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(13/06/2011 10:17:25)

La tablette Blackberry PlayBook attendue en juillet

Research in Motion (RIM) a annoncé le lancement de sa tablette numérique BlackBerry PlayBook d'ici trente jours dans seize pays, dont la France. Le prix n'est toutefois pas encore connu.

La tablette PlayBook comporte un écran LCD tactile 7 pouces (1024 x 600), des fonctions de sécurité avancées, le système d'exploitation de RIM BlackBerry Tablet OS, un processeur 1GHz dual-core, des caméras 3 et 5 mégapixels permettant l'enregistrement à 1080p, et des enceintes stéréo. Le tout pour une épaisseur de 10 mm.

(...)

(13/06/2011 10:21:39)

USI 2011 : Connecter les objets et rendre intelligible la vie des utilisateurs (entretien avec Rafi Haladjian)

LeMondeInformatique : Vous avez cofondé la société Violet qui a donné naissance à différents objets communicants, dont le Nabaztag, et vous interviendrez le 29 juin prochain dans le cadre de l'USI 2011 sur l'intérêt de connecter ensemble les objets. Sous quel angle prévoyez-vous d'aborder ce sujet ?

Rafi Haladjian :
Le slogan de Violet, en 2003, c'était « Make all things be connected ». Dans notre vision, tous les objets pouvaient être connectés. Depuis, sept ou huit ans ont passé. L'Internet des objets dont on ne parlait pas du tout à l'époque est devenu un sujet sinon brûlant, en tout cas chaud, dont on parle un peu partout. Mais notre réflexion a également évolué et nous pensons que, précisément, connecter les objets n'est pas la bonne façon de poser le problème. Je me suis rendu compte, lorsque l'on parlait de l'Internet des objets, que l'on imaginait souvent quelque chose d'assez futuriste. Il y a toujours ce mythe du réfrigérateur communicant que chacun imagine avoir un jour et c'est finalement assez gênant. Je pense que ce qui est en jeu et ce qui est en train de se produire, ce n'est pas tant la connexion des objets entre eux, mais le fait que l'on est en train de déborder les frontières de l'ordinateur et du téléphone portable pour rendre intelligible l'espace physique dans lequel nous vivons. Jusqu'à présent, l'interaction que l'on avait avec les ordinateurs, avec les données ou avec les systèmes intelligents, se faisait à travers un guichet qui était un écran.

C'est-à-dire à travers un terminal, quel qu'il soit ?

...à travers un dispositif vers lequel on se tournait pour faire ses transactions. Aussi commode et petit, puisse-t-il être, là n'est pas la question. Mais ce qui se passait réellement dans le monde physique, le monde réel, était inconnu. C'était une espèce de zone d'ombre dont on ne tenait pas compte. L'utilisateur venait devant son écran, déclarait un certain nombre de choses : « voilà ce que j'écris, ce que je pense, ce que je fais ». Alors que désormais, de plus en plus, il y a des dispositifs qui permettent d'occuper le reste de l'espace, comme les GPS, ou les accéléromètres que l'on trouve sur les iPhone. Tout un ensemble de dispositifs qui existent déjà. Donc, cette tendance à rendre intelligible le reste du monde physique est quelque chose qui commence à se produire. Et, l'Internet des objets, c'est avant tout cela. Ce n'est pas le fait de connecter les réfrigérateurs, ce qui est anecdotique et accessoire. Il faut voir le vrai sens de ce qui est en train de se passer.

Quel va être le rôle de ces dispositifs ?

