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(30/06/2011 14:43:37)
IBM estime que les appareils médicaux connectés devront rester simples et peu coûteux
IBM a publié cette semaine une étude pour savoir à quoi ressembleront les futures applications et équipements relatifs au monde de la santé, que se soient les PC, les, tablettes ou les smartphone. Elle montre qu'au cours des dernières années les fabricants d'équipements médicaux ont ciblé, avec succès, les personnes extrêmement soucieuses de leur santé. Elle révèle que ces équipements et services peuvent aller plus loin et intégrer des terminaux et du matériel situé à domicile en s'appuyant sur les ressources du web tels que les dossiers médicaux électroniques pour informer les patients sur leurs résultats médicaux et les aider à gérer leurs soins de santé de façon plus proactive.
Selon l'étude, qui a été réalisée auprès de plus de 1 300 utilisateurs de services liés à la santé et au bien-être, les scientifiques d'IBM pensent qu'un certain nombre de nouveaux outils pourront bientôt faire leur entrée. Il s'agit d'abord des équipements utilisés pour des applications de diététique, qui permettront de mesurer le mouvement, la vitesse et les calories brûlées par les patients. Ils aideront les personnes qui ne bougent pas suffisamment à accomplir une tâche ou un mouvement. Ils seront intégrés dans des outils et observeront le traitement suivi, la pression artérielle et également le poids en délivrant une photographie complète de la santé des utilisateurs.
Un bracelet électronique d'analyse de sang
Des services concerneront aussi les soins aux seniors. Aux États-Unis, environ 5,4 millions de personnes ont la maladie d'Alzheimer. Au Royaume-Uni, les deux tiers des personnes atteintes de démence vivent à l'extérieur d'un établissement de soins. Pour les patients souffrant de perte de mémoire, des équipements établiront l'emplacement des médicaments et seront connectés à une boîte à pilules numérique. Ils aideront également à localiser les patients de même que les soignants,
Un bracelet en test permettra également d'analyser automatiquement le sang et transmettra les données au médecin. Lorsque le taux de cholestérol augmentera, que le fer ou les globules blancs chuteront, les utilisateurs sauront s'ils doivent modifier leurs médicaments, ou consulter un praticien.
Illustration: Crédit photo: IBM
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L'étude montre aussi que la mobilité est un facteur essentiel. Des outils seront de plus en plus utilisés pour surveiller les mouvements des personnes non valides. Ils amélioreront la coordination, l'amplitude des mouvements et la stabilité des personnes. Ils détermineront également si l'utilisateur se promène régulièrement ou s'il a besoin d'aide. Des capteurs permettront en parallèle de prédire les conditions qui pourraient mener à une chute.
Un avatar numérique du corps humain
Des applications exploreront les ondes cérébrales. Il sera plus facile pour les personnes médicalement fragiles et affaiblies d' exprimer leurs pensées et leurs sensations à travers un avatar numérique du corps humain. Avec l'aide de capteurs, des patients, même s'ils sont dans l'incapacité de parler pourront indiquer comment ils réagissent aux traitements spécifiques ou à la douleur, demander des soins médicaux, faire savoir s'ils souhaitent changer der position dans leur lit ou demander plus d'oxygène. Ces outils captureront les données relatives aux signes vitaux en les interprétant en temps réel de manière à alerter les soignants en cas de changements soudains.
L'étude présente ensuite certains critères clés pour savoir si ces équipements seront réellement utiles à la majorité de la population. 96% des sondés ont déclaré que la facilité d'utilisation était le facteur principal pour choisir un équipement plutôt qu'un autre. Un coût égal ou inférieur à 100 $ est également un facteur clé pour les trois quarts des utilisateurs qui considèrent que les prix sont plus importants que des caractéristiques comme le support client, la garantie ou un design élégant. Enfin, 86% des utilisateurs souhaitent que ces outils leur délivrent des informations en temps réel et un retour facile à comprendre. Selon l'étude, les fabricants devront renforcer leur collaboration et leurs partenariats, car il est peu probable qu'une seule entreprise dispose de toutes les capacités requises pour offrir des équipements complets.
