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(17/03/2011 17:04:10)
MySQL bien moins coûteux que SQL Server assène Oracle
Oracle emploie les grands moyens pour convaincre de l'intérêt d'utiliser MySQL avec Windows dans le cadre d'applications stratégiques. Un choix qu'il conseille tout autant aux entreprises autant qu'aux éditeurs de logiciels. La société dirigée par Larry Ellison vient de publier un tableau comparatif qui montre que le coût de la base de données Open Source qu'il a récupérée avec le rachat de Sun est sensiblement inférieur, dans sa version Enterprise, à celui des bases SQL Server de Microsoft et ASE de Sybase. Dans le même temps, Oracle a annoncé une mise à jour de cette version Enterprise apportant des capacités de sauvegardes dynamiques en ligne, ainsi que différents outils de modélisation et d'administration des données, de nouveaux modes de visualisation pour la surveillance et une intégration avec le portail de support.
C'est loin d'être la première fois que MySQL est ainsi positionnée face à SQL Server car le précédent propriétaire de la base, Sun Microsystems, pratiquait déjà cet exercice. Ces comparaisons sont trompeuses car la plateforme de Microsoft est plus riche et plus complète, indique un porte-parole de l'éditeur de Redmond, joint par courriel par nos confrères d'IDG News Service. « Les clients qui souscrivent au support de MySQL devraient se demander quelle valeur ils en retirent et ce qu'ils perdent en renonçant à une base de données d'entreprise aux fonctions plus larges, incluant d'importantes capacités de reporting et d'analyse, fournies prêtes à l'emploi ».
Le comparatif d'Oracle ne tient pas compte des remises
Au-delà de ces considérations de coûts, l'intervention d'Oracle montre qu'il souhaite réduire la perception tenace que MySQL serait réservé à des acteurs du web ou à des start-up. Dans le même temps, il souhaite conserver au produit son image d'alternative à bas coût par rapport à des bases telles que SQL Server.
Selon les chiffres qu'il présente sur le site de MySQL, Oracle fait apparaître que, sur trois ans, le coût total de possession (TCO, total cost of ownership) de la base Open Source plafonne à 60 000 dollars pour un nombre illimité d'utilisateurs de la version Enterprise pour quatre serveurs (comportant chacun 4 sockets de 4 coeurs). Selon ses calculs, le TCO de SQL Server revient à près de 770 000 dollars (avec une licence facturée par socket) et celui de Sybase ASE (licence facturée par coeur) à environ 2,35 millions de dollars. Dans les montants indiqués pour SQL Server et ASE, le prix des licences compte pour plus de la moitié, alors que seul le support est facturé dans le cas de MySQL. Ces chiffres sont par ailleurs basés sur les tarifs catalogue des éditeurs et ne tiennent donc absolument pas compte des importantes remises que ces fournisseurs négocient généralement avec leurs client sur la redevance des licences. Il reste aux concurrents d'Oracle de la marge pour discuter ces calculs.
La souscription au support de MySQL revient à 5 000 dollars par an pour des serveurs dotés de 1 à 4 sockets. Elle coûte le double à partir de cinq sockets, selon le tarif d'Oracle.
Oracle a toujours considéré MySQL avec sérieux
Cette volonté de renforcer les efforts de marketing et de développement sur ce produit tient aussi, sans doute, à la concurrence d'acteurs tels que SkySQL (créé par d'anciens de MySQL) qui proposent des services de support indépendants autour de la base Open Source.
Cela ne surprend pas Curt Monash, du cabinet d'études Monash Research : « En considérant la façon dont Oracle a lutté avec les autorités antitrust pour conserver MySQL lors de l'acquisition de Sun, nous avons toujours su que ses intentions étaient sérieuses sur ce produit », se rappelle l'analyste. L'éditeur apparaîtra encore plus sérieux s'il rachète des technologies qui améliorent MySQL, comme celles d'Infobright du côté des solutions de datawarehouse Open Source. Sun avait investi dans Infobright dont les produits sont déjà intégrés avec MySQL.
