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(22/08/2011 15:20:55)

HP brade sa TouchPad aux États-Unis pour écouler les stocks

Une baisse de prix très significative de la tablette Touchpad a attiré des acheteurs qui ont raflé les dernières unités après l'annonce de HP indiquant que l'ardoise électronique et les smartphones webOS ne seront plus produits. Selon un vendeur du magasin Best Buy, les gens sont arrivés dans la nuit de vendredi à samedi pour être sûrs de pouvoir acheter latablette de HP, affichée à 99 et 149 dollars, (version 16 et 32 Go respectivement). Les smartphones Palm ont également profité de baisses de prix très importantes chez Best Buy, et ont tous été raflés par les acheteurs. « Les stocks de téléphones et de tablettes ne seront pas renouvelés » a indiqué le vendeur. Déjà, on ne trouve plus de tablettes TouchPad sur le site internet du revendeur Best Buy et HP ne propose plus non plus la tablette tactile sur son site de vente au détail, où elle était également proposée « à partir de à 99 dollars. »

Cette vente flash est intervenue deux jours seulement après que HP a annoncé son intention de vendre sa division Personal Systems Group qui commercialise les PC et les appareils mobiles ou de le sortir de son activité. Un mois à peine après la mise en vente des premières unités, HP a informé qu'il mettait fin « immédiatement » à tout développement du Touchpad. Le constructeur a également décidé d'arrêter le développement et la vente de smartphones, les Pre et Veer notamment. Cependant, HP a indiqué qu'il continuerait le développement de la plateforme OS mobile webOS, et qu'il continuerait à explorer les opportunités commerciales autour de l'OS, y compris la vente de l'OS sous licence à des fabricants de matériel.

Un échec total pour HP un mois après le lancement

Commercialisé depuis début juillet, le TouchPad était loin de rivaliser avec l'iPad d'Apple et d'autres tablettes tournant sous Android de Google. A sa sortie, l'ardoise de HP a été critiquée pour sa taille inadaptée, ses mauvaises performances et un environnement logiciel insuffisant et inadapté (impossible de modifier un document texte par exemple). Fin juillet, HP a offert une « remise immédiate » de 50 dollars pour stimuler les ventes, puis réduit le prix original (499 dollars pour la version 16 Go et 599 dollars pour la version 32 Go) de 100 dollars la semaine suivante. Afin de rassurer les clients, Best Buy a prolongé de deux semaines la durée de retour du matériel et a ajusté sa politique de prix pour permettre aux clients qui avaient acheté leur tablette dans cette période de profiter des mêmes tarifs que ceux de la vente flash. « Best Buy a élargi les conditions de vente pour le retour et/ou l'échange du TouchPad d'HP et sur tous les accessoires à 60 jours. Best Buy permet un échange avec une tablette d'une autre marque ou le remboursement pur et simple, » avait informé le revendeur sur son site Internet.

Les premiers Touchpad avaient été achetés par des inconditionnels des gadgets ou par des développeurs. Certains d'entre eux possédaient même déjà un iPad ou un dispositif sous Android, mais étaient curieux de voir comment webOS fonctionnait. D'autres cherchaient une alternative à leur tablette. Brent Woodruff, un ingénieur en informatique à Tallahassee, Floride, avait acheté la tablette tactile d'HP le jour de sa sortie. Il a été interloqué par la décision d'HP de quitter le marché. Du coup, il a retourné sa tablette achetée chez Best Buy et a demandé un iPad 2 en échange. L'informaticien avait même envisagé l'achat d'un smartphone Veer, si une offre intéressante s'était présentée. Mais il n'est pas mécontentent d'avoir évité cette acquisition. « Pour 100 ou 150 dollars, ça ferait un bon jouet de développeur, parce j'aime toujours l'OS. Mais dans l'état actuel, avec iCloud et iOS d'Apple, qui comportent de nombreuses fonctionnalités que j'ai aimé dans webOS, et dans la mesure où je suis déjà équipé d'ordinateurs Mac, l'achat d'un iPad 2 était plus logique, » a-t-il déclaré dans une interview. 

