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(22/04/2011 13:43:46)
Une défaillance du cloud d'Amazon plante plusieurs sites web
Amazon a commencé à signaler des problèmes sur son tableau de bord à 5 heures du matin (heure locale) hier. A 5h16, le site signalait des problèmes de connectivité affectant son service de bases de données relationnelles qui sert justement à gérer les bases de données relationnelles dans le Cloud pour plusieurs zones de l'Est des États-Unis. Amazon a également signalé des problèmes avec son service Elastic Compute Cloud (EC2) qui offre des capacités de calcul à la demande pay-as-you-go dans le nuage. La société a aussi signalé des problèmes avec l'Elastic Block Store (EBS), le système de stockage lié au service EC2. « Tôt ce matin, un événement sur le réseau a déclenché une mise en miroir d'une grande quantité de volumes EBS dans l'US-EST-1, » indiquait Amazon à 11h54 hier matin. « Ce mirroring a entraîné une pénurie des capacités dans la zone US-EST-1, empêchant la création de nouveaux volumes EBS et affectant nos disponibilités pour effectuer le re-mirroring nécessaire pour récupérer les volumes EBS touchés. »
Amazon a également déclaré qu'un de ses systèmes de contrôle en interne pour l'EBS a été surchargé et qu'il était devenu difficile de créer de nouveaux volumes et instances EBS en arrière-plan. « Nous travaillons aussi vite que possible pour accroître la capacité de la zone et accélérer l'opération de mirrorring, comme nous nous efforçons à rétablir le contrôle sur l'EBS », a ajouté l'entreprise. « Nous commençons à voir les premiers effets de ces efforts, mais l'affaire n'est pas encore réglée. Nous allons continuer à effectuer des mises à jour au fur et à mesure que nous progressons. »
Les critiques du cloud commencent
L'impact de la panne est assez étendu, surtout pour certains sites web 2.0 populaires. Sur le site de Quora, on pouvait lire : « Nous faisons actuellement face à une panne inattendue, et nous travaillons pour disposer d'un site de secours dès que possible. Merci pour votre patience. » Les sites HootSuite et Foursquare ont également été touchés, de même que Reddit, sur lequel les utilisateurs peuvent lire : « Amazon connaît actuellement une dégradation de ses services. Ils y travaillent. Nous comptons toujours sur eux pour restituer nos volumes. Nous sommes désolés. »
Certains utilisateurs ont fait part des désagréments causés par Amazon et son cloud sur Twitter. « Le cluster d'Amazon sur l'Est des États-Unis est toujours en rade, et certaines de nos données avec. Voilà pour la fiabilité des services cloud », a écrit tweeted @ Thierry_G. « Les instances et les volumes EBS d'Amazon sont encore en panne. Faut se préparer à mettre en route nos serveurs de sauvegarde GoGrid, » dit quant à lui @steve_dine.
Microsoft prône le mariage de l'embarqué avec le cloud
Microsoft considère que le cloud va jouer un rôle central pour accroître le champ d'application de l'informatique embarquée. «La fait de pouvoir capturer de l'intelligence à la périphérie du réseau entraînera un profond changement dans la valeur apportée aux entreprises», a déclaré Kevin Dallas. directeur général de Microsoft Windows Embedded. L'informatique embarquée consiste à placer les processeurs d'ordinateurs dans des objets d'usage courant - tels que les réfrigérateurs ou les automobiles - afin de recueillir des données et des opérations de guidage et offrir de l'interactivité avec les utilisateurs. « La valeur de ces appareils réside dans leur capacité à saisir les données, analyser ces informations ce qui permet d'améliorer l'efficacité des entreprises », a précisé le dirigeant de Microsoft. Bien que les systèmes embarqués ne soient pas nouveaux, leur utilisation est en croissance rapide, grâce à la baisse des coûts des processeurs et à l'omniprésence d'Internet. Le cabinet IDC prévoit une forte hausse de ce type d'équipement, avec des livraisons qui devraient représenter 3,3 milliards de dollars en 2015, contre 1,4 milliards de dollars en 2010.