Curt Monash considère aussi qu'il ne faut pas trop attendre du succès que pourrait remporter la base face à SQL Server. Il s'agit certes de la cible la plus évidente. « Mais si vous avez acheté du côté de Windows, pourquoi ne pas y rester ? La concurrence se situe surtout sur les nouvelles applications. En fait, peu d'utilisateurs passeront de l'un à l'autre », selon lui. Toutefois, de nombreux fournisseurs de solutions SaaS (software as a service) utilise la base de données Oracle Standard Edition, ainsi qu'un peu de MySQL. Ils ne voudront pas payer plus cher pour l'édition Enterprise d'Oracle ou pour la solution Exadata. Dans ce cas, MySQL pourrait leur convenir, considère Curt Monash.
Même avec les améliorations apportées à MySQL Enterprise, il reste encore de larges différences entre ses fonctionnalités et celles de la base de données phare d'Oracle, principalement dans les domaines de la sécurité, des différents types de données supportées et de l'analytique, rappelle le consultant.
La lecture électronique progresse en France
Les Français sont de plus en plus nombreux à lire en mode électronique (sur tablette, eBook, smartphone, etc.), même si cette pratique reste encore marginale. Selon cette enquête, 8% des sondés ont déjà lu un ouvrage sur un support numérique, alors qu'ils n'étaient que 5% en septembre 2009. Ces lecteurs sont plutôt jeunes, masculins, issus de la région parisienne, et appartenant au segment CSP+. Ils sont également de gros consommateurs de livres imprimés (plus que la moyenne).
Toutefois, la moitié de ceux qui déclarent avoir déjà lu un livre numérique n'ont lu qu'une partie de l'ouvrage. Il s'agit donc, dans un cas sur deux, plus d'une lecture de consultation que d'une lecture intégrale. Selon Livres Hebdo, les types de livres numériques les plus appréhendés sont les ouvrages scientifiques, techniques ou professionnels, les livres pratiques, les livres sur l'histoire, qui arrivent devant la littérature, les mangas et les bandes dessinées. « Mais les Français interrogés souhaiteraient pouvoir lire en format numérique avant tout des livres pratiques, des polars et des romans de SF et fantasy » précise la revue littéraire.
Léger mais au confort limité
La facilité de transport arrive en tête des qualités évoqués par les lecteurs (43%), devant l'accès facile et rapide aux livres recherchés (36%), la capacité importante de stockage (28%), l'accès à une infinité de livres (28%), le prix moins élevé que leur équivalent en format papier (24%), et l'accès à des titres épuisés en format papier (21%). Au rayon des inconvénients, les personnes interrogées citent avant tout une lecture fatigante sur écran (58%), puis l'absence de contact physique avec le livre (56%), l'offre de livres numériques trop restreinte (21%), le fait de ne pas être réellement propriétaires des livres (19%), et des prix trop élevés (18%).
Enfin, 61% des Français ont déjà entendu parler du livre numérique (contre 47% en septembre 2009). En revanche, la part des Français intéressés par cette pratique évolue peu : 16% aujourd'hui, contre 15% en 2009.
L'enquête Ipsos/Livres Hebdo a été réalisée du 21 janvier au 7 février 2011 auprès d'un échantillon de 3.032 personnes représentatif de la population française âgée de 15 ans et plus.
Symantec oriente ses produits de stockage vers le cloud
L'une des fonctionnalités que Symantec envisage d'apporter s'appelle Enterprise Object Store. Celle-ci utilisera un espace de nommage global pour permettre l'abstraction hétérogène de tout fichier de données. Selon Don Angspatt, vice-président du marketing produit de l'activité stockage et gestion de la disponibilité de Symantec, le fichier système pourra atteindre une taille à l'échelle du pétaoctet et sera accessible par HTTP. « Cela crée un pool de référence global. Il est donc possible d'accéder aux données de la même façon qu'on pourrait le faire depuis un téléphone portable, » explique-t-il. Dans la version finale de Storage Foundation 6.0, Symantec prévoit également d'inclure une fonction de stockage cloud hybride, via son outil Smart Tier for Oracle. Aujourd'hui, Smart Tier déplace de façon dynamique les données vers le hardware le plus ou le moins performant, en fonction de modèles et de configurations prédéfinies. La fonction de stockage cloud hybride permettra de sauvegarder les données à la fois en local et de les archiver automatiquement chez un fournisseur de services cloud public. Cette solution donne également la possibilité de basculer automatiquement vers le cloud dans le cas où l'accès local aux données sauvegardées s'avère impossible.
