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(13/01/2011 17:05:50)
SAP enrichit sa gestion des identités en puisant chez Secude
Pour renforcer ses solutions de contrôle d'accès aux applications, SAP rachète les logiciels Secure Login and Enterprise Single Sign-On de son partenaire suisse Secude, ainsi que les actifs qui leur sont associés. Cette opération lui permet de récupérer des fonctionnalités de connexion sécurisée et de single sign-on (SSO), ainsi que des ressources dans les domaines du conseil et du développement, explique dans un communiqué l'éditeur allemand de solutions intégrées de gestion. De son côté, Secude restera une société indépendante et se recentrera sur ses logiciels de protection des données FinallySecure.
SAP indique vouloir fournir à ses clients, à partir du deuxième trimestre, une version de base du produit de connexion sécurisée, sans coût supplémentaire, afin de les aider à protéger leurs données des attaques de hackers. Le logiciel Secure Login, par exemple, authentifie l'utilisateur à l'aide d'un mot de passe unique basé sur RSA SecurID. Les environnements informatiques disposeront d'un mode de communication chiffré pré-configuré après l'installation sur le site client, ce qui permettra aussi de réduire le coût total de possession et les tâches d'administration, note l'éditeur.
Ce ne sont pas les premières solutions de gestion des identités acquises par SAP ces dernières années. Dans ce domaine, il avait déjà récupéré des outils avec l'absorption de MaXware et Virsa Systems. Mais ce nouveau rachat intervient peu de temps après la livraison, en décembre, d'une mise à jour comportant un « nombre significatif » de correctifs de sécurité pour la suite de gestion intégrée du groupe allemand, la Business Suite, ainsi que pour sa plateforme middleware NetWeaver. Sans que les deux événements puissent toutefois être directement reliés. En revanche, cette transaction apporte à SAP un bon argument face à son concurrent Oracle qui propose des solutions de gestion des identités pour les systèmes SAP.
Illustration : Démonstration du logiciel Secure Login for RSA SecureID (crédit : Secude)
L'étranglement des réseaux ad hoc en voie de résolution
La semaine dernière, au cours du Symposium on Discret Algorithms 2011 organisé par l'Association of Computing Machinery et la Society for Industrial and Applied Mathematics, Keren Censor-Hillel, un étudiant chercheur post-doctorant au Computer Science and Artificial Intelligence Laboratory du Massachusetts Institute of Technology (MIT) et Hadas Shachnai, professeur agrégé en informatique au Technion Israel Institute of Technology, ont présenté leurs travaux de recherche consacrés à la réduction des goulets d'étranglement qui peuvent avoir lieu dans les réseaux ad hoc. Leurs travaux auront probablement des conséquences très importantes dans le développement futur de réseaux de capteurs ad hoc, lesquels sont destinés à être largement utilisés dans les décennies à venir. Alors que les contraintes de coût et les besoins en énergie des processeurs continuent à baisser, il est devenu possible de les intégrer en grand nombre dans des capteurs de faible puissance. Ceux-ci pourraient être utilisés pour surveiller à peu près n'importe quoi, depuis l'activité sismique d'un volcan à la circulation routière.
Par nature, les réseaux ad hoc ne sont gérés par aucun appareil de contrôle, comme un routeur par exemple. En effet, chaque noeud d'extrémité se comporte lui-même comme un routeur, assurant le transfert des données qui lui parviennent ou en générant pour son plus proche voisin. Le design typique des réseaux ad hoc fait que chaque noeud d'extrémité choisit au hasard un autre noeud pour y faire passer ses données. Cette approche vise à garantir que le trafic est réparti uniformément sur tous les noeuds. Et si un noeud tombe en panne, un autre peut prendre le relais. Le problème de cette approche, ce sont les goulets d'étranglement qui se créent lorsqu'un petit nombre de nodes d'extrémité sont chargés de véhiculer l'ensemble du trafic.
