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(11/10/2010 15:28:35)

Provemploi 2010 : accéder à plus de 6 000 offres IT en région

Provemploi, le salon de l'emploi et des projets en région, ouvrira ses portes demain à l'Espace Champerret de Paris. Pour sa huitième édition, ce rendez-vous annuel de la mobilité réunira une centaine d'exposants, des groupes
nationaux, des PME régionales, des cabinets de recrutement et également des SSII comme Sogeti, Sopra Group, Logica, Apside, Unis, ou encore Groupe Open.
5 000 visiteurs sont attendus sur le salon, des profils de niveau Bac+2  et Bac+5, pour la plupart. Ils pourront accéder à un total de 20 000 offres d'emploi, dont 25% concernent le secteur informatique.

Des contacts pour créer ou reprendre une entreprise

Des réseaux de franchise proposeront aux visiteurs des dizaines de concepts à développer en régions. Les collectivités locales (agglomérations, conseils régionaux, conseils généraux), fortement représentées, exposeront, en parallèle, leur cadre de vie mais aussi leurs opportunités professionnelles en termes d'emplois, de création et également de reprise d'entreprises. Un village baptisé « Projets en Campagne » accueillera tout particulièrement les porteurs de projets en milieu rural.  Des sociétés de portage salarial aideront également les candidats qui souhaiteraient travailler à leur compte, en province. Enfin, des professionnels de la mobilité et de l'installation seront disponibles pour aborder les aspects purement logistiques, comme le déménagement, le logement et l'intégration une fois sur place.

(...)

(11/10/2010 15:33:44)

Les sites de médias français, cible d'attaques DDoS

En France, un important hébergeur s'efforce de protéger les sites Internet de ses clients représentant des médias européens. Ce qui signifie notamment pour lui de repousser les attaques de déni de service (DDoS, distributed denial-of-service attacks), lesquelles ont déjà provoqué dans le passé le plantage de plusieurs sites. La persistance de ces attaques laisse penser qu'elles sont déclenchées par des lecteurs en colère qui veulent exprimer leur désapprobation vis-à-vis de certaines informations. « Nous avons subi beaucoup d'attaques DDoS visant principalement les sites de journaux en ligne », a indiqué Salim Gasmi, directeur technique et directeur technique chez SvD Plurimedia, qui compte parmi sa clientèle des médias européens bien connus comme Le Figaro, Les Echos ou encore la chaîne de télévision Arte, ainsi que des sociétés de services bancaires.

Un flot de requêtes SYN

« Même si l'origine et le motif de ces attaques DDoS ne sont pas tout à fait clairs, celles-ci se produisent généralement à des périodes où l'information se rapporte au Moyen-Orient », précise Salim Gasmi. « C'est une colère d'origine politique », explique t-il, ajoutant que ces types d'attaques se produisent de manière régulière depuis plus de dix ans. « Les nouvelles relatives au Moyen-Orient peuvent déclencher une avalanche de SYN émis depuis des ordinateurs qui semblent se trouver dans plusieurs endroits à travers le monde, y compris le Brésil, la Russie et la Chine, et contrôlés par un attaquant depuis un lieu inconnu », déclare le directeur technique de SvD Plurimédia. Les outils pour réaliser ce type d'attaques semblent faciles à trouver. Une attaque bien dirigée, consistant à envoyer un flot de requêtes SYN à hauteur de 10 Mbps et visant à provoquer un déni de service (cela exigerait au plus l'utilisation de 100 ordinateurs en mode attaque) serait suffisant pour placer un site Web sous énorme pression et peut-être même le mettre temporairement hors d'état. « Certaines attaques peuvent atteindre les 3Gbps », a-t-il indiqué.

