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(22/09/2010 13:27:13)

Cheops Technology se dote d'un datacenter pour l'informatique à la demande

La « petite » société bordelaise a pris de l'embonpoint ces dernières années avec le rachat de toutes les agences (sauf Paris) d'ARES. En passant de 23 millions à un peu plus de 59 millions d'euros de chiffres d'affaires en 2010, le PDG, Nicolas Leroy-Fleuriot s'est logiquement interrogée sur la création de son propre datacenter. Denis Damey, directeur de la division infogérance, rappelle les différents métiers de Cheops Technology « les infrastructures (comprenant PCA et PRA, supervision, ainsi que plusieurs compétences AMOA (avec la reprise des activités d'ARES), la modernisation technologique (migration vers Unix et Windows, virtualisation du poste de travail, etc.) et enfin l'infogérance ». Pour l'ensemble de ces expertises, la société d'ingénierie d'infrastructures informatiques dispose d'un réseau de partenaires relativement restreint et de toutes les certifications (HP Gold sur la partie datacenter, Microsoft Gold sur la branche réseau, etc.)

Un datacenter millésimé APC

Il y a donc deux ans, le dirigeant de Cheops Technology a choisi de tenter l'aventure en créant son propre datacenter. Son implantation a été choisie en même temps que le nouveau siège social de la société, sur la commune de Canéjan, dans la banlieue bordelaise. Denis Damey explique que pendant cette période « nous avons appris beaucoup de chose sur le sujet des datacenters, y compris sur l'aspect efficience énergétique ». Car cet aspect-là est important pour Nicolas Leroy-Fleuriot.  Le datacenter comprend donc 3 salles blanches, consommant jusqu'à 20 KvA par rack. En ce qui concerne la fourniture d'électricité, Cheops Technology a misé sur son propre transformateur de 15 000 volts alimenté par deux liaisons électriques distinctes. Un groupe électrogène a été implanté d'une capacité de 6000 l de fuel et d'une puissance de 650 KvA (soit une autonomie de 48h). En matière de PUE (Power Usage Effectivness), Denis Damey admet « aujourd'hui, nous sommes à 2,3, mais les salles ne sont pas remplies et notre ambition est d'atteindre 1,6 ou 1,7 avec une consommation de 7 à 8 KvA par rack». Pour cela, la société d'Aquitaine a misé sur APC avec son offre InfraStruXure, ainsi que sur les logiciels pour optimiser la consommation énergétique. Sur l'aspect sécurité, le datacenter est relié en fibre optique redondé (pour éviter les coups de pelleteuse) avec un datacenter appartenant à SFR, pour assurer les réplications synchrones. A l'intérieur, l'accès aux salles se fait par reconnaissance « veineuse » (à partir de la pression sanguine) et une équipe est en charge de la maintenance 7j/7. L'investissement final pour la réalisation de ce projet de datacenter de classe Tier 3 est de 3,5 millions d'euros.

Datacenter Cheops

Une offre de cloud computing

Après la mise en place d'un tel projet, le développement d'offres informatiques à la demande semblait naturel. Baptisé icod (Infrastructure Cheops On Demand), cette offre se décline en production (puissance de calcul, stockage, etc.), PRA, PC (pour fournir des VM ou de la virtualisation des postes de travail) et enfin Back-Up (stockage à la demande). Cheops Technology a fait le choix d'HP pour les différents équipements informatiques de son datacenter. Encore récente, Thierry Loiseau, responsable des opérations est très optimiste sur l'offre icod, « nos clients sont très intéressés par ces solutions, qui leur donne une grande flexibilité et une réduction des coûts ».
Outre la montée en puissance dans le cloud, Cheops Technology souhaite étendre et se renforcer dans les datacenters. Denis Damey estime qu' « un deuxième datacenter toujours dans la région de Bordeaux à moins de 40 km aurait du sens pour améliorer la réplication asynchrone et mieux gérer les PCA et PRA. Enfin, un autre à 500 km pour pallier à des sinistres majeurs pourrait aussi voir le jour ».

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(22/09/2010 12:43:07)

Améliorer son profil numérique pour faire face aux recruteurs

Travailler son identité sur le web est un complément indispensable à toute recherche d'emploi. Pour aider   les postulants à construire ou à enrichir leur identité numérique, Cadremploi a eu l'idée d'éditer un site de conseils baptisé jesuisvisiblesurleweb.fr. Le portail  rappelle les bonnes pratiques de base, telles que le fait de bien travailler son CV, de le mettre à jour dans des CVthèques et de le faire de manière régulière. Il se compose de rubriques et de sous rubriques ayant la forme d'onglets qui abordent différentes thématiques :  diagnostic, réflexion, action, problèmes possibles,  témoignages et réactions.

Protection de la vie privée, droits et devoirs sur le web

Au menu une longue liste de conseils qu'il faut connaître avant de se lancer :  quels outils choisir pour être visible sur le web, comment protéger son nom, où et comment mettre un CV en ligne, choisir entre blog et site personnel, l'art du microblogging, la prise de parole dans une communauté, etc. Le service répond également à des questions relatives à la protection de la vie privée, aux droits et aux devoirs sur le web, à la rectification d'une identité numérique, et donne quelques contre-exemples en matière de réputation numérique. Enfin, les candidats, comme les recruteurs, peuvent avoir accès à des témoignages d'acteurs qui livrent les recettes de leur succès grâce à leur présence sur des blogs ou sur des réseaux sociaux, tels que Twitter.

