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(12/07/2011 11:07:34)

Le nouvelles technologies sources d'anxiété et de stress

L'université de Cambridge a étudié 1 300 Britanniques pour découvrir que le sentiment de stress causé par les nouvelles technologies pouvait entraîner dans la vie des sujets un sentiment d'insatisfaction générale.

Les jeunes utilisateurs ressentent ce stress au même titre que leurs aînés: 38% des 10-18 ans interrogés ont déclaré se sentir accablés par la technologie omniprésente - 34% des 25-34 ans ont le même sentiment.

Les réseaux sociaux aussi touchés


Cette année, une équipe de chercheurs de Stanford University affirmait que l'utilisation de réseaux sociaux comme Facebook pouvait être facteur de dépression chez certains.

Les utilisateurs ayant tendance à ne publier que des informations concernant les aspects positifs de leur vie, ceux qui prennent connaissance de ces informations pourraient se sentir mal en comparant leur propre vie à celles de leurs amis.

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(12/07/2011 11:03:20)

Fort recul des ventes de PC depuis le début de l'année 2011

Les chiffres de ventes d'ordinateurs personnels, tant portables que de bureau, sont en forte baisse sur les cinq premiers mois de l'année, selon l'institut GfK qui publie ses dernières statistiques.

Il ne s'est vendu que 520.000 ordinateurs de bureau de janvier à mai 2011 (chute de 16% par rapport à la même période en 2010) et 1,93 million de portables (-4%).

GfK rappelle que le début d'année 2010 avait été particulièrement bon pour le marché des PC, alors porté par l'arrivée de Windows 7. L'institut estime aussi que le contexte socio-économique tendu est l'un des facteurs expliquant ce repli.

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(12/07/2011 11:31:26)

Défaillances d'entreprises: le secteur IT relève la tête

Au niveau national et tous secteurs économiques confondus, l'amélioration de la situation des entreprises au cours du 2ème trimestre 2011 semble très timide : - 0,3% seulement. Dans son dernier point de conjoncture, le cabinet Altares note que les trois quarts des jugements prononcés concernent des micro-entreprises, comptant de 0 à 2 salariés.

Dans ce contexte général moins favorable qu'attendu, les filières IT font mieux que tirer leur épingle du jeu. Le secteur « services informatiques et édition de logiciels » est même celui qui enregistre le recul le plus important du nombre de défaillances d'entreprises : - 21,6% par rapport au 2ème trimestre 2010. A titre de comparaison, le secteur où les défaillances ont le plus progressé est de la santé et de l'action sociale : + 56,2% par rapport à l'an dernier.

Amélioration globale pour les TIC


C'est bien l'ensemble des segments du marché IT qui a connu une amélioration au second trimestre : - 15%. Une fois n'est pas coutume, c'est le commerce B to B qui affiche les résultats les plus flatteurs, avec une baisse de 7% du nombre de défaillances, tous secteurs confondus. A l'inverse, ce chiffre ne baisse que de 0,9% dans le commerce de détail. « Cela confirme que la demande augmente réellement dans le domaine B to B et que les entreprises ont recommencé à investir », explique Thierry Million, Directeur des Etudes d'Altares.

S'il n'y a pas de variations notables au niveau des régions pour les secteurs IT, Altares note que trois régions ont davantage souffert que les autres si l'on considère l'ensemble des entreprises : la Franche-Comté, le Limousin et Poitou-Charentes. Les meilleurs se trouvent dans le nord-est (Champagne-Ardenne et Lorraine), dans le sud-ouest (Aquitaine et Midi-Pyrénées) et en Auvergne.

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(12/07/2011 11:19:10)

Les Français restent prudents sur le m-commerce

Le m-commerce n'en est encore qu'à ses début en France. Les Français utilisent encore peu leur téléphone portable pour faire des achats. Ils sont sensibles aux problématiques de sécurité et sont méfiants face à la géolocalisation. C'est ce qui ressort d'une étude CSA pour Orange et Terrafemina.

