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(04/07/2011 15:41:43)

La CFF mise sur le RFID pour supprimer les billets de train

Les CFF (Chemins de Fer Fédéraux suisses) ont décidé de poursuivre un projet visant à doter leurs abonnements de puces RFID, révèle la presse dominicale. Dirigée par Santiago Garcia, l'initiative de billet électronique vise dans un premier temps à doter les abonnements demi-tarifs et général de puces, de sorte qu'il ne sera pas nécessaire de remplacer la carte à chaque renouvellement. Ensuite, de 2014 à 2016, les trains seront peu à peu équipés de bornes de détection permettant d'identifier les puces et donc les passagers à bord, un investissement évalué à 200 millions de francs.

Dès 2017, le système devrait être pleinement opérationnel. Les titulaires d'un abonnement n'auront alors plus à acheter de billet et les CFF leur factureront les trajets effectivement réalisés en fin de mois. Le système réduira aussi la fraude explique la régie ferroviaire. Le projet n'a pour l'heure pas été présenté au Préposé à la protection des données suisse. Selon Santiago Garcia, les CFF disposeront cependant de moins de données que les opérateurs de téléphonie.

Des billets à tarifs variables

Outre la baisse de la fraude et une facturation a posteriori, le projet devrait permettre le développement de nouveaux modèles de prix particulièrement flexibles. Il serait ainsi par exemple possible d'augmenter les tarifs aux heures de pointe. Autre idée, qui pourrait intéresser l'Union des transports publics, stimuler leur usage via des programmes de voyageurs fréquents similaires à ceux des compagnies aériennes, à l'instar d'un projet pilote mené à Bangalore (en lien).

www.ICTjournal.ch

Crédit photo : D.R. 
(...)

(04/07/2011 15:31:11)

Office 365 : les clients BPOS devront attendre pour migrer

Lancé en grande pompe à New York par le PDG de Microsoft, Steve Ballmer, Office 365 est désormais officiellement disponible. Mais les clients de la version précédente BPOS, devront attendre au moins deux mois avant de se joindre à la fête. En effet, pour encadrer au maximum le passage vers Office 365 des clients BPOS (Business Productivity Online Suite), Microsoft a choisi une approche assez sélective, proposant la migration à un nombre de clients limités. Si tout se passe bien avec cet échantillon, la firme de Redmond prévoit d'étendre, dans une certaine mesure, la migration vers Office 365 à davantage de clients BPOS à partir du mois de septembre, comme l'a indiqué l'entreprise dans un communiqué.

À cette date, Microsoft évaluera toutefois, pour chaque client BPOS, à quel moment effectuer la transition, en fonction des réponses qu'ils apporteront à une enquête préalable pour estimer le degré de préparation et d'autres critères techniques, comme l'a indiqué Microsoft. « Notre objectif est de fournir à nos clients la meilleure expérience possible au moment de la transition vers Office 365. Le processus de migration en une fois est une étape importante pour le déploiement du service et nous voulons faire en sorte que tout se passe pour le mieux, » indique encore le communiqué. « Nos clients ont des besoins différents et travaillent dans des environnements différents. Grâce à ce pilotage préparatoire, nous sommes en mesure d'améliorer nos services et notre support et nous assurer que cette transition se passe le mieux possible. C'est aussi ce qu'ils attendent de Microsoft. » Par contre, les nouveaux clients et ceux qui veulent migrer leurs comptes et leurs données depuis des suites non-Microsoft peuvent s'abonner dès maintenant à Office 365.

Des clients déçus par les contraintes de Microsoft

Cette solution ne convient pourtant pas à certains clients BPOS qui auraient souhaité migrer vers Office 365 sans délai et ont fait part de leur déception sur un forum de discussion. « Bon, et bien je suppose que la solution consiste soit à résilier le service et à se réabonner tout de suite, soit tout simplement à mettre fin à son abonnement et à aller voir ailleurs. Entre l'incapacité croissante et significative de l'équipe chargée du support technique à, tout simplement, offrir du soutien et cette solution, il devient difficile d'être satisfait du service, » écrit un client BPOS sur le forum. « Impossible de discuter avec cette logique commerciale - ils ont déjà récupéré notre argent. C'est beaucoup plus important pour eux de vendre le service à de nouveaux clients pour gagner d'autres abonnés. Si seulement les responsables marketing avaient pris la peine de réfléchir à ce qui se passe quand ils rendent la clientèle dépendante... » 

La suite collaborative et de communication Office 365 basée sur le Cloud, inclut les versions en ligne des éditions 2010 de Microsoft Exchange, SharePoint, Lync et Office. Elles sont proposées sous forme d'options selon la configuration, toutes facturées sur la base « par utilisateur et par mois ». Selon les observateurs du secteur, Office 365 est un concurrent beaucoup plus solide pour les Google Apps et autres rivaux, comparé à BPOS qui ne contient pas les composants Office et dont les applications sont basées sur les éditions 2007 de leurs équivalents sur site.

