Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 3171 à 3180.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(13/07/2011 10:25:52)
Carte bancaire, les fraudes en ligne progressent
Si le taux de fraude aux cartes bancaires reste minime, équivalent à 0,074% des transactions réalisées en 2010, il représente une somme astronomique de 368,9 millions d'euros, selon l'Observatoire de la sécurité des cartes de paiement publié par la Banque de France. 62% des infractions constatées concernent les paiements nationaux en ligne. Le montant de la fraude s'évalue à 101,1 millions d'euros, quand il n'est "que" de 36,2 millions d'euros pour les paiements aux points de vente et sur automates.
Autre signal important : les consommateurs porteurs de carte bancaire font aussi l'objet d'infractions lorsqu'ils achètent sur des sites Internet étrangers. Le taux de fraude s'élève à 1,018% pour 54 millions d'euros.
Cisco envisage la suppression de 10 000 postes
Cisco pourrait effectuer une coupe franche dans ses effectifs. Selon Bloomberg, qui cite deux sources proches du plan d'économies de l'entreprise, Cisco envisagerait de supprimer 10 000 emplois, soit 14% de ses effectifs. Ainsi, 7000 emplois devraient être supprimés dès la fin du mois d'août et l'entreprise prévoit également un plan de 3000 départs volontaires en retraite anticipée. Ce plan de licenciements sera le plus important que l'entreprise n'ait jamais connu.
Cette restructuration s'inscrit dans le vaste plan d'économies annoncé par Cisco en mai dernier. Pour mémoire, au moment de dévoiler des bénéfices trimestriels en baisse, le groupe avait chiffré les économies nécessaires à un milliard de dollars par an. Plus de détails sur ce plan seront dévoilés au mois d'août.
www.ICTjournal.ch
Microstrategy World : la BI prend le virage de la mobilité, du cloud et des Big Data
Dès l'ouverture en session plénière, la stratégie de l'éditeur a été claire et s'oriente autour de quatre concepts clés pour poursuivre la croissance de ses parts de marché : le « Big Data », le « Social Media », le cloud et la mobililité.
Bien qu'Apple ne soit pas sponsor et que l'interface pour Blackberry soit la plus ancienne (depuis 2007), la mobilité se déclinait surtout en iPhone et iPad. « Nous avons la conviction que les outils mobiles vont remplacer les ordinateurs traditionnels pour de nombreux usages, malgré les risques de perte, destruction ou vol accrus » a proclamé Mike Sailor, PDG de l'éditeur. A l'appui de ses dires, celui-ci a rappelé que les ventes de smartphones sont désormais supérieures à celles d'ordinateurs. Pour Mike Sailor, « on fera de plus en plus tout avec des outils mobiles et ils contiendront les données nécessaires pour se connecter à toutes sortes de services personnels ou professionnels, y compris pour payer. »
Pour les usages professionnels, il en résulte des applications les plus diverses : e-formation, suivi des ventes, collaboration interne... Bon nombre (à commencer par le suivi des ventes, présenté par plusieurs clients) reposent sur du décisionnel. Au contraire de ce qui pouvait encore s'envisager il y a quelques années, Mike Sailor, avec démonstrations à l'appui, a insisté sur la richesse fonctionnelle des applications mobiles de décisionnel. Loin d'être une simple consultation d'états pré-définis, il s'agit bien d'intervenir en transactionnel.
Microstrategy propose la possibilité de créer des applications pour iPhone/iPad. Cette plate-forme a été choisie au départ à cause de sa popularité importante. Son équivalent pour Android est attendu sous peu mais aucune date n'est avancée. Enfin, Windows Phone est envisagé, un fort développement étant attendu, au contraire de Nokia Symbian, vouée à une probable disparition du champ professionnel selon Mike Sailor.
Le cloud et les Big Data
Face aux risques liés aux terminaux mobiles, la réponse proposée par MicroStrategy est de loger le système décisionnel dans le cloud. Il est en effet, dès lors, accessible de partout à partir de n'importe quelle plate-forme (ou presque).
Il se trouve que, bien entendu, MicroStrategy propose une offre de décisionnel en SaaS reposant sur un partenariat avec d'une part Informatica (pour l'ETL) et d'autre part Netezza et Paraccel pour les bases de données. Pour Mike Sailor, cette offre cloud est adaptée aussi bien pour récupérer les systèmes décisionnels existants que de développer rapidement des solutions ponctuelles. Bien entendu, il a revendiqué un niveau de performance largement supérieur à ce qui pouvait exister dans la plupart des systèmes installés en local. Une installation en SaaS se veut toujours plus rapide et plus simple, donc moins coûteuse et avec un modèle économique au ROI plus facile à obtenir.
