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(22/12/2010 16:10:41)
Teradata s'offre l'éditeur de logiciels marketing Aprimo
La transaction devrait être finalisée au premier trimestre de l'année prochaine. Aprimo commercialise une gamme de solutions en mode SaaS (software as a service) destinée aux marchés BtoB (business to business) et BtoC (business to consumer). Teradata envisage de combiner la technologie de l'éditeur avec ses propres outils d'analyse et de datawarehouse, ce qui devrait permettre à ses clients d'exécuter des campagnes marketing plus rapidement et plus efficacement sur plusieurs canaux. Cette annonce fait suite à l'acquisition d'Unica, l'un des concurrents d'Aprimo, par IBM, un peu plus tôt cette année. Des sociétés telles que Neolane, SAS Institute et Alterian proposent également un logiciel similaire. (...)
(22/12/2010 15:41:59)Microsoft ouvre un site laboratoire pour le HTML5
Microsoft a inauguré son site HTML5 Labs, qui doit permettre aux développeurs de tester et d'expérimenter les différentes spécifications du langage web. Avec ce site, placé sous l'autorité du Microsoft Interoperability Strategy Group, la firme de Redmond veut susciter la réalisation de prototypes selon les standards établis par le World Wide Web Consortium (W3C) qui supervise le développement de l'Internet et notamment le déploiement de HTML5. Ce langage doit normalement introduire des fonctionnalités multimédia et des capacités de communications bidirectionnelles aux applications web. « Ces tests nous permettront d'avoir des échanges avec la communauté des développeurs, d'acquérir une expérience dans la mise en oeuvre de projets répondant à ces spécifications, et d'avoir un retour pour améliorer les prochains standards,» a déclaré dans un blog Jean Paoli, directeur général en stratégie d'interopérabilité chez Microsoft. « Le HTML5 Labs offrira aussi à la communauté un peu de visibilité sur les spécifications les plus récentes et intéressantes, mais que nous ne pouvons pas encore considérer comme aptes à figurer dans un produit. »
L'IndexedDB et le WebSockets seront les premières API expérimentales disponibles. La première utilise des index permettant des recherches très évoluées sur les données. Elle doit autorise le stockage de grandes quantités de données structurées dans un navigateur Internet afin notamment de contribuer au pré-chargement et au stockage en arrière-plan de pages susceptibles d'être consultées par l'utilisateur y compris hors connexion. Quant au WebSockets, c'est un protocole réseau qui doit simplifier la complexité des communications bidirectionnelles et fullduplex sur un socket TCP unique pour les navigateurs et les serveurs Web. L'API, en cours de standardisation par le W3C, pourra être utilisée par n'importe quel client ou serveur d'applications. S'adressant aux développeurs, Jean Paoli écrit : « Travaillez avec ces prototypes et dites-nous, à nous et aux autres participants de ce groupe de travail, si ces API sont utilisables. Elles sont à votre disposition afin de contribuer à améliorer les spécifications finales.»
Contribution à IE9
Sur son site HTML5 Labs, Microsoft prévient que ces expérimentations sont instables et qu'elles sont amenées à évoluer. L'éditeur, qui prévoit d'intégrer le support HTML5 dans la prochaine version d'Internet Explorer 9, pense aussi que, grâce à son site laboratoire, les développeurs disposeront d'une base stable pour réaliser leurs expériences sur IE9. «De nombreuses technologies HTML5 sont encore en phase de développement actif. Notre approche vise à offrir aux développeurs de meilleurs choix et de leur éviter de se disperser dans leur travail autour des standards. Le navigateur IE9 dispose d'un support HTML5 sur lequel les développeurs et les consommateurs peuvent compter,» a déclaré dans un blog Dean Hachamovitch, vice-président pour Internet Explorer chez Microsoft. « Nous allons aussi offrir aux membres du laboratoire plus de technologies expérimentales en cours de développement. En séparant clairement les implémentations prototypes des produits grand public destinés au navigateur actuel, nous pouvons ainsi éviter pas mal d'erreurs. » Alors que la technologie Rich Internet Application (RIA) Silverlight de Microsoft est considérée comme concurrente de la version 5 du langage web, l'éditeur a néanmoins des projets de développement pour les deux.
