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(02/12/2005 10:01:01)

SOA : IBM, Oracle, BEA, Siebel, Xcalia et Sybase dévoilent la spec SCA

IBM, épaulé notamment par Iona, SAP, Oracle, BEA, Siebel, le français Xcalia et Sybase, -tous ayant axé leur stratégie sur les SOA- ont annoncé leur collaboration autour de Service Component Architecture (SCA), ensemble de spécifications définissant un modèle d'implémentation d'applications dans une architecture orientée service. L'objectif premier est, selon eux, de faciliter la tâche des développeurs, en leur fournissant une couche d'abstraction, les dédouanant alors de contrainte de langage de programmation et de middleware spécifiques. Avec pour objectif, se focaliser sur le seul développement des processus et de la logique métier, une fois combiné à SDO (Service Data Object). Pour cela, SCA repose sur le concept d'« assembly », ensemble de composants services interconnectés et pré-configurés, et de wiring, pour relier les assemblies. La spécification SCA est composée de deux documents, «the assembly model » et « the client and implementation ». (...)

(01/12/2005 17:36:52)

Sun va rendre gratuit l'essentiel de son portefeuille applicatif

Tenant la promesse faite par son CEO, Jonathan Schwartz, Sun a annoncé la disponibilité en téléchargement gratuit de son Java Enterprise System une suite middleware qui inclut notamment son serveur d'applications et son offre de gestion d'identités. Le constructeur a également annoncé le lancement d'une suite intégrée baptisée Solaris Enterprise System, qui inclut notamment Solaris, le SGBD open-source PostgreSQL, les outils de management N1, les outils de développement Sun Studio et le logiciel de client léger SunRay. Selon Sun, Solaris Entreprise System est une alternative libre et gratuite à l'environnement Windows et .Net de Microsoft. Ses composants essentiels peuvent aussi être déployés sur d'autres plates-formes systèmes que celles de Sun, Le Sun Java Entreprise System étant par exemple disponible sous Windows, Unix et Linux. Selon John Loiacono, environ 80% du code de la suite est déjà disponible sous licence libre et le solde devait suite progressivement : "Il y a des portions de codes sur lesquelles nous travaillons pour les rendre libres. Elle seront probablement publiées au cours du premier trimestre 2006". Progressivement Sun devrait aussi publier d'autres portions essentielles de son code notamment celui des outils d'administration de stockage (Sun est membre du consortium d'administration ouvert du stockage Aperi) Sun estime qu'en publiant l'intégralité de ses sources, il pourra mieux se battre face à ses grands concurrents IBM et Microsoft en tirant parti du modèle libre pour accroître la popularité et la diffusion de ses outils. Pour Jonathan Schwartz, seules les plates-formes de volume survivent sur le marché et le patron de Sun entend bien veiller à ce que Solaris se développe face à Linux et Windows. Au cours de sa conférence de mercredi, il a ainsi cité les 3,4 millions de téléchargements de Solaris comme une preuve du succès de l'approche open-source de Sun. Il a toutefois précisé que Sun entendait bien gagner de l'argent avec cette stratégie :" ce que nous rendons gratuit ce sont les bit, le logiciel lui-même. Ce qui n'est pas gratuit c'est le service ou les abonnements qui assureront à nos clients entreprises que la technologie ainsi délivrée fournit réellement le service désiré.(...) Un bel exemple de la réussite de ce modèle est celui de Red Hat avec Red Hat Linux". (...)

(30/11/2005 18:07:31)

Opérateurs mobiles : sanction imminente et trébuchante

Jeudi 1er décembre, le conseil de la concurrence publiera officiellement sa décision sur l'entente éventuelle entre les trois opérateurs mobiles Français. Les enchères sont lancées sur le montant de l'amende infligée à Orange, SFR et Bouygues Télécoms. Selon le droit du commerce, la sanction pourrait s'élever à 10% du chiffre d'affaires de l'opérateur. Faites le calcul, les revenus 2004 sont respectivement de 8,6 milliards pour Orange, 7,3 milliards pour SFR et 3,6 milliards pour Bouygues Télécoms. Et encore, pour Orange, il pourrait s'agir du chiffre d'affaires groupe (19,6 milliards !). Plus sérieusement, l'amende pourrait au pire atteindre les 5%, en cas d'infraction extrêmement grave, mais devrait plus sûrement plafonner à 2%. Reste à définir ce qui est entendu par «entente sur les parts de marchés », encore plus difficile à prouver et à étayer qu'«une entente tarifaire ». Dans les années 1999/2000, la lutte sur les offres mobiles faisait rage. Souvenez-vous des mobiles à 1euros (ou 1 F) ou du forfait millenium. Le conseil de la concurrence aurait déniché toutefois quelques preuves flagrantes d'entente illicite (cf article du canard enchaîné du 24 août dernier). Les opérateurs incriminés, qui ont déjà réfutés en bloc ces accusations, ne feront aucun commentaire d'ici jeudi. Difficile donc de faire la part des choses. Tout porte à penser que les juges ne seront pas cléments mais plutôt prudents. (...)