[[page]]
Le cloud n'est pas le seul mouvement de mode du moment. La notion de « big data » commence aussi à envahir les discours et MicroStrategy n'y échappe pas. Rappelons qu'il s'agit de savoir faire quelque chose avec les masses considérables et croissantes de données disponibles. « En 1990, la plus grosse base de données du monde contenait 200 Go mais c'est aujourd'hui le volume quotidien téléchargé en vidéos par des particuliers » s'est exclamé Mike Sailor. MicroStrategy se connecte aux principaux produits dédiés du marché, dont les éditeurs étaient pour beaucoup sponsors de la manifestation. L'une des problématiques majeures dans ce cas est de préserver les performances des applications malgré les volumes.
S'interfacer avec les réseaux sociaux
L'une des raisons de l'explosion des volumes de données réside bien sûr dans les médias sociaux. Au fil du temps, le nombre d'utilisateurs et le volume de données ne cessent de croître et la BI a suivi un chemin historique qui a débuté par le « desktop BI » avant de passer à la « web intelligence » puis à la « mobile intelligence » et enfin, aujourd'hui, à la « social intelligence ». La problématique de la performance est de plus en plus prégnante au fur et à mesure du développement de ces demandes.
MicroStrategy a répondu à cette problématique de la « social intelligence » d'une part en s'engageant dans une stratégie de performance à partir de 2009 et d'autre part en développant des applications dédiées aux médias sociaux. Ainsi, une de ces applications permet de trier les flux d'informations afin, de gérer des alertes, de l'autre une application vient d'être lancée pour interfacer la GRC de l'entreprise (orientée relationnel) et Facebook (basé sur une logique de graphe social). Cette application, Gateway for Facebook permet à l'entreprise de générer des pages sur Facebook qui seront des interfaces avec la GRC. Chaque fan permet ainsi à l'administrateur de la page d'interagir avec lui grâce à un « jeton » qu'il lui attribue, permettant ainsi à l'entreprise d'accéder aux données personnelles, aux graphe d'amitiés, aux centres d'intérêt (via les « j'aime ») et aux activités (via les géolocalisations partagées et les évènements acceptés).
La pluralité des plates-formes de réseaux sociaux oblige encore chaque éditeur à s'adapter à chaque réseau. Une future application pour Linkedin, par exemple, ne pourrait pas être autre chose qu'un nouveau développement. On comprend donc que MicroStrategy se contente donc pour l'heure de Facebook, le plus populaire des réseaux sociaux.
Google + en route vers les 20 millions d'abonnés
C'est Paul Allen, célèbre entrepreneur et fondateur d'Ancestry.com (et ancien co-fondateur de Microsoft), qui s'est livré à ce petit calcul. Il estime que le nombre d'inscrits sur le réseau social de Google était ce dimanche de 7,3 millions et qu'au rythme où vont les choses la barre des 10 millions devrait être franchie ce mardi. Optimiste, il prétend même que les 20 millions d'inscrits pourraient être atteint dès le week-end prochain, si Google laisse tomber sa version bêta et ouvre définitivement son réseau au grand public, sans invitations.
De son côté, son grand rival Facebook a revendiqué il y a quelques jours, à l'occasion du lancement de la vidéoconférence sur son réseau, quelques 750 millions de membres.
Citrix s'empare de Cloud.com, fournisseur de logiciels pour le déploiement de clouds
Citrix a annoncé le rachat de la société Cloud.com, fournisseur de solutions pour le déploiement de cloud. «Nous considérons cette acquisition comme stratégique et elle améliorera notre position sur le marché des infrastructures cloud», a déclaré Sameer Dholakia, vice-président du développement marché de Citrix. Il a ajouté « nous pensons que [le cloud computing] est une tendance de transformation qui change fondamentalement la façon dont l'infrastructure informatique est conçue, construite, livrée et consommée. »
Cloud.com, anciennement appelé VMOps, offre une brique Open Source de logiciels d'orchestration et d'administration, qui se nomme CloudStack. Ils sont utilisés pour le déploiement de cloud multi-tenant de type Infrastructure-as-a-Service (IaaS).
Un agnosticisme sur les hyperviseurs conservé
CloudStack supporte non seulement XenServer l'hyperviseur de Citrix, mais aussi KVM, Hyper-V de Microsoft et vSphere de VMware. Cette solution est également étroitement intégrée au projet Open Source OpenStack. Enfin, Citrix indique que les produits de Cloud.com seront associés avec NetScaler Cloud gateway et NetScaler Cloud Bridge afin de faciliter les échanges entre un cloud public et l'infrastructure en propre des clients.
