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(18/03/2011 15:47:29)

Après ses rachats, Dell dévoile ses projets d'intégration en matière de stockage

Aujourd'hui, Dell aimerait rassembler ces différentes technologies sous un système unique permettant aussi bien la migration de fichiers, la réplication que la dé-duplication entre plates-formes de stockage. « Notre objectif est de nous arrimer aux technologies d'Exanet et d'Ocarina pour établir le lien et ouvrir vers toutes les autres technologies possibles », a déclaré Travis Vigil, directeur général du marketing stockage chez Dell. 

En fait, le Texan espère pouvoir annoncer d'ici à sa conférence utilisateur prévue en juin à Orlando, l'intégration du système de fichier à taille variable d'Exanet avec ses systèmes de stockage d'entrée de gamme PowerVault et les produits de stockage NAS de Compellent et SAN d'EqualLogic. Cela permettrait à Dell d'utiliser les appareils d'Ocarina en tête de ses tableaux dynamiques pour effectuer la déduplication-compression sur des données non structurées comme l'e-mail.

Dell pense achever cette intégration au cours du second semestre de l'année. « La première étape consiste donc à réaliser un système de fichiers commun pour l'ensemble du portefeuille. Ensuite, on peut commencer à faire des choses intéressantes en termes de gestion du cycle de vie des données, » a déclaré le dirigeant de Dell. « On peut utiliser ce contexte commun pour introduire une architecture globale afin de gérer les données d'un stockage primaire, vers un stockage secondaire pour archivage, comme nous le faisons avec nos produits DX. »

Une intégration complexe à orchestrer

La firme d'Austin prévoit de mettre la technologie SAN de Compellent en haut de sa liste de produits destinés au marché des entreprises, tandis qu'EquaLogic restera axé sur le marché du stockage de taille moyenne. Avec Compellent, Dell a aussi acquis la technologie de hiérarchisation des données ou multi niveaux, c'est-à-dire la capacité de déplacer des données à l'intérieur du réseau entre différentes catégories de disques durs. La technologie « Fluid Data » de Compellent est en cours de déploiement dans ce que Dell appelle son Architecture Fluid Data.

« Dell espère qu'elle permettra à ses clients de transférer des données entre plates-formes et éventuellement archiver les données hors site via un cloud public, » indique Scott Horst, vice-président du marketing corporate chez Dell. « Cela ajouterait un autre niveau de stockage, » a-t-il ajouté. « Compellent nous a aussi apporté des capacités de facturation à la demande et une architecture multitenant»

Un gros travail reste à faire

Selon Brian Babineau, analyste senior pour le cabinet d'études Enterprise Strategy Group, l'intégration des technologies héritées d'Exanet et de Ocarino dans ses produits de stockage pourrait prendre à Dell plus de temps que prévu.  « L'intégration de la technologie nécessaire pour ajouter la déduplication et un système de fichier étendu sur Compellent et EqualLogic demande beaucoup de travail. Mais c'est faisable, » commente-t-il. « Je pense que le vrai enjeu est de faire qu'Exanet fonctionne entre ces plates-formes de façon à disposer d'une offre de stockage de fichiers. »

Dell cherche à concurrencer les plus grands fournisseurs de solutions de stockage de fichiers comme EMC, qui a récemment acheté Isilon Systems et son cluster NAS, NetApp et son système d'exploitation Data ONTAP GX, ou encore Hewlett-Packard, qui travaille à l'intégration du cluster de fichiers IBRIX - acquis en 2009 - à StorageWorks.

« Au cours des quatre dernières années, Dell a fait du bon travail pour enrichir son portefeuille de produits de stockage via ces acquisitions, » estime l'analyste. « Mais le manque flagrant, dans la perspective d'une offre de système de stockage, c'est une solution spécialement conçue pour la protection des données, » a déclaré Brian Babineau. « Quelque chose comme un système Data Domain. Pour cela, il faut parvenir à optimiser Ocarina, Compellent et EqualLogic pour offrir un système de sauvegarde en temps réel et continu des workloads,» déclare-t-il.

(...)