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Selon une porte-parole de Microsoft, la volonté de réaliser la transition de BPOS vers Office 365 avec précaution n'est pas nouvelle. Le calendrier avait été présenté avant la disponibilité générale du produit dans le cadre du programme pilote. Toutefois, à en juger par les réactions de surprise exprimées dans les forums de discussion, ce programme est une nouvelle pour certains clients. Ceux qui ont suivi en direct le lancement d'Office 365 n'en étaient pas plus informés. Steve Ballmer n'a pas spécifiquement abordé la question et le message essentiel de l'événement incitait plutôt les clients à adopter le produit immédiatement. « Étant donné le battage que Microsoft a fait autour d'Office 365, ils réalisent que la transition doit être parfaite, ou alors Microsoft et son PDG auront une autre entaille dans leur récente histoire du cloud » a souligné Rebecca Wettemann, analyste chez Nucleus Research. « En terme de réputation dans le domaine du cloud, Microsoft ne peut se permettre aucun accroc. Il est donc logique qu'elle favorise dans un premier temps les nouveaux clients plutôt que de se casser éventuellement les dents sur des migrations plus complexes depuis BPOS, » a-t-elle ajouté. 

Certains observateurs du secteur ont souligné que la mise en oeuvre d'Office 365, et plus particulièrement la migration à partir de BPOS, ne semble pas être un processus simple ou qui va de soi, surtout si on la compare à des suites semblables construites spécifiquement pour le cloud, comme les Google Apps. Un argument de vente majeur pour Office 365 est sa capacité d'interagir et de se synchroniser avec les applications desktop et serveur de Microsoft. Cela permettrait aux entreprises de fonctionner dans un environnement hybride pour la communication et la collaboration. Ce qui, en théorie, les ferait profiter du meilleur des deux mondes, sur site et dans le cloud selon le concept « logiciels plus services » de Microsoft. Mais pour que ce modèle hybride fonctionne avec Office 365, le logiciel sur site doit répondre à de nouvelles exigences de mise à niveau.

C'est parce que BPOS travaille avec certaines anciennes versions de logiciels sur site qu'Office 365 ne peut pas se connecter. Ce qui signifie que la migration doit être précédée par une série de mises à jour des logiciels bureau et serveur sur les sites des clients. Par exemple, Office 365 nécessite au moins la version desktop Office 2007 SP2. Sinon, les Office Web Apps - la version en ligne d'Office - d'Office 365 ne seront pas capables de se connecter avec le logiciel de bureau. Cela signifie donc qu'Office 365 ne fonctionne pas avec Outlook 2003 ou les versions antérieures.

(...)

(04/07/2011 14:29:55)

Dimension Data acquiert OpSource, spécialiste du cloud

Le fournisseur de services de cloud pour les entreprises OpSource passe dans les mains de Dimension Data. Le siège d'OpSource se situe à Santa Clara, en Californie et l'entreprise emploie 150 personnes basées également en Virginie, au Royaume-Uni, en Irlande et en Inde. La filiale de NTT Holdings entend ainsi accélérer son offre de services de cloud computing. OpSource fera partie de l'unité dédiée aux solutions de cloud computing pour les entreprises créée dans le même temps.

Selon Brett Dawson, CEO de Dimension Data, en charge de cette nouvelle division, cette décision de mettre un accent particulier sur les services cloud s'aligne sur une stratégie à long terme de devenir une entreprise de services orientés business. Au cours des dernières années, Dimension Data a développé ses compétences dans les domaines de la virtualisation, des services gérés et hébergés, et de l'externalisation, services essentiels pour permettre la mise en place d'architectures cloud pour ses clients.

www.ICTjournal.ch (...)