Une découverte encourageante mais gourmande
L'algorithme développé par Keren Censor-Hillel et Hadas Shachnai répartit le trafic pour empêcher les engorgements. Dans leur approche, un noeud choisit alternativement un autre noeud au hasard pour chaque donnée qui doit être transportée. Dans le tour intermédiaire, le noeud dirige le trafic non pas au hasard, mais vers un noeud avec lequel il n'a pas récemment communiqué. Pour Alessandro Panconesi, professeur d'informatique à l'Université Sapienza de Rome et expert en analyse des réseaux, cet algorithme apporte « une contribution intéressante » au problème. « Essentiellement, un noeud de ce réseau peut se réveiller et commencer à fonctionner à l'aide de cet algorithme, et si chaque noeud de ce réseau agit de la même manière, cela apporte des capacités de communication à l'ensemble du réseau, » a-t-il commenté dans un communiqué.
Celui-ci émet cependant une réserve : dans sa forme actuelle, cet algorithme est encore trop complexe pour fonctionner avec des outils de calcul simples. Parce que les équipements composant les réseaux ad hoc ont une puissance de calcul limitée et que la durée de vie de leur batterie est restreinte, ils exigent des protocoles réseau très simples. « L'algorithme est très gourmand en termes de quantité d'information à échanger,» a-t-il estimé. Néanmoins, selon lui, la simplification de cet algorithme est tout à fait possible.
L'ARCEP va accueillir un nouveau membre, l'Etat
Les voeux 2011 de l'ARCEP avaient un air de ring de box entre d'un côté, le ministre délégué à l'industrie, Eric Besson et le président de l'ARCEP, entouré de son collège. Raison de cette tension, un amendement déposé par le Gouvernement dans la loi de transposition en droit français du paquet télécom, qui prévoit la nomination d'un commissaire du Gouvernement auprès de l'ARCEP. Cet amendement stipule que ce commissaire « fera connaître les analyses du Gouvernement, en particulier en ce qui concerne la politique en matière postale et de communications électroniques. [...] Il peut faire inscrire à l'ordre du jour de la commission toute question intéressant la politique en matière postale ou de communications électroniques ou entrant dans les compétences de l'autorité. L'examen de cette question ne peut être refusé. » Eric Besson a dans son discours lors des voeux du régulateur « assuré qu'il ne s'agissait en aucune manière d'une tutelle de l'Etat ».
Le Président de l'ARCEP a profité de son intervention pour préciser « je ne crois pas que le dialogue, l'échange, l'écoute soient contradictoires avec l'indépendance. Ils en sont, bien au contraire, le contrepoids. Il convient toutefois de garder en tête la ligne au-delà de laquelle la coopération devient de la confusion. » et de faire référence à la crise du Crédit Lyonnais dont les origines seraient à trouver dans la confusion entre l'Etat régulateur et actionnaire. Il rappelle en guise d'avertissement « Ces deux missions de l'Etat doivent demeurer soigneusement séparées, sauf à porter atteinte à la crédibilité du régulateur comme du Gouvernement »
Des autorités très administratives et moins indépendantes
Il y a quelque chose de savoureux dans l'échange entre le ministre et le président de l'ARCEP. Lors de la nomination de Jean-Ludovic Silicani à la tête du régulateur, celui-ci avait repris les orientations de son furtif prédécesseur Jean Claude Mallet, en soulignant bien le caractère administratif de l'institution pour minimiser l'aspect indépendance. Après une régulation juridique, puis économique, le gendarme des télécoms est rentré dans une phase administrative. Certains soupçonnaient déjà à l'époque un retour de l'Etat dans la régulation économique. L'annonce de la nomination d'un commissaire du Gouvernement s'inscrit dans cette tendance initiée depuis quelques années auprès des autorités administratives indépendantes. Ce poste existe ainsi déjà pour la commission de régulation de l'énergie.
Le fameux commissaire pourra aussi récolter des informations en vue de préparer la fusion souhaitée par Eric Besson entre le CSA, l'ANFR (Agence Nationale des Fréquences) et l'ARCEP. Il pourra surtout être au coeur des discussions entre opérateurs et régulateur sur l'attribution des prochaines licences sur la 4G. Jean-Ludovic Silicani a déjà choisi son angle d'attaque pour sauvegarder l'indépendance de l'Autorité, la défense des consommateurs.
Crédit Photo: ARCEP
(...)(13/01/2011 12:27:14)Créer des sites web plus simplement avec Microsoft WebMatrix
A l'occasion de la conférence développeurs CodeMash Web à Sandusky dans l'Ohio (du 14 au 21 janvier), Microsoft a prévu de dévoiler une plate-forme regroupant toutes les ressources pour développer rapidement de petits sites web, annonce l'éditeur sur un des ses blogs.
« Avec WebMatrix, nous simplifions la façon de créer des sites web, et notamment tout ce dont vous avez besoin pour construire, gérer et déployer votre web site gratuitement », écrivait sur son blog Laurence Moroney, évangéliste technologique chez Microsoft. En utilisant la plate-forme web ASP (Active Server Pages), et le pack logiciels regroupant IIS Developer Express, une version light du serveur web maison, et SQL Server Compact Edition, une base de données légère.
Des templates prêts à l'emploi
Pour aider à la conception du design du site web, le logiciel inclut un certain nombre de modèles prêts à l'emploi. En complément, les utilisateurs peuvent également importer des templates reposant sur les langages ASP ou PHP, notamment tous ceux proposés par Umbraco WordPress, Joomla, DotNetNuke ou d'autres systèmes de gestion de contenus. Et pour monter en puissance, le code généré à partir de WebMatrix peux être utilisé dans Visual Studio et SQL Server.
Tous les composants de WebMatrix sont intégrés afin d'offrir un design unifié et de faciliter le déploiement du site web. La solution comprend également des liens vers un certain nombre de fournisseurs d'hébergement. Une fois qu'un prestataire est choisi, le logiciel peut télécharger automatiquement le contenu du site web à cet emplacement.
(...)(13/01/2011 12:34:58)
Steria et Capgemini décrochent la maintenance de Chorus
L'Agence pour l'informatique financière de l'Etat, l'AIFE, a retenu le groupement mené par Steria et Capgemini France pour assurer la maintenance de Chorus, l'application de gestion des finances qui met en oeuvre les dispositions de la Lolf (loi organique relative aux Lois de Finances). Il s'agit pour les prestataires d'un contrat de six ans s'élevant à 120 millions d'euros environ. L'AIFE est chargé de piloter le système d'information financière de l'Etat, basé sur les solutions logicielles de l'éditeur SAP. Ce projet Chorus est déployé depuis juin 2008 par programmes et en plusieurs vagues. La dernière vague de déploiement est programmée pour ce début d'année.
Un chantier complexe qui a connu des retards
On se souvient qu'il y a un peu moins d'un an, en mars 2010, la Cour des comptes s'était inquiétée des retards que subissait cet imposant chantier. A l'époque, l'institution de contrôle des comptes publics avait adressé un référé à Eric Woerth, alors ministre du Budget, remplacé depuis par François Baroin. Elle s'y plaignait de la complexité des informations comptables qui rendait difficile, pour elle, la vérification du budget. Alors même que l'objectif du projet visait à rationaliser les processus comptables et à améliorer la transparence de la gestion publique.
Capgemini et Steria rappellent qu'ils accompagnent depuis plusieurs années l'Etat dans la mise en oeuvre de la Lolf. Le nouveau système d'information doit être utilisé à terme par quelque 50 000 utilisateurs, dont 25 000 travailleront avec les applications de SAP. Chez Steria, les 150 collaborateurs participant au projet pourront intervenir sur la maintenance de Chorus, notamment à partir du centre de services SAP installé à Toulouse.
Illustration : Ministère du budget (crédit : D.R.)
Selon une étude européenne, les jeunes internautes français plus prudents sur le web
Réalisée par la London School of Economics auprès de plus de 25 000 jeunes de 9 à 16 ans, cette étude révèle que les deux problèmes les plus courants rencontrés par les jeunes internautes sont l'accès à des contenus malsains en ligne et l'usage excessif d'Internet. Ils sont par exemple 21% chez les 11-16 ans à avoir été confrontés à des contenus malsains, comme des messages de haine contre certains groupes (12%), des messages pro-anorexiques (10% en moyenne mais 19% chez les filles de 14-16 ans), des appels à l'automutilation (7%), à la prise de drogues (5%) ou au suicide (5%).