Illustration: Crédit photo: IBM
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Micro-paiements par mobile : bientôt 2,5 milliards d'utilisateurs
Le nombre de mobinautes utilisant leur téléphone comme moyen de paiement pourrait passer de 1,8 milliards en 2011 à 2,5 milliards en 2015, soit une évolution de 40% selon le cabinet spécialiste en mobilité Juniper Research. C'est principalement en Asie que se développe ce type de comportement. Ainsi l'Extrême-Orient (avec en tête la Chine) est la région qui concentre le plus d'adeptes (environ 30% du total en 2015), tandis que l'Inde à elle-seule pourrait dépasser les 400 millions d'utilisateurs. Parmi les vecteurs de développement, Juniper cite notamment le marché émergeant des tickets électroniques dans les transports et le spectacle.
Si le paiement par mobile n'est pas encore démocratisé en France, l'implication d'importants acteurs comme Google, qui a présenté il y a un mois sa propre solution de portefeuille électronique "Google Wallet", pourrait faire évoluer la tendance.
Crédit photo : Google Wallet
Les données augmentent toujours, pas les ressources selon IDC
L'étude Digital Universe réalisée par IDC pour le compte d'EMC contient des chiffres aussi impressionnants que ses précédentes éditions. Selon le rapport, l'information mondiale croît à un rythme supérieur à la Loi de Moore. Ainsi, 1,8 zettaoctets (1,8 milliards de téraoctets ou 200 milliards de films HD) seront créés ou répliqués en 2011. Des données à 90% non-structurées et générées dans 75% des cas par des particuliers. L'étude souligne cependant que la plus grande partie de ces informations n'est pas directement produite par des individus, mais créée à propos d'eux dans le monde numérique, ce qu'IDC appelle l'ombre digitale.
Manque de ressources dans les entreprisesLes auteurs de l'étude notent également que les entreprises manquent des ressources, des compétences et de l'expérience pour soutenir le déluge de données auquel elles sont confrontées. Ces dix prochaines années, le nombre de serveurs sera multiplié par 10, les informations par 50 et les fichiers par 75, tandis que le nombre de collaborateurs IT n'augmentera que d'un facteur 1,5.
Crédit illustration : EMC
(...)(30/06/2011 09:34:25)Mode SaaS : Sage doit faire face à la grogne de ses partenaires
Il est rare que les revendeurs Sage prennent l'initiative de se réunir en nombre et tout aussi rare que ce type de rencontre débouche sur un large consensus. Alors, autant dire que les 15 centres de compétences Sage (CCS) qui se sont rassemblés le 18 mars dernier, la veille de Sage Expo, à Paris avaient une bonne raison de le faire. En l'occurrence, il s'agissait pour eux d'échanger leurs points de vue sur le DSU (droit de souscription à l'usage). Lancé au mois de février par l'éditeur, ce nouveau mode de facturation permet aux entreprises de louer certains de ses logiciels, qu'ils soient délivrés en SaaS ou sur site. Or, son mode de mise en oeuvre suscite une véritable levée de boucliers des partenaires Sage et par les moindres.
« Avec le développement du SaaS et de son mode de facturation locatif, la mise en place du DSU va dans le sens de l'histoire. Mais les conditions et les modalités proposées par Sage devraient être largement amendées », explique un des revendeurs qui reprend ainsi l'avis général de ses homologues présents lors de la réunion. Pour les partenaires de Sage, le bât blesse à plusieurs niveaux en commençant par la marge que leur alloue Sage sur le DSU. Celle-ci ne s'élève qu'à 40% des loyers payés par les entreprises alors qu'elle atteint 52% lorsque les clients choisissent le mode de tarification classique de Sage (Droit d'entrée logiciels + Droit d'utilisation annuel). Ayant déjà fait face à cette récrimination, Sage explique que le DSU revient finalement plus cher aux clients que le modèle DEL + DUA, ce qui permet à ses revendeurs d'obtenir une marge équivalente au bout de 36 mois. « Faux, rétorque un partenaire Sage. Si l'on prend l'exemple de Sage 100 Entreprises, au bout de quatre ans la marge brute d'un revendeur reste encore inférieure de 8,5% à celle qu'il aurait touché si le logiciel avait été facturé selon le modèle classique de Sage ». Précisons que dans le calcul qui l'amène à ce résultat, ce revendeur n'a pas pris en compte une éventuelle remise accordée au client...