WebOS pourrait survivre

Brent Woodruff s'interroge aussi sur la promesse renouvelée d'HP de développer webOS. « C'est l'une des raisons pour laquelle j'ai retourné la tablette. » Malgré l'engagement d'HP vis-à-vis de webOS, l'ingénieur en informatique s'est dit peu satisfait du catalogue d'applications proposées pour le TouchPad. Il a aussi été très contrarié par la fermeture de certains services importants comme la sauvegarde en ligne. « J'espère vraiment que quelqu'un va récupérer webOS. Je suis prêt à céder mon iPad 2 à un membre de ma famille si un constructeur s'engage à fond dans webOS, » a déclaré Brent Woodruff.

Pour l'instant, malgré l'arrêt des ventes de matériel, HP a confirmé dans un blog en début de semaine qu'il continuera à soutenir et à développer son système d'exploitation mobile webOS. « Nous allons continuer à soutenir, à innover et à développer l'App Catalog pour webOS. Notre intention est de renforcer notre travail de promotion et de présentation de nos excellents produits et de continuer à bâtir un écosystème d'applications autour de webOS, » a déclaré Chuq Von Rospach de HP, dans un blog concernant le Palm.

Crédit photo D.R. (...)

(22/08/2011 14:54:26)

Gouvernement et opérateurs rectifient le tir sur l'Internet illimité fixe

Un petit vent de panique a soufflé ce week-end quand le site owni.fr a publié un document émanant de la FFT (Fédération Française des Télécoms) regroupant plusieurs opérateurs télécoms et qui proposait de « plafonner » l'accès illimité à l'Internet fixe. Ce document de travail était une réponse à une consultation menée par l'ARCEP sur la neutralité des réseaux. Une fois publié, beaucoup de monde s'est inquiété de ce plafonnement de l'Internet fixe, sur quels critères, quel est le niveau de téléchargement à partir duquel la détérioration du débit sera mise en place, y a-t-il un risque de blocage ?

La FFT explique cette réflexion par le risque de congestion des réseaux. Cette analyse rappelle celle liée à la data mobile où les opérateurs s'interrogent sur le plafonnement de l'illimité pour l'Internet mobile. Plusieurs opérateurs dans des pays comme les Etats-Unis, l'Allemagne ont déjà sauté le pas et proposent maintenant des forfaits en fonction de la consommation.

Pas touche à l'Internet fixe, mais plus de transparence sur la notion d'illimitée


Eric Besson, ministre en charge de l'économie numérique est intervenu dans un communiqué pour rejeter cette idée de plafonnement de l'Internet fixe. « Le gouvernement n'envisage aucune restriction de l'accès à Internet et travaille bien au contraire au développement du très haut débit fixe et mobile sur l'ensemble du territoire et pour l'ensemble des Français » et d'ajouter qu'il « travaille à encadrer l'utilisation du terme « illimité » par les opérateurs afin de protéger les consommateurs contre certains abus ».

La FFT a aussi rectifié le tir par la voix de son directeur général, Yves le Moël qui a indiqué à l'AFP « Il n'est pas question de la fin de l'Internet illimité sur les lignes fixes » et de conclure « cette affaire n'est pas à l'ordre du jour ». Dans un entretien au Figaro, le dirigeant a expliqué que le document de travail ne concernait que les gros consommateurs d'Internet (en résumé ceux qui téléchargent beaucoup) et que les opérateurs réfléchissent à une modulation des offres pour ces clients-là.

Pendant le week-end, quelques opérateurs comme Numericable (qui ne fait plus partie de la FFT) se sont démarqués des propositions émises en indiquant que leur offre Internet fixe resterait illimitée. Free de son côté s'est déclaré « plus que réservé sur la pertinence d'une telle proposition ».

(...)

(22/08/2011 12:37:40)

Dell embarque l'offre Hadoop de Cloudera dans ses serveurs PowerEdge C

Dell a annoncé pour début septembre des serveurs embarquant la solution Apache Hadoop de Cloudera, complétés de composantes réseaux, d'outils d'administration, de services et de support pour en assister le déploiement. Avec cette offre, le constructeur vise les secteurs des services financiers,  de l'énergie et des télécoms, de la distribution de détail, des médias et de l'Internet, ainsi que les organismes de recherche. En combinant logiciel et matériel optimisé pour l'offre Open Source Hadoop, Dell cherche à proposer un coût de possession moins élevé que certaines offres propriétaires pour mettre en oeuvre les applications analysant d'importants volumes de données (complexes et évoluant de façon dynamique).