(30/11/2005 18:06:59)

Free "invente" le F-ADSL

Comment augmenter le débit à l'abonné sans réinventer la roue et sans investir un sou dans le réseau. C'est la question à laquelle Free semble répondre avec une technologie pompeusement baptisée F-ADSL et qui selon l'opérateur a permis d'atteindre des débits de 174 Mbit/s en voie descendante et de 18 Mbit/s en voie montante. Derrière le F-ADSL se cache en fait une technique familière des amateurs de routage IP, à savoir l'agrégation de liens ADSL2+. Pour atteindre les chiffres annoncés, Free n'a donc rien inventé, il s'est contenté d'agréger les débits de plusieurs liens ADSL2+. La démonstration a pour but de montrer que le réseau en cuivre dispose encore de capacités d'évolutions et qu'il n'est pas nécessaire d'investir dans de nouvelles technologies comme la fibre optique ou le VDSL2 pour amener de plus gros débits aux abonnés. Si l'opérateur alternatif précise dans son communiqué, qu'il n'envisage pas de déploiement commercial du F-ADSL pour le moment, il omet opportunément de préciser pourquoi :La ressource en nombre de paire de cuivre du réseau d'abonnés n'est pas inépuisable et le réseau actuel n'a pas été conçu pour que chaque foyer puisse disposer de 4 à 6 lignes de téléphone, un point qui serait nécessaire pour le "F-ADSL" .Or, on voit mal France Télécom investir dans l'accroissement de la ressource en cuivre de son réseau capillaire pour satisfaire Free. Ce n'est sans doute pas un hasard si tous les concurrents de Free s'intéressent au VDSL2... (...)

(30/11/2005 18:05:50)

Cisco s'offre le service d'alertes de sécurité de Cybertrust

Cisco Systems Inc. va racheter le service de bulletins de sécurité Intellishield Alert Manager de CyberTrust pour 14 M$. Dans le cadre de l'accord nouer avec Sybertrust, Cisco assurera la continuité du service et reprendra les contrats clients existants de Cybertrust Intellishield Alert Manager est un service d'information web, RSS et e-mail qui fournit des alertes de sécurité et des informations sur les vulnérabilités des logiciels et produits informatiques. L'équipe en charge du service devrait rejoindre l'organisation de support technique client de Cisco et le service sera revendu sous la marque Cisco. (...)

(30/11/2005 18:06:21)

Veritas améliore ses outils de messageries, d'archivage de mail et de messagerie instantanée

Symantec a annoncé hier une mise à jour de l'outil de recherche et d'audit de son logiciel de gestion et d'archivage d'e-mails, Veritas Enterprise Vault. Le module Compliance Accelerator , désormais en version 6.0, a pour but de simplifier l'audit des communications électroniques (e-mail et messagerie instantanée) des entreprises du secteur financier dans le cadre des vérifications de conformité aux nouvelles lois de sécurité financière comme la loi Sarbanes Oaxley aux Etats-Unis, mais aussi aux règlements des marchés boursiers comme le Nasdaq ou le NYSE. Enterprise Vault Compliance Accelerator 6.0 supporte les équipements de stockage et d'archivage d'EMC, IBM, Network Appliance, Plasmon et Sun/StorageTek. Le logiciel doit être utilisé en conjonction Veritas Enterprise Vault. (...)

(30/11/2005 18:05:05)

Microsoft annonce Fremont, son services d'annonces en ligne

Microsoft vient jouer sur le terrain d'eBay et de Google Base en annonçant la sortie prochaine de son service gratuit d'annonces classées, nom de code Fremont. Pour le moment d'un accès limité aux membres du personnel Microsoft, l'outil devrait être ouvert pour un test public dans le courant du mois de décembre. Le service permettra aux internautes de déposer leurs listes de biens destinés à la vente. Accessibles à partir du portail Live.com, les annonces seront également liées aux outils de communication du géant de Redmond, comme MSN Messenger, et pourront être trouvées par l'intermédiaire du moteur de recherche MSN. Les produits seront en outre géolocalisés via Windows Live Local, ex-Virtual Earth. Cette annonce confirme deux éléments de la stratégie Microsoft. En premier lieu, l'éditeur américain semble plus que jamais courir après Google. Le projet Fremont débarque en effet seulement deux semaines après le lancement de la version béta de Google Base, également axé sur les annonces de particuliers. En second lieu, Microsoft lorgne indéniablement vers les services gratuits hébergés. Ils lui assurent une forte visibilité et lui permettent de bénéficier des dépenses liées à la publicité en ligne. (...)