(18/03/2011 13:56:37)

Selon certains experts, Android violerait la licence de Linux

Déjà soumis à la pression d'Oracle, qui le poursuit devant les tribunaux au motif qu'Android violerait les brevets et les droits d'auteur de Java, Google est face à un autre problème qui concerne Linux. Cette dernière affaire pose un problème distinct et n'a motivé jusqu'à présent aucune plainte. Mais un certain nombre d'observateurs qui suivent de près les questions de propriété intellectuelle ont publié des points de vue mettant en question l'utilisation du code Linux sous licence GPL version 2 dans Android.

Alors que le noyau Linux est open source et disponible gratuitement pour les développeurs, ceux qui utilisent et distribuent des logiciels dérivés sont tenus de respecter de strictes exigences de licence. Le litige éventuel est lié au concept de « copyleft » selon lequel le logiciel libre doit être redistribué selon des termes identiques à ceux de la licence originale. La question centrale porte sur « la bibliothèque qui relie Android et ses applications avec le noyau Linux sous-jacent, » écrit sur son blog Florian Mueller, à l'origine de la campagne NoSoftwarePatents.

« Google a copié 2,5 Mo de code représentant plus de 700 en têtes de fichiers du kernel de Linux avec un programme maison qui efface les commentaires du code source et d'autres éléments, et revendique habilement (dans un commentaire figurant au début de chaque fichier modifié) que le matériel retiré ne comporte « aucune information de droit d'auteur », comme l'explique le fondateur de NoSoftwarePatents. Ce dernier fait remarquer que, même si le GPL nécessite des traitements dérivés « pour être mis à disposition dans les mêmes conditions, » Google livre Android sous une série de licences qui inclut non seulement le GPL, mais aussi des licences Open Source moins strictes comme la licence Apache (la licence Apache n'a pas d'exigences de « copyleft ») et des programmes dont le code source est fermé.

Une question de propriété intellectuelle soulevée par un avocat

L'intérêt de Florian Mueller pour la question a été motivé par les préoccupations sur la propriété intellectuelle émises par l'avocat Edward Naughton dans un article paru dans le Huffington Post et par le point de vue du professeur de droit Raymond Nimmer. Ainsi, l'avocat explique que « Google a construit Android autour de Linux, lui-même un système d'exploitation Open Source sous licence GNU General Public License 2 (GPLv2). » Celui-ci précise que « la licence GPLv2 est de type « copyleft »: elle laisse à chacun la liberté de copier et de modifier le code Linux. Mais cette liberté est assortie de conditions, notamment l'exigence que tout code logiciel modifié et tous travaux « basés sur ce code » soient librement accessibles à tous. Le point essentiel de la GPLv2 est de rendre impossible à quiconque de s'approprier le code sous licence GPLv2, de le rendre privé et exclusif. »

Inspiré par ces remarques, Edward Naughton s'est intéressé à la manière dont Google utilise le code Linux dans Android. « Ce que j'ai trouvé m'a vraiment surpris : Google a adopté une approche très agressive pour développer une composante clé d'Android, la Bionic Library. Cette bibliothèque de type C est utilisée par tous les développeurs d'applications qui ont besoin d'accéder aux fonctions de base de Linux. Google a copié des centaines de fichiers de code Linux qui ne sont pas destinés à être utilisés tel quel par les développeurs, a « nettoyé » ces fichiers selon un procédé technique non-standard et contestable, pour ensuite déclarer que le code n'était plus soumis à la GPLv2, afin que les développeurs puisse l'utiliser sans être soumis aux exigences du « copyleft » qui s'appliquerait normalement au code sous licence GPLv2 emprunté au noyau Linux. »

Illustration principale : Florian Muelller, fondateur de NoSoftwarePatents

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L'avocat poursuit en disant avoir « de sérieux doutes sur le fait que l'approche de Google pour créer sa Bionic Library soit conforme aux lois sur le droit d'auteur en vigueur aux États-Unis. » Mais « ce qui est potentiellement plus intéressant encore, ce sont les conséquences, dans le cas où Google serait dans son droit. Si le procédé est jugé conforme, alors Google a trouvé un moyen d'éloigner Linux de la communauté Open Source et de le privatiser. » Cependant, comme le fait remarquer Florian Muller, si Google était poursuivi en justice et perdait son procès, l'écosystème de développement élaboré autour du système d'exploitation mobile Android serait menacé. 

