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(13/07/2006 11:29:23)

Patch Tuesday: Microsoft publie 7 correctifs

Microsoft publie 7 correctifs (pour 18 vulnérabilités), certains s'appliquant à la suite Office, d'autres concernant la couche réseau de Windows. De ce lot, on distingue particulièrement la faille MS06-037, qualifiée de critique, et que les principaux experts s'attendent à voir exploitée largement dans les jours à venir. A ce trou l'on doit également associer deux autres défauts d'Office, l'un concernant un risque d'exécution à distance après exploit via des fichiers graphiques PNG et GIF (MS06-039), l'autre, MS06-038, affectant trois mécanismes de filtrage (parsers) d'Office, chacun pouvant conduire à une injection de code. Egalement critique, une possibilité d'attaque par réponse malformée d'une requête DHCP - référencée MS06-036. C'est là typiquement une attaque LAN - puisque limitée à la zone d'adressage dynamique -, mais dont le champ d'application peut éveiller bien des convoitises. Le bulletin d'ISS, les découvreurs, parle d'injection de code à distance, mais l'on pourrait également imaginer un scénario facilitant l'installation d'une « rogue station » (résident pirate) après assassinat d'une machine légitime. Reste le bulletin MS06-035, dont le sujet avait déjà été évoqué par Microsoft, et qui signale une instabilité grave du service serveur : double faille, dont une prise de contrôle à distance reposant sur une faiblesse du pilote du service, et une « fuite d'information » par le truchement d'une lecture de zone mémoire dans les tampons SMB. Les autres défauts sont, estime l'éditeur, de moindre importance. Et notamment un défaut dans ASP.Net et un problème d'IIS utilisant les pages ASP. (...)

(12/07/2006 18:04:40)

HP France: plus de départs volontaires que prévu

A l'issue de la période de volontariat, ouverte du 21 juin au 5 juillet dans le cadre du plan de restructuration touchant la filiale française de HP, le groupe doit composer avec un nombre de salariés désireux de quitter leur employeur supérieur à ses attentes. Ainsi, ce sont 346 volontaires excédentaires qui se sont déclarés, en plus des 834 initialement prévus : "on s'y attendait, note Fabrice Breton, délégué syndical national CFTC. Surtout en ce qui concerne HP France, la partie commerciale du groupe, qui regroupe des populations plus mobiles que dans la branche industrielle". Pas de désignation, pas de licenciement Les 346 départs volontaires excédentaires devraient contribuer à limiter la quantité de licenciements et de départs forcés. "Il n'y aura pas du tout de désignation", se réjouit Fabrice Breton. Didier Pasquini, son collègue de la CFE-CGC le rejoint : "c'est une bonne nouvelle" ; mais il se veut plus prudent et souligne qu'il serait inenvisageable que la direction procède maintenant à des départs forcés. Il rappelle en outre que "le nombre de volontaires plus élevé que prévu illustre l'état de démotivation qui règne dans l'entreprise. Un sentiment entretenu par le groupe, qui rappelait encore récemment que sa priorité n'était pas d'inciter les gens à rester". La question qui taraude désormais les représentants du personnel est : la direction va-t-elle accepter tous les départs volontaires ? "Il le faut, plaide Didier Pasquini. Les retenir serait contre-productif pour l'entreprise et dommageable à titre individuel". Son collègue de la CFTC se montre plus définitif : "la direction accepte tous les volontaires en excédent contre des réembauches d'ici à la fin 2007". Dans les faits, HP serait prêt à recréer autant de postes que de volontaires au départ dans la branche commerciale mais hésiterait encore en ce qui concerne la partie industrielle. Quoi qu'il en soit, pour Didier Pasquini "il faut qu'à la fin 2007 nous soyons revenus à l'effectif prévu initialement". Des conditions de départ avantageuses mais gare aux mirages Au-delà de la démotivation qui a pu toucher de nombreux salariés à l'annonce du plan social, quelles raisons expliquent l'important contingent de volontaires ? "Si la direction a consenti à mettre en oeuvre des conditions financières intéressantes, nous avons fait en sorte qu'il y ait d'autres garanties", explique Didier Pasquini. Ainsi, de nombreux salariés ont été accompagnés dans la recherche d'un nouvel emploi. Ils sont 369 à avoir démarré ou finalisé un CDI avant même d'avoir quitté HP. "Nous avons également contribué à dégager une aide importante à la création d'entreprise", poursuit Fabrice Breton. Parmi les volontaires, 156 se sont découvert une vocation d'entrepreneur et 63 autres finalisent leur projet, profitant de la possibilité qui leur est laissée de quitter HP tout en continuant à faire momentanément partie des effectifs. Une soixantaine d'employés souhaite en outre procéder à une reconversion : "on voit de nombreux projets de reconversion totale : certains veulent devenir instituteurs, d'autres ouvrir un restaurant..." illustre Fabrice Breton. Enfin, les volontaires restants constituent ce que Didier Pasquini nomme la zone à risque : "parmi eux, certains regretteront leur choix de partir". Car, si les conditions de départ semblent avantageuses, "il faut éviter de tomber dans la caricature montrant un chèque de départ conséquent", rappelle Didier Pasquini qui conclut sur une anecdote : "j'ai rencontré sur le quai d'une gare un salarié qui s'était porté volontaire lors du plan social de 2003. Il n'a retrouvé un emploi qu'en janvier 2006. Derrière l'euphorie du gros chèque, il y a souvent des regrets". (...)