L'idée d'un réseau bon marché et abondant connecté aux systèmes embarqués a été appelé l'Internet des objets. Bien qu'annoncé depuis de nombreuses années, l'Internet des objets pourra effectivement prendre place dans des services cloud tels que Microsoft Azure.
Un système utile pour les propriétaires de distributeurs automatiques
« L'idée de l'Internet des objets circule depuis de nombreuses années, mais c'est le cloud qui fournit l'élément manquant », estime Kevin Dallas.
Les propriétaires de distributeurs de boissons et de friandises, par exemple, pourraient en bénéficier en équipant leurs machines avec des processeurs et en les connectant à un réseau. Un petit système embarqué à l'intérieur d'une machine aidera ces derniers à savoir laquelle des collations ou des autres articles ont été vendus. Ainsi, les propriétaires d'une série de distributeurs automatiques auront une vue de détail sur toutes les collations et boissons vendues dans leurs machines.
« Au lieu d'envoyer des hommes pour savoir à quel moment une machine doit être mise à jour, c'est cette dernière qui en avisera directement a société », a expliqué Kevin Dallas. « Ce qui permettra de fournir davantage de renseignements sur les distributeurs automatiques qui ont encore des stocks, et ceux qui n'en ont pas. »
Une plate-forme composite pour relier des appareils au cloud
Le directeur général de Microsoft Windows Embedded prédit que, dans l'ensemble, ces périphériques effectueront 80 % du process qui doit être réalisé pour recueillir les données. De tels dispositifs pourront abréger les données brutes et envoyer les résultats aux équipements centraux. La suggestion de Microsoft visant à marier l'embarqué et le cloud computing n'est pas surprenante, étant donné l'enthousiasme récent de l'éditeur pour les services dans le cloud. Au début du mois, l'éditeur a indiqué qu'il allait consacrer 90% de son budget de R & D de 2011 au développement de technologies liées au cloud computing. Forrester Research pense que le cloud computing va fortement se développer et représenter un marché de 241 milliards de dollars d'ici 2020, contre 40,7 milliards de dollars en 2011. Kevin Dallas signale que Microsoft est actuellement en mesure d'offrir à ses clients une plate-forme composite qui s'étendra de l'extrémité des machines jusqu'à l'infrastructure de cloud computing. «Nous sommes capable de réaliser cela aujourd'hui, ici et maintenant », a t-il conclu.
Illustration : Kevin Dallas : directeur général de Microsoft Windows Embedded. Crédit photo : D.R
(...)
Google investit dans un second parc éolien pour ses datacenters
Le géant de l'Internet a ainsi signé un contrat sur 20 ans pour acheter toute l'énergie produite par un parc éolien de 100 mégawatts qui doit être construit près de son data center de Mayes County, dans l'Oklahoma. C'est la deuxième fois que Google investit dans ce type d'énergie cette année. Les deux contrats ont été signés par la filiale Google Energy, qui dispose de la certification nécessaire pour acheter et vendre de l'électricité sur le marché américain de gros. « Ces acquisitions sont des actions concrètes, sur le long terme, qui nous permettront de réduire notre empreinte carbone et alimenter nos activités avec de l'électricité propre, » a déclaré Google.
L'entreprise de Mountain View a également publié un Livre Blanc dans lequel elle explique la complexité d'utiliser de l'énergie renouvelable pour faire tourner un centre de calcul. Pour des raisons réglementaires et autres, Google ne peut pas prendre l'énergie générée par les parcs éoliens et l'utiliser directement pour ses centres. « Dans nos datacenters, Google est un client de détail comme un autre. Nous n'avons aucun moyen de sortir l'énergie du circuit de gros et de l'affecter directement à nos besoins, » peut-on lire dans le Livre Blanc. « Comme tout le monde, nous devons acheter notre énergie auprès des services publics locaux réglementés. » Si bien que Google doit vendre l'énergie qu'elle s'engage à racheter au niveau local, au prix de gros. « Les contrats d'achat bénéficient d'incitations financières qui favorisent la construction des parcs éoliens, » ajoute le livre blanc et permet à Google de récolter des Crédits en Energie Renouvelable (Renewable Energy Credits - REC) pour l'énergie éolienne qu'elle vend. Les REC sont équivalents aux compensations « carbone. » Mais, selon Google, ils sont plus efficients parce qu'ils représentent de l'énergie renouvelable réellement produite. « Même si nous ne pouvons pas transférer l'énergie éolienne de manière légale et physique vers nos installations, le fait d'agir dans ce marché de l'énergie nous permet tout de même de contribuer à rendre plus vert le secteur dans lequel nous opérons», fait valoir l'entreprise. La construction des deux parcs éoliens par NextEra Energy, une entreprise dans laquelle Google possède des participations, est en cours. Celui de l'Oklahoma devrait être opérationnel d'ici la fin de l'année.