Bilan tablettes 2010 : L'an 1 du phénomène
Après la vague netbook, le produit phare de cet fin d'année en France devrait être la tablette tactile. « C'est l'heure des ardoises médias, et de tous les terminaux qui peuvent prendre place entre les smartphones et les PC portables, estimait le cabinet IDC dans une étude publiée au printemps 2010. La forte demande des consommateurs sera entraînée par le nombre et la variété des services et des contenus disponibles ». Emboîtant le pas à l'iPad d'Apple et marqués par l'énorme succès dont il a bénéficié - plus de deux millions d'unités vendues en seulement deux mois - de nombreux constructeurs se sont lancés dans l'aventure des tablettes avec un état d'avancement plus ou moins long : Asus avec l'Eeepad, au même titre que MSI, avec sa WinPad faisaient partie des premiers à s'engouffrer dans la brèche, avant d'être rejoints par d'autres fabricants comme Dell et sa Streak sous Android, Samsung et sa Galaxy Tape, ou encore la Folio de Toshiba. De son côté, HP devrait bientôt annoncer la sortie d'Hurricane, un terminal tournant sous le WebOS de Palm, tandis que chez RIM, le lancement commercial de sa tablette Playbook est programmé début 2011 aux Etats-Unis.
Les tablettes ne devraient pas remplacer les PC
Selon Gartner, il aurait été vendu cette année pas moins de 19,5 millions de tablettes dans le monde, dont 61% aux Etats-Unis. Le marché devrait encore progresser de 181% en 2011 à près de 55 millions d'unités. Mieux, le cabinet d'analyste estimait il y a quelques mois que ce secteur se décuplerait en 4 ans, pour atteindre 208 millions d'exemplaires écoulés en 2014. Pourtant, certains ne partageaient pas du tout cet optimisme. Dans un rapport publié en décembre le cabinet Deloitte considérait que le marché mondial ne devrait s'établir qu'à plusieurs dizaines de millions d'exemplaires livrés en 2014. Selon lui, l'utilité des tablettes serait assez limitée, aussi bien pour le marché grand public que pour le marché professionnel, en raison d'une offre de contenus étroite et également de la nécessité de s'abonner auprès d'un opérateur mobile D'où un taux de croissance des ventes qui serait inférieur à ce qui est attendu par d'autres. De plus Gartner considérait que les tablettes ne remplaceraient qu'environ 10% des ordinateurs de bureau d'ici à 2014, ces terminaux n'étant pas susceptibles de développer les capacités étendues de création de contenu que les utilisateurs trouvent dans les PC.
Les entreprises s'y intéressent aussi
En attendant, les prochaines générations de tablettes tactiles pourront bientôt exécuter plusieurs systèmes d'exploitation et faire tourner de puissantes applications cloud. Selon les analystes du groupe Linley, des processeurs plus rapides devraient permettre à ces appareils d'exécuter les applications plus rapidement, et la virtualisation pourra aider à une consolidation des applications, c'est-à-dire à un usage optimisé des ressources. Enfin, le Gartner conseille aux entreprises de se pencher sérieusement sur l'impact de l'iPad et des tablettes PC en général. Le cabinet recommande à ces dernières de se préparer à soutenir les utilisateurs et de budgétiser un plan en ce sens pour la mi 2011. L'intégration de ces équipements au sein des entreprises commence à faire son chemin, comme chez Natixis ou Mercedes-Benz, qui ont déjà équipé quelques salariés sur des métiers spécifiques, comme les forces de vente et d'autres professions nomades. Le secteur public avec le secteur médical ou l'éducation nationale testent depuis quelques mois ces tablettes au sein des hôpitaux ou des écoles.