(04/07/2011 14:21:26)

Une filiale de Cegid pour le secteur public

Cegid a pris l'habitude de sectoriser ses produits et ses offres, auprès des comptables évidemment, mais aussi des secteurs comme l'hôtellerie ou le retail. Le secteur public est désormais développé dans une filiale à part entière : Cegid Public. Elle est issue de deux rachats, celui de Civitas en 2008 et, plus récemment, de Visa Informatique au mois de février dernier. Au total, Cegid regroupe ainsi 200 collaborateurs et un chiffre d'affaires de 22 millions d'euros.  C'est Hélène Barrios qui devient directrice générale de Cegid Public.

Cegid Public va diffuser Yourcegid Secteur Public, avec trois versions : Finances, RH, citoyen (relation entre le citoyen et son administration). 400 mairies utilisent déjà cette offre en SaaS.

(...)

(04/07/2011 14:15:17)

Une 4ème agence Devoteam à Niort

Comme annoncé il y a trois ans, la SSII Devoteam installe un réseau d'agences en région. Dans de grandes capitales comme Lyon et Toulouse , mais aussi dans le grand ouest, une région particulièrement choyée. Après Lannion, Rennes et Nantes (ouvert il y a six ans), Devoteam installe une agence à Niort. Elle compte 20 collaborateurs au départ, dont 5 venus de Nantes en mission sur place. Dans deux ans, la SII devrait passer à 50 collaborateurs.

 

(...)

(04/07/2011 13:43:58)

Les entreprises prennent conscience de l'importance de la e-réputation selon IDC

La notion d'e-réputation est désormais bien ancrée dans l'esprit des services communication des grandes entreprises, à savoir la perception qu'ont les internautes d'une entreprise, notamment via les contributions sur les médias sociaux au sens large (réseaux sociaux, blogs, commentaires sur le site institutionnel, etc.). Or si une majorité d'internautes donnent leur avis et tiennent compte des autres avis exprimés, les directions marketing se sentent bien démunis face à ce qui constitue leur terra incognita moderne.

Selon une étude du cabinet IDC, seulement 4% des internautes donnent très régulièrement leur avis mais 9% le donnent tout de même régulièrement, 30% de temps en temps et 24% rarement, soit les deux tiers en tout. De la même façon, 30% des internautes tiennent compte des avis diffusés par leurs pairs très fréquemment et 38% de temps en temps, 16% rarement. Seulement 17% n'en tiennent jamais compte. Evidemment, la confiance augmente avec la proximité : 66% pour des « amis » sur des réseaux sociaux genre Facebook, 56% pour les blogs d'experts ou de citoyens. Notons enfin que, contrairement à une idée courante, toutes les tranches d'âges sont concernées, y compris des grands-parents.

L'e-réputation : priorité sans moyens

De ce fait, si les directions marketing et communication ont comme première priorité la fidélisation des clients (94% de priorité moyenne ou forte), la sécurisation de la e-réputation arrive juste derrière (91% de priorité moyenne ou forte), avant la croissance du ROI des actions de marketing ou l'approfondissement de la connaissance client. La e-réputation a en effet des impacts directs sur les ventes (34% des entreprises) ou indirect (attractivité de la marque... 78% des entreprises).

Mais l'approche de la réputation reste très artisanale ou traditionnelle (enquêtes d'opinions...). Seules 23% des entreprises tentent d'ailleurs un peu sérieusement de suivre ce qui se dit d'elles sur les médias sociaux. 48% essayent de suivre ce qui se dit d'elles sur Internet et 45% ce qui est dit sur leurs concurrents mais essentiellement via une simple veille. La majorité d'entre elles (70%) sont conscientes que l'on ne peut pas contrôler ce qui se dit sur les médias sociaux mais, par contre, 74% estiment possible de canaliser ou de nuancer les échanges néfastes. La présence constante sur les médias sociaux permet à une marque de bâtir un historique qui servira en cas de crise. Globalement, cependant, on voit bien que la position reste défensive, même lorsqu'il s'agit de préparer en amont la défense.

La principale action en la matière reste la page Facebook : 84% des entreprises l'ont fait. Par contre, l'identification des communautés influentes reste encore faible (moins d'un quart des entreprises le tentent). Et seules 10% tentent d'analyser sémantiquement les discours circulant. Il est vrai que, de toutes façons, seuls les échanges « publics » sont analysables. Les conversations « privées » (via les murs Facebook par exemple) sont inaccessibles par définition. (...)