Mais SvD Plurimedia n'est pas la seule entreprise à devoir faire face à des attaques politiquement motivées. Le rapport que publie Symantec cette semaine, intitulé « Symantec 2010 Critical Infrastructure Protection Study » est le résultat d'une enquête menée auprès de 1 580 entreprises à travers le monde. L'éditeur de logiciels antivirus a voulu savoir si elles avaient été la cible « d'attaques politiquement motivées », y compris éventuellement de cyberattaques terroristes ou derrière lequelles se profilerait un Etat, visant à voler des informations sensibles ou à faire tomber un réseau. Symantec a constaté que la moitié des responsables informatiques de ces entreprises pensaient avoir été victimes d'une attaque de ce genre.

Un effet en cascade sur les serveurs du datacenter

Quant à Salim Gasmi, il était certain que, à partir du moment où SvD Plurimedia avait décidé de faire entrer des médias dans son portefeuille clients, l'hébergeur aurait à faire face à ce type d'attaques et à se défendre contre les DDoS - et vite. La question était de trouver les moyens de détecter les prémices d'une attaque DDoS, puis de drainer efficacement le trafic hostile, tout en essayant de ne pas perturber le bon trafic. Et ce n'est pas facile. L'une des complexités vient du fait que les attaques massives en SYN peuvent provoquer un effet en cascade sur les serveurs du datacenter. « Lorsqu'un client est ciblé par une attaque, et si cette attaque est puissante, il faut rendre tous les sites non dynamiques. C'est un cauchemar », explique Salim Gasmi. 

En quelques années, l'hébergeur a cherché différentes manières de gérer ses serveurs, différentes configurations réseaux, divers moyens pour atténuer les attaques, des systèmes de prévention contre l'intrusion et des pare-feu. Les derniers équipements, basés sur les systèmes Peakflow SP et Peakflow SP Threat Management System d'Arbor Network, et mis en place depuis environ un an, se sont avérés parmi les plus efficaces pour filtrer les attaques de trafic, notamment grâce à une technologie de redirection qui permet d'alléger le poids du trafic indésirable.  « Bien que très efficace, l'équipement anti-DDoS n'est pas parfait et il est possible qu'une certaine quantité de trafic légitime passe à la trappe », fait remarquer Salim Gasmi. « Mais les sites Web résistent beaucoup mieux qu'avant. »

Certains hébergeurs proposent des services anti-DDoS

Aux États-Unis, certains opérateurs, comme AT & T notamment, proposent en option des services anti-DDoS. Salim Gasmi dit pour sa part traiter avec neuf opérateurs différents en France, mais aucun ne prévoit de service anti-DDoS, de sorte qu'il a dû investir et construire sa propre ligne de défense. Il aimerait bien que les FAI et les opérateurs s'emparent plus activement du problème, d'autant qu'en France, d'autres hébergeurs subissent ce même type d'attaques DDoS. Il n'est pas rare que les sites web de certaines entreprises soient noyés par une attaque DDoS. Même si d'expérience, les chantages aux attaques ne sont pas aussi répandus que les attaques menées contre les sites d'information, Salim Gasmi a néanmoins entendu parlé de pirates qui demanderaient de l'argent à certaines entreprises pour, en contrepartie, ne pas attaquer leurs sites web.

Illustration : Attaques DDoS (source du schéma : Cisco)

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(11/10/2010 11:10:04)

Le commerce en ligne entre internautes plébiscité

Les livres et les vêtements sont les rayons les plus plébiscités pour ce commerce entre particuliers.Tous canaux confondus, l'achat et la revente de produits concernent désormais une large proportion de consommateurs, à savoir 68% d'internautes français qui ont participé à des vide-greniers ou eu recours aux petites annonces et à Internet depuis le début de l'année. Cette solution ne serait pas qu'une tendance éphémère puisque 63% des personnes interrogées pensent avoir davantage recours à l'achat-vente entre internautes à l'avenir. C'est en effet un moyen de faire des économies pour 47% d'internautes ou de recycler leurs affaires pour 52% de sondés.

A l'achat, le commerce entre internautes bénéficie d'un avantage majeur : le prix, selon 59% de consommateurs, un chiffre en hausse de 18 points par rapport à la précédente enquête de 2009. A la vente, 67% des internautes concernés sont intéressés par la gratuité de la mise en vente. Toutefois, « les mêmes freins perdurent, le principal étant la peur de se faire avoir au moment d'acheter, et la peur de ne pas être payé au moment de vendre » précise l'étude.

Cette étude a été menée auprès d'un échantillon de 1.049 personnes, représentatif de la population des internautes français âgés de 18 à 65 ans, interrogées du 2 au 8 juillet 2010.

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(11/10/2010 10:55:25)

Un air d'agilité souffle sur la Compagnie du Vent

La Compagnie du Vent, filiale du groupe GDF Suez spécialisée dans l'énergie éolienne, dispose d'un système d'information qui évolue fortement. Pour respecter ses contraintes en termes de coût, de temps et de qualité, elle a décidé de recourir aux méthodes agiles de développement. Le management a ainsi une meilleure visibilité du travail des informaticiens qui, en retour, peuvent s'organiser plus efficacement.

Pour mettre en place ces méthodes, et notamment celle baptisée Scrum, La Compagnie du Vent a souhaité se faire accompagner pour sensibiliser ses équipes, assurer un véritable coaching des informaticiens, appréhender la démarche et suivre son adoption en veillant au respect des bonnes pratiques. Cependant, au terme de l'accompagnement, les équipes devaient bien sûr être totalement autonomes et c'était même l'objectif de celui-ci. En particulier, chacun devait connaître son nouveau rôle dans la structure réorganisée.

L'accompagnement a été réalisé autour de la création d'une application de prédiction de production des éoliennes.

Pour cet accompagnement, la filiale de GDF Suez a eu recours au cabinet Neoxia. (...)

(11/10/2010 10:34:08)

Gartner explore les technologies en devenir

Le Gartner dresse un véritable « hit parade » des technologies les plus prometteuses, celles qui introduisent des transformations. En tête, viennent le cloud computing privé et la TV 3D à écran plat. Juste derrière, on retrouve les tablettes PC ou l'alimentation électrique sans fil. C'est du côté du grand public que les transformations sont les plus spectaculaires. Les cinq prochaines années verront l'arrivée de l'impression 3D, des robots mobiles, des ondes terahertz.

Autant que par ses capacités propres, une technologie est valable par son usage souligne le Gartner. De nouveaux styles d'interaction entrent en jeu, offrant aux entreprises l'opportunité d'innover dans la manière dont l'information et les transactions sont livrées aux clients et aux salariés. Ce qui inclut la reconnaissance des gestes et des interfaces utilisateur.

La réalité augmentée est un sujet chaud

Le cabinet met également l'accent sur la réalité augmentée. Les technologies innovantes  et le web migrent de l'univers professionnel vers la vie personnelle. Cette réalité augmentée est un sujet chaud dans l'espace mobile, avec des plate-formes et des services sur iPhone et Android. Ils représentent la prochaine génération. D'autres éléments, tels que la 4G standard, évoluent plus lentement mais joueront un rôle clé.

De plus en plus de décision seront pilotées par les données, leur variété et leur quantité explosent. La possibilité de les analyser à partir de nouvelles sources (informations de localisation ou médias sociaux) progresse fortement. L'analyse sociale, l'analyse prédictive et celle des sentiments entrent également en ligne de compte.

Le cloud computing dégage un intérêt croissant. Même  s'il pourrait être bientôt confronté à ses premières désillusions côté utilisateurs, prévient Jackie Fenn qui a piloté l'étude. Mais le Gartner se propose justement, à travers cette étude, non pas de faire rêver, mais de bien montrer comment évolue une technologie émergente, de l'enthousiasme aux premières désillusions.  Mme Fenn veut avant tout maîtriser les effets de mode, faire adopter l'innovation au bon moment.

