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(10/06/2011 10:27:05)

Ventes de serveurs : forte croissance au 1er trimestre en EMEA, selon IDC

D'après IDC qui publie ces chiffres, la bonne performance du marché est à mettre sur le compte des serveurs haut et, surtout, moyen de gamme dont les prix se situent entre 25 000 et 249 000 dollars. Les facturations générées par ces deux types de produits ont respectivement progressé de 13,2 et 15,3% lors du premier trimestre 20011. Au même moment, celles des serveurs d'entrée de gamme ne croissaient que de 9,2% mais représentaient 65,8% du total du marché en valeur.

Mainframes : la croissance faiblit mais reste forte

Les chiffres des ventes par type de processeurs montrent une prépondérance toujours plus forte des plates-formes X86 qui représentent aujourd'hui 66,6% de la valeur totale du marché des serveurs en EMEA. Mais, malgré la montée en puissance technique de ces machines, 98,6% des revenus issus des ventes de serveurs haut de gamme proviennent toujours des serveurs CISC, RISC et EPIC. Le chiffre d'affaires du segment des mainframe demeurent d'ailleurs toujours en forte progression (+46,8%) mais en retrait par rapport au 62,2% de croissance atteints lors du quatrième trimestre 2010. « Les récentes améliorations technologiques apportées aux serveurs x86 améliorent leur fiabilité, leur disponibilité et leur sécurité. Cela entraîne une accélération des migrations vers ces plates-formes depuis des environnements Unix », explique Beatriz Valle, analyst senoir chez IDC.

Sur le segment des serveurs blade, la hausse de ventes est encore plus importante que celle de l'ensemble du marché. Elle s'est établie à +18% comparée au premier trimestre 2010. Or, cette croissance est à mettre en grande partie sur le compte des plates-formes lames non-x86. Leurs ventes ont doublé lors du premier trimestre pour représenter 13% des ventes totales de serveurs lames en EMEA. En comparaison, les ventes de serveurs blade x86 n'ont progressé que de 10% en valeur.

Oracle et Fujitsu à la peine

S'agissant du classement des constructeurs de serveur en EMEA établi par IDC, il est identique à celui observé sur le marché mondial. HP domine largement avec une part de marché stable à 41,2% tandis que celle d'IBM, le numéro 2, progresse de près de trois points à 28,7%. En troisième position, Dell s'arroge également une part de marché inchangée (11,7%). En revanche, Oracle a vu ses ventes reculer de 20% et ne génère plus que 6,9% du chiffre d'affaires du secteur (en revanche, la part d'Oracle a progressé de 0,1 point en un an, en valeur, au niveau mondial). Les facturations de Fujitsu ont également chuté, de 6%, amputant ainsi ses parts de marché d'un point à 5,6% dans la zone EMEA.

(...)

(10/06/2011 10:12:50)

Nokia perd son directeur technique Richard Green

Le fabricant finlandais de mobiles a annoncé l'absence pour une durée indéterminée de son Chief Technology Officer Richard Green, pour des raisons personnelles. Selon le journal finlandais Helsingin Sanomat, ce départ est en réalité lié à des divergences entre le CTO et Stephen Elop, le nouveau CEO de Nokia à l'origine du rapprochement de la société avec Microsoft. Plus que l'abandon de Symbian, Green aurait surtout été en désaccord avec la mise en second plan du développement du système d'exploitation mobile MeeGo, une initiative menée en commun avec Intel. Le fabricant de microprocesseurs, qui promet de sortir un téléphone en 2011, confiait récemment qu'il allait poursuivre les investissements dans MeeGo.

Avant de rejoindre Nokia, Richard Green travaillait pour Sun Microsystems. Son départ laisse présager que le revirement stratégique de la firme finlandaise, toujours premier fabricant mondial de téléphones portables, n'a pas fini de faire des vagues. Stephen Elop a ainsi dû démentir aujourd'hui des pourparlers en vue de l'acquisition de Nokia par Samsung.

Crédit photo : Nokia

www.ICTjournal.ch
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(10/06/2011 10:05:35)

Oodrive s'étoffe dans le SaaS avec Omnikles

Oodrive n'en est pas à sa première opération de croissance externe. En 2006, l'éditeur de logiciels en mode SaaS avait déjà racheté son homologue Mayetic, un fournisseur d'espaces de travail collaboratifs, puis, deux ans plus tard, le belge BlueBackUp et son produit de sauvegarde en ligne. Aujourd'hui, c'est au tour d'Omnikles d'entrer dans son giron. Menant également l'ensemble de son activité dans le domaine du SaaS, cette société de 20 personnes édite des solutions d'échanges électroniques à valeur probante. Son parc clients de 2000 entreprises, dont un bon nombre opère dans le secteur de la santé, lui a permis de dégager un chiffre d'affaires de 2 M€ en 2010.