(04/07/2011 14:32:15)

6 000 brevets de Nortel gagnés par le consortium, Apple, EMC, Microsoft, RIM

Nortel a déclaré dans un communiqué que le consortium composé d'Apple, EMC, Ericsson, Microsoft, Research In Motion et Sony avait remporté les enchères. Il n'a par contre donné aucune information sur les autres soumissionnaires.

« Nous pensons que le consortium sera en meilleure position pour utiliser les brevets d'une façon favorable pour l'industrie sur le long terme », a déclaré Ericsson. La société suédoise a déclaré qu'elle contribuera à hauteur de 340 millions de dollars à la transaction qui devrait être finalisée au troisième trimestre. Pour RIM, la somme mise en jeu sera d'environ 770 millions de dollars.

La vente comprend plus de 6000 brevets et applications couvrant réseaux sans fil et filaire, 4G, optique, voix, Internet, services, semi-conducteurs et d'autres brevets, précise Nortel. La vente est soumise aux autorisations des autorités judiciaires du Canada et des Etats-Unis. Une audience conjointe devrait avoir lieu le 11 juillet prochain.

Google perd une occasion de se défendre et d'innover


Nortel Networks avait accepté l'enchère de Google qui avait mis 900 millions de dollars sur la table pour racheter les différents brevets. Cette somme a servi de référence pour que les autres acteurs puissent enchérir.  Mais au final, la candidature de Google n'a pas été retenue. « Ce résultat est décevant pour ceux qui militent pour des innovations ouvertes au plus grand bénéfice des utilisateurs » a déclaré Kent Walker, vice-président et conseiller juridique de Google dans un e-mail. « Nous allons continuer à travailler pour résoudre les litiges concernant les brevets qui handicapent à la fois chercheurs et les consommateurs. »

En avril dernier sur son blog, Kent Walker indiquait que l'enchère de Google répondait à deux objectifs, avoir un effet dissuasif pour ceux qui veulent poursuivre l'éditeur de Moutain View et aussi aider l'entreprise, ses partenaires et la communauté Open Source, à innover sur des projets comme Android et Chrome.

(...)

(04/07/2011 14:32:08)

Pour Intel, la gestion énergétique des bâtiments est tout un POEM

Lors de la construction d'un immeuble de bureau, qui s'appelle Green Office, basé à Meudon et réalisé par Bouygues, plusieurs acteurs, Schneider, Siemens, Steelcase  Sodexo, Lexmark, Philips et Intel ont mis leur savoir-faire en commun dans le cadre d'un GIE (groupement d'intérêt économique) sur le sujet Enjeu énergie positive. Le fondeur de Santa Clara s'est intéressé « à faire dialoguer l'ensemble des capteurs intégrés dans la gestion technique du bâtiment (éclairage, chauffage, ventilation, etc.) et les équipements IT dont les ordinateurs des salariés » précise Yves Aillerie, Business Developpement Manager chez Intel et de préciser « la valeur ajoutée est d'avoir créé une base de données de l'ensemble des informations pour élaborer des API ».

Dites-le avec des fleurs !

Fruit de cette mise en commun des expertises, POEM, pour Personnal Office Energy Manager. Il s'agit d'un logiciel qui s'installe sur le PC du salarié (pour l'instant disponible que sur des environnements Windows), une icône s'installe dans la barre des tâches et donne l'indication « bon » ou « mauvais ». En cliquant dessus, un tableau de bord apparaît avec une fleur pour chaque élément consommant de l'énergie (climatisation, imprimante, voiture de fonction, etc.). En cas de problème, la fleur se fânera et une alerte sera envoyée au collaborateur. Ce type d'alerte existe par exemple sur les voitures où en fonction de l'accélération un voyant rouge ou vert indique l'impact de cette action sur l'environnement. Et le moins que l'on puisse dire est que cela n'emporte pas l'adhésion des conducteurs.

Pour Yves Aillerie, « il s'agit de responsabiliser l'utilisateur et non se substituer à lui, il disposera de points de repère. Ainsi quand il aura un document PDF de plusieurs pages, il pourra choisir au mieux s'il souhaite l'imprimer ou le lire sur son ordinateur en comparant la consommation énergétique induite. »

Dès sa création, le GIE a une durée de vie limitée propre au projet concerné. Intel et d'autres acteurs ont décidé de continuer à travailler sur POEM. Des produits commerciaux devraient voir le jour à la mi-2011.

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