Une réponse à Greenpeace teintée de critiques
L'annonce de Google a été faite pendant la conférence GreenNet de GigaOm. Greenpeace était là aussi, venu relancer sa campagne contre les entreprises de l'Internet qu'elle accuse d'utiliser l'énergie de centrales au charbon pour faire fonctionner leurs centres de calcul. Un nouveau rapport de Greenpeace intitulé « « Vos datas sont-elles vertes ? » critique Facebook, Google et Apple pour avoir établi des datas centers en Caroline du Nord, un État où l'on trouve de « l'électricité produite au charbon, sale et bon marché » en abondance.
« L'industrie informatique désigne le cloud computing comme un nouveau modèle écologique qui répondrait aux besoins des infrastructures du secteur, mais peu d'entreprises fournissent des données permettant d'évaluer objectivement ces intentions,» affirme Greenpeace. L'association de défense demande à ce que les entreprises Internet installent leurs datas centers dans des zones où les sociétés de services publics produisent de l'énergie renouvelable, afin de réduire leur empreinte carbone et encourager de nouveaux investissements dans ces énergies. Greenpeace reconnaît cependant que Google fait des efforts dans ce sens. « Sur 10 marques classées, Akamai, un réseau mondial de distribution de contenu, a reçu la plus haute distinction pour sa transparence, Yahoo a adopté la plus forte politique en matière d'implantation de ses infrastructures; Google et IBM ont fait preuve d'une approche globale la plus complète pour réduire leur empreinte carbone, » a déclaré Greenpeace.
Dans son Livre Blanc, Google suggère que l'utilisation des énergies renouvelables pour alimenter les centres de calcul est plus compliquée que Greenpeace ne semble le penser. « Nous savons, par les lois de Kirchoff, que l'électricité produite à un endroit ne peut pas être transférée directement vers un utilisateur spécifique sur le réseau électrique, » a déclaré Google. « Une fois que l'on fait entrer l'électricité dans le réseau, il n'existe aucun moyen réel pour affirmer que « l'énergie du parc éolien X est distribuée au centre de calcul Y. »
L'Open Invention Network reçoit le renfort de Facebook et HP pour protéger Linux
Le groupe, soutenu par 300 entreprises, un nombre porté aujourd'hui à 334, envisage d'atteindre les 2 000 pour constituer un portefeuille de licences et de brevets permettant de protéger la communauté Linux contre d'éventuelles poursuites relatives à la propriété intellectuelle. En plus des sociétés nommées ci-dessus, on trouve aussi parmi les nouveaux membres le groupe OpenStack qui soutient une solution Open Source de Cloud Computing, plus de nombreuses entreprises plus petites supportant Linux et l'open source. En outre, Google - actuellement aux prises avec des poursuites judiciaires pour ses utilisations de Linux dans Android - est passée d'un statut de titulaire au statut de membre associé, rejoignant Canonical et Ubuntu, deux figures phares du monde Linux et seules entreprises à bénéficier d'un statut d'adhérent aussi important auprès de l'OIN. Yahoo a également rejoint le groupe l'an dernier comme titulaire.