(...)
Le dossier médical personnel séduit les français
Rendus public mardi 21 décembre, les résultats de cette étude révèlent que les habitants des grandes agglomérations de plus de 100.000 habitants sont beaucoup plus emballés par le dispositif que les Français résidant en zones rurales (76 contre 69%). Le sondage rapporte également que les cadres et les professions intermédiaires sont les catégories socioprofessionnelles les plus favorables à ce dossier médical virtuel, soit 82%. A contrario, les ouvriers sont moins nombreux (70%) à être intéressés par le dossier médical personnel.
Dernier constat, seules 22% des personnes interrogées âgées de 65 ans et plus ne sont pas favorables au dispositif.
Ce sondage a été réalisé par téléphone par l'institut ViaVoice, les 16 et 17 décembre derniers, auprès d'un échantillon de 1.005 personnes représentatif de la population française.
La FCC adopte les règles sur la neutralité du Net
Après plusieurs années de débat, la FCC a donc voté un texte concernant la neutralité du net. Les principes étaient plus ou moins connus et peuvent se classer ainsi, interdiction du filtrage et du blocage de contenu, d'application, de service ou de terminal par les opérateurs. Seuls les sites légaux sont concernés, les applications ne font pas partie du périmètre. On note aussi la possibilité pour les opérateurs de proposer une tarification à l'usage selon le niveau de service et d'utilisation de bande passante. Les entreprises pourront ainsi offrir des services spécialisés en dehors de l'Internet public pour décongestionner les réseaux.
Sur ces derniers, la FCC fait une distinction entre haut débit mobile et filaire. Les opérateurs de téléphonie mobile disposeront de moins de contraintes sur le blocage de contenu. Pour le président de la FCC, il s'agit de protéger les évolutions d'un marché non mature et en plein développement.
Les consommateurs inquiets
Selon les critiques, les règles adoptées prévoient moins de protections pour les abonnés haut débit mobile, pouvant conduire à une fracture de l'Internet. Le texte défendu par le président de la FCC Julius Genachowski, ne ferait pas distinction entre haut débit mobile et filaire entraînant une « discrimination injustifiée » sur le trafic web. Le plan de Julius Genachowski a été approuvé après plus de sept ans de débat sur la neutralité du net. Il a défendu ces règles comme étant « forte et équilibrée ».
Illustration : Julius Genachowski, Président de la FCC
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« A l'heure actuelle, la liberté et l'ouverture de l'Internet ne sont pas protégés, dit-il. Et d'ajouter, « cela signifie pas de règles inscrites dans les codes pour protéger les valeurs de base d'Internet. Aucun processus de surveillance pour garantir un Internet ouvert avec des modèles technologiques et commerciales qui évoluent. Aucun recours pour les chercheurs, les consommateurs lésés par des pratiques abusives. Et pas de visibilité pour les fournisseurs de services Internet, pour pouvoir gérer efficacement les investissements dans les réseaux haut débit. »
Les politiques critiques
Des critiques se sont élevés aussi sur le plan juridique, par Robert McDowell, membre de la commission, qui conteste ce plan. Il estime que « ce vote est une tentative de contourner une décision rendue en avril dernier par une cour d'appel de Washington annulant une décision informelle de la FCC d'appliquer certains principes de neutralité du net ». Il prédit d'ailleurs que « les règles adoptées mardi seront attaquées pendant des années devant les tribunaux ». Le National Journal a indiqué que Verizon réfléchissait à saisir la justice sur ces nouvelles règles. Un porte-parole de l'opérateur n'était pas immédiatement disponible pour commenter.
Robert McDowell a fait valoir que l'Internet fonctionne et que la nouvelle réglementation nuirait à l'investissement dans le haut débit. Par ailleurs, l'action de la FCC rentrerait en conflit avec le Congrès, où environ 300 parlementaires ont soulevé des préoccupations au sujet de ces règles. Il indique n'avoir recensé qu'un nombre limité d'exemples de violations de la neutralité du net ces dernières années et la FCC a résolu ces cas en faveur des consommateurs.