Parmi les clients de Cloud.com figurent des sociétés telles que Nokia, GoDaddy et Zynga, qui offre le populaire jeu en ligne Farmville sur Facebook, mais aussi Tata Communication ou KT (Korean Telecom). Afin de mieux se concentrer sur ce marché émergent des logiciels clouds, Citrix a lancé une nouvelle division, appelée Cloud Platforms Product Group, qui est dirigée par Sameer Dholakia, l'ancien PDG de VMLogix, que Citrix a acquis l'année dernière.
WPC : Microsoft étend les fonctionnalités de Intune
« La première version de Windows Intune n'offrait pas toutes les fonctionnalités dont dispose l'ensemble de nos produits traditionnels, et n'était donc pas assez incitatif pour les grandes entreprises, » a déclaré Alex Heaton, directeur de Intune chez Microsoft. « La nouvelle version beta du service Intune, disponible depuis lundi, permet aux administrateurs de distribuer et d'installer des logiciels tiers à travers leurs systèmes, » précise le responsable. La console peut également être verrouillée pour limiter l'accès en lecture seule. Cela permet aux administrateurs juniors, aux partenaires et aux analystes d'accéder à certaines informations sans avoir un niveau de droits étendu pour effectuer des changements. Le service hébergé de Microsoft a été conçu pour les entreprises disposant d'un support informatique limité. Il met à jour Windows 7 sur les ordinateurs de bureau et les ordinateurs portables. Les abonnés au service peuvent également faire évoluer tous leurs ordinateurs de bureau tournant sous Windows XP vers Windows 7, sans frais supplémentaires.
C'est en mars dernier que Microsoft a officiellement lancé son service hébergé Intune, après une période de beta test de un an. Le service donne accès à une console Internet, à partir de laquelle il est possible de gérer l'ensemble des postes de travail d'une entreprise. Via la console, un administrateur peut appliquer les mises à jour de Windows, déployer des correctifs, surveiller les PC, gérer la sécurité, tenir un inventaire des postes de travail et accéder à un PC à distance pour résoudre certains problèmes. C'est depuis ses propres datacenters que Microsoft met ses mises à jour en file d'attente, et gère tous les logiciels en back-end nécessaires pour les tâches d'administration. Alex Heaton n'a pas voulu révéler le nombre d'abonnés au service Intune, indiquant simplement que l'abonné moyen gérait un parc allant jsuqu'à 250 ordinateurs.
La distribution logicielle et une interface utilisateur revue
Une des récentes fonctionnalités concerne la distribution de logiciels. La version actuelle de Intune peut stocker et déployer des correctifs Windows. La nouvelle version peut faire la même chose pour n'importe quel programme Windows compilé en .exe ou .msi. Cela permet aux administrateurs de télécharger un programme une seule fois, et de l'installer sur toutes les machines. « La fonctionnalité s'exécute depuis le Microsoft System Center, même si elle a une interface totalement différente, » a expliqué le directeur de Microsoft. Parmi les autres fonctionnalités, on trouve la possibilité de scanner une machine pour détecter des virus ou des logiciels malveillants sans l'aide manuelle de l'utilisateur - contrairement à la version précédente - plus la capacité de pointer toutes les copies d'un logiciel tiers donné. Ce dernier système peut s'avérer très pratique pour s'assurer de la conformité des licences logicielles. Enfin, l'interface utilisateur a été revue, de façon à la rendre plus intuitive.
La version bêta du service, qui porte le nom de Intune Juillet 2011, pourra être exécutée séparément de la version commerciale. Au final, « toutes ou partie des prochaines fonctionnalités de la version bêta seront reprises dans la version commerciale du service Intune, sans doute d'ici la fin de cette année, » a indiqué Alex Heaton. Les utilisateurs actuels peuvent essayer la version bêta, mais celle-ci ne peut pas être utilisée pour gérer les mêmes ordinateurs que ceux utilisant la version commerciale de Intune.
