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(17/03/2011 10:34:30)

Ventes de PC portables : forte baisse en février en Europe de l'Ouest

Selon le cabinet Context(*), les ventes de PC en Europe de l'Ouest ont reculé de 5,8% en volume au mois de février comparé à la même période en 2010. Mauvaise performance donc, alors que le marché avait connu un an avant une croissance à deux chiffres. « A l'époque, le marché était stimulé principalement par les ventes de portables et de netbooks auprès des particuliers comme des petites entreprises », indique Jeremy Davies, le CEO et co-fondateur de Context. 

Mais aujourd'hui, les clients sont nombreux à s'être détournés des netbooks puisque les ventes de ces PC portables à bas prix ont baissé de 24,4% en volume au mois de février 2011. La situation des ventes de portables traditionnels n'est guère plus enviable puisque elles ont chuté de 18,4% en volume durant la même période. 

L'Allemagne, l'exception qui limite la casse

Analysés pays par pays, les résultats sont contrastés et semblent dépendre de l'état des économies de chacun. Le marché du PC espagnol a ainsi enregistré une des plus fortes dégradations avec une baisse de 36% du nombre d'ordinateurs vendus. Le recul a été de 14,2% en Italie et de 6,5% en France.

« La seule chose qui a évité une baisse plus importante du marché du PC en Europe de l'Ouest est la hausse des ventes en Allemagne qui s'est établit à 16,4% en volume », explique Jeremy Davies. Le Royaume-Uni qui représente 14% des ventes en Europe de l'Ouest, contre un peu moins du quart pour l'Allemagne, a également contribué à amoindrir leur recul en progressant de 5,6%. 

(*) Les chiffres publiés par Context sont issus des résultats des ventes des principaux grossistes européens.
(...)

(17/03/2011 10:29:08)

Le retour des boutiques Free

Lors de la présentation des résultats financiers d'Illiad pour 2010, Xavier Niel, co-fondateur du groupe et fondateur de sa filiale Free, a annoncé l'ouverture prochaine de six boutiques tests Free. Ces boutiques ouvriront « dans des villes moyennes situées entre 50 à 200 km de Paris», avec une surface comprise entre 50 et 300m². 

Aujourd'hui le modèle de distribution du FAI est 100% en ligne (téléphone et Internet). Mais pour vendre des abonnements téléphoniques couplés à des terminaux mobiles, le FAi est bien obligé d'avoir pignon sur rue. Ces boutiques physiques seront l'occasion pour Free de se rapprocher de sa clientèle et de privilégier un contact direct avec elle. Il fera ainsi concurrence à Orange, SFR et Bouygues Telecoms dans le recrutement de nouveaux abonnés sur le terrain. Si l'expérience s'avère concluante, d'autres boutiques Free verront le jour sur tout le territoire.

Crédit photo D.R. (...)

(17/03/2011 10:18:34)

Etude Gartner : des datacenters plus denses et moins énergivores

Sur le premier point, la conception même des centres de données, le Gartner remarque que les datacenters actuels ont été créés pour la plupart à l'ère du mainframe. Donc, pour une performance moyenne selon les critères actuels. Il y a par exemple peu de variation possible de température ou de consommation énergétique.

Aujourd'hui, les exigences sont différentes sur les  systèmes mécaniques et électriques, la composition, la charge de travail et l'âge du matériel. De nouveaux modèles arrivent ajoutant des zones de densité différentes suivant les charges de travail. Les zones secondaires s'occupent des applications consommant une quantité uniforme d'énergie.  Les zones à faible densité soutiennent l'équipement de faible puissance.

Le green IT laissé pour compte

Concernant l'efficacité énergétique, peu de gestionnaires de datacenters y prêtaient attention. Sauf s'ils étaient poussés par l'opinion publique. Les nouveaux gestionnaires, eux, s'y penchent sérieusement. Les nouveaux centres respectent donc de nouvelles normes.

Les gestionnaires se préoccupent également de la densité des équipements (racks et serveurs) dans l'environnement du datacenter. La plupart des centres de données étant actuellement sous utilisés. La densité moyenne serait de 60% dans le monde actuellement. Il faudrait parvenir à 85 ou 90%. L'avènement du cloud computing devrait permettre d'atteindre ces nouveaux ratios. 

Ce fameux cloud va permettre de transférer une partie de la charge de travail « dans le nuage » donc de libérer plus facilement de l'espace au sol et de la puissance. De ​​nombreuses entreprises utilisent déjà des installations de colocalisation comme mécanisme de débordement. Toutefois, dans ce cas, la ressource de calcul est toujours détenue et gérée par le propriétaire de l'application. Avec le cloud, ce sera le rôle de l'hébergeur. 

Crédit photo : D.R.

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(17/03/2011 11:07:44)

Google travaille sur un service de paiement mobile

Google prévoit de tester un service de paiement sans contact dans les commerces de New York et de San Francisco, indique l'agence Blommberg. Un document, qui cite des sources anonymes, révèle que la firme de Moutain View est en pourparlers avec VeriFone Systems pour l'installation des terminaux requis pour utiliser des services de paiement mobile embarquant la technologie NFC (near-field communication).

