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(07/09/2005 18:18:12)
F5 Networks rachète Swan Labs pour 43 M$
F5 Networks vient d'annoncer son intention d'acquérir Swan Labs pour 43 M$ en numéraire. Swan Labs s'est spécialisé dans l'optimisation et l'accélération d'applications sur réseau étendu (WAN). Avec cette opération, F5 entend compléter et élargir son offre en matière de gestion du trafic applicatif. Selon John McAdam, PDG de F5 Networks, « l'opportunité d'acquérir des solutions si puissantes qui complètent l'offre d'optimisation de F5 était extrêmement séduisante. »
Dans un communiqué, F5 Networks précise que Swan Labs était présenté comme une entreprise « visionnaire » dans la dernière étude « Magic Quadrant for Web-Enabled Application Delivery » de Gartner, pour le second semestre 2004. (...)
Sage met à jour Act, sa gestion de contact
Sage Software vient d'annoncer l'arrivée d'Act 2006 la dernière version en date de son logiciel de gestion de contacts. Utilisé par plus de 2,5 millions de personnes à travers le monde, Act est né il ya bientôt 20 ans et vient d'être complètement réécrit en utilisant la placte-forme .Net de Microsoft et une base de données SQL embarquées. Act 2006 est la première version majeure du logiciel depuis près de 4 ans et il apporte des fonctions demandées depuis plusieurs années par les utilisateurs. Sage a ainsi dopé les performances du logiciel notamment pour les opérations de synchronisation et il a aussi simplifié son intégration avec des produits tiers comme Lotus Notes. L'interface du logiciel a aussi été modifiée pour simplifier la gestion de groupes multiples et le rattachement de contacts à ces groupes et de nouveaux modèles d'impression ont aussi été intégrés au logiciel. Act 2006 est disponible en version standard et en version Premium, cette dernière visant le marché des groupes de travails (environ 50 utilisateurs). Les prix des deux moutures sont respectivement de 230 $ et de 400$ ou de 150$ et de 240 $ dans le cas de mise à jour. Sage propose aussi une licence "Act reader" pour un accès direct aux données stockées dans la base SQL et une licence "Act System Administrator" permettant par exemple aux administrateurs de disposer d'un contrôle total sur la base SQL, par exemple pour la gestion des sauvegardes. (...)
(07/09/2005 18:08:46)Borland annonce JBuilder 2006, et prépare son évolution vers Eclipse
Borland annonce la version 2006 de son EDI (Environnement de Développement Intégré) JBuilder, pour la mi-septembre. Outre les améliorations apportées au produit, il s'agit surtout de l'ultime mise à jour, avant l'adoption du socle open source Eclipse par l'éditeur.
Borland explique avoir mis l'accent sur le travail collaboratif. Comme, par exemple, l'échange de code source via une technologie de poste-à-poste (peer- to-peer) sécurisée, ou l'intégration du module Active Difference Editing, censé recenser les modifications de code.
Côté productivité, Borland y a refondu les fonctions de refactoring, ainsi que de recherches à travers le source. A noter également l'intégration de Borland Optimizeit, véritable « contrôle qualité » du code et des performances.
Enfin, JBuilder 2006 supporte les derniers standards Java, notamment J2EE 1.4 ainsi que les services web.
JBuilder 2006 sera décliné en trois versions : une version Enterprise Edition (avec les fonctionnalités de poste-à-poste, de contrôle de code et module de développement visuel) à 3 500$ par développeur. Une version Developer Edition à 500 $ par poste, et enfin la version Foundation gratuite avec les fonctions de base.
Borland prépare Peloton, le futur JBuilder bâti sur Eclipse, pour mi-2006
Pour autant, Borland entend dévoiler d'ici la mi-2006 -soit moins d'un an après la sortie de JBuilder 2006-, Peloton (de son nom de code), futur JBuilder reposant sur le socle open source Eclipse.
« Pas de téléscopage entre les deux versions», affirment les responsables de Borland. « JBuilder offrant des fonctionnalités, comme le module de développement graphique ou le refactoring, qu'Eclipse ne propose pas ».
Chez les analystes, la confusion est impossible : « Eclipse sert principalement d'ossature aux IDE commerciaux, et ne prétend pas les concurrencer ». (...)
L'alliance Wi-Mesh veut standardiser les protocoles de réseaux Wi-Fi maillés
L'Alliance Wi-Mesh, menée notamment par Nortel, Thomson et Accton, va soumettre sa proposition de standard pour les réseaux sans fils maillés à l'IEEE au mois de septembre, lors du prochain meeting du groupe 802.11s, chargé par l'organisation de normalisation de définir un standard pour les réseaux Wi-Fi maillés. Wi-Mesh devra affronter une dizaine d'autres propositions dont celle du groupe SEEMesh, appuyé par Nokia, Intel et Motorola.
