Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 3971 à 3980.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(05/05/2011 14:41:45)
La version 1.6 de jQuery accélère l'affichage des sites web
La version 1.6 de jQuery, disponible depuis mardi, comporte un certain nombre d'améliorations qui devraient permettre d'exécuter plus rapidement les pages web faisant appel aux lignes JavaScript. « Il est toujours recommandé d'avoir son application à jour avec la dernière version de jQuery. Nous modifions constamment la bibliothèque pour augmenter ses performances. La dernière version permet de profiter des améliorations apportées aux API, » a déclaré Adam Sontag, un membre de l'équipe de développeurs jQuery.
Pour améliorer les performances, l'équipe a réécrit la façon dont jQuery traite les attributs HTML, instaurant une séparation claire entre les attributs des balises HTML, lesquelles servent à définir les variables initiales d'une page, comme la taille d'une image, et les propriétés JavaScript des éléments DOM (Document Object Model) correspondant. « Au lieu de mélanger les attributs et les propriétés ensemble pour les traiter ensuite de manière sélective, deux nouvelles méthodes, « .prop () » et « .removeProp () » ont été ajoutées pour manipuler directement les propriétés, » explique Adam Sontag. Selon l'équipe, ces méthodes permettent d'accélérer les performances dans la gestion des attributs et des propriétés dans tous les navigateurs.
Une mise à jour importante
La performance des gestionnaires d'événements - comme le clic de souris - a également été améliorée grâce à des modifications apportées à la méthode ".data()". La gestion des données d'attributs délimitées par un trait d'union répond désormais aux standards du W3C. Le support pour les animations profite également d'une refonte : le jQuery dispose maintenant d'un timer qui permet de synchroniser plusieurs animations sur une ligne de temps unique. Il répond aussi aux normes de la spécification requestAnimationFrame dans les navigateurs qui la prennent en charge : le fait que le browser sache à quel moment actualiser la palette de chaque frame peut permettre plus de fluidité dans les animations. L'équipe de développement a également ajouté un moyen d'effectuer des changements dans les valeurs CSS (Cascading Style Sheet), de même qu'elle a apporté des améliorations dans la gestion de l'objet différé. Elles contribueront à simplifier des situations d'utilisation plus complexes.
Une bibliothèque très utilisée par les développeurs web
Introduit en 2006, le jQuery est une bibliothèque Javascript libre qui joue sur l'interaction entre JavaScript et le HTML, et a pour but de simplifier des commandes communes de JavaScript. Elle fournit une interface développeur simple pour des opérations courantes pouvant être réalisées en JavaScript, comme la gestion des événements, les aides à la navigation, ou l'envoie de données vers un serveur. Le jQuery est probablement la bibliothèque JavaScript la plus largement utilisée : selon une enquête toujours en cours de W3Techs, sur le million de sites web les plus visités du net, cette technologie est présente dans 32 % des cas.
Le jQuery a été essentiel dans le développement d'applications internet riches Ajax (RIA). Microsoft a inclus le jQuery dans son environnement de développement intégré Visual Studio et la dernière version 5.5 de Dreamweaver d'Adobe comporte une version de jQuery pour applications mobiles. Maintenant que la version 1.6 de jQuery est terminée, l'équipe de développement a entrepris de demander aux utilisateurs quels changements ils souhaitaient voir dans la version 1.7 !
Les « Anonymous » en ligne de mire de Sony
Un responsable de Sony, Kazuo Hirai, dans une lettre adressé à des parlementaires américains, a indiqué que les pirates ont laissé sur un serveur un dossier portant le nom « Anonymous » avec comme complément « nous sommes légion » (le slogan du collectif). Cette découverte a été faite lors des investigations sur les attaques sur les sites en ligne de Sony et en particulier sur le site Sony Online Entertainment. La firme nippone ne va toutefois pas jusqu'à accuser formellement le collectif Anonymous d'être à l'origine de cette attaque, mais l'orientation des suspicions est donnée.
Un historique d'attaques
Le groupe japonais a depuis quelques semaines en ligne de mire les Anonymous. Ces derniers avaient lancé au début du mois d'avril « #opsony », une série d'attaques par déni de service contre différents sites web du constructeur. Cette opération avait été menée en représailles contre la décision de Sony de poursuivre judiciairement des hackers qui avaient cassé la sécurité de la PS3.
Les investigations sur les récentes attaques vont se poursuivre. De son côté, Anonymous avait récemment déclaré ne pas être responsable des attaques, tout en estimant que certains de ses membres auraient piraté à titre individuel le site de Sony.
Des transistors 3D dans les futures puces Intel
« Cette nouvelle technologie processeur à transistors Tri-Gate remplacera les transistors plats à deux dimensions par une structure 3D, » a déclaré Mark Bohr, Senior Fellow d'Intel. Le transistor MOS (Metal Oxyde Semiconductor) planar classique à deux dimensions est remplacé par un mince aileron en trois dimensions qui sort verticalement du substrat de silicium. Autrement dit la zone active ne se trouve plus sous la grille, mais insérée dans la grille. « La technologie Intel permettra de créer des transistors plus rapides, plus petits et plus économes en énergie, » a ajouté Mark Bohr.
Cette technologie pourra bénéficier à différentes lignes de produits d'Intel, depuis les serveurs les plus rapides jusqu'aux puces basse énergie que l'on trouve dans les smartphones. « Nous devons continuellement innover pour créer de nouveaux matériels et de nouvelles structures», a déclaré à San Francisco Mark Bohr lors d'une conférence de presse diffusée sur Internet. « Avec le 22 nm nous apportons une nouvelle structure. »
Des puces plus rapides à terme
Les puces à transistors Tri-Gate seront 37 % plus rapides que les processeurs actuels d'Intel fabriqués selon le processus à 32 nm. Les transistors 3D consomment également deux fois moins d'énergie que les transistors 2D intégrés aux processeurs 32 nm. « Is seront également moins chers à produire, » a déclaré le chargé de recherche d'Intel. Comme l'a annoncé Dadi Perlmutter, vice-président exécutif et directeur général de l'Intel Architecture Group, les prochains processeurs Atom basse énergie, dédiés aux tablettes, aux netbooks, aux smartphones et aux terminaux numériques, bénéficieront de cette technologie. Les puces à transistors 3D seront « puissantes » en terme de performance et « économes » sur le plan de la consommation d'énergie, a ajouté le vice-président. « Le nouveau design pourrait aider Intel à rattraper les fondeurs concurrents qui fabriquent des processeurs à base de chip ARM, » a encore déclaré Dadi Perlmutter.
[[page]]
Considérés comme plus économes en énergie que les processeurs x86 d'Intel, ces processeurs ARM sont utilisés dans la plupart des tablettes et smartphones actuels. Selon Mark Bohr, Intel, qui mène des recherches sur le transistor Tri-Gate depuis une dizaine d'années, sera le premier fondeur à mettre cette technologie en fabrication. « D'autres entreprises se sont aussi intéressées aux transistors 3D, mais elles n'envisagent pas de les utiliser avant que la technologie de gravure à 14 nm ne soit au point, soit pas avant plusieurs années, » a avancé le chercheur. « Construire des processeurs, c'est comme construire des gratte-ciel : il faut ajouter plus de transistors tout en maintenant la densité et la taille des puces, » a encore déclaré Mark Bohr.
Revenir dans le cadre de la loi de Moore
Grâce au transistor 3D, Intel peut continuer à inscrire la technologie dans la loi de Moore, qui prône le doublement du nombre de transistors tous les deux ans. « Les difficultés rencontrées pour développer un modèle planar plus performant devenaient extrêmes, » a expliqué le chercheur. « La technologie des transistors 3D à l'air de concerner un détail obscur, mais elle ouvre des perspectives de développement importantes, » a déclaré Dean McCarron, analyste senior chez Mercury Research. « Nous avons tendance à perdre de vue que ce genre de technologie de haut niveau... est liée à la qualité d'un transistor, » a ajouté l'analyste.
« La structure en trois dimensions augmente les zones de contact sur les transistors, plus petits, mais sur lesquels on peut faire passer davantage de courant, » a indiqué l'analyste. C'est essentiel pour étendre la performance des transistors. « Les risques d'avoir un défaut sur une puce augmentent au fur et à mesure que l'on ajoute des couches à la verticale, » explique Dean McCarron. « Le fait qu'Intel ait décidé de se lancer dans la production prouve que le système est au point. Le fondeur doit encore faire les bons choix, » a estimé l'analyste.
Une nouvelle usine en Arizona
Tous les deux ans, Intel fait évoluer ses processus de fabrication et produit des puces plus petites qui offrent de meilleures performances, tout en étant moins gourmandes en énergie. Les premières puces - nom de code Ivy Bridge - à utiliser le processus à 22 nm seront destinées aux PC de bureau. Elles offriront entre autres un support matériel pour les dernières technologies graphiques DirectX 11. Intel a également déclaré qu'elle livrerait des processeurs 22 nm pour tablettes en 2013.
En octobre de l'année dernière, le fondeur avait annoncé qu'il allait investir entre 6 et 8 milliards de dollars US pour la fabrication de nouvelles puces pour PC, smartphones, appareils électroniques grand public et équipements embarqués. Une partie de ces investissements seront consacrés à la mise à niveau des usines pour fabriquer des puces 22 nm. En février dernier, l'entreprise de Redmond a également annoncé qu'elle allait investir 5 milliards de dollars pour construire une nouvelle usine en Arizona destinée à la fabrication de ces nouvelles puces. Celle-ci devrait être achevée en 2013.
Shell installe des outils collaboratifs sur un cloud hybride
Shell devait accroître la collaboration et la fluidité de celle-ci entre des équipes très éclatées. Pour atteindre cet objectif, le pétrolier a décidé de mettre en place des outils en ligne accédant à une base unique mondiale pour partager des documents et échanger des informations. Pour gagner en flexibilité et baisser les coûts, la DSI de Shell a choisi de déployer cette solution en SaaS.
Le pétrolier a signé un contrat avec T-Systems et Microsoft pour déployer BPOS, Sharepoint et Fast Search sur un cloud hybride opéré par T-Systems. Le déploiement mondial a débuté en avril 2011. Selon Microsoft, Shell sera l'un de ses plus importants clients mondiaux pour cette offre.
Le coût du projet n'a pas été dévoilé.
La télévision multi-écran s'installe progressivement
Le cabinet d'étude Parks Associates prévoit que 81% des abonnés américains et canadiens à la télévision payante auront accès à des services qui permettent de regarder la télé partout et sur une grande diversité d'appareils (les services « TV Everywhere ») d'ici la mi-2011. « Les fournisseurs de services sont en train de développer leurs services multi-écrans à travers le monde en raison de la concurrence des sources de vidéo en ligne, de l'arrivée de nouveaux opérateurs et de la croissance spectaculaire de la consommation de vidéo en ligne et sur les appareils mobiles au cours des trois dernières années », indique Parks Associates dans une étude publiée le 3 mai.
« En Amérique du Nord et en Europe de l'Ouest, les services TV Everywhere, autrefois cantonnés à une poignée d'offres, se sont généralisés. Aujourd'hui, les opérateurs de tous les secteurs -- télécommunications, câble et satellite -- proposent des accès en ligne à la VOD ou à la télévision en direct, et ajoutent de plus en plus des options smartphones et tablettes », affirme Brett Sappington, analyste senior chez Parks Associates.
L'Europe en avance dans le domaine
Les opérateurs comme Sky, Ziggo et Orange sont à l'avant-garde de ces offres en Europe de l'Ouest, région où 40% des abonnés ont accès à un service multi-écrans fourni par leur fournisseur d'accès à la télévision payante. La disponibilité des services TV Everywhere en Europe de l'Est est bien moins élevée, puisqu'elle ne touche que 12% des consommateurs. Ce chiffre devrait toutefois augmenter maintenant que les opérateurs intègrent ce type de services à de nouveaux systèmes liés à l'adresse IP.
Une étude menée par DisplaySearch montre que la croissance d'achat de téléviseurs dans le monde passera sous les 4% en glissement annuel pour l'année 2011, contre 18% en 2010. La multiplication des services de télévision multi-écrans sera l'un des sujets phares de la 15e édition de Connections: The Digital Living Conference & Showcase. Cet événement a lieu à Santa Clara, en Californie, du 28 au 30 juin.
Obama veut moins de sites web fédéraux
Le Président américain a signé un décret, vendredi dernier, pour inciter les administrations fédérales à rationaliser le nombre de leurs sites web afin de rendre un meilleur service aux usagers. Ce décret compte sept points. Le premier rappelle que toute administration fédérale doit évaluer ses performances en fonction du service à rendre, selon des décrets antérieurs (parus en 1993, 1995 et 1998). Les services web doivent intégrer ces obligations, d'autant que la demande du public en qualité de relations est forte. « Les gestionnaires du gouvernement doivent apprendre de ce qui fonctionne dans le secteur privé et appliquer ces meilleures pratiques pour fournir de meilleurs services, plus rapides et à moindre coût » souligne le décret. Deuxième point, le décret Obama enjoint toute administration fédérale de se doter, dans un délai de 180 jours, d'un plan de rationalisation et d'amélioration de ses services web. Ce point est lui-même subdivisé en sept points de contrôle.
Transparence et publication
Troisième consigne, le décret demande à chaque ministère de publier, sur son site, le plan d'amélioration de ses services web. Un quatrième point précise quels organismes vont aider chaque ministère à s'améliorer. La partie cinq précise que les organismes indépendants (qui travaillent dans l'orbite fédérale sans être des ministères fédéraux) doivent se conformer à ce plan. Sixième point, rien, dans les plans d'amélioration ne doit entraver les nécessités liées à la sécurité nationale. Enfin, le point sept spécifie en quoi ce plan doit se conformer à d'autres directives juridiques et financières.
Visiblement, ce décret veut réagir devant une certaine dispersion et l'absence de contrôle de la qualité des services web, proposés par les administrations fédérales aux citoyens américains. « Il y aurait actuellement plus de 20 000 sites web fédéraux, assez disparates et dans bien des cas peu conviviaux » note la Fondapol, think tank français très en pointe sur l'observation projets TIC dans le secteur public. (...)
Réelle reprise des services IT, selon Gartner
« Il est clair que les effets de la récession de 2008 et 2009 se font encore clairement sentir. Mais le marché des services IT a rebondi », estime Kathryn Hale, vice-présidente en charge de la recherche chez Gartner. Ce rebond bien venu a permis au secteur de revenir, à peu de chose près, à son niveau de l'année 2008 lors de laquelle il avait généré une croissance de 8% et un chiffre d'affaires de 806 Md$.
L'an dernier, c'est le segment du support logiciel qui a affiché le plus fort dynamisme avec une progression de 6,6% en valeur. A l'opposé, les croissances les plus faibles ont été réalisées par les segments de la gestion de processus (process management) et du support matériel qui ont enregistré une progression plus faible d'un point que celle initialement attendue par Gartner. Le conseil et le développement/intégration ont en revanche légèrement dépassé les prévisions initiales. Du côté des clients, ce sont les dépenses des gouvernements qui ont le moins progressé l'an dernier, du fait des politiques de réduction des dépenses publiques visant à réduire les déficits nationaux.
HP profite peu de la reprise du marché
Par zone géographique, Gartner constate que, comme en 2008, ce sont les prestataires de services dont le siège social est basé en Inde qui ont connu la plus forte croissance l'an dernier. Elle s'est élevée à 18,9% en moyenne et leur permet de totaliser 5,5% de part de marché dans le monde (+0,7% comparé à 2009).
HP, qui n'appartient pas à cette population, est l'entreprise qui a le moins profité de la hausse des dépenses en services IT en 2010 avec une progression de seulement 0,3% de son chiffre d'affaires dans ce secteur. Il reste tout de même second du TOP 5 des prestataires de services mondiaux de Gartner, derrière IBM dont les revenus ont progressé de 2,6% pour une part de marché (PDM) de 7,1%. Fujitsu figure en troisième position (3% de PDM) devant Accenture qui signe la plus belle croissance du TOP 5 de Gartner (+6,1%). Enfin, CSC arrive en dernière position avec une part de marché qui reste stable à 2% dans le monde pour une croissance en valeur de seulement 0,6% en 2010. (...)
Semestriels Sage: bon début d'année
Sage, l'éditeur britannique de logiciels de gestion, a terminé le premier semestre de son exercice 2011 (clos en mars) sur un chiffre d'affaires de 865 M€(*). Un montant en hausse de 3% par rapport au premier semestre 2010 lors duquel les revenus de l'entreprise affichaient un repli de 2%. L'EBITA du groupe (notion proche du résultat d'exploitation) a crû quant à lui de 5% à 222 M€.
En France, la hausse de l'activité est en ligne avec celle du reste du groupe, soit +5% pour un chiffre d'affaires de 169 M€. La progression de L'EBITA de la filiale française est en revanche bien supérieure puisqu'elle atteint +14% à 43 M€. Celui-ci correspond à 25,4% du chiffre d'affaires.
(*) Résultats communiqués en Livres Sterling, retraduits sur la base de la moyenne du taux de change pour le semestre, soit 1 £ pour 1,16 €, précise l'éditeur.
EBITA, bénéfice avant intérêt, impôt et amortissement des immobilisations corporelles.
Crédit Illustration : D.R.
(...)
SAP espère faciliter l'adoption des ERP avec iRise
SAP a signé avec son partenaire iRise un accord mondial pour revendre le logiciel de celui-ci sous le nom de SAP Application Vizualisation. L'outil permet de visualiser l'apparence finale d'une application sans écrire de code, explique l'éditeur qui espère ainsi renforcer la réussite des projets de ses clients.
iRise constate que les méthodes traditionnelles pour décrire les exigences métiers des projets SAP (tableurs, fichiers texte, organigrammes...) n'ont guère changé au cours des vingt dernières années et que les utilisateurs métiers ont toujours autant de difficultés à les décoder. De surcroît, bien souvent, ces utilisateurs ne savent pas ce qu'ils veulent faire avec le logiciel avant d'avoir véritablement pu interagir avec lui.
Les visualisations procurées par iRise donnent aux utilisateurs la possibilité de découvrir le logiciel beaucoup plus tôt, quoique virtuellement. Cela peut permettre de réduire la facture en limitant la réécriture de l'application, tout en facilitant la formation et la gestion du changement.
Réduire les difficultés des projets ERP
« Les simulations sont si proches des applications définitives qu'il n'est guère possible de faire la différence entre les deux », affirme iRise sur son site web, en précisant qu'elles peuvent être assemblées facilement, y compris par des collaborateurs non techniciens. Ces visualisations peuvent être publiées pour être consultées par différents utilisateurs ou accessibles dans un fichier protégé par un mot de passe.
Dans un communiqué, SAP cite en exemple le fournisseur d'électricité National Grid qui a mené un programme pilote avec le logiciel iRise. A la suite de réponses très positives des utilisateurs, le groupe aurait prévu de l'adopter comme outil standard pour les projets de déploiement.
S'il s'avère que les outils de visualisation répondent vraiment à leurs promesses, ils pourraient avec le temps réduire certaines des difficultés que les entreprises rencontrent avec leurs projets de mise en place d'ERP, voire prévenir les échecs. L'utilisation de tels outils pour les ERP est en hausse, selon China Martens, analyste pour Forrester Research. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |