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(26/09/2011 12:33:11)
Atos recrute 600 ingénieurs dans 17 villes françaises
Atos réitère ses journées nationales de recrutement baptisées Talent Days, ce qui devrait l'aider à intégrer 600 ingénieurs d'ici la fin de l'année. Cette opération se déroulera entre le 4 et le 13 octobre prochains dans 17 grandes villes de l'Hexagone. Les entretiens ont été fixés le 4 octobre à Bezons, (le siège social d'Atos situé dans le Val d'Oise), ainsi qu'à Cournon d'Auvergne et à Rennes. Ils auront lieu le 6 octobre à Aix-en-Provence, Bordeaux, Lyon, Metz, Tours/Le Mans, et, le 11 octobre, à Grenoble, Orléans, Nantes et Sophia-Antipolis. La date du 13 octobre a elle été arrêtée pour les villes de Lille, Niort, Strasbourg, Toulon, Toulouse, ainsi qu'une nouvelle fois à Bezons.
Retour sur les candidatures le jour même
Conçues sur le modèle du speed recruiting, ces journées permettront aux candidats, qu'ils soient étudiants, jeunes diplômés ou déjà expérimentés, de passer des brefs entretiens avec des recruteurs et des managers opérationnels d'Atos. Le groupe précise que les postulants auront un retour sur leur candidature le jour même et pour ceux qui seraient retenus, une proposition d'embauche dans les 3 jours suivants.
La palette des postes à pourvoir est vaste. Il s'agit d'ingénieurs d'études et développement et d'experts techniques sur Java/J2EE, d'ingénieurs développement sur Microsoft, de consultants (Webmethods, SAP, CRM, AMOA, BI), de chefs de projet (Peoplesoft, SAP HR, SAP BW, SAP Fico), de directeurs de projet et d'architectes techniques. Atos recherche également des administrateurs de bases de données (Oracle), des administrateurs d'outils d'intégration (Webmethods) et de serveurs d'application (Weblogic), des ingénieurs systèmes (Unix-Linux et Windows), et également des ingénieurs réseau et sécurité
Atos confirme ainsi son plan de recrutement en France de plus de 1 500 personnes en 2011, dont 60% de jeunes diplômés. 900 ingénieurs ont déjà rejoint le groupe.
(...)
Oracle annonce la sortie de Solaris 10 8/11
Dans l'attente d'OpenWorld, qui se déroulera du 2 au 6 octobre à San Francisco, la firme de Redwood a annoncé la disponibilité du système d'exploitation propriétaire Unix, Solaris 10 en version 8/11. Parmi les évolutions présentées, on note des améliorations sur le système de fichiers ZFS. Ainsi, les clients pourront adopter ZFS comme système de fichiers racine pour l'ensemble de leurs systèmes Oracle Solaris 10. Toujours dans un souci d'une plus grande intégration, il est désormais possible d'installer un système à partir d'une archive ZFS, soit sur un système nu soit avec Oracle Solaris Live Upgrade.
Enfin, l'accent a été mis sur l'amélioration de la performance. Oracle insiste sur les redémarrages plus rapides pour les systèmes SPARC, diminuant ainsi les temps d'arrêt en cas de maintenance planifiée. Enfin, les temps de démarrage et d'arrêt de la base de données Oracle en version 11g ont été fortement réduits pour les clients utilisant ISM (Intimate Shared Memory).
Il reste maintenant à attendre la probable version 11 de Solaris qui devrait être présentée à Oracle World. L'année dernière, une version Express avait été proposée.
Timeline de Facebook : Une aubaine pour les pirates
TimeLine, la fonctionnalité tout juste dévoilée par Facebook aux développeurs, et que l'entreprise prévoit de déployer dans quelques semaines, résume, sur une seule page, les événements passés importants des utilisateurs. Selon Mark Zuckerberg, le PDG de l'entreprise, Timeline, c'est « l'histoire de votre vie. » Cet aspect n'a pas échappé aux experts de l'éditeur britannique Sophos spécialisé dans la sécurité. « Timeline facilite énormément la collecte d'informations sur les personnes, » a déclaré Chet Wisniewski. «Certes, ces données existent déjà actuellement sur Facebook, mais elles ne sont pas accessibles aussi facilement. »
« Les cybercriminels cherchent souvent à dénicher des détails personnels sur des sites de réseautage social pour élaborer des attaques ciblées, » fait remarquer le chercheur de Sophos, « et Timeline va leur mâcher le travail. » D'autant que « Facebook encourage les gens à combler les vides dans l'histoire de leur vie», a constaté Chet Wisniewski. Celui-ci fait notamment référence à l'outil qui demande aux utilisateurs d'ajouter des détails aux sections laissées vides. « Les gens utilisent souvent des éléments de leur vie personnelle pour élaborer leurs mots de passe ou encore définir la question de sécurité que certains sites et services demandent pour réinitialiser les mots de passe.
