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(01/12/2005 17:45:37)

Philips et NEC s'associent dans les télécommunications d'entreprise

NEC s'apprête à prendre une participation majoritaire dans PBC, la division dédiée aux télécommunications d'entreprises de Philips. Selon les termes de l'accord, NEC détiendra 60 % des parts de la nouvelle entité qui prendra la forme d'une joint venture, baptisée NEC Philips Unified Solution. Elle regroupera environ 900 salariés et portera sur l'ensemble des activités actuelles de PBC dans la zone Emea. Cet accord étend le champ de collaboration entre les deux partenaires, qui travaillent ensemble depuis 2003 sur le déploiement de la technologie IP dans les télécommunications d'entreprise. La finalisation de l'accord est soumise à la validation des autorités de régulation et à la signature finale des deux parties. Elle devrait avoir lieu au cours du deuxième trimestre 2006. (...)

(01/12/2005 17:45:07)

Alcatel renouvelle ses commutateurs de coeur de réseau

Alcatel a dévoilé lundi sa famille de commutateurs de coeur de réseau Ethernet OmniSwitch 9000 et mis l'accent sur l'utilisation du 10Gigabit Ethernet dans les entreprises. Les deux commutateurs OmniSwitch 9700 et 9800, sont conçus pour les centres informatiques d'entreprises et apportent des fonctions avancées de sécurité, de gestion de la qualité de service, et de gestion des applications multimédia et des VPN. L'OmniSwitch 9700 est un châssis à 10 emplacements tandis que le 9800 dispose de 18 emplacements. Sur les deux modèles, l'ensemble des composants sont échangeables à chaud. Les deux nouveaux commutateurs supportent le routage et le multicast, le filtrage et le tunneling IPv4 et IPv6 ainsi que des fonctions avancées de clustering et de disponibilité. Les commutateurs de la famille OmniSwitch 9000 disposent d'un fond de panier à 1,92 Terabit/s et son capable de commuter des paquets IP à un débit de 768 Gbit/s. Le 9800 peut supporter un total de 348 ports Ethernet L'OmniSwitch 9700 sera disponible à la mi-à partir de 3995$. Une lame 24 ports 10/100/1000 devrait coûter un peu moins de 8000 $tandis qu'une lame à 2 ports 10 Gigabit Ethernet sera vendue 10495$. L'Omniswitch 9800 sera, quant à lui, disponible au début 2006. (...)

(01/12/2005 17:43:39)

Microsoft teste OneCare Live

Microsoft vient d'inviter un certain nombre d'utilisateurs américains à tester une version béta de son service de sécurité OneCare Live. Son objectif est de protéger un ordinateur sous XP de toutes formes d'attaques et d'intrusions, et de lancer ses sessions de sauvegarde visant à la sécurité des données. La béta d'OneCare Live met alors à disposition un anti-virus, un anti-spyware, la possibilité de scanner les documents transmis via MSN messenger, une gestion des mises à jour de sécurité, et enfin la possibilité de sauvegarder ses données sur un disque dur externe. L'ensemble sera administré à travers un logiciel client installé sur le PC. Si pour l'heure le service en béta reste gratuit, Microsoft entend bien financer OneCare Live à l'abonnement dès sa version finale (sans indiquer de date). (...)

(01/12/2005 17:43:04)

La Free Software Foundation lance la refonte de la licence GPL

La Free Software Foundation et le Software Freedom Law Center ont publié hier le calendrier et les procédures qui seront utilisés pour réviser la plus connue de toutes les licences libres : la licence GPL. Les deux organisations entendent distribuer le premier brouillon de la nouvelle licence GPL 3 en janvier afin de lancer un débat qui devrait se poursuivre tout au long de 2006 et s'achever, au plus tard au printemps 2007. La licence GPL originelle a été rédigée en 1989 par Richard Stallman pour le projet GNU. Une version 2 a rapidement suivi en 1991. Elle autorise l'utilisateur à librement étudier, copier, modifier, réutiliser, partager et redistribuer le code d'un logiciel GPL. Selon la FSF, environ 75 % du code libre serait actuellement distribué sous licence GPL. L'un des enjeux de la rédaction de la GPL3 est de faciliter son internationalisation afin qu'elle prennent en compte les exigences mondiales en termes de copyright. L'un de ses enjeux sera aussi de préciser les conditions de redistribution notamment dans le cadre d'utilisation de code GPL dans des architectures de services Web. Le premier brouillon sera rendu public lors de la première conférence internationale sur la GPL3 qui se tiendra au MIT les 16 et 17 janvier 2006. ce premier jet sera accompagné d'un document expliquant notamment les raisons des modifications apportées par la FSF . Un deuxième brouillon devrait être proposé en juin 2006. S'il ne génère pas de critiques importantes ce brouillon pourrait être ratifié dès le mois de septembre En cas de prolongation des discussions, la FSL estime qu'un dernier brouillon pourrait être produit en octobre 2006 pour une publication de la licence finale au plus tard en mars 2007. Un document décrivant le processus mis en place est consultable librement sur le site http://gplv3.fsf.org. (...)