Utiliser son téléphone portable pour effectuer des achats reste une pratique encore marginale en France. Seulement un Français sur dix (9%) déclare avoir déjà effectué une opération de m-commerce. Parmi les pratiquants, la liste de leurs achats les plus fréquents concerne des produits numériques : l'achat d'une application pour Smartphone (74%), vient ensuite l'achat de jeux pour téléphone (46%), la musique (39%), une sonnerie de téléphone portable (32%).

L'achat de biens réels est plus difficile

Paradoxalement, les Français pensent que le m-commerce est amené à se développer même s'ils ne sont majoritairement pas intéressés par l'achat de produits via leurs terminaux mobiles ! Certains produits ou services recueillent alors un intérêt notable quoique minoritaire : les titres de transport en commun (28%), les places de cinéma (22%), les billets de train ou d'avion (21%) et les places de musées (21%). Seuls 8% des Français pensent que le m-commerce ne va pas se développer.

Au titre des inquiétudes vis à vis du m-commerce, on note la géolocalisation et la sécurité des transactions. Les Français sont ainsi majoritairement méfiants face à la géolocalisation. Trois quarts d'entre eux considèrent cette fonctionnalité comme trop intrusive et dangereuse. Ils estiment que le lieu où ils se trouvent relève de leur vie privée.

Reste qu'une minorité (23% des Français) voit dans la géolocalisation une opportunité pour les consommateurs de bénéficier d'offres personnalisées et avantageuses. Les Français qui sont le plus favorables à cette fonctionnalité sont des hommes de 18-34 ans et les possesseurs de smartphone.

La sécurité reste un frein

La sécurité des moyens de paiement est le critère le plus important pour se mettre au m-commerce aux yeux des français : pour 42 % d'entre eux, c'est le premier critère nécessaire. Les critère les plus cités sont ensuite : la simplicité d'utilisation (19%), la garantie de ne pas recevoir de nombreux messages de publicité (15%), les prix pratiqués (11%), les offres supplémentaires et les produits disponibles.

Les Français qui utilisent le plus le m-commerce sont les possesseurs de smartphone (25% d'entre eux ont déjà effectué un achat avec leur mobile), suivi par les CSP + (15%) et les jeunes. Un quart des hommes de 18-24 ans (25%) ont ainsi déjà pratiqué le m-commerce, tout comme 16% des femmes du même âge.


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(12/07/2011 11:02:15)

Le Crédit Agricole optimise la veille d'informations

Pour assurer son travail au mieux, les experts se doivent de surveiller les sujets concernant leur domaine. De plus, chaque entreprise doit également surveiller ce qui est dit d'elle sur Internet. Dans le cas de Crédit Agricole S.A., le périmètre concerné est énorme et les traitements manuels ont vite atteint leur limite. « Par exemple, dans nos métiers spécialisés (gestion d'actifs, administration de fonds), nous [les responsables veille] fournissons aux commerciaux des informations sur leur marché, leurs clients et concurrents ce qui leur permet d'être mieux informés et plus réactifs tandis que les veilles sectorielles permettent, elles, aux experts de mieux appréhender les évolutions de leur secteur » explique Séverine Guillemard, animatrice de la Cellule de Veille au Pôle Etudes Economiques de Crédit Agricole S.A.

A cela s'ajoutent des difficultés propres au groupe, notamment sa forte décentralisation. Chaque cellule de veille devait donc pouvoir paramétrer ce qui la concerne.

750 Newsletter spécifiques


Pour atteindre ces objectifs, Crédit Agricole S.A. a choisi la solution proposée par l'éditeur Digimind après un comparatif portant sur 85 points fonctionnels.

L'outil surveille tout ce qui peut être accessible par Internet : les sites web « institutionnels » bien entendu, mais aussi les médias sociaux, les forums, la presse en ligne, des sites documentaires, etc. Cette masse d'information est filtrée et poussée vers les experts concernés grâce à des règles précises, leur rédaction pouvant comporter jusqu'à 12000 signes. Ces experts valident manuellement l'intérêt de chaque information, le cas échéant en la commentant. Les informations sélectionnées sont ensuite transmises à des groupes de lecteurs ciblés. 730 newsletters issues de 75 projets de veille sont envoyées mensuellement. 2400 collaborateurs sont abonnés à une ou plusieurs d'entre elles, en fonction de leurs besoins métiers.

