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(04/05/2011 17:19:18)
Atos Origin et ZTE s'unissent sur les compteurs intelligents en Chine
Atos Origin et ZTE ont annoncé la création d'une coentreprise dans le domaine des compteurs électriques intelligents pour les entreprises du secteur public en Chine. Cette structure commune sera basée à Nankin. Les deux entreprises n'ont pas donné les détails sur les termes financiers de ce partenariat.
ZTE sera en charge des plates-formes de services télécoms et apportera sa base clients, tandis qu'Atos, via sa filiale internationale Atos WorldGrid, apportera son expérience dans le secteur en Europe. Cette dernière est notamment partenaire d'ERDF pour le projet Linky en France. Le potentiel de croissance de la Chine en matière de « smart utilities » est une des raisons de l'investissement commun réalisé par les deux sociétés.
RIM adopte le moteur Bing de Microsoft
Après avoir dévoilé ses prochains smartphones, RIM a créé la surprise lors de son évènement BlackBerry World à Orlando en invitant Steve Ballmer le PDG de Microsoft. Le dirigeant était là pour annoncer et expliquer un partenariat entre les deux groupes portant sur l'intégration par défaut du moteur de recherche Bing, ainsi que le service de cartographie Bing Maps sur les smartphones et la tablette (PlayBook) de RIM.
La coopération entre les deux sociétés n'est pas limitative et pourrait s'étendre à d'autres services de Microsoft. Steve Ballmer poursuit ainsi sa stratégie de conquête et de concurrence face à Google. En ayant repris les rênes de l'activité Device et Entertainment, le PDG a multiplié les annonces de partenariat comme celui récent avec Nokia pour porter Windows Phone 7 sur les smartphones du constructeur finlandais.
CIO.PDF 36 : Les nouveaux usages Télécoms séduisent peu les DSI
Les technologies avancées nécessitent toujours un temps d'adaptation. Force est de dire que la télé-présence ou les communications convergentes peinent cependant à convaincre. Un frein majeur reste le coût, même quand le ROI semble convaincant. Une piste pour leur adoption est de susciter l'enthousiasme des métiers. Le département IT peut s'en charger mais cela ne suffit pas toujours. CIO.PDF 36 consacre ainsi son dossier aux télécommunications de nouvelle génération comme la vidéoconférence immersive ou la convergence fixe-mobile.
CIO.PDF 36 publie également les rubriques habituelles de la revue. Ainsi, la carrière de Jean-François Beuze l'a mené d'un poste de DSI d'une filiale de la Caisse des Dépôts et Consignations à la création d'une société de services spécialisés pour le secteur financier.
Nos confrères de CIO.com se sont, eux, penchés sur la raison d'être du Cloud Computing, bien au delà d'un relookage de l'externalisation. CIO.PDF traduit leur analyse. Enfin, Richard Hababou, directeur de l'innovation à la Société Générale, explique ses relations avec l'informatique.
S'abonner à CIO.PDF (...)(04/05/2011 16:18:02)Le FBI alerte les internautes sur des virus liés à du contenu relatif à la mort de Ben Laden
L'avertissement du FBI intervient alors que plusieurs sociétés spécialisées dans la sécurité ont déjà repéré les premiers cas de logiciels malveillants intégrés dans des photos du cadavre de Ben Laden. F-Secure a ainsi constaté le développement d'emails contenant un cheval de Troie, nommé Banload, capable de voler des mots de passe et Symantec a constaté également des spams qui pointent vers des liens corrompus sur la mort de Ben Laden.
Les pirates ont également utilisé une technique appelée empoisonnement des moteurs de recherche pour tenter de les tromper avec des résultats pointant vers des logiciels malveillants. «Il est peu probable de trouver des photos ou des vidéos en ligne de la mort de Ben Laden , mais la recherche vous mènera certainement vers des sites vérolés », indique Mikko Hyponnen, directeur de recherche chez F-Secure dans un blog.
Les réseaux sociaux pris pour cible
Le FBI a également alerté les internautes sur de faux messages sur les sites de réseaux sociaux et de ne jamais télécharger un logiciel pour visualiser une vidéo. « Lisez les messages avec soin. Les mails frauduleux contiennent souvent des fautes d'orthographe, de grammaire et ne sont pas écrits en anglais standard » précise l'agence américaine.
Ce type d'évènement mondial montre la façon dont l'information peut se propager sur Internet. Beaucoup de monde ont appris la mort du chef terroriste par le biais de Twitter, où l'histoire a été relatée, et Facebook. Sur ce dernier, on pouvait voir une page où était indiquée « Oussama est mort, regardez cette vidéo exclusive de CNN qui a été censuré par l'administration Obama en raison de son niveau de violence ». Les internautes étaient ensuite invités à copier-coller un code JavaScript malveillant dans leur navigateur, qui envoie ensuite le message à tous leurs amis de Facebook.
IBM veut porter les technologies de Watson dans les entreprises
« IBM espère que les technologies sous-jacentes de Watson pourront être exploitées dans des domaines où il s'agit de fournir des réponses précises à des requêtes complexes, via des interfaces faisant appel au langage naturel, » a déclaré la semaine dernière Guru Rao, ingénieur système en chef chez IBM. « Appliquées aux entreprises, les technologies sous-jacentes de Watson pourraient analyser des montagnes de données structurées ou non structurées, et donner des réponses auxquelles on pourra accorder un niveau de confiance élevé. »
Selon le chercheur, les technologies de Watson seraient applicables à de nombreux secteurs. Par exemple, les services de santé pourraient bénéficier de réponses précises pour diagnostiquer des maladies ou des banques pourraient détecter des fraudes à la carte de crédit en temps réel. Ces technologies pourraient également être utilisées dans des affaires juridiques pour fournir des réponses pertinentes fondées sur des recherches prenant en compte les éléments de preuves disponibles. « Dans le domaine de la santé, plus on dispose d'informations sur les maladies, plus notre connaissance est précise. Avec un système de requêtes utilisant les formulations du langage naturel, on pourrait profiter d'un degré de précision encore plus élevé, » a déclaré Guru Rao.
Au mois de février, lors de la finale du Jeopardy opposant l'homme à la machine, le supercalculateur Watson d'IBM a battu les champions en titre Brad Rutter et Ken Jennings. Le jeu a montré que des ordinateurs pouvaient répondre à des questions demandant un niveau élevé de réflexion, un peu comme les humains. Watson a répondu aux questions posées par l'animateur (l'ordinateur ne parle pas, mais ses réponses ont été lues par une voix de synthèse). Des statistiques sur le degré de pertinence des réponses étaient aussi affichées sur un écran.
Un supercalculateur conçu dans un but précis
« Watson repose sur une architecture avec des processeurs Power7 en parallèle affichant un total 2 680 coeurs environ, » a expliqué le chercheur. « Sur les 15 To de données stockées dans sa mémoire, seul 1 To a été utilisé pour répondre aux questions, » a ajouté Guru Rao. Des algorithmes spécifiques ont permis le traitement des requêtes en langage naturel, tandis que d'autres logiciels et algorithmes ont pris en charge les requêtes en les associant à des mots-clés, des réponses connues et d'autres informations stockées dans le système. « Ce dernier a pu traiter l'information en parallèle en conservant les données en mémoire, ce qui réduit les temps de latence et les problèmes de lecture/écriture quand les données sont stockées sur un disque, » a déclaré le chercheur.
« Grâce au traitement des données en mémoire, à ses capacités d'analyse et au matériel extrêmement performant dont il est composé, Watson a répondu aux questions en deux à trois secondes, » a ajouté Guru Rao. Celui-ci a notamment utilisé le General Parallel File System d'IBM (GPFS) et des logiciels comme Hadoop, lequel fournit une plate-forme pour analyser des données structurées et non structurées en parallèle à travers plusieurs serveurs. « IBM va probablement travailler avec des partenaires pour construire des architectures serveur autour de Watson, utilisables en entreprise, » a encore déclaré l'IBMer. Les technologies logicielles de Watson pourraient être adaptées à des appareils dédiés à des fonctions spécifiques, comme la sécurité et la conformité.
Des améliorations constantes
Watson atteste des progrès réalisés dans le domaine informatique. En 1996, son ancien collègue Deep Blue avait perdu une finale d'échecs contre le champion du monde Garry Kasparov. Mais il avait pris sa revanche en 1997, remportant plusieurs matchs contre Kasparov, après une mise à niveau améliorant ses performances. « Je ne vois pas IBM fournir un service de jeu vidéo basé sur Watson ! » a déclaré Guru Rao. « Notre but n'est pas de produire des jeux pour ordinateur, mais d'utiliser cette science informatique révolutionnaire pour répondre à des besoins au niveau des entreprises. » IBM veut aussi faire la démonstration de nouvelles interactions possibles entre l'homme et l'ordinateur et montrer comment extraire des informations pertinentes d'une masse de données disponibles.
L'entreprise a ajouté des FPGA (réseau de portes programmables in situ) pour réaliser des traitements de données spécifiques sur les serveurs, tout en ajoutant plusieurs coeurs pour accélérer les processeurs. Big Blue est également en train de redessiner les serveurs pour réduire la latence entre le processeur et la mémoire, de façon à accélérer les performances des applications. Le serveur EX5 conçu par IBM, présenté l'an dernier, s'éloigne de l'architecture traditionnelle des serveurs x86 : le constructeur a découplé la mémoire des processeurs en les intégrant dans des boîtes séparées ce qui permet aux serveurs d'accéder à un pool de mémoire plus grand. Par ailleurs, la firme d'Armonk a conçu une puce particulière, juxtaposée à la CPU, qui réduit la latence entre la mémoire et le processeur. « La technologie EX5 pourrait également inclure un système de stockage flash pour procurer de la mémoire supplémentaire, » a expliqué Guru Rao.
Illustration principale : Guru Rao, ingénieur système en chef chez IBM
Oracle ajoute le support de l'iPhone à son logiciel de BI
La mise à jour 11.1.1.5 du logiciel d'analyse d'Oracle permet ainsi aux utilisateurs des terminaux mobiles d'Apple de profiter de toutes les fonctionnalités de la gamme, « sans avoir à réécrire les tableaux de bord et les rapports existants, » a indiqué l'éditeur. L'intégration est à double sens, puisque les utilisateurs peuvent générer des actions et traiter des flux de travail depuis leurs appareils mobiles. Parmi les autres fonctionnalités de la version, on trouve un support élargi aux sources de données, notamment pour la base de données en mémoire Oracle TimesTen, SQL Server Analysis Services et SAP Business Information Warehouse.
L'éditeur de Redwood a également annoncé de nouvelles versions de ses applications BI. Il s'agit d'une série de modules précompilés destinés à divers secteurs d'activité, comme les finances, les ressources humaines et la gestion de projets. La version 7.9.6.3 des applications propose une interface utilisateur actualisée avec l'accès aux données géospatiales, des améliorations en matière de modélisation des données et plusieurs outils de gestion système, de tests et des correctifs.
Des fonctions intéressantes
Globalement, ces versions apportent « beaucoup de réglages fonctionnels importants pour les utilisateurs finaux, » a déclaré Dan Vesset, analyste chez IDC. « Il y a toutes ces étapes pour rendre [le logiciel] plus facile à déployer et à mettre en oeuvre. » Ce qui est moins clair par contre, c'est comment Oracle compte s'y prendre pour faire coexister ses applications BI avec ses applications Fusion à venir et quelle incidence cela aura sur les investissements existants des clients en business intelligence. « Très probablement, les clients seront en mesure de réutiliser une grande partie de ce qu'ils ont, » poursuit Dan Vesset. « Le processus se fera sans doute de manière assez progressive, à mesure que les clients commenceront à adopter les modules Fusion, » a-t-il avancé.
Des tablettes de moins en moins gadget
La stratégie de rapprochement d'Oracle avec les dispositifs d'Apple confirme la préférence grandissante des utilisateurs professionnels pour l'iPhone et l'iPad, ainsi que la tendance générale vers la BI mobile. Même si cette dernière manque encore de maturité, des analystes comme Boris Evelson de Forrester Research prédisent que la popularité des dispositifs à facteur de forme plus grand, comme l'iPad et autres tablettes, feront la différence, du fait de la facilité d'usage qu'ils apportent. « Les vraies applications analytiques de BI ont besoin d'une certaine surface d'affichage pour exposer toutes les informations pertinentes nécessaires à l'utilisateur et avec lesquelles il peut interagir sur un écran unique, » a déclaré l'analyste dans un récent rapport. Le logiciel d'Oracle vient rivaliser avec des produits concurrents chez SAP, IBM et SAS Institute, lesquels contrôlent une grande partie du marché de la BI et de l'analyse. Selon des chiffres récents publiés par Gartner, la force des produits d'analyses en tant que catégorie logicielle a perduré malgré la récession mondiale, avec des ventes en légère hausse, alors que la demande pour d'autres types de logiciels a diminué. « L'an dernier, les ventes ont bondi de 13,4 % à 10,5 milliards de dollars, » a déclaré le cabinet d'analystes.
Un mariage très couru sur le web selon Médiamétrie
Les sites médias et d'actualités ont enregistré un pic de fréquentation le 29 avril dernier à l'occasion du mariage du Prince William et de Kate Middleton. Selon les chiffres fournis par Médiamétrie, cet engouement s'est traduit par deux fois plus de visites par rapport aux quatre vendredi précédents la cérémonie.
Au cours de la journée du 29 avril dernier, deux pics ont été enregistrés en fin de matinée et en début d'après-midi. Entre 11h et 12h, les visites sur les sites d'actualité ont été multipliées par 1,86. Lors de la séance au balcon, entre 14h et 15h, les internautes étaient 1,95 fois plus nombreux qu'à l'accoutumée.
Les moteurs de recherche sollicités
L'intérêt qu'a suscité le mariage princier auprès des Français apparaît également dans leurs recherches internet. Certains mots comme mariage, William, Kate Middleton ou Pippa Middleton ont été 16 fois plus tapés dans un moteur de recherche le jour même de l'union, contre 1,92 fois plus la veille et 4,9 fois plus le lendemain.
Le calcul de Médiamétrie a été effectué à partir des connexions réalisées sur les sites d'Europe 1, M6, Paris Match, Radio France, RTL, France Télévisions, JDD, Radio Actu, des groupes Bolloré Média et La Manche Libre. Les connexions via un ordinateur, un smartphone ou une tablette (hors applications) ont été prises en compte.
Crédit photo : D.R.
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