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(29/06/2011 17:39:17)
Air France victime d'une panne informatique
La compagnie aérienne a annoncé sur son site Internet qu'une panne informatique a eu lieu tôt ce matin. Elle a entrainé des bugs sur l'ensemble du réseau (site de réservation, planning du personnel d'Air France et des sites marchands du groupe).
« Plus de cent techniciens ont été immédiatement appelés pour résoudre ce problème et la panne a été réparée » peut-on lire sur le site internet du groupe Air France. La compagnie aérienne a indiqué que des mesures commerciales ont été prises. Nous avons contacté Air France et nous attendons leur réponse.
Oracle acquiert Pillar Data System
Oracle étoffe son portefeuille en matière de matériel avec l'acquisition du spécialiste du stockage Pillar Data System. Les termes du contrat, qui devrait être finalisé en juillet, n'ont pas été divulgués. Le PDG d'Oracle Larry Ellison, via son fonds de capital-risque avait déjà une participation majoritaire dans Pilar Data.
Cette dernière est spécialisée dans le stockage unifiée à travers son offre de baies Axiom. Elle dispose aussi d'un brevet sur la technologie des I/O en mode block sur du SAN. Cette dernière viendra compléter les appliances de stockage utilisant les systèmes de fichiers ZFS et la gestion des I/O en mode fichier (propre au NAS), selon un communiqué relatif à l'acquisition.
Disposer d'une brique stockage en propre
Sun Microsystems, qu'Oracle a racheté en 2010, avait revendu à d'autres sociétés ses solutions de stockage SAN, et il est « essentiel et critique pour Oracle de posséder un élément de stockage en propre, en particulier pour la construction de systèmes IT complets », a indiqué le communiqué. Oracle devrait ainsi concurrencer les produits VNx d'EMC avec la technologie Pillar.
La société basée à San José en Californie revendique quelque 600 clients avec 1500 systèmes déployés.
Cette acquisition est l'une des dernières d'une longue liste, 3Par par HP, Compellent par Dell, Isilon par EMC. Il ne reste sur ce marché plus d'acteurs de taille relativement importante. Les yeux des grands constructeurs vont se tourner maintenant vers certaines start-up qui travaillent sur le stockage dans le cloud.
(...)(29/06/2011 16:30:25)
Symantec juge iOS plus sécurisé qu'Android
Selon le rapport établi par l'éditeur de solutions de sécurité Symantec, les plateformes pour smartphone iOS d'Apple et Android de Google sont plus sûres que les systèmes d'exploitation traditionnels pour PC, mais elles restent encore exposées à de nombreux types d'attaques. La bonne nouvelle, c'est qu'Apple et Google ont conçu leurs systèmes d'exploitation respectifs en gardant la question de la sécurité à l'esprit. Mais, du fait de l'évolution constante des menaces possibles, il est difficile de maintenir un niveau de sécurité imparable.
Dans le rapport intitulé « Regard sur la sécurité mobile », Symantec a testé les deux systèmes d'exploitation pour voir comment ils résistaient à des attaques sur le web et sur le réseau, à des attaques profitant des techniques de l'ingénierie sociale, celles affectant l'intégrité des données, et comment les OS se comportaient face aux logiciels malveillants. Qu'ils soient sous Android ou sous iOS, les utilisateurs de smartphones et de tablettes tactiles ont pris l'habitude de synchroniser régulièrement leurs appareils avec des services de cloud computing et leurs ordinateurs personnels. Ces opérations peuvent potentiellement exposer certaines données sensibles - personnelles ou professionnelles - à des systèmes qui ne sont plus sous le contrôle de l'entreprise, selon Symantec.
Plus de malwares sous Android
Quand il s'agit de se protéger contre les logiciels malveillants traditionnels, le système de certification des applications et des développeurs mis en place par Apple protège les utilisateurs, selon Symantec. Comparativement, le mode de certification, moins rigoureux, de Google, a sans doute favorisé l'augmentation de malwares sous Android, a indiqué l'éditeur. En juin, Google a dû retirer un nombre encore plus important d'applications infectées par des logiciels malveillants et proposées sur l'Android Market, son site de vente d'applications en ligne. « L'approche, plus ouverte de Google, a été l'une des raisons de son succès, » a déclaré Ben Wood, directeur de recherche chez CCS Insight. « Cela a permis à Google d'augmenter rapidement le nombre d'applications disponibles sur son site.
Jusque-là, les programmes incriminés n'ont pas eu d'incidence majeure pour les utilisateurs, mais ce sentiment pourrait changer rapidement s'ils devaient subir des attaques avec de graves conséquences, » a estimé le chercheur. Comme l'ont déjà remarqué les experts en sécurité, le fait qu'Android se repose sur l'utilisateur pour acquérir un ensemble de validations est un maillon faible du système de Google. La majorité des utilisateurs ne sont tout simplement pas techniquement compétents pour prendre de telles décisions sur la sécurité. Comparativement, la plate-forme iOS refuse tout simplement l'accès, quelles que soient les circonstances, à de nombreuses couches systèmes plus sensibles, selon Symantec. Sur Android, une application malveillante demande simplement à bénéficier de l'ensemble des autorisations dont elle a besoin pour fonctionner. Et dans la plupart des cas, les utilisateurs leur accordent ces accès en toute confiance. Symantec modère un peu en précisant que Google demande aux développeurs de payer un droit d'accès et de s'enregistrer auprès de l'entreprise pour pouvoir distribuer leurs applications via le Marketplace, le site de vente officiel des applications Android.
Un cryptage faiblard sur iOS et absent sur Android
Parmi les faiblesses éventuelles d'iOS, Symantec pointe son mode de cryptage. Selon Symantec, la majorité des données sont cryptées de telle manière qu'elles peuvent être décryptées sans que l'utilisateur n'ait à entrer le code d'accès du terminal. Cela signifie qu'un attaquant ayant un accès physique à un périphérique iOS peut potentiellement lire la plupart des données présentes sur le mobile sans connaître le mot de passe, explique encore Symantec. Au mois de février dernier, des chercheurs allemands en ont fait la démonstration : en six minutes, ils ont réussi à s'introduire dans un iPhone sous iOS 4.2.1. En outre, les attaques contre les applications spécifiques, comme le navigateur web d'iOS, même si elle est autonome et évite les répercussions sur d'autres applications, peuvent encore provoquer des dommages importants à un périphérique. Depuis peu, Android 3.0 (Honeycomb uniquement disponible pour tablettes), propose un mode de cryptage intégré. Mais les versions antérieures d'Android, celles que l'on trouve sur quasiment tous les téléphones mobiles en circulation, ne disposent pas de ces capacités de chiffrement.
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Pour l'instant, les chercheurs en sécurité ont identifié près de 200 vulnérabilités dans les différentes versions d'iOS. Mais, selon eux, la grande majorité de ces failles ne sont pas très graves. À ce jour, sur les 18 vulnérabilités repérées dans Android, toutes sauf quatre ont été corrigées par Google, dont l'une dans la version 2.3 seulement, mais pas dans les versions antérieures. Selon Symantec, le récent malware Android.Rootcager, aussi connu sous le nom de Android.DroidDream, et Android.Bgserv, visent tous deux cette vulnérabilité et tentent de l'utiliser comme levier pour gagner le contrôle d'administrateur sur les machines. Symantec met également en garde les utilisateurs de smartphones jailbreakés. « Ce sont des cibles de choix pour les attaquants, car ces smartphones sont aussi vulnérables que des PC traditionnels, » avertit l'éditeur.
La sécurité des smartphones doit être renforcé
En conclusion, Symantec estime qu'iOS offre un meilleur contrôle d'accès, un meilleur filtrage des applications, et un meilleur système de cryptage. Android de Google dispose d'une meilleure technique pour isoler les applications, et son système de catégorie avec permission pour contrôler l'accès est un bon rempart, indique le rapport de Symantec. Apple propose également une meilleure protection contre les attaques de malware, les attaques dites de service, la perte de données et les attaques visant à violer l'intégrité des données. Les deux systèmes d'exploitation proposent une protection complète contre les attaques Web, mais aucune ne dispose des technologies de protection pour contrer des attaques d'ingénierie sociale comme le phishing ou le spam. « La sécurité des smartphones est devenue un défi auxquels les vendeurs doivent répondre, » a déclaré Ben Wood. « Des attaques à grande échelle pourraient avoir un effet très négatif sur la popularité du smartphone, » a-t-il estimé.
(...)(29/06/2011 15:13:38)Google+, un réseau plus social que Facebook ?
Après des tentatives peu réussies (Buzz, Latitude, etc.) pour développer un réseau social, Google récidive en proposant son offre Google +. Une vidéo de démonstration montre les capacités de cette solution qui tente de se démarquer de Facebook, omniprésent et surtout concurrent direct de la firme de Moutain View, ainsi que Twitter.
Pour se différencier, Google + joue la carte de l'intégration autour de plusieurs axes :
- Circle, il s'agit d'un gestionnaire de contacts en ligne, à travers lequel l'utilisateur peut regrouper ses contacts dans des « cercles », via un simple glisser-déposer selon leurs affinités, permettant de communiquer plus facilement en bandes. Sur le blog de l'éditeur, on peut lire « les gens partagent sélectivement, ils disent différentes choses à leurs différents cercles d'amis. »
- Déclics est un système de préférences qui permet de sélectionner des articles ou des vidéos pour pouvoir les mettre de côté ou les partager avec ses amis ultérieurement;
- Bulles est une solution de vidéoconférence permettant d'organiser des tête-à-tête en HD avec un ou plusieurs correspondants connectés (jusqu'à 10 personnes)
A cela s'ajoutent des solutions mobiles de partage de photos (« Instant upload » avec mise en ligne instantanée) et de tchat (via le service « clique »)
Pour l'instant Google+ est accessible uniquement sur invitation, mais les titulaires d'un compte Google peuvent déjà se connecter pour commencer à utiliser ces nouvelles fonctionnalités. Quant à l'application Google+, elle est d'ores et déjà disponible sur Android et le sera très prochainement sur l'App Store.
Biz Stone, l'un des fondateurs de Twitter, quitte le navire
Biz Stone, co-fondateur du site de micro-blogging Twitter vient d'annoncer son départ. Le dirigeant a indiqué sur son blog qu'il quittait l'entreprise pour s'associer avec un autre co-fondateur de Twitter, Evan Williams, et également avec Jason Goldman, ancien chef produits. Avec eux, il compte travailler au redémarrage d'Obvious Corp, l'ancienne maison mère de Twitter qui se focalisera sur le développement de nouveaux projets. Il a également indiqué qu'il continuerait à intervenir à temps partiel pour le compte de Twitter, mais qu'il consacrerait une partie de son temps à exercer des activités de conseil. Il a ajouté qu'il s'occuperait aussi de la Livia Stone Fondation, institution qu'il a créée avec son épouse, et qui soutient notamment l'éducation. « Durant ces dernières années et surtout récemment, il m'est apparu que les équipes de Twitter et sa direction avaient pris de l'ampleur et étaient devenues incroyablement productives », a déclaré Biz Stone. « J'ai décidé d'utiliser mon temps de manière plus efficace et j'ai choisi de me mettre en retrait de la société jusqu'à ce que je sois appelé à exercer des fonctions plus spécifiques ».
Le PDG Dick Costolo reste à la barre
La plate-forme de micro-blogging n'en est pas à son premier remaniement. En octobre dernier, Evan Williams avait démissionné de son poste de PDG, laissant la place à Dick Costolo qui était auparavant directeur des opérations. En mai, Greg Pass, directeur de la technologie chez Twitter quittait également l'entreprise. Le groupe n'avait pas fourni d'explications sur ce départ et s'était contenté d'indiquer qu'il n'envisageait pas de le remplacer. Avec Dick Costolo à sa tête, qui est connu comme étant un entrepreneur IT et un fin stratège, Twitter avait récemment acquis l'agrégateur de contenus TweetDeck.
Illustration : Biz Stone. Crédit photo. Wikipedia
(...)
Oracle lance un programme Exastack pour attirer les éditeurs de logiciels
La migration du traitement des données vers des systèmes spécialisés à haute technicité va à l'encontre de la tendance actuelle plutôt orientée vers les fermes de serveurs. Mais Oracle soutient que son Exadata et son serveur d'application Exalogic contribueront réellement à diminuer les coûts opérationnels globaux des vendeurs de logiciels indépendants (ISV). « Exastack est vraiment la plateforme du futur pour les ISV, » a déclaré Judson Althoff, vice-président senior Worldwide Alliances & Channels, au cours d'un webcast.
Le programme Exastack comporte deux niveaux, Ready et Optimized. Dans le premier, les partenaires pourront appliquer un label indiquant que leurs applications supportent Exalogic, Exadata et la pile logicielle qui tourne sur ces matériels, dont la base de données Oracle, WebLogic Application Server, et les systèmes d'exploitation Linux et Solaris. Les partenaires Optimized du programme Exastack auront accès aux ressources techniques et aux laboratoires spécialisés qu'Oracle a mis en place dans le monde entier, ce qui leur permettra notamment d'adapter plus finement leurs applications Exadata et Exalogic.
« Avant de les diriger vers un laboratoire, Oracle travaillera avec les partenaires pour établir un système d'évaluation des compétences, » a indiqué l'entreprise pendant le webcast. Ils iront ensuite passer une semaine ou deux dans notre laboratoire avec les architectes et les ingénieurs d'Oracle afin de tester les performances en situations réelles et de les confronter aux objectifs établis préalablement. « Le programme Ready est ouvert dès maintenant. Le lancement du programme Optimized est prévu pour plus tard cette année, » a précisé Oracle.
Des annonces attendues à OpenWorld
Certains vendeurs de logiciels indépendants se préparent déjà pour le programme Optimized d'Exastack et la firme de Redwood prévoit de faire quelques annonces à ce sujet lors de la conférence OpenWorld qui aura lieu plus tard cette année, comme l'a déclaré le vice-président. « Aujourd'hui, on compte un millier de systèmes Exadata en opération dans le monde. Oracle prévoit de tripler ce nombre cette année, » a déclaré, la semaine dernière, le vice-président d'Oracle, Mark Hurd, lors de la présentation des résultats financiers du quatrième trimestre. La société californienne n'a pas communiqué de chiffres précis sur les ventes d'Exalogic, mais celles-ci auraient bénéficié d'une accélération encore plus importante qu'Exadata, selon Mark Hurd.
Lors de son intervention, Judson Althoff a également évoqué les changements entrepris par Oracle concernant son réseau de partenaires pour l'exercice fiscal qui a débuté le 1er juin. Celui-ci a notamment fait allusion à certains « défis » opérationnels auxquels devaient faire face Oracle et ses partenaires depuis que l'entreprise a intégré Sun Microsystems. Oracle a bouclé l'acquisition de Sun en janvier 2010, une date qui a marqué également son entrée dans le secteur du hardware. « Nous réalisons que nous avons été en position difficile pour l'exercice 2011, » a déclaré Judson Althoff. « Notre objectif est d'être les meilleurs dans notre secteur. » Déjà, « l'automatisation des commandes a subi des améliorations importantes et d'autres changements sont en cours, comme la mise en place d'un panier unique pour les achats de logiciels et de matériel, » a ajouté le vice-président. « Oracle met également en route un nouveau programme d'incitation financière pour le réseau de partenaires dans le terme fiscal actuel, » a déclaré Judson Althoff.
Le système d'information du CNES infogéré par Thales et Osiatis
Le CNES (Centre National d'Etudes Spatiales) a annoncé avoir confié l'infogérance de son SI à un consortium composé de Thales et Osiatis. Le contrat est d'une durée de six ans et d'un montant global de 100 millions d'euros.
Le contrat concerne les quatre centres du CNES, les 40 systèmes applicatifs, les infrastructures (dont 700 serveurs), les réseaux et télécommunications (10 000 équipements), le service d'assistance utilisateurs (100 000 demandes), le support de proximité (5 500 postes de travail) et l'infrastructure d'édition (1 000 imprimantes).
Thales sera plus particulièrement en charge du coeur de l'infrastructure informatique, des télécommunications et des réseaux. De son côté, Osiatis se chargera de la supervision des infrastructures, du support de proximité et du service utilisateur.
L'objectif de ce contrat est une double optimisation : efficacité opérationnelle et coûts. Le tout devra s'effectuer avec des contraintes de forte disponibilité et de non moins forte sécurité.
187 milliards d'apps téléchargées en 2015 selon IDC
En 2010, le nombre d'applications mobiles téléchargées dans le monde a été estimé à 10,7 milliards. Ce chiffre pourrait donc être multiplié par 17 d'ici à 2015 et atteindre des sommets, soit 182,7 milliards de téléchargements selon IDC.
Leur modèle économique va également évoluer. IDC avance que de la même manière que les jeux proposent souvent un mode gratuit permettant ensuite de migrer vers une version payante plus complète, la majorité des applications pourraient à l'avenir comporter ce type d'options ou alors intégrer directement de la publicité pour les financer... voire les deux.
Crédit photo : Viber
Les experts comptables adoptent la signature électronique
Les experts comptables, qui assurent aussi les fonctions de commissaires aux comptes, sont présents dans l'immense majorité des entreprises françaises. Le Conseil Supérieur de l'Ordre des Experts-Comptables (CSOEC), leur organisation ordinale, s'est associé au prestataire Keynectis et à l'éditeur Lex Persona pour doter les experts-comptables d'une signature électronique dédiée à leur profession, Signexpert.
Les professionnels seront ainsi en mesure de signer des documents dématérialisés au titre de leur métier. Si le CSOEC s'est engagé très tôt dans la dématérialisation avec, par exemple, le portail Jedeclare.com dès 2001, son engagement dans la signature électronique intervient trois ans après celle des notaires.
De plus, là où les notaires avaient dû construire une infrastructure totalement autonome, le CSOEC a opté pour un partenariat avec des acteurs établis du marché.
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