« Si Google est condamné, pratiquement toute la pile logicielle - et de nombreux composants privés de tierce-partie comme le jeu Angry Birds très populaire et le logiciel Adobe Flash Player - devraient être en réalité publiés sous licence GPL » écrit-il. « Or, un Android sous licence GPL irait totalement à l'encontre de la stratégie de Google. Tout le monde serait libre d'utiliser, de modifier et de redistribuer l'ensemble des logiciels concernés, les développeurs des applications concernées n'auraient plus la possibilité de gagner de l'argent, et les fabricants de terminaux tournant sous Android perdraient l'avantage de proposer des produits différenciés en y incluant des add-ons propriétaires. » À moins que Google « ne remplace le code détourné de Linux avec autre chose, l'éditeur risque un «effondrement de l'écosystème Android, » » écrit encore le fondateur de NoSoftwarePatents.

Google n'a pas encore fait de commentaire à ce sujet. Jusqu'à présent, les violations reprochées ne sont que des opinions et non des plaintes portées devant la justice. Mais dans un e-mail adressé à Network World, Florian Mueller écrit : « De mon point de vue, il y a des milliers de droits sur la propriété intellectuelle à faire valoir sur le kernel de Linux. Chaque détenteur de ces droits pourrait, pour de l'argent, pour la gloire, ou pour le principe du copyleft, être motivé pour les défendre. »

(...)

(18/03/2011 10:47:08)

Les internautes peu satisfaits des sites d'assurance en ligne

Les sites d'assurance en ligne présentent de nombreux inconvénients qui semblent déplaire aux internautes français.. Ils ont ainsi donné un score de satisfaction de 4,8/10, contre 5,1 en 2010, pour huit sites représentant ce secteur, dont la Maaf, la MMA, Générali, Direct Assurance ou encore Amaguiz. L'Observatoire Yuseo de l'e-Performance a demandé à 1.200 internautes de tester huit plate-formes d'assurance en ligne pour analyser leur navigation, leur flexibilité, leur ergonomie, leur attractivité ou encore leur visibilité. Résultat, seuls 52% des participants ont réussi à réaliser toutes les tâches demandées via ces sites d'assurance en ligne, contre 57% en 2010. Selon l'Observatoire, cela s'explique notamment par le manque de fluidité  de la navigation. En revanche, les personnes interrogées ont apprécié l'exhaustivité de l'offre proposée (5,4/10) et la quantité d'information fournie (5,5/10).

L'Observatoire e-Performance des sites e-commerce d'assurance mené par Yuseo a permis de recueillir l'expérience de navigation d'un panel de 1.200 internautes, du 20 au 26 janvier 2011, par une mise en situation sur les sites de 8 assureurs : Maaf, MMA, Générali, GMF, AllSecur, Direct Assurance, Amaguiz et Eurofil.

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(18/03/2011 10:24:43)

Syntec Numérique publie un contrat type pour l'externalisation de l'hébergement

Le  modèle de contrat informatique publié par Syntec Numérique a été réalisé par l'avocate Olivia Flipo, du cabinet Staub et Associés. D'une vingtaine de pages, il comprend un préambule déterminant l'intention des parties, une définition juridique des termes employés (données, capacité de stockage, etc.) et un déroulé de toutes les préoccupations tant du fournisseur que du client, avec une charte de niveau de service en annexe. Il comprend bien entendu un grand nombre de portions placées en options pour couvrir tous les cas les plus courants. Enfin, il prévoit la vie de la relation entre le client et son fournisseur, jusqu'à la séparation.

Le Cigref comme le Syntec ont pris l'habitude, depuis de nombreuses années, de publier ce genre de documents types. S'ils ne couvrent pas tous les cas possibles, ils permettent de gagner beaucoup de temps tout en fixant les bonnes pratiques. (...)

(18/03/2011 10:08:12)

52 millions de tablettes écoulées en 2011

Canalys prévoit une croissance de 14% en volume pour le marché mondial des PC en 2011. Cette augmentation sera principalement due aux ventes de tablettes tactiles dont 52 millions d'unités seront commercialisées. Apple devrait s'octroyer 75% du marché des « Pad », laissant approximativement ses concurrents en vendre 12 millions. Canalys conseille aux constructeurs de ne pas laisser passer l'opportunité d'introduire les tablettes tactiles dans les entreprises, « spécialement dans la santé et l'éducation, où le marché prendra de l'ampleur, à mesure que les applications appropriées seront créées ».
Le succès de la marque à la pomme devrait s'amplifier et s'accélérer avec l'arrivée de l'iPad 2, plus mince, plus léger et plus rapide que la première version. Les parts de marché de société telles que Microsoft, Intel et AMD devraient en souffrir, leurs produits n'équipant pas l'iPad. Bien sûr, les fabricants de notebooks et de netbooks ne seront pas épargnés.