Un risque de volatilité des clients
De plus, rien ne garantit qu'un revendeur garde son client quatre ans, ni même quelques mois. Tel qu'il a été conçu, le DSU permet en effet à une entreprise de ne pas s'engager au-delà d'un mois. « Dans ce cas, le revendeur qui a réalisé tout l'effort commercial peut voir un autre de ses concurrents le récupérer », explique un revendeur Sage. En outre, dans le cas de certains logiciels de Sage, ce droit de rétractation pourrait « pousser les client au crime ». « Un client qui souscrit à une application telle que Sage 100 Etats Comptables et Fiscaux pour réaliser ses liasses fiscales une fois par an n'a pas de raison d'y souscrire plus de deux à trois mois », poursuit le partenaire.
La complexité administrative du DSU figure également dans la liste fournie des griefs des partenaires de Sage. Un exemple : pour être payé, Sage prélève tous les mois ses revendeurs qui doivent prélever à leur tour leurs clients. « En cas d'impayé, comment cela se passe-t-il ? », s'interroge un revendeur. Ce dernier regrette en outre que l'éditeur ait supprimé dans cadre du DSU le délai de latence de deux mois qu'il laisse habituellement à ses revendeurs entre le moment ou un client renouvelle son contrat et le moment ou le revendeur doit régler son achat de licence à Sage. « Ce délai de latence nous permet de ne pas avoir à demander à Sage de nous rembourser l'achat de la licence d'un client qui aurait oublié de résilier son contrat en temps et en heure », explique un partenaire Sage.
Un groupe Facebook pour discuter entre revendeurs Sage
Dans le but de faire avancer leur cause, les partenaires de Sage ont demandé à la direction de l'éditeur de les recevoir. Cette réunion devrait avoir lieu dans une semaine « dans un état d'esprit constructif ». En effet, les principaux partenaires de Sage assurent ne pas vouloir chercher l'opposition frontale avec l'éditeur. De son côté, celui-ci serait bien inspiré des les écouter afin de calmer le jeu. Car dans l'entre temps, les rangs des mécontents se remplissent. Sept autres CCS Sage ont en effet rejoint les participants à la réunion du 18 mars. A terme, le collectif espère en rassembler une quarantaine. Un objectif qu'il réalisera peut-être en partie grâce à la page facebook « Esprit Sage » qu'il a crée pour approfondir les discussions entre partenaires de l'éditeur.
Odyssée tombe dans l'escarcelle de Solutions 30
Deuxième rachat en moins d'un mois, toujours à la barre du Tribunal de commerce, pour Solutions 30. Après MPS en début de mois, c'est Odyssée qui tombe dans son escarcelle. Odyssée a une longue histoire. Depuis 2009 c'était une filiale de Global Technologies. En 2002, Odyssée, créée en 1996, fut rachetée par Thales e-Transactions, filiale du groupe Thales. Elle réalisait à l'époque 8 millions d'euros de chiffre d'affaires avec plus de 80 personnes. Aujourd'hui, c'est 5 ME avec 57 salariés.
Les déboires d'Odyssée sont dus à sa mauvaise gestion et pas au marché, il ya un million de terminaux de paiement électroniques (TPE) en France, un marché en croissance de 16%.
Odyssée va rejoindre le pôle Money 30 de Solutions 30. Ce pôle a déjà une activité dans la maintenance de TPE, avec des constructeurs, Afone, des banques et Intermarché. Odyssée travaille avec Ingénico, Orange, BNP, la Banque Postale et en direct avec des commerçants. Le pôle Money 30 va se positionner également sur les technologies NFC (paiement sans contact), en plus de la maintenance des TPE. Money 30 devrait réaliser 10% du chiffre d'affaires de Solutions 30 en 2011, en 2010 le groupe a réalisé 54,7 ME.
Gilbert Canameras arrive à la direction de L'AMRAE
L'AMRAE (Association pour le Management des Risques et des Assurances de l'Entreprise) a tenu son Assemblée Générale le 28 juin 2011. Elle a renouvelé son conseil d'administration, son conseil exécutif et élu son nouveau président, l'ancien ne pouvant plus se représenter pour des raisons statutaires.
Gilbert Canameras est entré au Conseil d'Administration, au Conseil Exécutif et a été élu président de l'association. A 62 ans, il est directeur des financements et du management des risques du Groupe Eramet spécialisé dans les minerais (Nickel, Manganèse) et les alliages. Membre de l'AMRAE depuis 2002, il a déjà animé plusieurs groupes de travail de cette association. Titulaire d'une Maîtrise en droit des affaires Paris-II Assas et d'un DEA en études politiques, il a successivement occupé les postes de secrétaire général du centre ISERM du Vésinet (1977-1980), plusieurs fonctions financières au sein du groupe Spie Batignolles jusqu'à en devenir DAF (1980-1995) et Directeur de la trésorerie et du trade finance chez SCHNEIDER (1996-2000). Il est tout d'abord entré chez Eramet en 2001 comme Directeur trésorerie financements et assurances avant d'en devenir, en 2010, directeur des financements et du management des risques.
L'ancien président, Gérard Lancner, qui ne pouvait pas se représenter, a été nommé délégué général de l'association. Frédéric Dhers, directeur des assurances de Veolia Environnement, est également entré au Conseil d'Administration. Il remplace Jean-Philippe Riehl, également de Veolia Environnement. L'entrée de Gilbert Canameras compensant celle de Michel Pozzo, de la Banque de France. Les deux sortants étaient gestionnaires de risques mais changeaient de fonction et ne se représentaient pas. Trois administrateurs ont été reconduits : Frédéric Lucas, Global Real Estate, Risk & Insurance Manager du groupe Publicis ; Laurent Barbagli, directeur des risques et assurances chez Lafarge ; et Gilbert Brat, directeur des assurances au sein du Groupe La Poste. Ce dernier est devenu vice-président de l'AMRAE, comme Bruno Dunoyer de Segonzac (Bouygues Telecom) et Anne-Marie Fournier (PPR). Frédéric Lucas est devenu secrétaire général et Yvon Colleu (Bouygues SA) confirmé comme trésorier.
L'AMRAE possède 764 membres de 416 entreprises dont 37 du CAC 40. (...)
Télé-présence immersive chez Scor
Scor, l'une des premières sociétés de réassurance au niveau mondial vient d'acheter à Verizon une solution de télé-présence pour équiper sept salles financières : Cologne, Londres, New-York, Singapour, Zurick, et deux salles à Paris. Cette solution répond aux problématiques de l'entreprise Scor, qui compte plus de 1600 personnes réparties sur les cinq continents. Après avoir utilisé de l'audioconférence et de la visioconférence, l'entreprise cherchait à améliorer la communication et la collaboration au sein de ses équipes.
Laurent Chartier, architecte de réseaux chez Scor, explique « la télé-présence constitue une dépense importante pour toute société, mais nous étions certains d'enregistrer un rapide retour sur investissement si notre solution était capable d'améliorer le travail de nos employés au quotidien. » Cette solution de télé-présence est basée sur le Polycom UC Intelligent Core, avec une configuration d'interconnexion RMX double pour la redondance des systèmes incorporés. La réservation des salles de réunion s'effectue à l'aide d'un système de réservation en Intranet et un système de gestion Glowpoint gère tous les aspects des réservations de salle, ainsi que le centre des opérations en réseau vidéo.
Photo: illustration (D.R). (...)
Cisco lance enfin sa tablette pro Cius sous Android
Le succès de l'iPad, la tablette tactile d'Apple, a éveillé l'appétit du numéro un mondial du routage IP, Cisco. Ce dernier annonce enfin la commercialisation de sa propre tablette Cius fonctionnant sous Android et destinée à un usage professionnel. Elle dispose de fonctions voix, vidéo, collaboratives et de virtualisation.
Elle sera lancée mondialement le 31 juillet prochain au tarif de 750 $. Une promotion baptisée « Triple V » (pour Voix, Vidéo et Virtualisation) verra son prix baisser à 700 $. La tablette s'accompagne d'un écosystème applicatif baptisé AppHQ. Il s'agit de pouvoir déployer rapidement des applications pour l'entreprise. Cisco se montre donc ouvert aux applications tierces mais sous son contrôle. Cisco adopte le modèle de magasin d'applications d'Apple, magasin qu'il place sous son contrôle. Toutes les applications présentées au sein d'AppHQ sont soumises à un test de validation par Cisco, qu'il s'agisse des applications développées par ses soins, par d'autres développeurs Android partenaires ou par des utilisateurs appartenant à l'entreprise.
La tablette Cius peut s'insérer dans un téléphone IP de Cisco
Les entreprises disposeront de leur propre boutique d'applications Cisco hébergée au sein d'AppHQ. Elles peuvent personnaliser leur vitrine, conformément à leur stratégie de marque, notamment en y intégrant des éléments de la charte graphique (logos, icones, gamme de couleur).
Côté connectivité, Cisco annonce le support du Wi-Fi (802.11a/b/g/n), de la donnée 4G et du bluetooth. La vidéo est gérée en mode HD 720p, ce qui permet l'intéropérabilité avec les systèmes de téléprésence EX Series de Cisco.
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Au-delà de ces fonctionnalités,la « boutique dans la boutique » est dotée d'une plate-forme que les utilisateurs peuvent utiliser pour assurer un déploiement efficace de leurs applications au sein de l'entreprise. Ainsi, un prestataire de services financiers pourrait déployer des applications dédiées à ses activités de back office, notamment des applications de gestion de la paie ou des ressources humaines. Ces applications pourraient ensuite être installées sur les appareils des collaborateurs concernés.
A l'origine, l'écosystème AppHQ proposera 250 applications professionnelles et grand public sélectionnées par Cisco et s'intégrant aux fonctions collaboratives développées par Cisco. L'écosystème comprendra également des applications B-to-B et B-to-C mises au point par des développeurs partenaires. Cisco continuera d'enrichir l'AppHQ avec de nouvelles applications en fonction de la demande des clients.
Une tablette ouverte sur l'écosystème Android
Les responsables informatiques pourront également faire leur choix parmi les quelques 200 000 applications proposées sur le marché Android. La tablette Cius est équipée d'un accès intégré à la suite complète d'applications de collaboration de Cisco qui compte les applications de réunion Webex, le logiciel social Quad, la messagerie Jabber, et la solution de Telepresence.
Le constructeur californien a indiqué que plusieurs entreprises clientes utilisent déjà sa tablette pour accroître la productivité de leurs employés en mobilité. On peut citer CDW, Nervecentre Software, les hôpitaux universitaires de Nottingham, Palomar Pomerado Health, l'Université du Wisconsin-Whitewater et Verizon.
(...)(30/06/2011 10:55:46)Yahoo crée une société dédiée à Hadoop
Yahoo et la société de capital risque Benchmark Capital ont fondé une entreprise chargée de travailler sur Hadoop, le framework Open Source qui accélère le traitement de volumes très important de données. Baptisée Hortonworks, la nouvelle entité sera constituée d'une équipe d'ingénieurs qui ont contribué au développement d'Hadoop Apache, un projet dont Yahoo a été le principal soutien. La société, qui ouvrira ses portes en juillet prochain, comptera une vingtaine d'employés. « Hortonworks permettra d'accélérer le développement de Hadoop et rendra son installation, sa gestion et son utilisation plus aisée dans les entreprises », a déclaré Jay Rossiter, vice-président de Yahoo Cloud Platform.
Yahoo, qui utilise abondamment Hadoop pour servir ses annonces publicitaires et son contenu, a beaucoup d'intérêts à le voir se développer. « Nous sommes à la fois investisseur, partenaire et utilisateur de Hortonworks », s'est également réjoui Jay Rossiter.
Eric Baldeschwieler, ancien vice-président de l'ingénierie d'Hadoop chez Yahoo, prendra les commandes d'Hortonworks. Il sera chargé de renforcer la communauté Open Source autour d'Hadoop, d'établir des programmes de partenariat et de trouver de nouveaux clients.
Illustration : Jay Rossiter, vice-président de Yahoo Cloud Platform. Crédit photo : D.R.
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