Anonymous pirate 90 000 comptes de militaires américains
L'annonce avait été faite sur Twitter et le nom de l'opération était « Military Meltdown Monday ». L'objectif a été atteint, car Anonymous a publié un torrent d'une taille de 190 Mo , qui comprend selon le média en ligne eWeek « des identifiants du personnel du CENTCOM, SOCOM, de la Marine, de l'Armée de l'Air, du Département de la sécurité intérieure, du Ministère des Affaires Etrangères et d'autres entrepreneurs du secteur privé en contrat avec le secteur de la défense. » Le groupe de pirates a rajouté qu'il était choqué par le manque de sécurité des serveurs attaqués. Il explique que sur un des serveurs, il n'y avait « pas de sécurité » et qu'il a pu prendre des données, supprimer 4 Go de code source et trouver des informations relatives à d'autres systèmes pour les attaquer.
Il s'agit de la deuxième attaque d'Anonymous sur des entreprises ayant des contrats avec le gouvernement américain. Le 8 juillet dernier, le groupe de hacker s'était attaqué à une autre société IRC Federal en lien avec les autorités militaires et de renseignements américains.
(...)(12/07/2011 13:38:48)Le Comité Richelieu se dote d'un nouveau DG
L'association regroupant 254 PME et 3 140 PME associées a annoncé la nomination de Denis Bachelot comme délégué général du Comité Richelieu. Il aura pour mission de faire entendre auprès des pouvoirs publics et des grands comptes les préoccupations essentielles des PME innovantes. Denis Bachelot était jusque-là rédacteur en chef de la Correspondance économique.
Il remplace François Guignot, ancien PDG de SmartQuantum et administrateur du Comité Richelieu. Très investi dans les problématiques économiques des PME et de l'innovation, Denis Bachelot a publié en 2009, en collaboration avec Pierre d'Ornano, un ouvrage sur les PME, la crise et les pôles de compétitivité, intitulé : « Survivre à la crise : le groupement d'entreprises, une solution pour les PME ».
Google va redimensionner les applis smartphones pour les tablettes sous Android
La rareté d'applications spécifiquement développées pour les tablettes sous Android avait été l'une des grandes déceptions des utilisateurs. Mais cela pourrait peut-être changer. Google vient en effet d'annoncer sur le blog des développeurs Android que la prochaine mise à jour d'Android 3.0, alias Honeycomb, permettra de redimensionner les applications pour smartphone afin de les adapter à l'écran des tablettes Android. Un bouton spécial situé sur la barre des applications permettra aux utilisateurs de zoomer et de faire passer l'application en mode plein écran. Cette fonctionnalité est déjà présente sur l'iPad d'Apple.
Cette capacité de zoom permet d'agrandir la surface d'affichage de l'application sur la totalité de l'écran de la tablette sans trop perdre en résolution graphique. Selon Scott Main, l'un des principaux contributeurs du blog Android Developers, cette technique de zoom offre une alternative satisfaisante pour utiliser les fonctions de base d'une application sans trop de pixellisation. « Imaginez votre application sur un écran de téléphone à laquelle vous appliquez un zoom de 200%, » écrit-il. « Tout est plus grand, mais aussi plus pixellisé, parce que le système n'a pas redimensionné votre mise en page ou n'a pas utilisé les ressources alternatives pour le dispositif. »
Une alternative de second choix en attendant Ice Cream Sandwich
Scott Main fait remarquer que, si la nouvelle fonction de zoom est meilleure que la fonction standard « étirer pour remplir l'écran » d'Android 3.0 disponible pour les applications mobiles, cela reste encore une alternative de second choix, la première étant de disposer d'applications spécifiquement développées pour Android 3.0. Le bloggeur conseille également aux développeurs qui ont conçu des applications pour des smartphone avec des écrans plus grands, de désactiver la nouvelle fonction zoom dans leurs applications, au motif que « si l'application est réellement conçue pour s'adapter à des tailles d'écran plus large, la compatibilité écran offrira probablement une expérience utilisateur moins bonne pour votre application. »
La fragmentation a longtemps été un problème pour les développeurs d'applications Android, qui se plaignent de n'avoir aucun moyen de vérifier si leurs applications fonctionnent efficacement sur les multiples plateformes. Pour remédier à cela, Google travaille à une nouvelle version d'Android (nom de code « Ice Cream Sandwich») qui vise pour la première fois à unifier les multiples versions de son système d'exploitation mobile. L'objectif de la firme de Mountain View est de créer un système d'exploitation qui peut s'adapter à tous les terminaux sous Android, que ce soit un téléphone du genre Droid Pro et son petit écran, ou un Droid X et son écran large ou une tablette Xoom de Motorola. Pour l'instant, Google n'a pas communiqué de date de sortie pour Ice Cream Sandwich, mais le système Android unifié de Google pourrait bien être livré d'ici la fin de l'été ou cet automne.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |