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(21/06/2011 15:25:33)

Les Français jugent l'e-administration pratique mais regrettent le contact direct

De nombreux Français regrettent que la e-administration soit le prétexte de supprimer des contacts directs avec les membres des services publics : 47% sont de cet avis contre 25% de satisfaits et 25% souhaitant un accroissement de la dématérialisation. L'hostilité est un peu plus marquée chez les femmes (50%) que chez les hommes (44%). Elle l'est davantage chez les personnes de 50 ans et plus (entre 57% et 59%) et parmi les répondants qui sont peu diplômés (63%). C'est le premier enseignement de l'étude menée par l'institut de sondage Harris Interactive à la demande de l'éditeur Berger Levrault.

Le principal regret des personnes interrogées est l'inadaptation d'Internet à toute la population (73% des répondants), ce qui est cohérent avec les différences notables de perception de la e-administration selon les catégories, même si la conscience d'un tel problème est assez largement partagée.

58% apprécient le côté pratique

Par contre, le côté pratique de la e-administration est bien souligné (58% des répondants), surtout par la catégorie des 18-34 ans (de 74 à 75% d'entre eux le soulignent) et par les diplômés du supérieur (64 à 65%). Il reste malgré tout une importante minorité à estimer les services actuels comme peu pratiques : 47% contre 49% d'un avis contraire. 

L'usage d'Internet permet de couvrir des besoins courants. 62% des répondants regrettent qu'il soit plus compliqué de poser des questions précises. 57% estiment que la e-administration ne délivre pas un meilleur service que l'administration classique. Les Français sont donc certes séduits par la e-administration qui permet de faire aisément ses démarches de chez soi n'importe quand mais restent attachés à la qualité d'un service humain disponible en cas de difficulté. (...)

(21/06/2011 11:02:03)

HP veut rendre l'industrie énergétique plus intelligente

C'est sur les rives du Bosphore, à Istanbul, que plusieurs responsables d'HP ont présenté la stratégie du constructeur en ce qui concerne le smart grid. « Il y a une réelle prise de conscience de la part des industries de l'énergie des apports des technologies intelligentes, aussi bien sur le plan de la distribution à l'utilisateur final qu'en matière de production », a souligné Christian Keller, vice-président EMEA pour les industries énergétiques et de la distribution. Si ce dernier n'explique pas la part que représente cette activité au sein des résultats globaux d'HP, il précise que cette activité est en croissance et les projets sont nombreux en Angleterre, Allemagne, République Tchèque. Pour la France, le groupe travaille notamment avec Capgemini sur ces sujets, mais aucun nom n'a été donné.

Eviter les 7 péchés du smartgrid


Roy Pratt, CTO de la division Energy et Utilities de HP, pense que l'aventure du smart grid n'est pas un long fleuve tranquille et qu'il faut éviter certains écueils ou tout du moins tordre le cou à certaines idées reçues. Ainsi, il a décliné « 7 péchés » du smart grid, dont certains sont essentiels. En premier lieu, il est inutile de penser à ces technologies si on ne part pas dans une optique de transformation organisationnelle. Il ne s'agit pas simplement d'installer un compteur intelligent dans une maison, mais aussi de faire évoluer le système d'information du back office, de s'assurer d'un lien de communication bi-directionnel. La seconde faute est de vouloir tout implémenter d'un coup et de ne pas préparer le déploiement des différents éléments en plusieurs phases. « A chacune des étapes, qui peuvent s'étaler sur une dizaine d'années, il est nécessaire de tester et de réévaluer les besoins, car les technologies changent », souligne Roy Pratt.

Présentation de Roy Pratt

Présentation Roy Pratt, CTO de la division Energy & Utilities

Autre point, ne pas miser sur des solutions homogènes qui n'existent pas, la complexité de l'écosystème du smart grid implique une hétérogénéité des acteurs. Le dirigeant mise sur une coordination en matière de standardisation pour assurer le développement du smart grid, « la collaboration est nécessaire entre partenaires, mais aussi entre concurrents (entre les différents industriels de l'énergie).

Illustration : Equipe d'HP présente à Istanbul, de gauche à droite,Pat Hillon, Roy Pratt, Christian Keller, Guiliano Di Vitantonio et Douglas Hanson

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Dans son analyse, Roy Pratt ne s'est par contre pas attardé sur l'adoption de ces technologies par les consommateurs finaux. La question du coût des compteurs intelligents risque pourtant d'être un frein. « Il existe des solutions comme celles issues de la téléphonie mobile, avec une subvention ou l'intégration d'un coût supplémentaire dans l'abonnement mensuel ».

Business Intelligence et sécurité

A la fin de sa présentation, Roy Pratt a observé qu'il ne faut pas oublier qu'il s'agit avant tout de la data, les industries énergétiques consomment, selon HP, 50 To de données par heure. Et c'est là qu'interviennent les solutions analytiques. Guiliano Di Vitantonio, responsable marketing et partenariat pour l'activité Entreprise Information Solutions explique que la BI (Business Intelligence) s'applique sur les données issues du consommateur final, mais se développe également en amont, sur la production d'énergie. Pour lui, les outils décisionnels ont changé pour devenir une « intelligence connectée », a-t-il expliqué en donnant un exemple sur la prospection des puits de pétrole, notamment sur les plateformes off-shore. La solution baptisée Digital Oilfield Intelligence coordonne l'ensemble des informations issues des différents métiers et les données provenant des dizaines de milliers de capteurs pour optimiser l'exploration, l'extraction et la distribution des plateformes pétrolières. Le responsable indique qu'il s'appuie notamment sur l'offre Vertica capable de traiter et d'analyser des données en quantité massive.

Enfin, pour terminer ce tour d'horizon de l'expérience de HP sur l'industrie énergétique, la question de la sécurité se place au coeur de la réflexion du smart grid. L'affaire Stuxnet a été un déclencheur, car ce ver s'attaquait à des systèmes Siemens SCADA qui sont très utilisés par les industries de réseaux. Pour autant, Douglas Hanson, directeur de la division Global Energy et ressource Industries, explique que « les affaires récentes de Sony ou Sega où des données personnelles ont été volées montrent que la protection doit être pensée sur l'ensemble de l'écosystème du smart grid. » Il est donc nécessaire selon lui d'avoir une méthodologie pour appréhender la sécurité : « la menace ne vient pas nécessairement de l'extérieur, mais il faut intégrer la dimension sécurité au sein de l'entreprise ».

Au final, le smart grid progresse et séduit de plus en plus d'industriels. Il existe encore quelques réticences, mais les responsables de HP sont bien décidés à rassurer et à évangéliser les indécis.

Illustration : Equipe d'HP présente à Istanbul, de gauche à droite,Pat Hillon, Roy Pratt, Christian Keller, Guiliano Di Vitantonio et Douglas Hanson

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(20/06/2011 17:15:00)

Huit cadres ont quitté Skype depuis le rachat par Microsoft

« Comme toute autre organisation, Skype évalue constamment la structure de ses équipes afin d'offrir à ses clients les meilleurs produits », a indiqué le spécialiste de la téléphonie sur IP, dans un communiqué. La firme a ajouté que  « dans le cadre d'un récent mouvement interne, elle avait dû apporter certains changements à sa direction ».  Ainsi, huit cadres ont quitté l'entreprise depuis son acquisition par Microsoft. Une porte-parole a toutefois refusé de préciser si les huit cadres avait été licenciés ou avaient démissionné. Les personnes concernées sont les vice-président et directeurs généraux David Gurle, Don Albert, et Russ Shaw, Doug Bewsher, directeur du marketing, Christopher Dean, chef du développement pour le marché grand public et également Anne Gillespie, directrice des ressources humaines.

Le fondateur de Qik est également parti

Deux cadres dirigeants qui ont rejoint Skype un peu plus tôt cette année à la suite de l'acquisition de Qik ont eux aussi quitté la société. Il s'agit de Ramu Sunkara, fondateur de la société de streaming video, et d'Allyson Campa, senior vice-présidente.

David Gurle était entré chez Skype en janvier 2010, après un passage chez Thomson Reuters.  Avant cela, il avait dirigé   l'activité Real Time Communication chez Microsoft  pendant   trois ans.

Le rachat par Microsoft est approuvé

La FTC (Federal Trade Commission) a approuvé l'offre de rachat jeudi dernier. Microsoft s'attend à obtenir toutes les autorisations réglementaires nécessaires d'ici la fin de l'année, comme indiqué dès l'annonce de la transaction. Le géant  prévoit d'intégrer Skype dans une variété de plates-formes, y compris la Xbox et les consoles de jeux Kinect, Windows Phone et autres services de communication, y compris Lync et Outlook.

Illustration : David Gurle, directeur général de Skype pour l'activité Entreprises (crédit : DR) (...)

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