(30/11/2005 18:03:54)

Les méthodes commerciales des éditeurs de plus en plus agressives selon Ovum

Avec vous déjà goûté le canon d'une arme à feu dans votre bouche ? C'est par cette question provocante que le cabinet d'étude Ovum introduit les résultats de sa dernière étude sur les tactiques de ventes des éditeurs de logiciels. Selon le cabinet d'étude, les techniques de ventes agressives sont légions parmi les éditeurs de logiciels et les entreprises doivent prendre conscience de leurs astuces pour éviter de se laisser piéger. Ovum indique ainsi que sur les 125 entreprises interrogées pour son enquête, toutes ont au moins une fois eu à faire face à des tactiques contestables de la part d'un de leurs fournisseurs. Deux méthodes mises en avant par le cabinet sont celles dites du "chien en peluche" et du "canon de revolver dans la bouche". Dans la première, un éditeur fournit gratuitement des exemplaires de son logiciel en phase de test ou d'essai er commence à imposer ses conditions de paiement après son adoption au sein de l'entreprise. Pour éviter de se laisser piéger, Ovum recommande aux entreprises de codifier leur relation avec les fournisseurs, même pendant une phase de test, et de commencer à discuter des conditions d'un achat éventuel avant même que l'essai ne commence. La méthode du "canon de revolver dans la bouche" est utilisée lorsqu'une entreprise est devenue dépendante d'un éditeur ou d'un de ses logiciels pour ses applications critiques. Après plusieurs années, lorsque arrive la période de renouvellement du contrat de licence, l'éditeur tente de passer en force avec un contrat nettement moins favorable pour l'entreprise. Pour éviter d'en arriver à ce genre d'extorsion, Ovum préconise d'avoir toujours une alternative à son logiciel principal, mais aussi d'être prêt à dénoncer le contrat en cas d'abus quitte à profiter de clauses de contrats mal ficelées... (...)

(30/11/2005 18:03:18)

Enquête : le déploiement de Linux est ralenti par le manque d'applications bureautique

Le manque d'applications bureautiques pour Linux reste le principal obstacle au déploiement de l'OS sur les postes de travail selon une enquête lancée par l' Open Software Development Labs (OSDL). L'une des raisons clés de l'usage de Linux sur les postes de travail n'est ni l'indépendance vis-à-vis de Microsoft ni la sécurité selon l'étude, mais tout simplement le TCO plus faible et des coûts de licence en baisse. L'étude, lancée par le Desktop Linux Working Group (DTL), avait pour objectif de mieux comprendre les barrières au déploiement de Linux sur le poste de travail. Selon les utilisateurs, le manque d'applications bureautiques, le support approximatif de certains périphériques et des problèmes de formation des utilisateurs restent le principal obstacle au développement de Linux sur le poste de travail. Les utilisateurs pointent notamment des insuffisances en matière de logiciels d'e-mail, de suites bureautiques, de navigateurs web, d'applications de base de données et d'outils de développement. Malgré ces critiques, IDC prédit que près de 17 millions de PC utiliseront Linux comme OS en 2008 A cette époque, l'OS libre pourrait détenir 9% du marché des OS bureautiques, contre 2,5 % aujourd'hui... (...)

(30/11/2005 18:02:12)

Open XML : un format indissociable des fonctionnalités d'Office 12

C'est à l'occasion d'un point sur Office 12, actuellement en version béta 1, que Microsoft est venu évangéliser son format XML-maison Open XML ainsi que sa récente soumission auprès de l'organisme de normalisation ECMA. Une façon également de justifier son implémentation à Office 12, et de s'expliquer face à des utilisateurs désorientés par la guerre Open XML et OpenDocument. Selon Bernard Ourghanlian, directeur technique chez Microsoft France, le choix d'un format XML était évident. De là à rallier l'Oasis, promoteur d'OpenDocument il semble qu'il y ait eu un monde... Et Microsoft de se justifier. Selon l'éditeur, en privilégiant Open XML, il s'agit de répondre à une véritable contrainte technique liée aux fonctionnalités propre à Office 12, explique Microsoft. « Les fonctionnalités non-présentes dans le logiciel ne peuvent pas être présentes dans le format de sauvegarde du fichier ». commente Bernard Ourghanlian. Par exemple « le format de référence des schéma XML d'Office permet la mise en oeuvre de schéma métier [ndlr- Pierre angulaire d'Office 12]. Ce qui n'est pas présent dans le format ODF ». Et d'expliquer que s'il repose d'abord sur le souhait d'une forte interopérabilité entre formats de documents de la part d'utilisateurs et d'entreprises - et également de la Commission Européenne, ndlr -, « XML représente avant tout la préservation du patrimoine du document en entreprise et procurera une compatibilité totale avec les documents qui ont été créés par le passé », selon Microsoft. Fort de son argumentation, Microsoft temporise : « Nous partageons la vision générale du groupe de travail Oasis/ ODF, et nous pensons que dans le futur, les formats de données consisteront en un contenu et des méta-données XML ». Et dans cet esprit, souhaite également améliorer la comptabilité entre les deux formats « en donnant la possibilité à Oasis d'adapter ses formats ». Une manière de forcer la main au consortium de normalisation tout en apportant des gages en terme de propriété intellectuelle. Histoire d'éteindre les rumeurs sur les éventuels problèmes de licence du format : « la normalisation ISO fournit des formats libres de droit et normalisés. Nous nous engageons alors à ne pas faire valoir de droit de propriété intellectuelle, ni de brevet sur Open XML ». (...)

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