L'objectif, c'est de comprendre ce qui se passe dans la vie des gens, de rendre intelligible ce qu'ils sont en train de faire sans qu'ils aient besoin de le dire. Par exemple, dans une conférence, si l'on veut savoir ce que l'auditoire a pensé de l'exposé, on demande aux participants de remplir un formulaire ou d'aller sur une application pour donner leur appréciation. On pourrait procéder autrement. Ce que j'ai vu à l'Université de Bilbao, par exemple, ce sont des prototypes de fauteuils dans lesquels on a placé des capteurs de pression, tout bêtes, qui sondent la façon dont les gens sont assis sur leur fauteuil. Sont-ils avachis, signe que, peut-être, ils s'ennuient ? Semblent-il au contraire attentifs à qu'ils sont en train d'écouter ? Vous pouvez de cette façon avoir une compréhension immédiate de ce que les gens sont en train de penser de la présentation en cours, sans que les personnes aient forcément besoin de l'exprimer. Il s'agit ici de recherche universitaire. Ce n'est qu'un exemple. Le but du jeu, c'est de ne pas s'arrêter à la possibilité de connecter tous les objets, mais de se demander en quels sont les moyens dont on dispose pour comprendre ce qui se passe dans un environnement sans avoir à le demander à l'utilisateur. Cela ouvre des opportunités, surtout pour les entreprises.

Dans quels domaines et pour quelles applications ?

Une entreprise qui, par exemple, fabrique des objets, va se demander quels services elles peut inventer au-dessus. Certains services existent depuis très longtemps déjà et l'on ne s'en rend pas compte. Tous les télécopieurs de bureau sont connectés à une ligne téléphonique et les fabricants qui les louent peuvent les surveiller pour savoir à l'avance si vous allez manquer d'encre, de papier, afin d'en livrer avant que vous ne veniez à en manquer. Il n'est pas nécessaire d'aller jusqu'à un dispositif aussi incongru qu'un Nabaztag pour imaginer les objets communicants qui vont arriver. La capacité à anticiper les besoins de l'utilisateur, à ressentir ce qu'il fait, à mettre en commun ce que font différents utilisateurs à un moment donné et de les comparer à d'autres... Google ne procède pas autrement. C'est en accumulant ces masses d'informations sur le comportement de millions d'internautes qu'il arrive à déterminer, à suggérer des comportements qui ont un sens pour d'autres utilisateurs. Observer ce que tout le monde boit comme café le matin et vous serez capable de prédire à un utilisateur particulier ce qu'il va aimer comme café, non seulement en observant son comportement, mais aussi celui des autres.

A quel horizon voyez-vous ces applications se concrétiser ?

Technologiquement, rien n'empêche de le faire demain. Pour que cela  existe sur le marché, il faudrait compter trois ans. C'est globalement le temps de mettre au point le hardware, plus difficile à élaborer que le logiciel, et de le commercialiser. D'un point de vue technologique, on n'attend rien. On a tout ce qu'il faut. Il n'y a rien d'autre à inventer que ce qui est déjà sur le marché. Donc, il manque juste la volonté des industriels d'y aller. Mon rôle, en participant à des conférences comme l'USI, c'est de continuer à sensibiliser et à évangéliser. J'étais là au tout début de l'Internet, en 1994, et jusqu'en 1999, nous avons passé notre temps à convaincre nombre de grandes entreprises qui ne voyaient pas l'intérêt d'aller sur Internet. Au début, il faut faire ce travail-là. C'est un peu ingrat.

Vous avez créé une autre société, « Sen.se » dont la devise est cette fois « Feel, Act, Make Sens ». Quels sont vos objectifs ?

Sen.se, c'est avant tout une infrastructure qui permet de connecter n'importe quoi avec n'importe quoi. Ce peut être une source d'information par exemple, la météo, votre calendrier Google, votre poids transmis par votre balance Withings, toutes sortes de flux de données, personnels ou non, et puis des informations qui sont mesurées par des appareils comme des capteurs de chaleur dans votre domicile, votre accéléromètre, un mouchard installé dans votre voiture, des machines. De la même façon qu'il existe le Machine-to-Machine, nous définissons cela comme le Whatever-to-Whatever (n'importe quoi à n'importe quoi).

Vous utilisez une infrastructure de type cloud pour regrouper les informations ?