« Omnikles propose, comme Oodrive, un service de partage de fichiers mais accompagné de fonctions verticalisées d'horodatage, d'authentification forte et d'archivage à valeur légale », explique Stanislas de Rémur, le président d'Oodrive. Les complémentarités entre les deux sociétés s'entendent également en termes de cible de clientèle. Oodrive est en effet peu présent dans le domaine de la santé tandis que sa nouvelle filiale fait l'impasse sur les secteurs du BTP, de l'industrie ou encore du Luxe où l'acquéreur dit occuper de bonnes positions. En pratique, le nouvel ensemble va désormais s'attacher à diffuser les services de sauvegarde en ligne et de partage de fichiers d'Oddrive vers les clients d'Omnikles et inversement pour les solutions d'échanges électroniques à valeur probante du second.

Un rachat qui profite aussi aux revendeurs

L'enrichissement du portefeuille de services d'Oodrive va également profiter aux 1200 revendeurs de l'éditeur qui vont pouvoir commercialiser une nouvelle offre. Jusqu'ici, la stratégie commerciale d'Omnikles était en effet à 100% en direct. De son côté, Oodrive réalise environ 50% de ses ventes à travers son réseau de distribution, si l'on omet ses offres en marque blanche que distribuent des « partenaires stratégiques » comme la Fnac. Grâce à cette stratégie de vente, Oodrive a réalisé en 2010 un chiffre d'affaires de 13 M€ et table pour 2011 sur des revenus compris entre 17 et 18 M€. La croissance de l'entreprise devrait d'ailleurs continuer de se nourrir en partie d'acquisitions puisque Stanislas de Rémur ne cache pas qu'Oodrive devrait réaliser prochainement un nouveau rachat.

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(10/06/2011 10:07:47)

L'analyse de données appliquée aux RH

Pour sa seconde Business Lounge, le 3 mai dernier à Genève, le cabinet de conseil Accenture avait choisi pour thème l'analyse de données avec une question d'actualité pour la plupart des entreprises: «Comment transformer les données en un actif stratégique». S'appuyant sur de nombreux exemples, Thomas Ruck, Senior Manager auprès de la société à Zurich, a montré combien une exploitation judicieuse et ciblée des données a le potentiel d'améliorer la compétitivité des entreprises, leurs revenus, leur profitabilité et la loyauté de leurs clients. Parmi ces exemples, le cas surprenant de l'équipe de football de l'AC Milan, qui, sur la base de différents critères, est parvenue à déterminer le risque qu'un joueur se blesse et à réduire les blessures de 90% sur cinq ans.
Pourtant, même si la vaste majorité des décideurs reconnaissent les vertus de l'analyse de données, beaucoup de sociétés ne font qu'amasser des informations sans en faire grand usage, explique Thomas Ruck. Selon une étude d'Accenture, 40% des décisions sont basées sur l'intuition plutôt que sur des faits. Pour le consultant, le défi consiste à ancrer l'analyse dans les processus de décision. Ainsi, au-delà des technologies, l'analyse de données performante est en grande partie une question de personnes et d'organisation.

A la recherche des «quants»

Pour transformer les stocks d'informations les plus diverses en pépites utiles aux décisions stratégiques, les entreprises requièrent des spécialistes des données. Ces professionnels conjuguant de grandes capacités d'analyse quantitative - d'où leur surnom de «quants» - et des compétences de manager sont une ressource rare et qui promet de se raréfier encore vu la demande. Dans une interview, Hal Varian, Chief Economist de Google, expliquait ainsi que «L'habilité à comprendre les données, à les traiter, à en extraire de la valeur, à les visualiser, à les communiquer, va devenir une compétence extrêmement importante ces dix prochaines années». Selon une étude d'Accenture, 53% des entreprises misent d'ailleurs sur des compétences externes dans le domaine.

Malgré leur valeur, ces experts à des degrés divers sont souvent négligés par l'entreprise: ils sont dispersés au sein des différents départements, on ne sait pas qui ils sont, leurs descriptions de job varient, ils ne sont pas mesurés sur leur activité d'analyse, ils travaillent sur des projets secondaires. Pour y remédier, il faut selon Accenture développer une approche d'entreprise qui leur soit spécialement destinée, avec une définition globale des besoins d'analyse de l'entreprise et des programmes visant à découvrir,à développer et à déployer ces talents là où ils apportent plus de valeur. Une approche qui garantit également une plus grande satisfaction et un engagement plus fort de leur part.