« L'une des menaces majeures pour Linux - le cas opposant SCO Group à Novell, dans lequel SCO revendiquait des portions du code Unix dans Linux et réclamait des royalties à tous les éditeurs Linux - était en parti réglée - SCO a été débouté de ses demandes par la justice en 2007 - au moment de la création de l'Open Invention Network, mais des menaces demeurent, » selon Keith Bergelt, le CEO d'OIN. Pour l'instant Microsoft a mis de côté sa revendication selon laquelle Linux et certains logiciels open source violaient 235 de ses brevets, mais « dans les coulisses, Microsoft reste toujours très actif, » a-t-il déclaré. Selon lui, si la part de marché de Windows continue à perdre du terrain, Microsoft pourrait revenir à la charge. « Ils continueront à représenter une menace potentielle contre Linux, » a t-il déclaré. Mais Microsoft n'est pas la seule entreprise susceptible de menacer Linux, selon le CEO d'OIN. « Cela concerne tous ceux qui soutiennent des plates-formes propriétaires et possèdent un portefeuille de brevets important qu'ils veulent continuer à utiliser pour être en mesure de décourager un autre choix, » explique-t-il. « Il y en aura toujours qui verront en Linux un empêcheur de tourner en rond, quelque chose qui perturbe leur vie. »
Agnostique, mais mention spéciale pour Android
« L'objectif de l'OIN n'est pas d'empêcher l'usage légitime des brevets pour obtenir des redevances quand certains profitent de vos inventions, » explique Keith Bergelt. « L'objectif est de favoriser un environnement ouvert dans lequel les gens peuvent innover sans être soumis à des prétentions excentriques, et de faire en sorte que l'industrie technologique ne soit pas dominée par « l'innovation incrémentale, un euphémisme pour la médiocrité, » précise-t-il. Les titulaires de licence de l'Open Invention Network peuvent avoir accès aux brevets détenus par l'OIN et acceptent d'inclure leurs propres brevets liés à Linux dans un système de licences croisées. Les brevets de l'OIN couvrent un large éventail de technologies. « Parmi les catégories visées, on trouve les logiciels de sécurité, ceux du traitement des transactions, du e-commerce mobile, et des logiciels biométriques pour appareils mobiles et PC, » détaille Keith Bergelt. Les brevets mobiles en général sont dans la ligne de mire de l'Open Invention Network, qui soutient notamment des projets comme MeeGo et webOS. L'OIN est « agnostique et ne cherche pas à influer ou à miser sur la plate-forme gagnante, » mais, compte tenu du leadership actuel d'Android sur le marché, l'association estime logique de mettre un accent particulier sur le système d'exploitation mobile de Google basé sur Linux. Les fabricants d'appareils sous Android ont du faire face à des poursuites de la part d'Oracle et de Microsoft au sujet de la propriété intellectuelle du code. « Parce qu'Android tient la place la plus importante en termes de part de marché, nous aimerions faire en sorte qu'il soit solide, » a déclaré le CEO d'OIN.
Même si l'Open Invention Network a été fondé par certains des plus grands acteurs du secteur technologique, il s'est longtemps concentré sur les petites entreprises qui n'auraient autrement pas les moyens de se protéger contre les poursuites. Pour sa dernière campagne d'adhésion, l'OIN a cependant déplacé son attention vers les grands de l'industrie, comme Facebook, par exemple, gros utilisateur de Linux dans ses centres de calcul. Keith Bergelt prédit qu'avec le temps, des entreprises comme IBM et HP finiront par modifier leur stratégie relative aux brevets, qu'elles déposeront moins de demandes, mais se concentreront davantage sur celles qui protègent les inventions fondamentales et peuvent servir ensuite à les défendre contre d'éventuelles poursuites judiciaires.
Baromètre HiTechPros/CIO : Chef de projet et secteur assurance en tête au 1er trimestre
Quelles sont les grandes tendances de la demande en compétences techniques informatiques de ce premier trimestre 2011 ?
En ce début d'année 2011, on retrouve un nouveau classement des secteurs d'activités les plus demandeurs, le secteur des assurances représentant le plus de demandes avec 16,2 % des appels d'offres. Il reprend donc sa place de leader suivi du secteur « services aux entreprises » avec 12,8 %. Le secteur « Commerce et distribution » s'est également imposé ce trimestre avec 12,2 % des demandes face aux secteurs « Informatique » et « Industrie » classés non loin derrière.