Absolument. Cette infrastructure, nous la déclinons de trois manières. Nous la mettons d'abord à la disposition d'entreprises qui voudraient mettre au point des objets communicants parce que, non seulement, il faut concevoir et fabriquer l'objet lui-même, mais encore faut-il qu'il se connecte à une infrastructure qui va gérer les services associés. C'est ce que nous proposons. C'est la partie « Business Sen.se » de notre activité. La deuxième partie s'appelle « Open Sen.se ». C'est celle que l'on voit quand on va sur notre site (http://open.sen.se/). Elle s'adresse aux designers, aux développeurs et à tous ceux qui veulent jouer avec cela. C'est gratuit. Vous avez développé vous-même votre petit appareil, vous avez détourné un Nabaztag ou un pèse-personne, par exemple, et vous pouvez commencer à imaginer vous-mêmes des usages en combinant des applications.

Vous fournissez des interfaces de programmation (API) ?

Il y a des API si vous avez envie d'écrire du code. Si vous n'en avez pas envie, nous proposons des applications toutes faites. Si vous voulez que votre plante verte vous envoie un « tweet » lorsqu'elle a besoin d'eau, vous pouvez le faire sans avoir à écrire de code du tout. Si vous voulez recueillir des températures à différents emplacements, obtenir une moyenne et recevoir cette information une fois par semaine, c'est possible. Nous utilisons de petites applications en ligne que vous allez configurer. L'idée, c'est d'imaginer des usages et de pas limiter ces possibilités à des développeurs.

Vous avez évoqué une troisième déclinaison de votre infrastructure.

C'est celle que nous démarrerons plutôt vers la fin de cette année, avec laquelle nous allons proposer aussi de nouveaux types d'appareils. Qui ne seront d'ailleurs pas exclusifs. Il sera possible d'utiliser nos appareils et ceux fournis par d'autres fabricants. Nous ne croyons pas à un monde fermé, mais à un monde dans lequel on trouve des données de toutes sortes de provenance. Il faut organiser tout cela autour de l'individu et non pas avoir un utilisateur qui butine d'un appareil à un autre comme s'il s'agissait d'un archipel d'objets.
(...)

(10/06/2011 16:26:49)

Avec la P6000 EVA, HP poursuit sa stratégie convergence en stockage

Moins d'un an après le rachat tonitruant de 3Par, âprement disputée à Dell, HP travaille toujours à l'intégration de la technologie de la firme de Fremont dans ses baies de stockage EVA (Enterprise Virtual Array).  Alors que Dell est obligé de composer avec les briques issues des rachats d'EquaLogic, Ocarina Networks, Exanet et Compellent pour construire son offre Fluid Data (attendue en fin d'année), HP semblait avoir la partie plus facile avec 3Par. Pourtant la baie de stockage HP P6000 EVA, présentée lors de la conférence Discover 2011 en juin à Las Vegas, et en petit comité à Paris devant des clients et quelques journalistes, se contente de proposer la réallocation dynamique des ressources (thin provisionning), le support du iSCSI et le déplacement de LUN virtuelles dans une autre classe de stockage. Mais pas encore de vrai data tiering automatique au niveau sub-LUN (transfert et classement des données en fonction de leur pertinence ou de leur utilisation) ou de support des disques SSD (cela arrivera un peu plus tard dans l'année, surement en septembre)

Pour autant, la P6000 EVA (à partir de 14 000 € HT), qui représente la cinquième génération de baie  milieu de gamme HP Storage - et non plus StorageWorks - est une des composantes de la stratégie Converged Infrastucture du constructeur. Pour la première fois dans l'histoire des EVA, la P6000 supporte nativement le protocole iSCSI. Auparavant, les sous-systèmes EVA étaient obligés de passer par une passerelle iSCSI pour utiliser ce protocole. La P6000 peut bien sûr être équipée de liens FC 8 Gigabits, FCoE 10 Gigabits et bien sûr iSCSI 1 Gigabit comme vu plus haut. HP propose également une capacité de stockage plus importante avec un maximum de 480 To. Cette baie peut en effet accueillir 450 disques durs SFF 2,5 pouces (de 146 à 500 Go) ou 240 unités LFF 3,5 pouces (de 1 à 3 To) dotés d'une interface SAS 6 Gb/s.