Les notebook et les netbook vont pâtir du succès des tablettes tactiles

En ce qui concerne l'année 2010, Canalys estime que pour 10 tablettes commercialisées les ventes de 5 ultra-portables à bas prix et de 5 PC portables traditionnels ont été perdues. Un phénomène qui a touché à la fois le segment des entreprises et celui des particuliers. Cette tendance s'observe davantage dans les marchés développés tels que les Etats-Unis, la France, l'Allemagne, l'Australie ou le Japon.
Malgré l'impact négatif des tablettes, Canalys prévoit tout de même une croissance de 8% en 2011 pour le marché des notebooks. Les améliorations apportées à Windows 7 et le retour de la confiance des entreprises dans l'économie y contribueront. L'accumulation de stocks dans les circuits retail de nombreux pays, dont les Etats-Unis, la Chine, l'Indonésie et une grande partie de l'Europe occidentale, jouera en revanche contre la croissance des ventes de PC portables durant la première moitié de l'année 2011. Canalys ne voit en revanche aucun facteur susceptible de stimuler le marché des netbook qui devrait reculer de 13%, à 34 millions d'unités cette année. « La couverture géographique d'Apple reste faible dans les BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine) et d'autres marchés plus importants, tels que l'Indonésie et la Turquie. Cela profite aux fabricants de notebooks et de netbooks. En outre, dans beaucoup de pays l'arrivée de l'iPad 2 sera retardée par la nécessité d'une réglementation approuvée et les ventes risquent d'être limitées par le manque de versions localisées d'iTunes », déclare l'analyste Daryl Chiam. De quoi laisser le temps à de nombreux dispositifs innovants pour les PC portables d'arriver, ce à quoi s'attend Canalys dans les deux ans à venir.

Le paysage de l'industrie PC est en train de changer

Les tablettes tactiles devraient occuper une place importante sur le marché des PC en 2011 avec presque 52M d'unités vendues, soit une augmentation de 306% par rapport à 2010, avec une croissance plus importante pour les entreprises que pour les particuliers. Les notebook gagnent tout de même des parts de marché puisqu'ils devraient connaître une croissance de 108% en 2011, et avec une part également plus importante auprès des entreprises. Ce sont les netbook qui subiront la montée en puissance des tablettes puisqu'en 2011, le marché devrait connaître une baisse de 12,8%. Cette diminution des ventes est cependant à nuancer car certes les ventes sont négatives à 14,4% pour le marché des particuliers mais elles sont positives à 28,1% pour les entreprises. Une augmentation trop faible pour faire face à la percée des tablettes et des notebook, avec plus de 34M d'unités.

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(18/03/2011 14:23:24)

Google Apps annonce 1 million d'entreprises clientes en Europe

Le début de l'année 2011 a réservé de bonnes surprises à Sébastien Marotte, vice-président Entreprise EMEA de Google depuis 2 mois et demi. Le nombre d'entreprises utilisant les Google Apps a passé le cap du million en Europe. Elles sont 3 millions dans le monde à avoir choisi la suite bureautique et collaborative hébergée par Google. Si le chiffre montre l'appétence des entreprises pour ce type d'outils, il est par contre impossible de connaître les détails sur le marché français à part quelques références. Sébastien Marotte indique simplement que la croissance sur l'hexagone suit la même dynamique que dans les autres pays. Dont acte. Sur les questions plus sensibles de la localisation des données, Matthew R. Glotzbach, directeur du marketing produit de Google, ne pense pas que cela soit un frein à l'adoption des Apps et met en avant la sécurisation des données plus que leur localisation.