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(11/10/2010 10:26:05)

Les 4 orientations stratégiques de Nextira One

Premier axe, celui de la maintenance et de l'exploitation des systèmes. « Un point fort de NextiraOne en France ». Ensuite, les communications unifiées et les centres de contact, autre position historique avec les technologies Genesys.  Troisième point, l'international, NextiraOne compte déjà des grands clients qu'il accompagne à l'étranger, comme Legrand et  Michelin. Il souhaite amplifier cette stratégie grands comptes à l'international, « c'est le point qui a le plus progressé ». Enfin, et évidemment non le moindre, l'orientation vers les datacenter, et leurs connexions. NextiraOne en fait un autre axe privilégié, sans dévoiler encore ses partenariats sur ce point.

L'exercice 2010 sera en croissance

Cas à part, la filiale conseil, NextiraOne Expert va doubler de chiffre d'affaires cette année, passant de 2 à 4 millions d'euros (ME), sur un CA total qui était de 325 ME l'an passé en France. L'exercice 2010 sera en croissance, indique Philippe Hedde, l'exercice 2009 s'était soldé par un recul de 4%.

NextiraOne est détenue par  Abénex (ex ABNAmroCapital) depuis 2006. La société a été créée en 2002, suite à la cession par Alcatel de son activité distribution et intégration. L'intégrateur a son siège près de Paris. Il est considéré comme le n°2 en France derrière OBS, mais reste unique par son positionnement pan-européen. Ses concurrents de même taille en France relèvent de typologies différentes. Certains sont intégrés à un opérateur comme OBS dans France Télécom ou Télindus dans Belgacom, d'autres appartiennent à un groupe de construction : ETDE (Bouygues Construction), Axians (Vinci), Ineo (Suez), Alsatel (Eiffage).

(*) David Winn est devenu CEO de NextiraOne au mois d'avril dernier, en remplacement de Rafi Kouyoumdjian.  David Winn était vice-président d'Avaya EMEA, après le rachat de Tenovis par Avaya en 2005. Auparavant, David Winn fut CEO de Tenovis et a évolué au Boston consulting group (Etats-Unis et Europe), chez American Express France et IBM Europe.

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(11/10/2010 11:32:53)

Storwize V7000, une baie virtualisée milieu de gamme chez IBM

Quelques mois après le rachat de la société Storwize, IBM annonce une baie de stockage modulaire SAN baptisée Storwize V7000. Mais cette dernière qui vient en complément des baies DS8000 et DS5000 ne bénéficie pas de la technologie de compression de données en temps réel développée à l'origine par Storwize. Fort pragmatique, Cédric Aragon, responsable de la division stockage chez IBM France, nous a expliqué que le nom « Storwize » était très porteur pour la gamme de stockage Big Blue et qu'une appliance de type NAS intégrerait avant la fin de l'année la technologie de compression des données issue du rachat de la start-up. Une simple boite repeinte en bleue avec peu de modifications pour commencer avant une intégration plus poussée de la technologie de Storwize.

Pour revenir à la baie Storwize disponible à partir de 10 To, IBM annonce une grande évolutivité pour son produit avec le support de 12 à 240 disques de type SSD, SAS ou SATA. Concurrente de la baie DS5000 (OEM LSI), cette V7000 apporte en option le moteur de virtualisation SAN Volume Controller pour gérer des solutions hétérogènes et concurrentes comme un seul système. Facturée en fonction de la volumétrie gérée, la licence de virtualisation permet au final de faire des économies puisque grâce à une meilleure utilisation de l'espace de stockage il est possible de baisser le coût de possession. Les utilisateurs de FlashCopy, par exemple, n'ont plus besoin d'acquérir une licence par baie, mais une seule pour la plate-forme virtualisée.



Un milieu de gamme bien doté

Eric Chiquet, responsable de l'activité disques chez IBM France souligne  que la solution V7000 repose sur trois briques de bases : SVC pour la virtualisation comme vu plus haut, l'Easy Tiering pour le déplacement automatique des données sur la classe de stockage la mieux appropriée (SSD, SAS ou SATA) et enfin l'interface d'administration XIV avec de multiples configurations prédéfinies pour le point-and-click et des fonctions avancées telle que le suivi de la réplication et des performances, la capture instantanée et l'allocation dynamique. Le V7000 utilise le logiciel Tivoli d'IBM pour permettre des copies instantanées des données pour les sauvegardes et la réplication locale et gérer plusieurs instances. Un utilisateur pourrait, par exemple, stocker des données primaires dans un V7000 et faire des sauvegardes quotidiennes dans un centre de réplication avec un V7000 secondaire pour lancer une reprise en cas de sinistre. Les deux boîtes pouvant être gérées via une interface unique. On retrouve également dans ce V7000 l'outil de déduplication d'IBM, ProtectTier issue du rachat de Diligent Technologies en 2008, pour chasser les doublons et optimiser l'espace de stockage.  Côté attachements, cette baie est disponible en Fiber Channel et iSCSI. IBM ne proposera pas de FC 16 G/bits avant fin 2011, début 2012, mais comme le précise Eric Chiquet nos clients se contentent encore aujourd'hui de FC 4 G/bits pour ne pas se lancer dans une complexe mise à jour. Même point de vue pour l'usage du SSD qui reste encore marginal dans les commandes.



Positionné en milieu de gamme à destination des PME-PMI, la V7000 vient chasser sur les terres des DS3000 et DS5000 d'IBM. Sur ce sujet, Eric Chiquet nous a simplement précisé ces deux dernières baies ne sont pas aussi évolutives que la Storwize, mais restent au catalogue en tant que compléments. La V7000 démarre à partir de 55 000 $ et l'option de maintenance d'une durée de trois ans est facturée 10 000 $. 

Un haut de gamme revu avec la DS8800

Cédric Aragon nous a également annoncé plusieurs améliorations dans les lignes de produits avec l'arrivée d'une baie haut de gamme, la DS8800, qui passe sur la plate-forme Power6 Turbo et adopte des cartes FC 8 Gbit/s et des contrôleurs RAID supportant des disques SAS 2,5 pouces 6Gbit/s. Un ensemble d'amélioration qui permettent à la DS8800 de se montrer jusqu'à 40% plus rapide que son prédécesseur, la DS8700. Cette dernière reposait sur des adaptateurs  FC 4Gbit/s et des disques SAS à 3Gbit/s. La DS8800 bénéfice également de la 6ème release de SAN Volume Controller qui comprend l'intégration de l'Easy Tiering pour le déplacement à chaud des données à n'importe quel moment en mode automatique. SVC apporte également un meilleur support de l'hétérogénéité notamment pour la réplication à distance avec une autre baie de stockage, une ou deux DS5000 par exemple. Enfin SVC voir son interface graphique administrateur améliorée et son évolutivité accrue par rapport à la version antérieure.

Crédits photos IBM

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(11/10/2010 09:40:42)

Projets Open Source : Le guide Syntec Informatique/FNILL

Le syndicat patronal des SSII et éditeurs de logiciels, le Syntec Informatique, s'est associé à la FNILL (fédération nationale de l'industrie du logiciel libre) pour concevoir un guide au titre évocateur : « Guide Open-Source : réflexions sur la construction et le pilotage d'un projet open-source ». Ce guide est en téléchargement gratuit sur le site du Syntec.

Si le logiciel libre voit sa pénétration dans les SI d'entreprises s'accroître régulièrement, le pilotage des projets impliquant de tels logiciels est loin d'être mature. Les modèles économiques ou de pérennité ne sont que rarement maîtrisés. Pourtant, toute la connaissance nécessaire est disponible et il suffisait de la rassembler de manière pratique. Voilà qui est fait avec ce nouveau guide.

Quels impacts sur les contrats ?

La différence entre logiciel propriétaire et libre étant avant tout juridique, le guide commence par poser toutes les bases de droit, notamment pour distinguer propriétaire et libre et fixer droits et obligations dans les deux cas.
Les impacts sur le pilotage du projet et sur la gouvernance des entreprises (avec quelques mots sur les modèles économiques au passage) sont ensuite étudiés en détail, étape par étape, avant de revenir au droit pur avec les impacts sur les contrats. De nombreuses annexes complètent le propos grâce à autant de véritables fiches pratiques.

Le texte est très structuré pour faciliter la consultation du document, allant jusqu'à une rédaction souvent réduite à des listes à puces. Mais les parties rédigées sont claires et accessibles. Tous les chefs de projet autant que les DSI trouveront donc dans ce document un mémento des plus utiles.

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(11/10/2010 09:42:19)

La data mobile, prochain eldorado des opérateurs mobiles

(Source EuroTMT) Et, compte tenu de la poursuite de la croissance des ventes de smartphones et de la consommation de données par les abonnés qui en sont équipés, les services data devraient devenir un véritable moteur de croissance dans les prochaines années. Pour le moment, comme le reconnaissent les analystes d'Oddo, les revenus issus des données restent encore modestes. Ainsi, après la chute de 2,5 % des revenus mobiles en Europe en 2009, le cabinet d'études estime que la donnée mobile a vu son chiffre d'affaire stagner au cours des six premiers mois de 2010. 

Autre indicateur : le poids des revenus issus des données dans les chiffres d'affaires des opérateurs. Chez Vodafone (qui sert souvent de référent pour le secteur), les revenus datas ont augmenté, en Europe, de 9 % en 2008-2009 à 10,9 % en 2009-2010. Mais chez d'autres opérateurs, le virage a déjà été nettement pris. Ainsi O2 UK, qui détenait l'exclusivité de la commercialisation de l'iPhone en Grande-Bretagne jusqu'en novembre 2010, a vu la croissance de ses revenus issus des données mobiles nettement s'accélérer depuis quelques trimestres. La progression ressort à 5,1 % au deuxième trimestre 2010 contre 3,1 % au trimestre précédent et 1,6 % au quatrième trimestre de 2009, alors que le marché britannique a baissé de 1,4 %.

Même constat pour T-Mobile, toujours unique distributeur de l'iPhone en Allemagne. La croissance des revenus de données mobiles ressort à 6,1 % entre avril et juin (3,3 % au premier trimestre et 0,8 % entre octobre et décembre 2009), face à une hausse de seulement 1,8 % pour le marché allemand. Les revenus générés par les services de données représentent maintenant 29 % du chiffre d'affaires de l'opérateur allemand. Même en France, remarque Oddo, où l'iPhone est désormais en libre distribution, l'impact sur la croissance est très positif. Le marché tricolore a crû de 5,5 %. (avant impact de la baisse de 33 % de la terminaison d'appel mobile). Et le poids des données dans les revenus des opérateurs a progressé de 17 % au premier semestre et pèse maintenant quelque 20 % du chiffre d'affaires. 

Le smartphone, pierre angulaire de la croissance

Cette évolution est appelée à s'accélérer dès cette année, sous l'effet de la simple croissance des ventes de smartphones. Selon Oddo, ces ventes qui représentaient 20 % des ventes de mobiles en Europe en 2008, puis 30 % en 2009, devraient atteindre 45 % cette année, 60 % en 2011 et 75 % en 2012. Le taux de pénétration des smartphones dans le parc mobile européen atteindrait alors 19 % fin 2010 (11 % en 2009), 28 % en 2011 et 39 % en 2012.  

Automatiquement, la consommation de données va continuer de croître à un rythme soutenu (30 % en moyenne). Les abonnés équipés d'un smartphone consomment en moyenne 10 fois plus de données que les abonnés mobiles en moyenne, et ceux propriétaires d'un iPhone sont dix fois plus consommateurs que les propriétaires d'autres modèles de smartphones. Résultat de cette augmentation du taux de pénétration des téléphones intelligents : un impact positif sur la croissance des revenus mobiles de 100 à 150 points de base par an sur la période 2010-2013. Et d'autres éléments pourraient aussi soutenir cette croissance, comme l'abandon des forfaits internet illimité en faveur d'une facturation au volume (comme celle mise en place chez AT&T ou O2 UK), qui aurait pour autre effet de limiter les dépenses d'investissements nécessaires pour faire face à la croissance du trafic. Se traduisant donc par un effet bénéfique sur les marges.

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