NAS évolutifs et redondants

En complément, HP a également annoncé le NAS X5000 G2 qui complète l'E5000 présenté en début d'année. Le X5000 repose sur la même base matérielle, à savoir deux serveurs lames, mais animés par Windows Storage Server. Et comme cette solution NAS repose sur deux serveurs, il est possible de créer un cluster redondant pour maintenir l'activité en cas de défaillance d'un des deux systèmes. La bascule est automatique sans interruption de service. Un peu plus tard dans l'année, HP proposera une autre déclinaison sur cette base matérielle. C'est un bon exemple de ce que HP essaye de faire, créer plusieurs solutions de stockage en réunissant des composants matériels et logiciels. C'est une des idées de la plate-forme Converged Infrastucture : réunir des blocs pour proposer plus rapidement de nouvelles solutions.

HP a enfin présenté le X9000 IBRIX, un système NAS évolutif (scale-out) qui repose sur une technologie acquise en 2009. Le X9000 est le premier NAS HP offrant une capacité de copie instantanée (snapshot) permettant des sauvegardes plus rapides des données. Cette baie réseau intègre également des politiques de gestion répondant à différents usages : archivage de fichiers provenant d'applications comme la messagerie électronique, d'un portail collaboratif comme SharePoint, et d'imagerie médicale (PACS).

Avec les fonctions de snapshot, cette baie offre également un service Worm pour répondre à certains cadres réglementaires et juridiques, ce qui signifie qu'une fois les données écrites, elles ne peuvent plus être modifiées. Si cette technologie ressemble à celle proposée par EMC dans son Centera , elle repose sur un composant Open Source pour éviter d'emmurer les clients dans une solution propriétaire.

Illustration principale : HP P6000 EVA

 

 

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(10/06/2011 14:23:22)

HP pourrait contraindre Oracle à réviser sa position sur Itanium

D'après Hewlett-Packard, « la décision prise au mois de mars dernier par Oracle de cesser de développer des logiciels pour les puces Itanium d'Intel est en violation avec des « engagements juridiquement contraignants » qu'Oracle a passé avec Hewlett-Packard et environ 40 000 clients communs. » HP a transmis à l'éditeur de Redwood une demande formelle pour l'amener à revenir sur sa décision. Dans un communiqué, la firme de Palo Alto a laissé entendre que si Oracle ne se conformait pas à ses obligations, la demande pourrait déboucher sur une action en justice. « HP estime que Oracle est tenue de continuer à offrir sa gamme de produits logiciels pour la plate-forme Itanium et prendra toutes les mesures juridiques à sa disposition pour protéger les intérêts de ses clients et les importants investissements qu'ils ont effectués, » a déclaré l'entreprise.

Récupérer les clients HP sur les plates-formes Oracle/Sun

HP pense que « Oracle tente de forcer les utilisateurs de serveurs HP tournant sous Itanium à migrer vers ses propres plates-formes matérielles. » Bill Wohl, le porte-parole de HP, a refusé de fournir des détails supplémentaires sur les accords juridiques passés entre Oracle et HP, disant qu'ils étaient « confidentiels. » De son côté, la porte-parole d'Oracle, Deborah Hellinger, a refusé de commenter la mise en demande de HP. Alors que plusieurs autres vendeurs comme Microsoft et Red Hat, ont déjà cessé de développer leurs logiciels pour les systèmes Itanium, la décision d'Oracle met cependant plusieurs clients Integrity de HP en difficulté sur des stratégies à long terme concernant leurs plates-formes matérielles HP/Ux/Itanium.

Faute de conciliation, le tribunal

« C'est une avancée très intéressante de la part de HP, » a déclaré Dan Olds, analyste principal chez Gabriel Consulting Group. « HP a attendu plusieurs mois avant de révéler l'existence d'un accord juridique avec Oracle. Il y a sans doute de bonnes raisons à cela, » a estimé l'analyste. « Probablement que l'entreprise a pris le temps de décortiquer toutes les implications juridiques avant de prendre cette décision, » a t-il déclaré. « Je pense que HP a probablement essayé de discuter en privé avec Oracle. Aujourd'hui cela ressemble plutôt à une rupture des négociations et au début d'une guerre juridique, » a ajouté Dan Olds.


Illustration principale : Gamme de serveurs HP Integrity, crédit D.R. (...)

(10/06/2011 12:02:19)

Anonymous attaque la Turquie pour dénoncer le filtrage du Net

Ces attaques interviennent à quelques jours de la tenue d'élections législatives en Turquie. Jeudi soir, le site de Telekomünikasyon Iletisim Başkanlığ, le régulateur de l'Internet qui a élaboré le plan de filtrage, n'était pas accessible.

En lançant des attaques en saturation, les Anonymous ont suscité la réaction de certains pirates en Turquie qui ont menacé le collectif de représailles. Le site de news sur Anonymous, par exemple, n'était pas accessible ce jeudi soir. Interrogé par mail, le collectif n'a pas fait de commentaire. Idem pour le ministère turc de l'information.

Une obligation de filtrage imposée


Les Turcs protestent contre les règles relatives à Internet et qui entreront en vigueur à partir du 22 août prochain. Elles obligeront les utilisateurs à choisir un des quatre filtres avant d'accéder à l'Internet. Dans une pétition sur Avaaz.org, un forum en ligne pour mobiliser le soutien à cette cause, les signataires demandent à l'Autorité en charge des de l'information et des technologies de la communication, appelée plus communément BTK, de retirer tous les règlements qui intègrent l'obligation de filtrage de l'Internet.

Dans une déclaration en ligne, Anonymous précise que le gouvernement turc élève la censure à un nouveau niveau. En effet, le système de filtrage devrait selon eux permettre d'enregistrer et de contrôler toutes les activités des internautes. Sur Twitter, le groupe de pirates a déclaré que quatre sites en Turquie étaient inaccessibles. Mais deux d'entre eux, des services météorologiques et le ministère de l'éducation nationale, semblaient être de nouveau opérationnels.

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(10/06/2011 10:59:02)

Baromètre HiTechPros/CIO : Une reprise au mois de mai

Après un début morose de l'année, Hitechpros, la bourse des services informatiques sur internet, constate en mai 2011 une hausse des demandes de prestations informatiques de +5%. Cette hausse est assortie de l'entrée de la catégorie « CRM, décisionnel, datamining » dans le trio de tête pour les catégories techniques les plus demandées.

Les compétences techniques les plus recherchées sont actuellement « Nouvelles technologies » (34 % des demandes), qui garde sa place de première catégorie technique la plus prisée, suivie de « Systèmes, réseaux, sécurité » (26 % des demandes). La troisième position est partagée ex-æquo par « Consulting Expertise » et « CRM, décisionnel, datamining » avec 11% des demandes chacune.

Les plus fortes hausses des demandes en mai 2011 concernent les compétences Systèmes, réseaux, sécurité (+58 %), Client/Serveur (+41 %) et CRM/décisionnel/datamining (+32%).

A l'inverse, les plus fortes baisses des demandes affectent les compétences ERP (- 6 %), Mainframe (-10 %) et surtout Recette/support utilisateurs (-20%).

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(10/06/2011 10:54:44)

Citigroup : Des pirates ont collecté les données de 210 000 clients

Citigroup n'a pas donné de détails sur la manière dont les pirates avaient pu s'introduire dans son site de services en ligne - Citi Account on Line - utilisé par les clients pour gérer leurs cartes. La banque américaine a simplement indiqué qu'elle avait découvert l'intrusion au début du mois dernier à la suite d'un «contrôle de routine. » L'information a été révélée pour la première fois dans le Financial Times ce jeudi.