La compétence technique « autres SQL » arrive, sur ce premier trimestre 2011, en tête des compétences demandées par les clients avec plus de 12,3 % des demandes. Les compétences « Systèmes d'exploitation Windows » et « Oracle » les suivent de près représentant respectivement 10,7 % et 8,6 % des demandes. Les autres compétences techniques, plus loin, se répartissent entre 0 et 6,9 % des demandes.
Enfin, en ce qui concerne les professions les plus demandées, le métier de chef de projet obtient la première place avec 20,3 % des demandes, suivi du métier de développeur avec 17 %. Le tiercé de tête se referme avec l'arrivée, en ce premier trimestre, du métier « Ingénieur Système Réseaux » avec 11,1 %, une place qui est habituellement occupée par le métier « Consultants ».
Quelles évolutions constate-t-on depuis un an ?
Commençons par les secteurs d'activités des entreprises demandeuses. Par rapport au T1 2010 on retrouve un classement identique des secteurs d'activités les plus demandeurs en compétences informatiques. En effet avec 18,9 % des demandes au T1 2010 et 16,2 % ce trimestre le secteur des assurances retrouve sa place de leader, suivi du secteur « services aux entreprises » avec 16,4 % en 2010 contre 12,8 % en 2011. La troisième place est attribuée au secteur « commerce et distribution » avec 12,9 % des demandes l'année dernière et 12,2 % cette année. On observe également en ce premier trimestre 2011 une forte amélioration du secteur « informatique » avec seulement 1% des demandes au T1 2010 il obtient 10,8 % des demandes.
En termes de compétences techniques, trois technologies restent particulièrement demandées. Ainsi, la compétence « autres SQL » est resté, sur l'ensemble de l'année 2010 et en ce début 2011, la valeur sûre parmi les compétences les plus recherchées avec 8,9 % des demandes au T1 2010 pour 12,4 % au T1 2011. Avec 5,6 % des demandes, la suivante est « systèmes d'exploitation Windows » au premier trimestre 2010 contre 10,7 % pour la même période en 2011. Et pour finir le tiercé, la technologie « Oracle » a accru sa place, passant de 6,3 % au T1 2010 à 8,6 % au T1 2011. En revanche, la compétence « .Net » sort du trio de tête après en avoir fait partie pendant 3 trimestres consécutifs.
Voir ci-après les tableaux
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1. Secteurs d'activité
Répartition des appels d'offres adressés à HITECHPROS STAFFING en fonction des secteurs d'activité des clients.
En % du total. Total 100%.
| Assurances | 16,2 |
| Services aux entreprises | 12,8 |
| Commerce et distribution | 12,2 |
| Informatique | 10,8 |
| Industrie | 9,5 |
| Bâtiment, travaux publics | 8,1 |
| Médias, communication, loisirs | 5,4 |
| Administration, services publics | 4,7 |
| Autres Secteurs | 5 |
| Banques et établissements financiers | 3,4 |
| Automobiles, équipementiers auto | 2,7 |
| Pharmacie, santé | 2,7 |
| Energie, eau, gaz | 2,0 |
| Transports et logistique | 2,0 |
| Télécoms | 1 |
| Industrie aéronautique, défense, espace | 1 |
2. Compétences techniques
Répartition des appels d'offres adressés à HITECHPROS STAFFING en fonction des compétences techniques recherchées.
En % du total. Total 100%.