Julius Genachowski est en désaccord avec ces propos, en estimant que les investisseurs ont besoin de règles uniformes pour l'avenir. « Certains nous disent de ne pas essayer de réparer ce qui n'est pas cassé, et que les règles pour protéger la liberté sur Internet décourageraient l'innovation et l'investissement. Nous avons entendu des entrepreneurs autant, les ingénieurs, les capital-risqueurs, les PDG et les autres personnes qui travaillent quotidiennement à inventer et à distribuer des produits Internet et donc à maintenir le leadership américain en matière d'innovation Leur message est clair: la prochaine décennie d'innovation dans ce secteur comporte des risques sans règles raisonnables. »
(...)(22/12/2010 10:10:42)
IDC : iPhone 4 et Android stars du troisième trimestre en Europe
Selon les chiffres d'IDC, 18,9 millions de smartphones ont été vendus en Europe occidentale à l'occasion du troisième trimestre, soit une progression de 109% par rapport à la même période il y a un an. Une croissance que n'ont pas connue les téléphones mobiles classiques, en chute de 17% à 31,7 millions d'unités. La part des téléphones « intelligents » dans les ventes globales de mobiles s'élèvent ainsi à 37% en Europe de l'Ouest.
Ce boom des smartphones est en grande partie lié au succès de l'iPhone 4 d'Apple, sorti un peu plus tôt cette année, ainsi qu'à la multiplication des modèles tournant sous Android, le système d'exploitation ouvert de Google. Apple se positionne ainsi comme le deuxième vendeur de smartphones sur ce marché, avec 4,5 millions d'exemplaires écoulés de juillet à septembre (+101,6%). Au classement général, la firme américaine est même troisième, derrière Nokia et Samsung. Derrière la marque à la pomme, c'est Research In Motion, le fabricant canadien connu pour ses BlackBerry, qui complète le podium avec 2,6 millions d'exemplaires vendus (+85,6%).
Nokia, un leader aux pieds d'argile
Les plus fortes progressions sont toutefois à mettre à l'actif des marques qui ont largement adopté le système Android sur leurs smartphones, comme Sony Ericsson (2 millions d'unités vendues, en hausse de 3.304%), ou HTC (1,9 million, +162%). Quant à Nokia, leader continental et mondial du marché des téléphones mobiles, il reste en tête, mais ses ventes de smartphones progressent moins vite que celles de ses concurrents (6 millions, +45%). Près d'un smartphone sur trois vendu en Europe de l'Ouest porte tout de même le logo de la marque finlandaise.
Dans le classement des ventes par systèmes d'exploitation, si la plateforme de Symbian, qui équipe la plupart des appareils Nokia, domine encore les débats, IDC prédit une montée en flèche d'Android. L'OS de Google passerait, en 2011, devant Symbian et iOS (Apple).
(...)(22/12/2010 10:06:05)La FFF connecte ses sites distants en VPN et fibre
La Fédération Française de Football (FFF) dispose de 135 sites à travers le territoire national : 2 liés au siège en Ile-de-France (le social et le service communication hébergé dans une agence), 31 ligues et 102 districts. Elle cherchait un nouveau système de connexion datas entre ses sites, un accès Internet partagé et une solution de sécurité managée.
L'amélioration de la bande passante était l'un des critères majeurs de la FFF. En effet, les échanges entre sites sont très nombreux (mails...) et peuvent comporter des éléments très volumineux (supports d'information et de communication, vidéoconférences...).
A l'issue d'une mise en compétition, la FFF a choisi l'offre de VPN/IP associé à du FTTO [Fiber To The Office] proposée par Completel devant celles de deux partenaires officiels de l'organisation sportive. Le FTTO ne concerne que les deux sites parisiens et une dizaine de ligues.
Le contrat, dont le montant n'a pas été dévoilé, a été conclu pour trois ansF
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