Selon l'organisme bancaire, d'autres renseignements concernant les clients, comme leur numéro de sécurité sociale, leur date de naissance, la date d'expiration de leur carte et le code de sécurité à trois chiffres figurant au dos de leur carte, n'ont pas été subtilisés. « Citi a renforcé ses procédures afin que ce type d'incident ne se reproduise pas, » a déclaré Sean Kevelighan, responsable de la communication de la division North America Consumer Banking dans un communiqué. « Pour protéger la sécurité des clients, nous ne pas donnerons aucun détail sur les modalités de l'attaque, » a-t-il confirmé, indiquant par ailleurs que les clients concernés avaient été directement informés par la banque.

Toujours pas d'information à destination des clients

Pourtant, jeudi matin, la page d'accueil du site Citi Account on Line n'affichait aucune notification concernant le piratage. Selon le Financial Times, plusieurs détenteurs de cartes ont découvert le problème au cours du week-end dernier, quand les transactions qu'ils ont tentées d'effectuer ont été refusées, ce qui soulève des interrogations quant aux procédures de notification de Citigroup.

Même si les pirates n'ont pas pu avoir accès à la totalité des données relatives aux détenteurs de cartes, les éléments de contact sont suffisants pour que les fraudeurs tentent de les utiliser, y compris pour mener des attaques ciblées afin d'extirper davantage d'informations. Ils pourraient par exemple utiliser les adresses mail pour mener une campagne de phishing, et obtenir suffisamment d'informations sensibles pour leur permettre d'usurper l'identité des victimes et commettre des fraudes. Le phishing peut également être réalisé par téléphone, l'appelant se faisant passer pour le représentant légitime de l'institution financière et inciter le client à livrer d'autres informations personnelles.

Crédit photo : D.R.

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(10/06/2011 10:42:01)

Tribune de Georges Abou Harb : Le meilleur des mondes serait-il dans le cloud communautaire ?

Les partisans du cloud considèrent ce dernier comme un bouleversement fondamental dans la manière dont les entreprises utilisent et consomment l'IT. Du point de vue du directeur financier, il permet de diminuer sensiblement les dépenses informatiques, et transforme ce poids financier en charge opérationnelle planifiée sur la base des abonnements. Pour les directeurs opérationnels et les managers, le cloud permet à leurs équipes de bénéficier d'un support IT réactif en quelques jours, voire en quelques heures, là où il fallait précédemment compter en mois ou en années. Pour les directeurs informatiques, il est synonyme de facilité d'exécution et de simplification des contraintes d'achat, de ressources et de traitement administratif.

Tous ces avantages sont bien réels, même s'il encore un peu tôt pour dire si le cloud computing est une révolution, ou une évolution. Mais il existe d'autres types de bénéfices futurs qui méritent d'être plus amplement explorés. Parmi ceux-là se trouvent l'une des perspectives les plus intéressantes : le cloud au service des communautés d'intérêt et de leurs bénéfices mutuels.

Ceux d'entre nous qui travaillent dans l'IT sont habitués à parler de clouds privés, de clouds publics ou même de clouds hybrides. Mais une autre idée - parfois désignée sous le terme de cloud communautaire - mérite une plus grande attention en raison de sa capacité potentielle à combiner les intérêts du cloud public avec les avantages plus spécifiques et sur mesure du cloud privé.

Qu'est-ce que le cloud communautaire, exactement ? Il est décrit par l'Institut National des Standards et des Technologies (National Institute of Standards and Technology) comme tel lorsque :

« L'infrastructure de cloud est partagée par plusieurs organisations et sert plusieurs communautés ayant des intérêts communs (par exemple en termes de mission, d'exigences de sécurité, de politique ou de conformité). Il peut être géré par les organisations ou par une tierce partie, et doit exister on premise ou off premise. »


Pour lire la suite de la tribune de Georges Abou Harb, directeur général en charge des activités Future IT & Cloud chez Logica France, cliquez sur ce lien. (...)

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