(12/07/2006 18:06:35)

EMC veut transformer ses baies de stockage en PKI

EMC commence à détailler ses projets d'intégration des technologies acquises lors du rachat de RSA Security fin juin. Le constructeur travaille ainsi à doter ses baies de stockage de fonctions de cryptage de données en natif. L'idée, explique EMC, est de transformer nos produits en solutions de PKI (public-key infrastructure - infrastructure de cryptographie à clés publiques), et utiliser leur puissance pour accélérer le cryptage et décryptage des données. EMC n'indique pas quel serveur servira de socle pour cela. Il commercialise ses baies sous la marque Clariion (milieu de gamme) et Symmetrix (haut de gamme). Il précise toutefois que sa future solution embarquera les modules de gestion de PKI de RSA. Les premiers résultats du projet, encore au stade de développement, devraient apparaître d'ici 12 à 18 mois. (...)

(12/07/2006 18:05:52)

Une solution serveur intégrée IBM pour JD Edwards

IBM lance une solution intégrée combinant serveur et logiciel pour héberger le PGI de JD Edwards, propriété d'Oracle. Baptisé IBM System i520 Solution Edition for Oracle's J.D. Edwards EnterpriseOne, le package s'adresse avant tout aux entreprises de moins de cent employés. L'ensemble s'appuie sur un serveur iSeries 520 (nouveau nom des AS/400) motorisé par les processeurs Power 5 de la marque, ainsi que sur l'OS maison I5. Big Blue précise qu'il supporte également Windows, Linux et AIX. Disponible dès le 11 août, la solution devrait être commercialisée au prix de 21 921 $. La tarification et la disponibilité pour l'Europe ne sont pas actuellement communiquées. L'offre est une bonne nouvelle pour Oracle dans sa tentative de conserver la confiance des clients des sociétés qu'il a rachetées. En avril dernier, l'éditeur avait ainsi confirmé son engagement auprès des 5 000 utilisateurs JD Edwards, en prolongeant après 2013 le support du PGI sur les serveurs IBM iSeries. Selon IBM, le marché des PME couvre 20% de son chiffre d'affaires annuel. (...)

(12/07/2006 18:06:59)

Fast, la dématérialisation pour les collectivités locales (Corrigé)

Mise au point depuis plusieurs années, la plate-forme d'échanges dématérialisés sécurisée Fast, destinée aux collectivités locales, est lancée commercialement par CDC Confiance Electronique Européenne, une filiale à 100% de la Caisse des Dépôts et Consignations. Le premier service proposé est la dématérialisation du contrôle de légalité mais d'autres devraient suivre sous peu. Fast n'intègre pas le certificat de signature électronique qui doit être acheté auprès d'une autorité de certification tierce. Le tarif d'accès à la plate-forme et à ses services varie selon la population et la nature juridique de la collectivité y ayant recours, sans limitation du nombre d'opérations : par exemple, une petite commune accède gratuitement à la plate-forme et s'abonne au service « contrôle de légalité » pour 14 euros par mois; un Conseil général accède à la plate-forme pour 9020 euros et le contrôle de légalité lui coûte 4975 euros par trimestre. L'installation et la formation sont facturées forfaitairement à partir de 450 euros. Jusqu'à la fin 2006, des tarifs préférentiels sont proposés. (...)

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