Rajouter des fonctionnalités et des services


Pour Matthew R. Glotzbach, « la beauté du cloud est de pouvoir rajouter des fonctionnalités et des services pour le même prix ». Dernier ajout en date, la possibilité de gérer en temps réel les commentaires sur un document. Pour autant, Google se tourne vers l'avenir, « la voix et la vidéo sont des axes de travail », tout comme la mobilité qui « est un focus important de notre recherche ». En déplacement à Londres la veille, le responsable a aussi annoncé à nos confrères d'IDG News Service, que Google reproposera avant la fin de l'année des capacités de sauvegarde en mode déconnecté. L'éditeur avait utilisé son plug-in Gears pour cela, mais mise maintenant sur les fonctions du HTML 5 pour adapter ce service. Pour le reste, la roadmap des évolutions se fait aussi en fonction du retour des clients. Ainsi, la demande des administrateurs IT de pouvoir retarder les mises à jour de Google Apps qui touchent les interfaces graphiques a été prise en compte.

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(18/03/2011 14:20:02)

ExtremeLabs a testé vCloud Connector

Dans une configuration classique de cloud sous VMware, vous vous reposez sur des hyperviseurs ESX et vous aurez besoin d'exporter les machines virtuelles vers un emplacement temporaire, puis les importer dans un autre cloud. Vcloud Connector permet de réaliser cette démarche en une seule fois. La solution gère l'ensemble des clouds comme une appliance  et accomplit la tâche de déplacer une machine virtuelle (VM) d'un cloud à l'autre sans phase intermédiaire.

Tom Henderson et Brendan Allen, deux chercheurs de la société ExtremeLabs, ont installé une machine virtuelle dans leur infrastructure cloud VMware, puis ont ajouté le plug-in. Voici leur retour d'expérience. Sans rien faire d'autre qu'un clic droit sur « VM asset objects», nous avons déplacé plusieurs éléments des VM depuis notre NOC (Network Operation Center)de nFrame en utilisant quelques instances vCloud qui ont été allouées auprès de BlueLock, un service d'hébergement cloud basé ​​à Indianapolis. Les entreprises gardent généralement plusieurs instances et les activent en fonction de leur besoin (et du coût). Nous avons demandé aux personnels de BlueLock si nous pouvions avoir quatre vClouds distincts, chacun avec des instances capables de supporter une allocation standard de deux processeurs virtuels, quelques disques et un peu de mémoire. D'un clic droit les machines virtuelles sont transférées vers la destination cible. Dans notre cas, le déplacement s'est déroulé sans problème comme en situation de laboratoire.

Pour les besoins du test, nous nous sommes connectés à I-Land Internet Services, un autre fournisseur de vCloud, auquel nous avons acheté quelques instances. Nous l'avons provisionné de manière identique. Après avoir installé le plug-in, nous avons commencé à déplacer les machines virtuelles dans les clouds, sans problèmes comme si elles étaient à l'intérieur du laboratoire ou chez
nFrame.

Vademecum et critiques

L'installation de VCC est très simple. Il suffit d'un PC sous Windows avec au moins Internet Explorer 7 et vSphere dans une version 4.X. Deuxièmement, nous avons téléchargé un fichier OVF qui contient l'appliance virtuelle. Une fois importé dans notre infrastructure, nous avons lancé l'installation de VM, la connexion réseau, des identifiants et des mots de passe.  Ensuite, nous raccordons VCC à à vCenter via un serveur web pour l'utiliser comme un client vSphere.

Mais tout n'est pas aussi simple. L'interface graphique ne se met pas corectement à jour si des modifications extéieures ont été apportées à vCloud Director. Par exemple, nous avons créé un nouveau catalogue dans le vCloud Director de BlueLock et il ne s'est pas affiché jusqu'à ce que nous ayons redémarré le client vSphere. L'idéal aurait été un rafraîchissement des données. VMware explique que c'est sa façon de procéder, mais nous parions qu'il changera car c'est vraiment gênant. La commande Reload Data, utilisée pour mettre à jour l'état des objets, ne fonctionne pas non plus. Il est vrai que VCC est seulement en version 1.0.

Dans l'ensemble, le vCloud Connector est séduisant et pratique. Les limitations sont que vSphere nécessite IE7 + seulement, il n'y a pas actuellement d'actualisation efficace de l'état des objets et enfin il ne fonctionne pas avec d'autres outils VMware de transferts de machines virtuelles, comme High Aivailability Clustering ou VMotion. Mais c'est gratuit.

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