que pour réussir il faut être une langue de p..., si vous pensez que pour réussir, il faut bouffer les autres, évitez de nous contacter ». Choquante, iconoclaste, habile? La campagne de communication menée par la société de conseil CBL consulting (4,3 millions de chiffre d'affaires, une petite cinquantaine de personnes) pour recruter des consultants SAP (une vingtaine), ne laisse en tout cas pas de marbre. Elle marque les esprits avec des visuels provocateurs - un homme avec une langue de reptile et une jeune femme au regard glacé - et des slogans chocs. Elle atteint ainsi l'un de ses objectifs, permettre à ce spécialiste du déploiement du progiciel SAP HR (ressources humaines) de se faire remarquer sur un marché de l'emploi saturé d'annonces clones qui apportent peu de candidatures qualifiées. « Le marché de l'emploi SAP est un marché de réseau. Les consultants n'ont pas besoin de regarder les annonces pour trouver des opportunités. Nous avons donc pensé qu'une campagne institutionnelle permettrait de nous manifester davantage qu'une annonce de recrutement », explique Brigitte Burette, DRH de CBL consulting. Lancée au début du mois de juillet, cette campagne a occupé les pages de supports peu habituels pour une SSII, le quotidien gratuit Métro et le magazine Challenge. Ce choix était aussi une façon pour CBL de marquer sa différence parmi les intégrateurs SAP et de toucher un public plus large, hors des viviers habituels comme des professionnels des RH. L'opération comportait quelques risques, notamment celui de déplaire, mais Brigitte Burette en tire des retombées positives. "Nous avons eu beaucoup de remarques de consultants et de clients sur cette campagne, avec environ 70% de retours favorables. Notre volonté d'être différenciant correspond aussi à ce que nous sommes et à ce que nous proposons à nos collaborateurs, en terme d'autonomie, de possibilité de s'exprimer, de passage d'un module à l'autre au fil des projets ». En ce qui concerne les candidatures, Brigitte Burette estime, pour avoir interrogé les consultants qu'elle rencontre, que la campagne a permis d'accélérer les mouvements au sein de son réseau et l'arrivée de CV. Elle ne se prononce pas sur des données quantitatives. Au vue du coût d'une « chasse » par un cabinet de recrutement, elle affirme que le retour sur investissement de l'opération (qui a coûté 35 k€) est atteint. La réflexion est lancée pour la reconduire à la rentrée. (...)
(13/07/2006 11:29:08)Secure Computing s'offre CipherTrust
Secure Computing va racheter l'éditeur de solutions de sécurité CipherTrust. Montant estimé au terme des négociations : 274 millions de dollars (195 M$ en numéraire, le reste en actions). L'acquisition devrait être finalisée le 8 septembre prochain. Secure Computing complètera alors sa gamme d'appliances de sécurité Internet. Il compte ainsi faire face à la croissance du marché. « En combinant les solutions de CipherTrust avec les nôtres, nous allons offrir des solutions hautement intégrées, différenciées grâce à la gestion de la sécurité de contenu qu'elles apportent, à destination des entreprises », a indiqué John McNulty, président et CEO de Secure Computing. L'entreprise issue de ce rachat possèdera une équipe de vente de 300 personnes et pourra se targuer d'adresser 18 000 clients via son réseau de 1 700 revendeurs. (...)
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