Crédit photo : Fotolia

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Autre résultat de l'étude menée par Accenture, les entreprises ont intérêt à centraliser les ressources les plus compétentes en matière d'analyse, de façon à développer des bonnes pratiques entre les métiers et à se centrer sur des initiatives stratégiques. Le cabinet distingue trois types d'organisation de ces talents qui dépendent des caractéristiques de la société et de son niveau de maturité dans l'analyse de données. Dans le modèle basique distribué, le plus courant, les analystes sont répartis au sein des fonctions de la société. Le défi est dès lors de gérer les priorités, les projets et les ressources.

Autre type d'organisation, la création d'un centre d'excellence dédié à l'analyse. Les collaborateurs continuent à la fois à travailler pour leurs départements respectifs, tout en étant membre d'une communauté d'experts. Une structure qui permet de partager connaissances et bonnes pratiques et, parfois, d'établir des projets prioritaires. Dans le modèle consolidé, qui reflète la plus grande maturité selon Accenture, les analystes rapportent à une organisation commune. Un modèle qui permet d'assigner plus facilement les analystes aux priorités stratégiques de l'entreprise, avec le risque toutefois d'une plus grande distance avec les métiers. 

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(10/06/2011 09:53:40)

Le BSA sensibilise les adhérents de la FRP2i sur la contrefaçon des logiciels

La Business software association, BSA, signe un accord avec la FRP2i (Fédération des revendeurs et prestataires informatiques indépendants). Un accord ou plutôt une déclaration d'intention. Pour l'heure, les deux partenaires ont simplement signé une charte entre eux.

Ils vont par la suite mener des démarches auprès des pouvoirs publics pour les sensibiliser aux méfaits de la contrefaçon. « Nos adhérents vont également engager un travail pédagogique auprès de leurs clients pour les prévenir sur la contrefaçon de logiciels », nous explique Emmanuel André le Président de la FRP2i. La Fédération avait, dès sa création, prévu dans son article 6, de lutter contre la contrefaçon. Il s'agit donc, pour elle, d'un engagement de fond. Pour les revendeurs, lutter contre la contrefaçon revient à s'engager dans un cercle vertueux, avec un retour en termes de revenus et pour les éditeurs en termes d'emplois et d'investissements.

Pour sa part, la BSA met à leur disposition,  et à celle de tout acteur économique, une hot line, le 0805 620 660 pour signaler des abus en matière de contrefaçon de logiciels. L'accord n'est pas exclusif. La FRP2i est le premier à signer, mais la BSA compte bien enrôler d'autres acteurs de l'éco-système IT français.

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(10/06/2011 09:40:20)

Une batterie semi-liquide développée par le MIT

Sur les batteries traditionnelles, les fonctions de stockage et de dispense d'énergie sont réunies au même endroit. Ici, elles sont séparées grâce au liquide, visqueux et très dense Cela rend cette batterie bien plus efficace et permet de grandement diminuer sa taille dans les produits informatiques et électroniques comme dans les automobiles. Ce procédé pourrait en effet débarrasser les véhicules électriques de leur principal fardeau : le poids gênant de la batterie - celle de la Nissan Leaf pèse par exemple près de 300 kg.

Selon le MIT, il permet d'envisager plusieurs systèmes, comme un réservoir à vider ou remplir, à la manière d'un réservoir d'essence. Le liquide usé pourrait ainsi être renouvelé. On pourrait également avoir recours à des réservoirs amovibles et interchangeables, tout en gardant la possibilité de simplement recharger le matériel existant, lorsque les conditions le permettent.

Une technologie affinée et désormais moins coûteuse

L'utilisation de liquide n'est pas nouvelle. Cependant, le  "Cambridge crude" est bien plus dense que ses prédécesseurs. Il est également moins coûteux à produire que les batteries au lithium des véhicules électriques d'aujourd'hui. Les chercheurs à l'origine de l'invention pensent qu'elle donnerait enfin aux voitures électriques la capacité de concurrencer pleinement les modèles traditionnels, chose que beaucoup espèrent voir arriver un jour.

L'année dernière, le Boston Consulting Group (BCG) avait conclu que l'absence d'une découverte majeure réduisant le coût des batteries, freinerait la progression des ventes de voitures électriques. Selon BCG, si tous s'accordent à voir en l'énergie électrique la bonne alternative aux énergies fossiles, le coût des batteries et les contraintes qu'elles imposent rendent pour le moment impossible leur généralisation. Le "Cambridge crude" constitue peut-être la réponse à cet enjeu.

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