(01/12/2005 17:40:52)

IBM sort un outil de migration des applications Solaris vers Linux

IBM a annoncé hier dans un communiqué la disponibilité d'un kit destiné à faciliter la migration de Solaris vers Linux. Le "Kit de migration de Solaris vers Linux" est disponible gratuitement pour les clients et partenaires de Big Blue et il a pour but de simplifier le portage du code des applications écrites pour Solaris vers Linux. Le kit peut aussi être utilisé par les développeurs indépendants d'applications pour porter leurs logiciels vers Linux et il vient compléter les outils déjà existants dans le cadre du programme Chiphopper, conçu par IBM, Red Hat et Suse. Il est à noter que Sun propose l'approche inverse e d'IBM avec sa solution Solaris Containers for linux, qui permet de faire tourner des applications Linux x86 au-dessus de Solaris dans un conteneur applicatif virtualisé, une approche qui ne nécessite aucune adaptation du code des applications Linux... (...)

(01/12/2005 17:39:24)

Les députés généralisent le flicage informatique

Gauche et droite main dans la main, les premiers s'abstenant de critiquer ce que les seconds ont encensé. Il n'y avait guère que Noël Mamère pour s'élever contre le projet de loi antiterroriste adopté à une majorité écrasante par l'Assemblée nationale le 29 novembre. Présenté par le ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, le texte renforce drastiquement les outils de surveillance déjà en place. Au programme, un florilège de mesures que les associations de défense des libertés individuelles - au premier rang desquelles la Ligue Odebi, Iris (Imaginons un réseau Internet solidaire) - et surtout la Cnil - organisme officiel en charge de la protection des données personnelles - n'hésitent pas à associer à l'idée d'un état policier. Outre l'aggravation des peines et la réforme de la garde à vue - durée étendue, avocat intervenant plus tardivement - la loi crée les outils nécessaires au fichage numérique généralisé de la population. Au même titre que les opérateurs télécoms et que les FAI, les cybercafés et détenteurs de réseaux wifi seront tenus de conserver les logs de connexion des internautes et de les fournir aux services de police, même en dehors d'une procédure judiciaire. L'exposé des motifs précise que "la problématique des « cybercafés » est d'offrir des accès à l'Internet sans ménager de possibilités d'identifier les clients, ni de cerner les connexions individuellement". Les possibilités de vidéosurveillance seront accrues, qui autoriseront l'installation des systèmes près des installations sensibles, aux abords des lieux de culte ou autre "personnes morales" ainsi que les désigne le texte. Il sera même possible en cas de risque terroriste, d'installer des caméras pendant quatre mois dans avis ni autorisation de la commission départementale de la vidéosurveillance. En voiture, pas davantage de salut. Un système de surveillance des véhicules doit ainsi être mis en place et aboutir à la prise de photographie automatique des conducteur et des passagers ainsi qu'à la lecture des plaques d'immatriculation. Mieux que le GPS. Toujours dans un esprit de consacrer le fichage-roi, la force publique pourra avoir accès aux bases de données de la place Beauvau : plaques d'immatriculation, permis de conduire, cartes d'identité, passeports, titres de séjour, demandes de visas, etc. Au regard des ces éléments, la ligue Odebi se demande "jusqu'où une démocratie peut-elle aller dans la lutte contre le terrorisme ?". L'association s'indigne particulièrement des pouvoirs échappant à la justice pour échoir aux agents de police judiciaire, dans le cas du traitement des fichiers notamment. Un tel constat met à néant, selon Iris, "le principe de finalité des fichiers informatiques qui constitue une garantie importante pour les libertés". Si la Cnil avait émis des réserves sur de telles mesures, le législateur n'en a jamais tenu compte. De même, les - rares - amendements visant à assouplir les prérogatives par trop liberticides ont été balayés lors des débats dans l'hémicycle. Un oeil derrière une caméra, un autre sur Internet, Big Brother a donc débarqué en France. Ce que résume la ligue Odebi en ces termes : "en sapant ainsi les fondements de notre société démocratique, Nicolas Sarkozy tombe dans le piège conceptualisé de longue date par les milieux terroristes, alors même qu'il ne peut ignorer que la protection des droits fondamentaux est l'un des enjeux majeurs de la construction du contre terrorisme européen". (...)

(01/12/2005 17:38:42)

SAP rachète Callixa

SAP a rendu public cette semaine l'acquisition à la fin de l'été de Callixta, un éditeur californien de solutions d'intégration. Callixta était considéré comme un pionnier du secteur en 2001, avant que trois de ses dirigeants ne périssent dans les attaques du 11 septembre à New-York. L'éditeur a alors fermé ses protes pendant quelque temps avant de rechercher un acheteur. Selon Shai Agassi le responsable du groupe produits et technologies de SAP, l'éditeur allemand a acheté Callixta pour sa technologie de requête distribué. Le code développé par Callixta permet à un développeur d'écrire une requête (SQL, JDBC ou ODBC) qui sera fragmentée entre plusieurs bases et sources de données, avant d'être réunifiée pour fournir une seule et unique réponse La technologie de Callixta devrait venir remplacer celle de Metamatrix, que SAP utilise sous licence, au coeur des produits de SAP. (...)

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