L'objectif de 802.11s est de faciliter le déploiement de réseaux maillés à grande échelle permettant d'assurer la couverture en réseaux Wi-Fi ou WiMax de larges étendues géographiques. De par leur nature distribuée, les réseaux maillés sont considérés comme plus simples et économiques à déployer que les réseaux Wi-Fi traditionnels, qui nécessitent l'irrigation en accès réseau filaire de chacun des points d'accès sans fil. Alors que dans un réseau maillé, certains points d'accès servent de passerelles pour d'autres points d'accès dépourvus d'accès filaire au réseau. (...)
Oracle étend son programme PME sur l'Europe
Face au succès rencontré en France, en Allemagne et au Royaume-Uni - 3 sites pilotes-, Oracle a décidé d'étendre son programme réservé aux PME (SMB Network) à 14 autres pays européens. Sont ciblés l'Autriche, la Belgique, la République Tchèque, le Danemark, la Finlande, la Hongrie, l'Irlande, l'Italie, les Pays-Bas, la Norvège, la Suisse, l'Espagne, la Pologne et enfin la Suède).
Oracle ouvrira dans chaque pays un portail Internet dans lequel les PME - de moins de 500 employés, selon Oracle - pourront rechercher et acheter des produits de la marque, soit via les partenaires (ISV) Oracle , soit en direct sur le site de l'éditeur.
Oracle indique viser le 100% « indirect ». (...)
Alcatel collabore avec le gouvernement indien pour développer WiMax
Alcatel va collaborer avec le Centre indien pour le Développement de la Télématique (C-DOT) à la création d'un laboratoire de recherche consacré aux technologies sans fil large bande, à commencer par WiMax. Le gouvernement indien cherche notamment à déployer WiMax dans les zones rurales du pays afin d'accélérer la mise en oeuvre de ses projets pour l'administration, l'éducation, la santé, l'agriculture et la télé médecine dans les régions isolées sur sous-continent.
Baptisé D-DOT Alcatel Research Center, le laboratoire sera détenu à 51 % par Alcatel. Son capital initial sera de 49 M$. Il sera opérationnel dans trois mois. (...)
Sun met en place Sun Partner Advantage Program
Sun vient d'entamer la mise en place de son nouveau programme partenaires, Sun Partner Advantage Program. Celui-ci succède au programme iForce, lancé il y a cinq ans.
Le nouveau programme se veut plus global que son prédécesseur, selon Sun. Il sera d'ailleurs progressivement. La première concerne les éditeurs indépendants tandis que les partenaires de distribution et les intégrateurs attendront la fin de l'année pour être intégrés au Sun Partner Advantage Program.
Dans le cadre de ce nouveau programme, les éditeurs indépendants pourront profiter d'une vingtaine d'offres couvrant les domaines de la formation, la technologie, le marketing et les ventes. Par exemple, Sun met à disposition des éditeurs tiers sa plate-forme d'apprentissage en ligne, avec 500 modules de formation jusqu'alors réservés aux salariés de Sun. L'entreprise ouvre également sa bibliothèque technique virtuelle.
La tarification des offres accessibles aux partenaires de Sun n'a pas été détaillée. (...)
Atos présente des résultats semestriels en ligne avec les prévisions
Les résultats semestriels d'Atos Origin illustrent la tendance générale constatée depuis plus d'un an : sans tomber dans l'euphorie, tout va mieux pour les SSII.
Le groupe affiche ainsi un chiffre d'affaires de 2,72 Md€, un revenu supérieur aux prévisions et qui représente une croissance organique de 8,1 % sur un an. La marge opérationnelle progresse également : elle passe de 6,3 % il y a un an à 6,7 %, avec une forte progression observée au deuxième trimestre. Le bénéfice net bondit de 328 % pour atteindre 121,3 M€, contre seulement 28 M€ à la même époque l'année dernière, une somme qui intégrait des frais de restructuration liés à l'acquisition de Sema.
Point positif pour la stabilité de la SSII : 60 % du chiffre d'affaires proviennent de contrats récurrents, essentiellement dans la maintenance. Parmi ces contrats, citons le renouvellement du marché passé avec le ministère britannique du travail et des retraites pour 750 M€, la prolongation du partenariat commercial avec Philips jusqu'en 2008 et l'extension de la collaboration avec le Comité international olympique jusqu'en 2012.