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(22/09/2010 10:28:20)

Pour mieux gérer ses données Plastic Omnium passe à l'Open Source

Plastic Omnium fabrique des produits en plastiques pour deux secteurs principaux, l'environnement (collecte des déchets...) et l'automobile (modules de carrosserie, signalisation routière...). Le groupe a réalisé en 2009 un chiffre d'affaires de 2,5 milliards d'euros, dont 70% sont générés hors de France. Plastic Omnium s'appuie sur près de 14 000 collaborateurs et 87 usines réparties dans le monde entier. Les systèmes d'information sont évidemment au coeur de l'activité industrielle notamment pour synchroniser des informations issues de toutes les filiales et co-entreprises ou pour gérer les contraintes légales frappant ses activités. Différents constituants de son SI doivent également être coordonnées, comme les systèmes de gestion de la production et SAP.

Plusieurs solutions d'intégration ont été testées par les équipes de Plastic Omnium. L'entreprise a finalement choisi Talend Open Studio. Outre l'orientation Java bien appropriée pour s'intégrer à un SI comportant du Websphere ou de l'Alfresco, Plastic Omnium a apprécié un mode de facturation au nombre de développeurs, plus économique dans le cas de ce groupe que d'autres modes de licencing proposés par d'autres éditeurs. Plusieurs pilotes ont été réalisés avant de décider du déploiement. Le coût du projet n'a pas été spécifié.
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(22/09/2010 10:16:29)

Gérald Karsenti attendu à la direction de la division services de HP

La valse des dirigeants de l'Ex-EDS France, aujourd'hui HP ES, se poursuit. Elle se traduit par la nomination, encore officieuse, de Gérald Karsenti à la direction générale de la division services du constructeur. Jusqu'ici, celui-ci présidait à la destinée de l'activité Solution d'Entreprise de la filiale française de HP.

Avant la nomination de Gérald Karsenti dans ces nouvelles fonctions, elles étaient occupées par Howard Hughes. Il dirigeait la division services de HP France depuis le départ de Eric Leveugle qui n'est resté qu'un an en fonction.
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(22/09/2010 09:48:21)

OpenWorld 2010 : Solaris 11 Express en éclaireur

Sur OpenWorld 2010, John Fowler, vice-président de Sun désormais responsable de l'activité systèmes d'Oracle, a présenté les grandes orientations de l'OS Solaris 11 attendu en 2011. La dernière mise à jour, Solaris 10 9/10, a été livrée il y a dix jours et d'ici la fin de l'année, l'éditeur doit mettre à disposition Solaris 11 Express. Cette version intermédiaire aura vocation à donner aux développeurs, partenaires et clients d'Oracle un avant-goût de la version 11 à venir. Assortie d'un programme de support Oracle (optionnel), elle donnera accès aux dernières fonctionnalités de l'OS. Les clients auront notamment le choix d'utiliser Solaris 11 Express sur les derniers modèles de serveurs de stockage Exadata X2-8, annoncés sur OpenWorld.

John Fowler assure que Solaris 11 sera non seulement plus rapide et plus simple à déployer, mais aussi plus facile à maintenir. L'objectif est de réduire sensiblement les interruptions d'activité, planifiées ou imprévues. Le dirigeant promet des outils packagés qui seront notamment utilisés pour limiter les problèmes liés aux correctifs et aux mises à jour. Le système pourra aussi recevoir par télémétrie des informations sur les problèmes déjà identifiés par le support d'Oracle ce qui permettra de s'en prémunir avant qu'ils ne se manifestent. « Un service proactif et préemptif », a souligné l'orateur.

Un projet énorme pour Oracle

Dans le domaine des performances et des capacités d'évolutivité, John Fowler a annoncé que l'OS pourrait gérer des milliers de threads, plusieurs téraoctets de mémoire principale et des centaines de Gbps, avec une gestion avancée de la consommation électrique. Solaris 11 sera aussi un OS entièrement virtualisé, gérant les technologies de virtualisation sur les serveurs, les systèmes de stockage et le réseau, sans que les applications doivent modifier les applications qu'elles utilisent. Dans le domaine de la sécurité, l'OS va tirer parti des fonctions de chiffrement sur disque apportées au système de gestion de fichiers ZFS.

Pour John Fowler, Solaris 11 est conçu pour les prochaines générations de matériels : « Les systèmes multitéraoctets sont vraiment au coin de la rue ». Le responsable de l'activité système a tenu à réaffirmer la forte implication d'Oracle sur l'OS hérité du rachat de Sun. « C'est un enjeu énorme qui devrait contenir 2 700 projets et plus de 400 inventions ». Il résulte, selon l'éditeur, de plus de 20 millions d'heures-homme de développement et de plus de 60 millions d'heures de tests.

On se souvient que le mois dernier, Oracle avait manifesté son intention de concentrer ses forces sur cette version commerciale du système d'exploitation, au détriment de la version Open Source, OpenSolaris, pour laquelle l'éditeur a indiqué qu'il ne livrerait plus de mises à jour. Une décision qui a entraîné quelques jours plus tard la dissolution de l'OpenSolaris Governing Board, conseil d'administration externe gérant les relations avec la communauté.

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