Cependant, ces chiffres s'avèrent moins élevés en France. L'Hexagone serait même le pays de l'UE le moins touché par ce genre de problèmes. Ainsi, 14% des jeunes Français interrogés ont déjà été exposés à ce type de contenus en ligne. C'est 7 points de moins que la moyenne européenne (21%), et deux fois moins qu'en Norvège ou en République tchèque (23%). "L'enquête montre aussi que ce que les adultes identifient comme un problème ne l'est pas forcément pour leurs enfants. Par exemple, 14% des enfants ont vu des images sexuelles sur Internet, mais ils sont seulement un tiers à estimer que cela a été une expérience pénible" indique le rapport de l'étude. A l'inverse, les messages agressifs ou blessants sur Internet peuvent générer plus de souffrance chez les jeunes. 6% des 9-16 ans ont déjà reçu ce type de messages, mais les deux tiers de ceux qui en ont reçu ont été "assez" ou "très" tracassés.
Attention aux drogués du web
Par ailleurs, 23% des jeunes Européens évoquent un problème lié à l'usage excessif d'Internet, comme le fait de négliger ses amis, manquer de sommeil, ou rencontrer des difficultés à l'école. Ce dernier chiffre est à mettre en perspective avec la multiplication des accès à Internet dans l'environnement des enfants. 87% peuvent ainsi se connecter à la maison, 63% à l'école, 53% chez des amis, et 42% chez d'autres membres de leur famille. Ils sont même 49% à se connecter dans leur chambre. Le surf dans la chambre à coucher concerne 74% des jeunes Danois, alors que les petits Français sont en-dessous de la moyenne européenne (41%).
Ils sont également 93% à se connecter à Internet au moins une fois par semaine, et 60% le font tous les jours ou presque. En moyenne, ils y passent 1 heure et demi par jour, et la moitié déclarent "se sentir plus eux mêmes" sur le Web que dans leurs relations en face à face.
Les filles plus prudentes sur Facebook
Quant au phénomène des réseaux sociaux, il touche une majorité des jeunes : 59% des 9-16 ans (et 81% des 15-16 ans) ont au moins un profil sur un site de réseau social, qui demeure public dans 26% des cas, les filles étant plus nombreuses à imposer un accès privé à leur page. A noter, si ces utilisateurs communiquent essentiellement avec des personnes qu'ils connaissent déjà, un quart d'entre eux sont toutefois en contact avec des inconnus, lors de chats ou de jeux en ligne.
L'enquête EU Kids Online a été financée par la Commission européenne et réalisée par la London School of Economics entre mai et août 2010 dans 25 pays européens auprès de 25.140 enfants âgés de 9 à 16 ans, utilisateurs d'Internet, et un de leurs parents.
(...)(13/01/2011 11:58:30)iPad, Oracle, Google : Wozniak revient sur l'année 2010
La reconnaissance vocale doit avancer pour être capable d'« interpréter une grande variété de commandes », a déclaré Steve Wozniak, lors d'un événement dans la Silicon Valley. Le gourou a également salué l'iPad Apple et considère les tablettes sous Android comme les principaux concurrents. Il émet des doutes sur les capacités de Microsoft a à devenir un acteur important sur ce marché. En ce qui concerne Windows, il porte « trop de sentiments négatifs » sur l'OS de Microsoft basé sur ses propres expériences.
Il s'est ensuite prononcé sur les acquisitions d'Oracle et sur Google. « Les opérations de croissance externe d'Oracle s'apparentent à la volonté de rivaliser avec HP » souligne l'ancien employé de HP. Il avoue sa préférence pour Google, qui a un modèle économique conçu comme celui de la télévision, dans lequel il offre des services gratuits et les monétisent avec de la publicité.
Le SSD et fier d'Apple
Pour les entreprises, Steve Wozniack souligne la tendance récente de passer à la technologie Flash NAND pour les disques durs. Déjà, un dixième du trafic Internet provient de puces NAND Flash au lieu de disques durs classiques, déclare le directeur scientifique de Fusion-io, spécialiste de cartes de mémoire cache en Flash.
Celui qui le premier a quitté Apple en 1981, pour ensuite y retourner au milieu des années 80, s'est déclaré fier des récents lancements de son ancienne société. Il a cité les succès du téléphone portable iPhone, le lecteur de musique iPod, la tablette iPad, et les magasins de détail en ligne d'Apple, mais les exégètes auront remarqué l'absence de l'Apple TV dans son concert de louanges. (...)
NetApp s'offre Akorri Networks, un spécialiste de la virtualisation
NetApp a indiqué hier qu'il allait acquérir Akorri Networks, un éditeur de logiciels spécialisé dans l'optimisation des serveurs, le stockage et la performance des applications, pour un montant non encore communiqué. Les produits d'Akorri devraient permettre à l'entreprise d'étendre les fonctionnalités de NetApp OnCommand, sa gamme d'outils de gestion et d'optimisation du stockage. La plate-forme Akorri BalancePoint est utilisée par les administrateurs pour résoudre les incidents, optimiser, planifier et gérer les niveaux de service dans des environnements physiques et virtuels. Sa technologie rassemble les données sans requérir l'utilisation d'agents. Pour les services informatiques le fait de manier deux systèmes virtuels et physiques en même temps a tendance à gagner en importance.
Une plate-forme compatible avec de nombreuses solutions du marché
Même si les entreprises ont fait basculer bon nombre de leurs applications dans des environnements virtuels. elles sont encore nombreuses à les faire tourner sur des serveurs physiques. BalancePoint fonctionne sur de nombreux systèmes d'exploitation et de stockage et applications d'entreprise. La plate-forme est également compatible avec les commutateurs dédié au stockage de Brocade et de Cisco Systems, ainsi qu'avec les solutions de virtualisation développées par Microsoft et VMware. Akorri Networks a été fondée en 2005. Située à Littleton (Massachusetts), la firme compte parmi ses clients des entreprises comme Crocs ( un fabricant de chaussures), Time Warner Telecom et eBay.
Illustration : système de stockage NetApp FAS6200. Crédit photo : D.R
(...)
Un site pour lutter contre le phishing en France
L'éditeur de logiciels Microsoft, le site de paiement en ligne Paypal, et la société informatique française Cert-Lexsi ont lancé en France, une plateforme Internet permettant de lutter contre les sites frauduleux. Les internautes pourront ainsi signaler en quelques clics les sites francophones de phishing.
Baptisée « Phishing Initiative », cette opération consiste à inciter les internautes à signaler un site francophone suspecté d'« hameçonnage », une escroquerie visant à soutirer des informations personnelles (coordonnées bancaires, numéro de téléphone, etc.). Les sites signalés comme suspects pourront, après vérification, être bloqués des navigateurs web. Sur Internet Explorer, Microsoft assure que le blocage s'effectuera « en moins d'une heure », au lieu de 48 heures précédemment.
Les internautes détectant un site suspect peuvent dès à présent soumettre son adresse au site http://phishing-initiative.com.
(...)(13/01/2011 09:52:18)Les tablettes n'échappent pas à la taxe sur la copie privée
Réunie hier, la Commission copie privée, chargée d'établir le barème des taxes s'appliquant aux supports numériques (CD, DVD, cartes mémoires, etc.), a adopté de nouvelles tarifications selon différentes catégories de supports. La taxe sur les mémoires de stockage type disque dur/lecteur MP3 ou autoradios sera par exemple de 1 euro par appareil pour une capacité de 128 Mo, et de 20 euros pour des capacités supérieures à 20 Go.
Egalement concernées, les tablettes tactiles multimédias avec fonction baladeur, dotées d'un système d'exploitation pour terminaux mobiles ou d'un système d'exploitation propre. Il faudra ainsi compter 8 euros pour une tablette dont la mémoire interne est comprise entre 10 et 20 Go, 10 euros entre 20 et 40 Go, et 12 euros pour un modèle de plus de 40 Go.
L'iPad, disponible en trois versions (16, 32 et 64 Go), sera ainsi taxé à hauteur de 8, 10 et 12 euros. Les tablettes fonctionnant sous le système d'exploitation Google Android, comme la Samsung Galaxy Tab, les tablettes d'Archos ou celles de Toshiba, seront également taxées. La taxe devrait prendre effet après publication au Journal Officiel, probablement au 1er février 2011. La redevance pour copie privée compense le droit d'une personne à reproduire un oeuvre pour son usage privé en redistribuer les recettes de la taxe aux ayants droit (auteurs, interprètes, etc.).
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