Ned Tyler, porte-parole du géant californien, a déclaré que la firme - qui propose un service de paiement connu sous le nom de Google Ckeckout -  était intéressée pour développer des services de paiement sans contact à destination des utilisateurs de smartphones. Le plus connu étant le Nexus S, un téléphone Android fabriqué par Samsung. Le représentant de Google a ajouté que la firme s'était récemment lancée dans un projet pilote à base de puces NFC à Portland, dans l'Oregon. Les commerçants ont pu commencer à utiliser des étiquettes NFC à des simples fins informatives, mais le service ne prend pas en charge les paiements mobiles.

Pour Xavier Debbasch, co-fondateur et directeur général d'Airweb, société de conseil spécialisée dans la fourniture de portails et d'applications mobiles. en se lançant sur le marché du NFC, Google pourrait aller encore plus loin dans la chaîne de valeur : «En se positionnant sur le paiement sans contact, Google optimisera d'abord ses revenus publicitaires dans la mesure où le NFC lui permet d' aller jusqu'à l'acte de vente », analyse t-il. « Ensuite, cette initiative pourrait conduire les commerçants à travailler avec la firme. Enfin, cela permettra à Google de s'immiscer dans le domaine des transactions bancaires et de concurrencer des spécialistes tels que PayPal. »

Les Niçois satisfaits à 90%

Le fondateur d'Airweb considère que les constructeurs de smartphones devraient tous s'engouffrer dans la brèche du NFC  «Si 2011 marque le démarrage du paiement sans contact, 2012 pourrait bien marquer son avènement », estime celui-ci. Nokia a déjà intégré la technologie sans contact dans ses smartphones C7 De son côté, Apple pourrait  équiper ses prochaines générations d'iPhone de puces NFC, tandis que RIM envisage lui aussi d'aller dans ce sens.

Reste que Google a pris de l'avance avec son OS Android 2.3 qui prend nativement en charge le support de ce standard. Reste à savoir quelles seront les retombees du NFC en Europe, en plus particulièrement dans l'Hexagone. En France, Nice a expérimenté  les technologies du sans contact sur téléphone mobile depuis le printemps dernier à travers les applications Cityzi. Ce dispositif permet l'achat et la validation de tickets de transports urbains, donne accès à des informations culturelles, dispose d'une application destinée aux étudiants et autorise également le paiement bancaire sur mobile auprès des commerçants. Les statistiques sont plutôt encourageantes.

« Depuis le démarrage du projet, 3 000 Niçois sont équipés d'un mobile Cityzi et plus de 1 000 commerces possèdent des terminaux adaptés », souligne Xavier Debbasch. Avec un taux de satisfaction atteignant les 90%, le NFC semble avoir fait l'unanimité à Nice. Mais les commerçants niçois n'ont pas eu à verser de commission, Les frais générés par les terminaux NFC pourront peut-être dissuader les TPE, estime le fondateur d'Airweb. Mais pas les grands acteurs, comme les grandes surfaces, entre autres.

(...)

(17/03/2011 12:29:33)

Tribune de Théodore-Michel Vrangos : Sécurité, le réveil peut être brutal !

On a récemment appris que Bercy aurait été victime d'une attaque informatique inédite ! Depuis le mois de décembre, plus de 150 ordinateurs ont été infiltrés par des «hackers». Cette opération d'espionnage d'une ampleur sans précédent  vient s'ajouter à la longue liste des cyber-attaques. Quelques jours auparavant, le PDG de Renault, Carlos Ghosn, demandait un audit interne des fonctions de sécurité et du système d'information du groupe automobile français, par ailleurs au centre d'une affaire juridico-médiatique sur fond d'imbroglio d'espionnage industriel et de règlement de comptes. Il est significatif que la direction d'une des plus grandes entreprises françaises se sente obligée d'annoncer par la voix de son PDG, le lancement d'un audit de sécurité.

En France, contrairement aux pays anglo-saxons ou à l'Allemagne, on constate que les grands groupes négligent trop souvent l'importance de la sécurité de l'information. Si elle figure parmi les préoccupations majeures d'un nombre croissant d'entreprises comme l'a montré l'étude 'Global Information Security Survey', publiée par Ernst & Young, il n'en demeure pas moins vrai que les budgets octroyés à la sécurité des systèmes d'information ne sont pas toujours à la hauteur des ambitions. Mettre en place une protection efficace engendre des coûts ! L'ensemble des DSI s'entend pour déclarer unanimement que la sécurité de l'information est un de leurs principaux soucis. Cependant, les ressources humaines et financières consacrées à ce poste, demeurent insuffisantes, faute de budgets ! Où plutôt, faute de considérer cette activité comme primordiale. Autre constatation. En 2008, seules 12 entreprises françaises étaient certifiées ISO 27001, la norme de sécurité IT. La France était à égalité avec l'Islande mais loin derrière le Royaume-Uni qui comptait 400 entreprises certifiées, ou le Japon avec plus de 3 000 entreprises certifiées !

Toutes les organisations sont informatisées et travaillent en réseau. L'ouverture à l'Internet, le partage des données et l'interactivité croissante ont aussi beaucoup contribué à faciliter l'accès aux informations. S'emparer des données confidentielles, personnelles ou stratégiques devient un jeu d'enfant pour certains. Pourtant, en dépit de l'expansion des pratiques liées à Internet, les mesures de sécurité ne sont pas toujours au rendez-vous, voire négligées. Et, ce n'est pas toujours une affaire d'argent. C'est le plus souvent une question de motivation stratégique et de priorité, au plus haut niveau de l'organisation !


Pour lire la suite de cette tribune de Théodore-Michel Vrangos, rendez-vous sur notre Blogs Experts (...)

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