Plus il y a de détails dans un récit, plus les gens se mettent en danger, » a encore estimé le chercheur. « Vous vous souvenez du hack du compte de Sarah Palin, l'ancien gouverneur de l'Alaska? » a-t-il demandé. « Le pirate avait trouvé en ligne les réponses aux questions de sécurité imaginées par l'ancien gouverneur, » a-t-il ajouté. Il avait fallu seulement 45 minutes à l'ancien étudiant de l'Université du Tennessee qui s'était vanté de l'exploit - il a été condamné pour de multiples chefs d'inculpation par un tribunal fédéral l'an dernier - pour réinitialiser le mot de passe du compte de messagerie Yahoo de Sarah Palin.
Des informations importantes pour les pirates
« Les pirates peuvent aussi utiliser ce qu'ils trouvent sur Facebook et ailleurs pour élaborer des emails convaincants dans lesquels ils peuvent inclure des logiciels malveillants ou des liens vers des sites malveillants, » a déclaré Chet Wisniewski, même si l'individu n'est pas forcément la cible. «Le pirate peut chercher à viser l'entreprise pour laquelle travaille un individu particulier, comme ça a été le cas pour les salariés de RSA Security », a-t-il déclaré, en rappelant les courriels envoyés à des salariés ordinaires de cette entreprise plus tôt cette année, accompagnés de feuilles de tableur Excel infectées par des logiciels malveillants qui ont permis aux pirates de s'introduire dans le réseau de RSA. Grâce à cela, les criminels ont pu siphonner les systèmes de RSA et voler des informations confidentielles sur sa technologie d'authentification par tokens SecurID.
D'autres individus, qui ne sont pas des pirates au sens strict, pourraient utiliser Timeline pour déterrer rapidement des informations sensibles qu'ils peuvent exploiter, » a déclaré Chet Wisniewski. «Par exemple, une personne malveillante pourrait utiliser Timeline pour collecter des informations en vue de vous harceler, ou un collègue de travail en concurrence sur le plan professionnel pourrait les utiliser contre vous, » a-t-il ajouté. « Plus vous vous employez à compléter votre histoire - et nous avons été conditionnés à remplir des formulaires - plus il sera facile à une personne mal intentionnée de collecter des renseignements vous concernant, » a déclaré le chercheur.
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Même si les paramètres actuels de confidentialité de Facebook vont s'appliquer à la Timeline - les utilisateurs pourront décider de ce que chaque ami pourra voir - et même si la Timeline peut être éditée à tout moment pour supprimer un évènement gênant, le chercheur semble assez pessimiste quant à la capacité de décision des utilisateurs. « Vous pouvez nous taxer de paranoïaques ou nous reprocher d'être trop prudents - mais nous sommes payés pour réfléchir aux dangers possibles. Et, pour 99% des individus, ce facteur danger ne semble même pas traverser leur esprit, » a déclaré Chet Wisniewski.
Dans un sondage réalisé par Sophos sur son site Internet, près de 50% des personnes ayant répondu ont convenu que la Timeline de Facebook les inquiétait, et environ 17% ont trouvé l'idée séduisante ou dit qu'ils s'y adapteraient. Chet Wisniewski a admis que le sondage ne reflétait probablement pas l'opinion de la plupart des utilisateurs de Facebook. « Ces utilisateurs ont répondu volontairement au sondage et ils sont suffisamment préoccupés par la sécurité pour avoir consulté notre site internet. »
(...)(26/09/2011 10:22:26)La crise impacte le moral des PME et des ETI, selon la Banque Palatine
La crise est durable. C'est le premier enseignement de cette étude. Pour 47% des dirigeants interrogés, la crise durera au moins jusqu'à fin 2012. 43% la voient se finir courant 2012, 7% seulement fin 2011. Ces dirigeants craignent avant tout, dans 48% des cas, la baisse de la consommation. Loin devant le cours des matières premières, qui inquiète 37% des répondants, ou même celle des faillites bancaires ou d'autres entreprises (24% d'inquiets). C'est donc le client particulier qui est au centre des préoccupations. Et la situation générale de l'économie qui inquiète.
Curieusement, les dirigeants interrogés sont moins inquiets pour leur entreprise et pour leur secteur que pour l'économie en général. 69% ont confiance dans l'entreprise sur les six mois à venir. Ils étaient 81% au mois de juin dernier, 81% également en avril, 84% en janvier. La chute est donc forte. Concernant le secteur d'activité, et toujours sur six mois, les dirigeants sont confiants à 57%, contre 73% en juin, 74% en avril, 7% en janvier. Une chute aussi forte qu'à la question précédente.
L'été a été meurtrier
Les points vraiment négatifs viennent de l'économie mondiale. 27% d'optimistes sur les six mois à venir, contre 51% en juin et 37% en avril, 38% en janvier. L'été a été meurtrier, comme le titre l'étude. Concernant l'économie française, la même tendance se retrouve, en plus violent, 22% de confiants, contre 57% en juin, 44 en avril, 44 également en janvier.
Autre paradoxe, si l'optimisme est en chute libre au passage de l'été, la reprise est réelle. Pour 52% des dirigeants, leur chiffrer d'affaires est supérieur à celui de 2010. 52% des dirigeants ont ce sentiment en septembre. Ils n'étaient que 41% sur le 1er semestre. Signe de cet optimisme, les dirigeants interrogés sont plus nombreux à envisager d'embaucher, 16%, que de réduire leurs effectifs, 7%.
Les priorités arrivent dans le même ordre qu'avant l'été. En tête (82%, avec 51% de très prioritaire et 31% d'assez prioritaire) la stratégie commerciale en baisse de 6 points par rapport à juin, ensuite les process de production (70% comme en juin), l'innovation (68% identique à juin). Viennent ensuite : l'organisation interne, le positionnement sur les nouveaux marchés, le niveau des investissements, le recrutement de compétences, les nouvelles technologiques, le développement à l'international, les acquisitions.
(*) Ce Baromètre concerne les entreprises de 15 à 500 millions d'euros de CA annuel, il a été réalisé par l'Institut Opinion Way, du 29 août au 9 septembre, auprès de 300 dirigeants d'entreprise.
Favoriser l'échange d'informations lors des colloques médicaux
La start-up suisse Poken s'est alliée à la firme américaine Standard Register Healthcare pour lancer PokenHEALTH, un produit qui doit favoriser le networking et la collecte d'informations lors de conférences et congrès médicaux. Ce produit utilise la technologie NFC déjà développée par Poken pour permettre une meilleure interaction entre les participants et les sponsors d'un événement médical. Il permet aux participants d'utiliser leur smartphone pour récolter et partager leurs cartes de visite virtuelles, ainsi que le matériel relatif à l'événement (documents PDF etc). Les données sont transférées sans fil et de manière instantanée d'un appareil à un autre. Elles sont ensuite chargées sur le hub privé et sécurisé du participant, qui peut les consulter tranquillement à la fois durant et après l'événement.
Technologie intuitive et convivialeSelon Yeva Roberts, responsable de la stratégie technologies émergentes chez Standard Register Healthcare, «l'expérience utilisateur, avec une interface extrêmement intuitive, gaie et conviviale, est quelque chose de rare dans le secteur de la santé et fait de PokenHEALTH un outil remarquable». PokenHEALTH a été présenté pour la première fois lors du congrès annuel de la Société de stratégie et de développement marketing dans le domaine de la santé (SHSMD) à Phoenix aux Etats-Unis.
Licenciements prévus pour l'éditeur Generix Group
Actuellement composé de 515 collaborateurs, l'effectif de l'éditeur français d'ERP pourrait être amputé de 50 d'entre eux selon le plan de licenciement présenté par la direction au comité d'entreprise cette semaine. Ces départs font partie d'un plan de réorganisation plus large de l'entreprise. Il prévoit également le rapprochement des équipes Edition et Services de l'ERP Generix Collaborative Enterprise, la baisse et l'optimisation des investissements en R&D et la réduction des frais généraux et administratifs. L'ensemble de ces mesures est accompagné par le renforcement des dispositifs de contrôle des dépenses.
Dans le rouge depuis trois ans
Depuis trois ans maintenant, Generix Group souffre d'une situation financière difficile. Lors de son exercice 2008/2009, le résultat net part du groupe se situait à -3,7 M€. L'an dernier, les pertes ont atteint 5,7 M€. De fait, l'éditeur voit dans sa réorganisation « le corolaire indispensable à la poursuite de la stratégie engagée depuis 2007 qui vise à s'adapter à la coexistence d'un modèle de vente sous forme de licence et en mode SaaS ». Les revenus de l'éditeur dans ce dernier domaine progressent à un rythme de 30% mais ne compensent pas la baisse du chiffre d'affaires issu des ventes de licences.
C'est dans ce contexte que l'assemblée générale de Generix Group a voté une augmentation de capital comprise entre 8,1 et 8,3 M€. Pléiade Investissement, l'un de ses actionnaires (29,3% du capital), s'est engagé à souscrire à 100% du montant de l'opération.
(...)
Support : Attention aux faux appels d'escrocs
Selon la Centrale d'enregistrement et d'analyse pour la sûreté de l'information suisse MELANI, plusieurs entreprises ont récemment été contactées téléphoniquement par des personnes se faisant passer pour des employés de Microsoft. Ces appels ont pour but de convaincre les victimes potentielles d'exécuter des manipulations sur leur propre ordinateur, afin de télécharger des codes malveillants, de visiter des pages web infectées ou encore d'opérer des modifications sur le système Windows afin de permettre l'accès à distance. Les criminels tentent par ce biais de se procurer un accès aux ordinateurs de l'entreprise.
Des appels en anglaisLes personnes qui appellent parlent pour la plupart anglais et disent être basés aux USA, en Angleterre ou en Australie. Le numéro de téléphone de contact provient d'un de ces pays. Ces faux employés prétendent que Microsoft a reçu des messages d'erreur en provenance d'un ordinateur de l'entreprise. Le choix des victimes semble être de nature aléatoire.
Il convient de préciser que Microsoft n'appelle pas spontanément pour résoudre des problèmes informatiques. De plus amples informations à ce sujet sont disponibles sur le blog du responsable de la sécurité de Microsoft (voir illustration principale).
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