Chaque newsletter comprend, pour chaque information sélectionnée, le titre et un court extrait de l'information d'origine, avec le cas échéant le commentaire de l'expert, ainsi qu'un lien vers la source. Les experts peuvent, ensuite, revenir sur les informations déjà traitées pour effectuer d'autres restitutions, comme des nuages de tags, des analyses quantitatives, etc. Séverine Guillemard précise cependant que « le développement de cet aspect de la veille [l'analyse graphique] a pris un certain temps à être mis en place par les experts, la veille n'étant qu'une partie de leur travail ».

Le nombre de sources, non précisé, a été multiplié par neuf mais le temps passé à la pure collecte-validation a été divisé par deux.

Le coût du projet n'a pas été précisé.

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(12/07/2011 17:06:18)

Reprise vigoureuse, mais inégale pour les éditeurs de logiciel français selon l'Afdel en 2010

La croissance 2010 est due essentiellement à trois facteurs, remarque Pierre Marty du cabinet PwC : les acquisitions, le positionnement de l'offre par rapport aux cycles économiques, la pertinence des produits par rapport aux évolutions du secteur.  Cette croissance est vigoureuse, mais aussi inégale. Inégalité due à l'atomisation du secteur, les 58 premiers éditeurs français réalisant moins de 15 millions d'euros de CA annuel. Inégalité due aussi  à l'absence de champions mondiaux (à l'exception toujours marquante de Dassault Systèmes) et même de champions nationaux de taille intermédiaire (les ETI, Entreprises de taille intermédiaire).

Des caractéristiques qui sont tout sauf nouvelles. Au chapitre « handicaps lourds » la profession déplore également son manque d'internationalisation.

Forte croissance du SaaS


En revanche, la croissance du SaaS est réelle : +26% en 2010. « Par nature, ce mode de distribution sacrifie un peu de croissance à court terme sur les ventes, mais en contrepartie offre une visibilité à moyen et long terme bien supérieure aux modèles classiques » note Pierre Marty. Emailvision progresse ainsi de 43%, Streamwide de 42%, Neolane de 41%, Efront de 34%, Cassiopae de 33%. Les autres secteurs en pointe sont : le PLM, le middleware, le CRM, les outils verticaux.

Le classement est téléchargeable sur
le site de l'AFDEL (...)

(11/07/2011 17:01:20)

Google + s'intéressera prochainement aux entreprises

Dans un blog, les responsables de Google expliquent que le réseau social Google + dévoilé récemment, n'est tout simplement pas encore prêt pour une utilisation en entreprise. « Nous avons observé, au cours de ces dernières semaines, l'acceptation de l'outil Google + et nous avons constaté une forte demande des entreprises », écrit Christian Oestlien, un développeur sur le projet Google +, dans un blog (nécessitant une inscription préalable). Il explique « nous savons franchement que notre produit tel qu'il est n'est pas parfaitement adapté à leurs besoins. »

Travaux sur une version Pro


Dans un message vidéo, Christian Oestlien a demandé aux entreprises de ne pas intégrer Google + à des fins commerciales. Cependant, Google va procéder à des tests avec un petit groupe d'entreprises et de marques pour voir comment leurs utilisateurs peuvent interagir entre eux via les cercles (Circles) de Google + et les fonctions d'actualités en temps réel. C'est le cas de Ford qui a un partenariat privilégié avec Google +.

« Actuellement, nous sommes très axés sur l'optimisation de l'expérience consommateur », déclare le chef de projet. «Mais nous disposons d'une grande équipe d'ingénieurs capable de travailler et de proposer une expérience similaire pour les professionnels avec Google +. Nous espérons le déployer plus tard cette année. »


Crédit Photo: D.R

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