Gérer l'infrastructure cloud
La dernière mise à jour de Storage Foundation de Symantec (version 5.1) date du mois de novembre 2010. Cette version comprend une option de gestion par classes de service - or, argent ou bronze - qui offre aux administrateurs la possibilité d'automatiser et de personnaliser la fonction de stockage des applications selon des critères de performance et des niveaux de protection. Dans la prochaine version, Symantec ajoutera un utilitaire appelé « Virtual Business Services » qui donne aux administrateurs la possibilité de gérer une infrastructure de cloud privé - serveurs, applications métiers et stockage - à travers une seule interface utilisateur. Selon le vice-président de Symantec, grâce à l'utilisation des API déjà présentes dans le logiciel Veritas Cluster Service de Symantec, Storage Foundation 6.0 partagera ses ressources sous une seule interface de gestion - entre le web en front end, les applications métiers, les bases de données et les données stockées en arrière-plan.
Orchestrer les solutions multiplateformes
Veritas Cluster Server (VCS) de Symantec est une solution multiplateforme de clustering minimisant les temps de non-productivité. Il permet à ce titre d'automatiser le basculement des applications et des bases de données au niveau d'un centre de calcul ou entre plusieurs centres distant. « Le cloud étant constitué d'une infrastructure hétérogène, cela donne une visibilité de bout en bout, » a déclaré Don Angspatt. « Aujourd'hui, pour gérer un cloud globalement, il est nécessaire d'avoir un administrateur pour chaque niveau. Notre solution consiste à réduire cette complexité. » Storage Foundation de Symantec dispose déjà de fonctionnalités de reporting et d'équilibrage de charge. « Celles-ci seront désormais étendues au-delà de l'infrastructure de stockage, à toutes les applications métiers, » a ajouté Don Angspatt.
Un service de discussion pour Google Docs
« Nous souhaitons faciliter, optimiser et renforcer la capacité à commenter des documents en mode collaboratif », a déclaré Scott Johnston, responsable produits pour Google Docs et Google Sites. « Les documents importants naissent de grandes discussions », a t-il ajouté. Jusqu'à présent, les utilisateurs de Docs pouvaient poster des commentaires dans des champs de texte dans le document et y ajouter des notes. Désormais, la fonction Discussions leur donne la possibilité de créer des fils d'échanges interactifs qui sont étroitement intégrés aux documents, mais qui n'en font pas partie. Les commentaires sur les fils de discussion sont également datés et leurs auteurs clairement identifiés via leur profil.
Un service qui ne concerne que les nouveaux fichiers Docs
Les internautes peuvent être avertis d'une discussion et y participer par mail. Une option permet aussi de mettre les alertes en sourdine. La fonction Discussions dispose également d'un bouton pour clore un fil d'échanges et le masquer des discussions actives. Ce service sera disponible au cours des prochains jours pour les utilisateurs des applications Docs ainsi que pour ceux qui utilisent la suite d'outils de collaboration et de communication Google Apps.
Une mise en garde cependant : l'option Discussions ne sera pas disponible pour les fichiers Docs déjà créés. Elle ne s'applique qu'aux nouveaux documents. Docs, qui est hébergé sur le Web, est en concurrence avec des suites bureautiques installées dans l'entreprise telles que Microsoft Office ou d'autres applications hébergées sur le Web comme Microsoft Office Web Apps. Docs est gratuit dans sa version indépendante, ainsi que toutes les versions de Google Apps, à l'exception d' Apps pour les entreprises, qui revient à 50 dollars par utilisateur et par an, et qui comprend Gmail, Agenda, Sites et Google Talk.
(...)
BlackBerry OS 6 : RIM conseille aux utilisateurs de désactiver JavaScript
Selon RIM, la faille pourrait permettre à un pirate d'accéder aux données des utilisateurs via le BlackBerry Browser, dans le cas où son propriétaire serait amené à visiter un site web malveillant. Le problème affecte uniquement les appareils tournant sous BlackBerry OS 6, puisque la faille ne peut-être exploitée que sur des smartphones dont le navigateur intègre le moteur de rendu WebKit.
C'est en 2009 que RIM a revu son navigateur pour BlackBerry OS 6. A l'époque, le constructeur venait d'acheter Torch Mobile, le créateur du navigateur mobile Iris Browser, basé sur le moteur de rendu open source Webkit. Tous les BlackBerry tournant sur des versions antérieures du système d'exploitation de RIM ne sont donc pas concernés par cette vulnérabilité.
Un accès à certaines données seulement
RIM affirme que le bogue ouvre seulement l'accès aux données stockées sur les cartes mémoire et dans la mémoire intégrée des smartphones mais ne donne pas accès aux données conservées par l'application, comme les données «utilisateur» de la messagerie, de l'agenda et des carnets d'adresse. Jusqu'à présent, RIM dit ne pas avoir repéré de personnes exploitant cette vulnérabilité en dehors de celles travaillant en environnement de test.
Le canadien fournit des informations aux services informatiques pour expliquer comment désactiver JavaScript sur plusieurs terminaux BlackBerry, dont le Torch 9800, le Bold 9700 et le Curve 9300. Dans les cas où la méthode ne fonctionne pas, RIM recommande de désactiver totalement le BlackBerry Browser sur les appareils concernés jusqu'à ce que la vulnérabilité soit corrigée.
Une ouverture imposée par le succès des concurrents
RIM a bâti sa réputation grâce aux options de sécurité et de protection de la vie privée offertes aux utilisateurs. Mais le succès rencontré par l'iPhone d'Apple et par le système d'exploitation Open Source Android de Google a contraint l'entreprise à ouvrir ses terminaux à des applications plus variées. C'est ainsi que RIM a opté pour le moteur de rendu Open Source WebKit pour son navigateur. L'entreprise considérait également la possibilité de laisser tourner sur sa future tablette Playbook des applications conçues pour Android et cet épisode pourrait influer sur sa décision.
Ces dernières années, les applications mobiles sont devenues un élément clef de promotion pour les smartphones, notamment avec le lancement très médiatisé de boutiques d'applications mobiles comme l'App Store d'Apple et l'Android Market de Google. Dans une récente enquête réalisée par le cabinet d'études ChangeWave, 14% des utilisateurs de téléphone mobile disent que ce sont les applications qu'ils apprécient le plus dans les nouveaux smartphones. Viennent ensuite la facilité d'utilisation des terminaux (12%) et la possibilité d'accéder à Internet (12%). Toujours selon cette étude, l'application de messagerie professionnelle de RIM, qui a attiré vers la marque beaucoup d'utilisateurs, est considérée comme la fonctionnalité la plus importante par 10% des utilisateurs.
(...)(17/03/2011 11:25:06)Optimisation des processus de fabrication : Dassault Systèmes rachète Intercim
L'éditeur français Dassault Systèmes, spécialisé dans les solutions de gestion du cycle de vie des produits (PLM), vient d'annoncer le rachat d'Intercim LLC au capital duquel il avait déjà pris une participation minoritaire en 2009. Cet éditeur est partenaire de Dassault Systèmes depuis 2004. Il développe des solutions de MES (Manufacturing execution system, gestion des opérations de production) et a racheté en 2007 la société française Pertinence et ses logiciels d'optimisation des processus de fabrication industriels complexes. Parmi ses clients figurent des groupes du secteur de la défense et de l'industrie aéronautique tels EADS et Boeing, mais également des acteurs de la pharmacie comme Sanofi Pasteur, ainsi que des entreprises évoluant sur d'autres secteurs industriels avancés comme Areva, dans l'énergie, et BMW, dans l'automobile. L'éditeur équipe aussi des entreprises de la high-tech et de la construction navale.