Pour le reste de l'exercice, Atos vise une marge d'exploitation comprise entre 7,5 et 8 % et une progression du chiffre d'affaires de 8 %. Une croissance que le groupe qualifie d'organique, semblant indiquer par là-même que l'heure n'est pas aux velléités d'acquisitions. Pourtant, l'effacement plus rapide que prévu de la dette pourrait ouvrir la porte à quelques emplettes : de 491 M€ fin 2004, la dette est ainsi passée à 363 M€. Alors qu'Atos prévoyait, en début d'exercice, de ramener son endettement à 350 M€ à la fin 2005, il table désormais sur 200 M€. Et le Président, Bernard Bourigeaud, envisage une trésorerie nette positive l'année prochaine permettant de « tirer pleinement parti des opportunités apparaissant sur le marché mondial des services informatiques ». (...)
SAP veut doubler de taille et confirme son désir d'acquisitions
L'éditeur allemand SAP veut doubler son chiffre d'affaires d'ici 2010. C'est ce qui ressort des déclarations du responsable des ventes et des opérations, Leo Apotheker, à Reuters. Celui-ci estime ainsi qu' « il serait correct de s'attendre à voir SAP poursuivre sa croissance à un rythme tel que d'ici l'année 2010 la société pourrait doubler (ses) ventes ». Apotheker croit également que le bénéfice d'exploitation augmentera sensiblement, ainsi que la marge : « nous avons signalé aux marchés qu'une fois que nous aurons passé 2007, nous escomptons atteindre une marge supérieure à 30 % ».
Quelques jours auparavant, le PDG Henning Kagermann avait révélé la volonté de son groupe de porter ses efforts sur le secteur bancaire et de procéder à des acquisitions. Confirmation par Apotheker : « nous discutons ici et là. Il est prématuré de mentionner des points précis, mais nous avons actuellement un portefeuille que nous passons en revue ». L'éditeur serait prêt à débourser un milliard de dollars pour ses futurs achats. (...)
Restructuration : les syndicats de HP France redoutent le pire
14 500 emplois supprimés pour économiser 1,9 Md$ par an. C'est au final l'un des principaux objectifs du plan de restructuration initié par Mark Hurd, le nouveau PDG de HP. Sur l'ensemble de ses effectifs mondiaux, le groupe californien se prépare donc à licencier 10 % de ses salariés. Un niveau qui devrait être largement supérieur en ce qui concerne les pays d'Europe de l'Ouest, dont la France. De source syndicale, il ressort en effet qu'il faudra compter sur un dégraissage touchant 20 à 30 % des effectifs français (quelque 5 000 salariés). De passage en France, Francesco Serafini, le responsable Emea de HP, affirmait d'ailleurs la semaine dernière, que HP n'appliquerait pas le même ratio - soit 10 % - à tous les pays, certains devant être plus touchés que d'autres.
"La fourchette de 20 à 30 % ne fait plus aucun doute", regrette Didier Pasquini, délégué CFE-CGC.
Ce n'est que le lundi 12 septembre que seront officiellement communiquées les répartitions des licenciements pays par pays, après la tenue d'un comité de groupe. De leur côté, les élus au comité d'entreprise européen ont été informés le 7 septembre, tout en étant tenus de signer une clause de confidentialité.
Alors que Patrick Starck, le PDG de HP France, a affirmé aux salariés qu'aucun site ne fermerait dans l'Hexagone, certains responsables syndicaux expriment leur scepticisme face à une information rassurante mais qui colle mal avec l'ampleur estimée de la restructuration. « On a connu des sites qui ne fermaient pas officiellement mais dans lesquels les activités avaient cessé », illustre ainsi François Godard, responsable CDFT.
HP patriote ou francophobe ?
Pour protester contre un plan qu'ils estiment viser "particulièrement la France", les différents syndicats appellent les salariés à débrayer lors du comité d'entreprise européen, jeudi 8 septembre.
Ils s'interrogent en outre sur les raisons profondes de ce que d'aucun n'hésitent pas à qualifier d'acharnement : pourquoi l'Europe et la France, où les résultats de HP n'ont jamais véritablement inquiété, doivent-ils payer un aussi lourd tribut ?
Selon Didier Pasquini, la raison tient à ce que HP n'est pas organisé comme une entreprise multinationale mais plutôt comme "un mastodonte américain". Partant, "il est plus facile de faire le ménage à l'étranger que chez soi".
François Godard a pour sa part une explication plus politique. Selon lui, "les décisions ne sont plus guidées par des arguments économiques mais par une francophobie de la direction du groupe. Déjà, Carly Fiorina était proche de Bush, la tête de l'entreprise est clairement républicaine, la France est en première ligne, plus que les autres pays européens. Les autres arguments, comme les 35 heures, ne sont que des prétextes".
Si les opinions divergent sur les raisons profondes des disparités entre les pays où HP est implanté, tous expriment en revanche la même inquiétude pour l'avenir, au-delà même du plan de restructuration. Toutes tendances confondues, ils regrettent l'absence de stratégie à long terme de leur groupe et voient d'un mauvais oeil le peu d'optimisme dont font preuve certains analystes américains. (...)
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