L'offre repose sur la ligne de serveurs PowerEdge C, modèles C2100, C6100 ou C6105, conçus pour être utilisée dans les projets de traitement à grande échelle, notamment par leur taille et leur consommation électrique réduite. Elle intègre la distribution Hadoop de Cloudera (CDH), ainsi que sa suite d'outils d'administration. Pour gérer la mise en place, elle inclut le logiciel Crowbar, de Dell. Côté équipements réseaux, l'offre comprend un jeu de commutateurs PowerConnect 6248 Gigabit Ethernet à 48 ports. Un déploiement reposant sur cette architecture peut aller de 6 à 720 noeuds.

« Cette offre est une réponse directe à ce que nous entendons de la part de nos clients », a expliqué Joseph George, directeur du marketing cloud chez Dell. Selon lui, une part importante d'entre eux envisagent l'utilisation d'Hadoop ou y ont déjà recours.  « Cela devient un standard de facto », ajoute-t-il en expliquant que Dell a placé une architecture de référence au-dessus d'un serveur adapté à cet environnement.

Le coût démarre à 118 000 dollars

Créé par Doug Cutting, un spécialiste des technologies de recherche, Apache Hadoop est monté en puissance au sein des entreprises devant passer au crible d'énormes quantités de données non structurées, telles que les connexions aux serveurs. Outre Hadoop, l'offre CDH de Cloudera regroupe différents composants, parmi lesquels l'infrastructure de datawarehouse Hive, Pig (langage de programmation MapReduce), la structure de stockage de données HBase, les bibliothèques Whirr pour exploiter des services cloud, ou encore Zookeeper, Flume, Hue, Oozie et Sqoop. Les serveurs peuvent être installés sous différents systèmes versions de Linux, Red Hat Enterprise Linux 5.6 ou 6, CentOS, Ubuntu ou Suse.

Le coût d'une configuration minimum démarre entre 118 000 dollars et 124 000 dollars suivant les options de support retenues. Cela inclut un an au support de Cloudera et les mises à jour. Ce package est similaire à celui que Dell a annoncé fin juillet pour son offre de cloud privé reposant sur OpenStack, Michael Dell, PDG de Dell, ayant confirmé son intention de proposer davantage de solutions complètes intégrant matériel, logiciels et support. Ce faisant, le fournisseur renforce aussi ses offres s'appuyant sur des composantes Open Source.

Illustration : les composants de CDH, la distribution de Cloudera incluant Apache Hadoop (source : Cloudera) (...)

(22/08/2011 12:28:32)

Google Panda révise le référencement des sites et provoque des remous

Intégrée pour les sites de langues anglaises au début de l'année 2011, Panda, la mise à jour de l'algorithme du moteur de recherche Google est arrivé dans d'autres langues dont  le français à la mi-août. Sur son blog officiel, la firme de Mountain View explique par la voix d'Amit Singhal, Google Fellow « Au cours des derniers mois, nous avons apporté de nombreuses modifications à nos algorithmes afin de mettre en valeur les sites de haute qualité dans les résultats de recherche Google. L'une d'elles en particulier, « Panda », a permis d'améliorer le classement de nombreux sites Web de qualité pour les recherches effectuées en anglais.  Aujourd'hui, nous continuons nos efforts en étendant cette mise à jour à de nouveaux langage » et d'ajouter que « cette mise à jour impacte les résultats perçus par les utilisateurs pour en moyenne 6 à 9% des requêtes, tous langages confondus ».

L'objectif de ce filtre supplémentaire intégré à l'algorithme original est d'assurer une plus grande visibilité aux contenus « originaux, uniques et de qualité » et de s'attaquer aux sites pratiquant notamment le « spamdexing » (un ensemble de techniques consistant à tromper les moteurs de recherche sur la qualité d'une page ou d'un site afin d'obtenir, pour un mot-clef donné, un bon classement dans les résultats des moteurs).

Les fermes de contenus et les comparateurs de prix sanctionnés


L'orientation de Panda a fait le bonheur de certains sites, mais le malheur pour d'autres. Sur ces derniers, on peut distinguer à la fois les agrégateurs de contenus et les comparateurs de prix. Searchmetrics a mené plusieurs études dans les différents pays où ont été intégrés Panda. Dans le classement des sites les plus impactés en France, on retrouve ainsi wikio.fr (agrégateur) avec 74% de visibilité en moins, les comparateurs de prix comme ciao.fr et Twenga (-62% et -46%) ont subi aussi une dégringolade sur leur visibilité. Parmi les gagnants, l'étude cite entre autres YouTube (propriété de Google), mais aussi Dailymotion, Twitter, Apple ou Orange.

Qualité des résultats et révision de la stratégie de référencement


Si pour beaucoup de sites, l'intégration de ce filtre n'a pas d'impact particulier, ceux qui ont eu une baisse importante de leur visibilité s'irritent de la politique de Google. Ils disposent pourtant de plusieurs possibilités pour retrouver leur rang. En premier lieu demander une révision de son statut à Google en estimant que son contenu comme les comparateurs de prix (fiches techniques, tarifs) ne rentre pas dans les critères de Panda. Autre stratégie, revoir sa politique de référencement, des agences spécialisées dans ce domaine comme 1ere position donnent des conseils pour diminuer les risques de baisse de trafic comme arrêter les indexations de pages à faible valeur ajoutée, réécrire les titres d'articles dupliqués, etc.

Sur le blog de Google, les commentaires font aussi état d'une altération des résultats de recherche par rapport à la concurrence Bing et Yahoo. Il faudra certainement attendre quelques semaines pour identifier exactement l'impact de Panda sur le trafic des sites Internet. Google indique aussi que son algorithme est en perpétuelle évolution. A suivre...

 

Illustration: Google Panda sur le blog de Searchmetrics

Crédit Photo: Searchmetric

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(22/08/2011 10:22:23)

Amazon revient sur la panne de ses services début aout

La récente panne du service de cloud d'Amazon EC2 - les 7 et 8 aout - a conduit l'entreprise à se remettre en question. Dans un premier rapport sur les événements, la société reconnaît qu'elle était mal préparée à une telle panne de courant. Selon son rapport, Amazon avait de gros problèmes avec les générateurs de secours qui ne se sont pas enclenchés automatiquement. C'est ce qui explique que presque toutes les instances d'EC2 et 58% des volumes EBS aient été privés d'électricité. Il a fallu environ une heure pour parvenir à remettre en service les générateurs. Alors que l'électricité était rétablie, une partie du cloud d'Amazon est restée indisponible pendant environ trois heures, du fait d'un bug logiciel.

Un crédit à titre d'excuses

Pour éviter que cette panne ne se reproduise, Amazon va ajouter de la redondance de ses Programmable Logic Controllers, qui sont utilisés pour contrôler ses générateurs. Par ailleurs, Amazon va créer un système pour informer les clients sur les événements inhabituels.

Pour compenser les pertes éventuelles, tous les clients européens d'Amazon - qu'ils aient ou non été affecté - recevront un crédit. Enfin, Amazon, sachant ses services essentiels pour sa clientèle d'entreprises, a tenu à s'excuser. Elle a promis qu'elle allait faire de son mieux pour apprendre de ce problème et de l'utiliser pour améliorer ses services.

ICTJournal.ch

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(22/08/2011 10:14:43)

Office 365 de nouveau indisponible en Amérique du Nord

En effet, mercredi dernier les utilisateurs se trouvant en Amérique du Nord se sont temporairement retrouvés dans l'impossibilité d'accéder à leurs emails ainsi qu'à la gestion de leur compte. En outre, le service de sauvegarde en ligne SkyDrive était également affecté par la panne.

L'entreprise a indiqué que son centre de calcul pour l'Amérique du Nord avait souffert de problèmes de réseau, l'Europe n'ayant pour sa part pas été touchée. Selon un porte-parole de l'entreprise, les perturbations constatées au sein du service Dynamics CRM online auraient une cause différente, et se seraient limitées à quelques organisations en Amérique du Nord. Microsoft a réitéré son engagement à dédommager les personnes touchées. En effet, elle garantit une disponibilité de son service en ligne à 99,9%.

A noter que ce n'est pas la première panne que connaissent les services cloud de Microsoft cet été. Début aout, l'accès à la suite en-ligne BPOS (produit prédécesseur d'Office 365) avait également été interrompu en Europe, à la suite d'un coup de foudre qui avait touché un centre de données basé à Dublin.


ICTJournal.ch (...)

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