| Autres SQL (PL/SQL, Postgre SQL, My SQL) | 12,4 |
| Systèmes d'exploitation Windows | 10,8 |
| Oracle | 8,6 |
| LINUX | 7,0 |
| .Net | 6,5 |
| SQL Serveur | 5,4 |
| J2ee | 4,3 |
| HTML/Javascript | 3,2 |
| Java | 3,2 |
| C, C++ | 2,7 |
| PHP | 2,7 |
| CISCO | 2,2 |
| COBOL | 2,2 |
| COGNOS | 2,2 |
| SAP | 2,2 |
| AS400 | 1,6 |
| Citrix | 1,6 |
| MOA / MOE | 1,6 |
| Outil Bureautique Microsoft | 1,6 |
| Outil de modélisation | 1,6 |
| RPG | 1,6 |
| VB | 1,6 |
| XML | 1,6 |
| Access | 1,1 |
| ETL | 1,1 |
| LOTUS | 1,1 |
| Systèmes Réseaux Sécurité | 1,1 |
| UNIX | 1,1 |
| Virtualisation | 1,1 |
| WEB2 | 1,1 |
| Windev | 1,1 |
| Apache | 0,5 |
| Autres framework | 0,5 |
| DB2 | 0,5 |
| Design pattern | 0,5 |
| EDI | 0,5 |
| Flash | 0,5 |
| Adobe | 0,0 |
| Ajax | 0,0 |
| ASP | 0,0 |
| Business Objects | 0,0 |
| ERP | 0,0 |
| Gestionnaire de sauvegarde | 0,0 |
| Gestionnaire d'état | 0,0 |
| Gros systèmes | 0,0 |
| Langage G | 0,0 |
| MAC | 0,0 |
| Outil de test / Qualité / Recettes | 0,0 |
| SGBD | 0,0 |
| Sybase | 0,0 |
| Télécoms0,0 | |
| Websphere | 0,0 |
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3. Métiers
Répartition des appels d'offres adressés à HITECHPROS STAFFING en fonction des métiers recherchés.
En % du total. Total 100%.
| Chef de projet | 20,3 |
| Développeur | 17,0 |
| Ingénieur Système et réseaux | 11,1 |
| Administrateur | 9,2 |
| Consultant | 8,5 |
| Ingénieur exploitation et production | 8,5 |
| Analyste | 7,8 |
| Technicien | 6,5 |
| Architecte | 3,3 |
| Assistant | 2,6 |
| Analyste Programmeur | 1,3 |
| Concepteur / Réalisateur1,3 | |
| DBA | 1,3 |
| Hotline/Help Desk | 1,3 |
| Directeur des systèmes d'information | 0,0 |
Annuels TCS 2010/2011 : Un environnement économique dynamique
La SSII indienne Tata Consultancy Services publie ses résultats annuels (exprimés en dollars US), son exercice fiscal s'est achevé au 31 mars dernier. Le chiffre d'affaires se monte à 8,2 milliards de dollars US en hausse de 29,1%. Le bénéfice net s'élève à 1,9 milliards en progression de 31,1%, le bénéfice opérationnel étant de 2,3 milliards, en hausse de 35,5%. La marge nette progresse de 23,3%.
Le CEO N. Chandrasekaran explique que l'environnement économique continue d'être dynamique. « Notre organisation agile avec notre stratégie orientée uniquement sur les services et les solutions à forte valeur ajoutée nous donne une excellente plateforme pour soutenir la croissance. Nous continuons d'investir dans les technologies de nouvelle génération comme la mobilité, l'analyse, les médias sociaux et les solutions de développement durable ». Tous les secteurs verticaux ont retrouvé la croissance annonce la société.
Oodrive soutenu par le fonds Time Investors
Le fonds Time Investors (dirigé par Henri de Bodinat) investit dans un acteur français du SaaS : Oodrive. Deux tranches d'investissements vont être mobilisées, l'une de 3,5 millions d'euros (ME), l'autre de 4 ME.
Fondé il y a dix ans, Oodrive atteint en 2010 les 18 ME de CA avec une spécialisation, le SaaS sur la gestion de fichiers. Oodrive avait déjà réalisé une levée de fonds en 2007, d'un montant de 4 ME, auprès d'Iris Capital. Sa solution AdBackup en télésauvegarde est distribuée en indirect par un réseau d'un millier de partenaires.
Une bonne performance de la BI en 2010 selon Gartner
Le chiffre d'affaires du segment « analyse et gestion de performance » a atteint 10,5 milliards de dollars, au plan mondial, en 2010, note le cabinet Gartner. Une progression de 13,4% par rapport à l'année précédente.
« En 2010, la résurgence des plans de relance, l'amélioration générale de la macro-économie, et le lancement de nouveaux produits ont contribué à une flambée des dépenses de logiciels de BI,» estime Dan Sommer, analyste principal au Gartner. « Les dépenses BI ont dépassé de loin la croissance globale du budget IT, ce sera le cas pour plusieurs années, et il est clair que la BI continue d'être une technologie au centre des initiatives dans les entreprises. Quant aux acteurs du marché, ils déploient de manière agressive leurs capacités dans ce domaine. La croissance est tout autant due au push des fournisseurs qu'à la pression de la demande. »
Les 4 « grands », détiennent 59% du marché
Les quatre grands prestataires, SAP, Oracle, IBM et Microsoft, ont continué à consolider le marché, détenant 59 pour cent des parts. Dans la plate-forme de BI et CPM, ils « raflent » près de deux tiers des parts de marché, tandis que, dans les applications analytiques, SAS domine. Les utilisateurs veulent être sûrs de ce qu'ils achètent, ils veulent des fonctionnalités spécifiques et la convivialité qui répondent à leurs besoins.
SAP est donc toujours premier avec 22,9% de parts de marché et 16,8% de progression, Oracle suit avec 15,6% des parts et 21,9% de hausse, SAS, troisième, affiche 13,2% de parts de marché et 4,7% de hausse, IBM détient 11,6% du marché avec 7,6% de progression, Microsoft, enfin, occupe 8,7% du marché, en hausse de 23,6%.
Greenpeace sanctionne les datacenters polluants d'Apple
Avec un résultat de 54,5%, Apple est l'entreprise présentant le plus haut taux d'empreinte carbone parmi neuf des plus importantes sociétés high-tech au monde utilisant des centres de données. La firme de Cuppertino bénéficie de cette mauvaise note, dans le classement réalisé par Greenpeace, en raison de son nouveau datacenter, en construction à Maiden en Caroline du Nord.
Selon l'association écologique, cet Etat est l'un des plus « sales », entendez par là que les sources d'énergies disponibles sont principalement des centrales au charbon ou nucléaires, mais très peu d'énergie renouvelables. Selon cette étude, Facebook (52,8%) et IBM (51,6%) suivent Apple parmi les mauvais élèves.
Tout en haut de l'affiche, Yahoo! est le meilleur élève avec seulement 18,3%. L'association environnementale a calculé l'empreinte carbone de l'ensemble des centres de données implantées dans le monde d'Apple, Amazon, Facebook, Google, HP, IBM, Microsoft, Twitter et Yahoo!, qu'ils soient déjà construits ou en cours.
Les ventes de PC malmenées en Europe selon IDC
Le marché des PC en EMEA (Europe de l'Ouest, de l'Est et centrale, Moyen-Orient et Afrique) a donc diminué de 9,6% avec 24,1 millions d'unités vendues. La partie Europe de l'ouest est même en recul de 17,5%. L'Europe de l'Est et centrale en revanche progresse de 5,5%, le Moyen-Orient et l'Afrique de 6,3%. Comme pour l'étude mondiale, IDC remarque que le marché entreprise se porte mieux que le marché des particuliers. Jusqu'alors, c'était l'inverse.
Cette contraction du marché était attendue, mais la trop faible demande n'a pas permis d'absorber les stocks (accumulés au 4ème trimestre 2010) provoquant une baisse plus forte que prévu. La faible demande chez les particuliers est la cause principale de la baisse globale enregistrée sur le trimestre. Ils se sont également tournés vers les smartphones et les tablettes plus que vers les PC. Cette attitude attentiste ne devrait pas durer selon IDC, et le PC redeviendra le premier équipement à la maison.
Des PME encore prudentes
Le marché entreprise se porte mieux au 1er trimestre, tiré par le renouvellement entamé dans plusieurs pays. Mais les conditions économiques continuent d'affecter le niveau de la demande dans les PME, les rendant prudentes en termes d'investissements.
Côté constructeurs, l'étude IDC n'apporte pas de bouleversements, la hiérarchie reste stable, en revanche chaque acteur réalise des performances variables. HP toujours n°1 (21,1% de parts de marché), malgré une baisse de 8,4% résiste en entreprise mais fléchit chez les particuliers. Acer (18,7% des parts) est durement touché par un problème de stocks et par le ralentissement de la demande, d'où les -25% affichés. Dell (9,7%) est également affecté mais plus modérément, -7,4%, Asus (7,9%) est en baisse à -8,4%. Seul le cinquième s'en sort, Samsung (4,5%) affiche +25,6%.
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