Dassault Systèmes précise que l'acquisition d'Intercim est basée sur une valeur d'entreprise de 36,5 millions de dollars. Les solutions ainsi rachetées sont associées à sa plateforme de production virtuelle Delmia. Cette combinaison permet aux industriels de vérifier et démontrer que ce qu'ils ont produit correspond exactement à la maquette numérique, c'est-à-dire à ce qu'ils avaient prévu de construire. Ces données de conformité sont également utilisées à des fins de certification.
La suite Pertinence (illustration ci-dessus) facilite la communication entre l'ingénierie, les opérations de production et les progiciels de gestion intégrés en lien avec la chaîne d'approvisionnement. John Todd, le PDG d'Intercim, explique dans un communiqué l'intérêt pour les ingénieurs de disposer d'une visibilité en temps réel sur les opérations de fabrication et de s'assurer que leur projet correspond aux capacités des usines. Les équipes de production peuvent de leur côté soumettre les problèmes rencontrés au bureau d'études. L'utilisation conjointe de ces outils permet à l'ensemble des intervenants d'avoir une compréhension commune, en temps réel, des produits en cours de fabrication et d'intervenir plus rapidement pour corriger les problèmes de non-conformité qui sont identifiés.
L'an dernier, la société dirigée par Bernard Charlès avait racheté Geensoft et Exalead.
Illustration : La suite logicielle Pertinence
Twitter simplifie l'usage du HTTPS pour sécuriser ses comptes
Après Google, Twitter passe à son tour à une connexion HTTPS pour "améliorer la sécurité de votre compte si vous accédez à Twitter par une connexion non protégée, un réseau WiFi public par exemple, où un tiers pourrait accéder à vos informations", a expliqué la société sur son blog officiel.
Google a commencé à proposer l'option HTTPS pour Gmail en 2008, avant de décider "qu'il valait mieux instaurer HTTPS par défaut pour tout le monde" en janvier 2010 après les tentatives de hacking des comptes mails de dissidents chinois. Facebook a également offert à ses utilisateurs un meilleur contrôle de leur sécurité en ajoutant l'option d'une connexion HTTPS permanente en janvier 2011.
Une simplification bienvenue
Twitter était déjà accessible par protocole sécurisé mais jusqu'à maintenant les utilisateurs PC devaient entrer manuellement l'adresse https://twitter.com. Pour activer l'option HTTPS par défaut, cochez la case "Toujours utiliser HTTPS" au bas de la page de configuration de votre compte Twitter.
Les utilisateurs de mobiles, en revanche, devront continuer à entrer https://mobile.twitter.com pour s'assurer que leur communication est cryptée et transmise par un protocole protégé (sauf s'ils utilisent l'application Twitter officielle pour iPhone et iPad, qui emploie HTTPS par défaut).
Twitter a annoncé travailler à "étendre "HTTPS uniquement" à twitter.com et mobile.twitter.com, afin que l'utilisateur n'ait pas à penser à l'appareil qu'il utilise quand il accède à Twitter".
(...)(17/03/2011 10:48:10)La couverture du réseau mobile progresse en France selon l'Arcep
Les trois principaux opérateurs de téléphonie mobile doivent publier chaque année, depuis octobre 2007, les cartes de couverture de leur réseau sur l'ensemble du territoire français afin d'évaluer la cohérence de ces cartes avec la réalité du terrain. Les derniers résultats du régulateur des télécoms (Arcep), présentés mercredi 16 mars, montrent que les cartes de couverture sont fiables à plus de 98% en moyenne sur l'ensemble des cantons étudiés.
Néanmoins, l'Arcep précise que la fiabilité des cartes de couverture doit être améliorée sur certains cantons et demande aux trois opérateurs de corriger les cartes publiées. "Il est encourageant de noter que la démarche engagée depuis 2007 avec les opérateurs pour l'amélioration de la fiabilité de leurs cartes de couverture produit ses effets avec un accroissement sensible de la fiabilité des cartes sur les départements audités", indique l'Arcep.
Une nouvelle enquête de terrain sera menée en 2011 dans 286 nouveaux cantons.
Crédit photo : SVLuma (...)< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |