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(21/09/2010 17:22:18)
Twitter victime d'une attaque spam massive
Le réseau social Twitter est victime ce mardi 21 septembre d'une attaque de spam qui propage très rapidement des messages incompréhensibles sur les pages des utilisateurs. Une faille sur le site permet l'exécution d'un code javascript lorsqu'un internaute survol avec le curseur de la souris des liens figurant dans certains messages. En attendant la correction de cette vulnérabilité, les utilisateurs de Twitter sont invités à ne pas utiliser la version Web du site.
L'éditeur de sécurité Sophos indique que Sarah Brown, la femme de l'ancien Premier ministre britannique, a elle-même été victime de cette attaque. A son insu, elle a republié sur son compte un message qui redirige ses contacts vers un site pornographique.
Illustration : Le compte Twitter de Sarah Brown, épouse de l'ex-Premier ministre britannique Gordon Brown, victime de l'attaque au spam sur Twitter.
Polémique sur les futures antennes de Free Mobile à Paris
Rappel des faits. En janvier dernier, Free Mobile, filiale du groupe Iliad, la maison mère de l'opérateur Free, a été officiellement reconnu comme nouvel mobile de France suite à l'attribution de la quatrième licence mobile par le régulateur des télécoms (Arcep) un mois plus tôt. Afin de constituer son réseau et lancer ses offres commerciales, attendues avant la fin 2011, le nouvel entrant doit procéder à l'installation de ses antennes-relais. En deux ans, Free Mobile aura l'obligation de couvrir au moins 25% de la population française, puis 75% d'ici à 2015.
A Paris, où quelque 300 antennes Free Mobile devraient voir le jour, l'arrivée du quatrième opérateur est mal accueillie. Les élus Verts et l'association Robin des Toits dénoncent l'exposition accrue des habitants aux ondes électromagnétiques. Ils reprochent également à la Ville de Paris l'autorisation des ces installations, qui devra être prononcée en délibération au Conseil de Paris à la fin du mois.
Un déploiement d'antennes toléré par la mairie de Paris
Dans un communiqué, la mairie de Paris juge cette controverse "malvenue", et rappelle qu'elle n'a sur ce point aucune marge de manoeuvre, "dès lors que l'Etat a autorisé un quatrième opérateur". Elle a obligation de "traiter celui-ci dans les mêmes conditions que les trois autres". En ne passant pas cette délibération, la Ville de Paris indique qu'elle serait condamnée, "ce qui ne ferait que différer d'à peine quelques semaines l'autorisation délivrée à Free".
Enfin, la mairie souligne avoir "demandé et obtenu" de la part de Free Mobile la signature d'une charte de la ville sur la téléphonie mobile, et des engagements supplémentaires afin d'éviter le déploiement d'antennes à proximité des crèches, des écoles, et l'abaissement le plus important possible du seuil d'exposition des usagers. Les trois premiers opérateurs, Orange, SFR et Orange ont fait l'objet à plusieurs reprises de plaintes pour des antennes représentant un danger sanitaire pour les habitants. Dans certains cas, les opérateurs ont été condamnés à procéder au démantèlement de leur antenne.
(...)(21/09/2010 17:06:21)La start-up Cirtas Systems mixe stockage local et cloud
L'appliance Bluejet Cloud de Cirtas agit comme un système de cache local qui utilise une combinaison de DRAM, de SSD (Solid State Disk) et de disques durs tournant à 7200 trs/min. La hiérarchisation des données au moment du stockage permet une répartition des données en fonction des priorités. Le Bluejet Cloud Storage Controller sait aussi compresser et dédupliquer les données avant de les transposer hors site par le biais des Archive Services d'Iron Mountain ou des services de stockage cloud Amazon S3, en fonction des besoins en matière de stockage de données et des exigences en matière de restauration.
Bluejet, le contrôleur Cloud de Cirtas
« L'appareil se connecte au SAN du client où il est reconnu comme un disque, mais il permet à l'entreprise d'utiliser le stockage cloud au lieu d'accumuler des données sur le site, » a déclaré Dan DeCasper, cofondateur et PDG de Cirtas. « D'autres fournisseurs de services cloud seront proposés dans les versions à venir, » a-t-il ajouté. Selon le dirigeant, le Bluejet Cloud Storage Controller permet un taux de compression des données de 2:1 à 3:1 selon le type, et un taux de déduplication allant jusqu'à 50:1 pour la sauvegarde. « L'un des avantages du Bluejet Cloud Storage Controller repose clairement sur le mode de restauration des données après un crash, » a déclaré Dan DeCasper, « car l'entreprise utilisatrice n'a pas besoin d'une connectivité entre le centre de données primaire et le secondaire hors site. » En effet, si le site principal tombe en panne, l'entreprise peut ouvrir un lien vers le prestataire de services Cloud, lequel dispose d'une connexion vers le site secondaire de sauvegarde. « Donc, pour assurer la reprise d'activité après un crash, il n'est pas nécessaire de louer une ligne réseau couteuse entre les sites principaux et secondaires," »a-t-il expliqué.
Mixer local et cloud en toute transparence
Cirtas vise les grosses PME-PMI et les entreprises affichant des revenus annuels compris entre 200 millions et 10 milliards de dollars. L'appareil est proposé avec plusieurs types de contrats de support technique - un service 24H/24, une intervention à j+1, ou un contrat premium 7jours/7. L'appareil est disponible immédiatement au prix de base de 70 000 dollars. « Le Bluejet de Cirtas rend la migration des données vers le cloud rapide et indolore, et complète parfaitement notre portefeuille de services de stockage cloud et de gestion de l'information, » a déclaré dans un communiqué Jaimin Patel, directeur des programmes de développement pour Iron Mountain. « Ensemble, Cirtas et Iron Mountain offrent à leurs clients une solution de Cloud intégrée, facile à mettre en oeuvre et à gérer, qui garantit l'accès et la sécurité des informations stockées. »
(...)(21/09/2010 16:45:53)OpenWorld 2010 : Oracle défie les sceptiques avec ses serveurs Sparc T3
Connu sous le nom de code Rainbow Falls, le processeur Sparc T3 intègre jusqu'à 16 coeurs, soit deux fois plus que la précédente puce haut de gamme de Sun, l'UltraSparc T2 Plus, qui a été dévoilé il ya deux ans. Pour l'occasion, Oracle a procédé à un petit changement dans l'appellation de la marque en raccourcissant UltraSparc en simplement Sparc. Ces processeurs sont destinés aux serveurs de la série T d'Oracle qui sont animés par le système d'exploitation maison Solaris et se destinent aux applications commerciales de type base de données et logiciels d'entreprises, ainsi qu'à d'autres tâches comme les services web. Ils sont en concurrence directe avec les systèmes Unix d'IBM et de Hewlett-Packard. Cette gamme de machines Oracle est composée de plusieurs modèles : blade mono socket (voir illustration principale) jusqu'au serveur quatre sockets intégrés dans une armoire pouvant accueillir cinq racks. Les systèmes seront expédiés aux premiers clients dans une trentaine de jours a annoncé la compagnie de Redwood. Cette dernière a également confirmé que Solaris 11, la prochaine mise à jour de l'OS Unix de Sun, sera disponible en 2011.
Une doute sérieux sur l'avenir des Sparc
À une certaine époque, il n'était pas si clair que le projet Sparc T3 arrive à son terme. Lorsque Oracle a annoncé son intention de racheter Sun l'an dernier, certains avaient doctement prédit que le PDG de la compagnie, Larry Ellison, allait liquider toutes les branches perdant de l'argent chez Sun, notamment l'activité matérielle, pour se concentrer sur les actifs logiciels comme Solaris et Java.
Pour rassurer ses clients, Oracle avait dévoilé le mois dernier une feuille de route de cinq ans pour la plate-forme Sparc tout en restant très évasif quant à la date de sortie du T3. John Fowler, le responsable de l'activité systèmes chez Oracle avait par exemple refusé de dire si la puce serait disponible comme prévu à la fin de l'année. Il semble clair aujourd'hui qu'Oracle voulait simplement profiter de son événement OpenWorld pour faire son annonce.
Une gamme compléte du serveur blade à la boite 5U
Chaque coeur de Sparc T3 peut traiter jusqu'à huit threads simultanément, tout comme le précédent T2 Plus. Les fréquences du T3 vont jusqu'à 1,65 GHz avec le renfort de 6 Mo de mémoire cache de niveau 2, selon le site web d'Oracle. Chaque processeur dispose en outre d'un accélérateur de cryptographie pour accélérer le traitement des fonctions de sécurité. Enfin, une interface réseau10 Gigabit Ethernet accompagne d'office la puce. Les serveurs annoncés lundi incluent le T3-1, positionné pour les infrastructures web, le middleware et le développement d'applications. Le système au format 2U peut accueillir jusqu'à 16 disques durs et six cartes PCI Express ainsi qu'un maximum de 128 Go en mémoire vive.
À l'extrémité supérieure, le T3-4 est conçu pour les grandes bases de données, les importantes applications commerciales d'entreprise et les projets de consolidation de serveurs. C'est une boîte 5U qui vient avec deux ou quatre processeurs T3 à 1,65 GHz
et jusqu'à 512 Go de mémoire vive. Oracle n'a pas fourni de prix pour ces systèmes, qui comprennent également le serveur blade T3-1B.
Illustration : John Fowler, responsable de l'activité systèmes chez Oracle, lors de la présentation du Sparc T3 à l'OpenWorld 2010.
Un site d'emploi qui s'intègre à LinkedIn et à Google Maps
Jobpartners, spécialiste de la gestion de carrières, lance la version 9 d'ActiveRecruiter, un site d''emploi qui gère l'ensemble du processus de recrutement et de mobilité interne, de l'expression des besoins jusqu'à l'intégration du collaborateur. L'interface graphique du portail a été refondue, des raccourcis ont été ajoutés, et des évolutions ont été apportées au niveau du back-office. De plus, grâce à une couverture fonctionnelle enrichie, les recruteurs peuvent « tagger » les postulants, créer des profils de candidats par import de fichiers (par exemple issus d'un forum de recrutement) et piloter les critères de recherche d'un vivier de CV.
Importer des données depuis son profil
Autre évolution majeure apportée à cette dernière version : son intégration avec le réseau social LinkedIn, qui donne aux candidats la possibilité de pré-renseigner leur dossier en important des informations depuis leurs profils. De leur côté, les recruteurs peuvent visualiser le contenu des CV directement depuis le portail. En outre, la géolocalisation des offres d'emploi via Google Maps, de même que des fonctions de référencement naturel auprès des principaux moteurs de recherche, améliorent la visibilité des annonces et des candidatures. Enfin, des fonctionnalités d'administration et des possibilités de configuration ont été ajoutées pour les entreprises qui souhaitent déployer une solution prenant en compte des besoins spécifiques locaux.
Basé au Royaume-Uni et disposant de neuf bureaux en Europe et aux États-Unis, Jobpartners est spécialisé dans la fourniture de solutions de gestion du capital humain et des carrières dans le cadre du modèle SaaS
(Software as a Service). Le groupe compte parmi ses clients des SSII comme Steria et des entreprises telles qu'Adidas, Technip, la Société Générale, Deutsche Post DHL, Nationwide, Nike, Crédit Agricole, Rabobank Group ou encore Xerox.
(...)
Selon Gartner le marché des logiciels et services rechutera en 2010 en Europe
Les logiciels et services vont représenter un chiffre d'affaires de 232 milliards de dollars en 2010 dans le monde. Une estimation du cabinet Gartner. Par rapport à 2009, c'est une augmentation de 4,5%. Jusqu'en 2014, ce marché devrait progresser au rythme de 6% par an. Toutefois ces chiffres sont mondiaux. Par continent, ils restent très variables. L'EMEA augmentera d'ici 2014 de 2,7%, mais, en 2010, cette région EMEA baissera de 3,4%. Inversement, l'Asie-Pacifique progressera de 11,5, d'ici 2014.
En 2009, ce marché avait reculé de 2,6%, en moyenne dans le monde. Il va bénéficier du vieillissement de certains systèmes, de la forte demande pour les logiciels de sécurité, de celle en faveur des logiciels d'infrastructures.
Signal Spam propose un plugin pour Outlook ou Thunderbird
Signal Spam, la plateforme française de lutte contre les messages indésirables sur Internet, a annoncé la refonte de son site. Outre une interface remaniée, cette v2 propose aux internautes d'installer un plugin sur les messageries Outlook (Microsoft) ou Thunderbird (Mozilla) afin de signaler un spam directement depuis son compte. Les informations sont ensuite transmises aux services des autorités compétentes afin d'identifier les opérateurs et mettre à jour la liste noire des spameurs.
Signal Spam a reçu à ce jour 19,7 millions de signalements. Cette plateforme réunit notamment la Cnil (Commission nationale de l'informatique et des libertés), la Fevad (Fédération e-commerce et vente à distance), l'AFA (Association des Fournisseurs d'Accès et de Services Internet), Microsoft, Orange, SFR, ou encore eBay/PayPal.
Quelque 4 milliards de spams sont envoyés chaque jour aux internautes français (contre 135 milliards dans le monde, soit 90% des mails échangés), selon Signal Spam.
(...)(21/09/2010 09:33:12)OpenWorld 2010 : Mark Hurd dévoile un Exadata plus puissant
Dès la nomination de Mark Hurd comme président d'Oracle, il y a quinze jours, il apparut évident que parmi les attributions de l'ex-PDG de HP figurerait la promotion des solutions matérielles. On s'attendait notamment à le voir soutenir Exadata, le système de stockage de base de données, optimisé pour le datawarehouse et les processus intensifs de requêtes. L'homme connaît déjà le produit puisque sa version initiale, lancée en septembre 2008, a été co-développée avec HP.
Pour son premier OpenWorld en tant que dirigeant d'Oracle, Mark Hurd s'est ainsi vu confier l'annonce d'Exadata X2-8, version 3 du système, qui repose sur deux serveurs Sun 8-socket totalisant 128 coeurs Intel et 2 To de mémoire. Comme la V2 lancée en 2009, l'offre complète réunit 14 serveurs de stockage. Elle offre jusqu'à 336 To de capacités de stockage brutes. En interne, les serveurs communiquent entre eux par des liaisons Infiniband à 40 Gb/s et avec l'extérieur via une connexion Ethernet 10 Gb/s. L'armoire comprend jusqu'à 5 To de mémoire Flash cache pour accéder aux données les plus importantes lors des transactions réclamant des temps de réponse extrêmement rapides.
Solaris 11 Express ou Unbreakable Enterprise Kernel
Les clients ont le choix d'utiliser ces machines sous Solaris 11 Express ou avec l'OS Unbreakable Enterprise Kernel qu'Oracle vient d'annoncer. Ce dernier s'appuie sur la version 2.6.32 du kernel Linux et bénéficie d'optimisations mises au point en collaboration avec les équipes de développement d'Oracle (sur la base de données, les offres middleware et le matériel). Cet OS inclut aussi un kernel compatible Red Hat, compilé directement à partir de Red Hat Enterprise Linux.
Avec l'arrivée de cette troisième version d'Exadata, la V2, qui repose sur huit serveurs 2-socket, change de nom pour s'appeler Exadata X2-2. Elle se présente maintenant comme le modèle ouvrant la gamme, existant en quart de rack, en demi-rack, en full et multi-racks. Tandis que le modèle X2-8 est d'emblée proposé dans sa version complète (full rack), présentée comme une plateforme adaptée aux traitements nécessitant des processus de requêtes très intensifs et pour les applications de datawarehouse. Dans ce dernier domaine, la concurrence promet d'être rude avec IBM qui vient d'ajouter Netezza à son catalogue, et avec Teradata.
Oracle voit pour Exadata un avenir tout tracé dans la consolidation d'applications et de bases de données multiples en cloud privé (une grande base de données couvrant plusieurs noeuds avec RAC -Real application Cluster- ou plusieurs bases de données avec le cluster RAC One Node, option disponible depuis la version 2 d'Oracle Database 11g).
Illustration : Mark Hurd, président d'Oracle (crédit photo : Maryse Gros)
France Télécom annonce la mise en place d'un « contrat social »
La direction de France Télécom/Orange, représentée par Stéphane Richard, Delphine Ernotte et Bruno Mettling, a présenté aux syndicats un « contrat social » qui sera bientôt envoyé par courrier aux salariés du groupe en France. Ce projet intervient alors qu'en avril dernier, le parquet de Paris décidait d'ouvrir une information judiciaire sur la série de suicides - 48 cas depuis 2008 - de salariés de France Télécom. Il a été présenté, mercredi dernier, sous forme d'une vidéo en interne. Un service SVP a permis de faire remonter 800 questions SMS aux dirigeants du groupe. Les préoccupations majeures des salariés portaient à la fois sur la reconstruction du projet industriel mené par l'opérateur, sur son organisation, ses changements managériaux et sur sa politique d'innovation. Ce contrat social sera matérialisé par six chapitres : la politique de l'emploi, l'organisation du travail, l'évolution du management, la qualité de la vie au travail, la rétribution et la fonction ressources humaines.
Selon le document, les responsables de terrain retrouveront des marges de manoeuvre pour prendre des décisions locales, notamment en matière d'emploi de promotions, de formations et de congés. « Après cinq ans de décroissance massive des effectifs (30 000 emplois supprimés) France Télécom annonce un retour à une politique de recrutement », se félicite Sébastien Crozier, président du syndicat CFE-CGC/Unsa chez France Télécom-Orange et d'ajouter : « d'ici fin 2012, 10 000 personnes seront recrutées en CDI, prioritairement parmi les apprentis qui sont déjà dans le groupe France Télécom. C'est une bonne nouvelle, même si, au final, il ne s'agit que d'une stabilisation des effectifs. »
La section syndicale salue également le retour à la prise en compte de la dimension sociale de l'entreprise, et la mise en oeuvre d'une partie des recommandations qu'elle a régulièrement formulées depuis plusieurs mois, notamment sur la base des travaux de l'Observatoire du stress et des mobilités forcées, qu'elle anime avec le syndicat Sud depuis 2007.
Mettre un terme aux délocalisations
Le syndicaliste estime également que le groupe doit aller encore plus loin, pour mettre fin à la logique de sous-traitance, en particulier dans les métiers en relation avec les clients, et notamment dans les unités d'intervention. « Chez France Télécom, aucun système d'information n'est homogène, les fichiers ne sont pas communs, il est donc difficile de suivre les dossiers des clients », signale Sébastien Crozier. Selon ce dernier, la prise en charge du client par un salarié de l'entreprise dès le début de la relation permettrait de mieux cerner les besoins et d'assurer la qualité de service idoine, que la direction générale de France Télécom souhaite également retrouver.
Un projet industriel qui mobilise les énergies
Enfin, pour que l'entreprise ne soit pas défavorisée sur le plan concurrentiel, la CFE-CGC/Unsa recommande à l'État de prendre ses responsabilités, et d'interdire les délocalisations - notamment pour les centres d'appels - à tous les opérateurs de télécommunications desservant le territoire national. Pour la section syndicale, une telle mesure permettrait de retrouver des emplois, absolument nécessaires dans le contexte de crise économique, sans pour autant pénaliser la compétitivité des opérateurs français, puisqu'ils seraient tous soumis aux mêmes règles.
Reste que les engagements pris par l'opérateur historique devront néanmoins être sous-tendus par un projet industriel permettant de remobiliser les énergies autour d'enjeux positifs. « Il manque encore un véritable projet industriel, nécessaire pour mobiliser les énergies autour d'un objectif qui permette de laisser la crise sociale derrière nous, et de rendre de la sérénité aux équipes en assurant la pérennité de l'entreprise », regrette Sébastien Crozier. Pour lui, un projet industriel ne peut se déployer efficacement que s'il en a les moyens financiers.
Illustration: Stéphane Richard, directeur général de France Télécom. Crédit photo: France Télécom
(...)(21/09/2010 11:59:18)
Google renforce la sécurité de ses Apps
L'option devrait assurer une protection supplémentaire contre le phishing et les attaques de logiciels malveillants, a déclaré Eran Feigenbaum, directeur de la sécurité de Google Apps. L'authentification en deux étapes repose généralement sur un élément que l'utilisateur connaît, comme son mot de passe et quelque chose qu'il détient, comme une carte à puce ou dans le cas de Google - un numéro téléphone mobile.
Microsoft propose depuis le mois de mai dernier, un service similaire de double authentification en utilisant des SMS. De son côté, Google enverra aussi le code d'authentification par SMS ou un via un message vocal. Le service SMS sera gratuit et disponible dans 19 pays dont l'Australie, le Danemark, la France, l'Allemagne, les Pays-Bas, la Suède, le Royaume-Uni et les États-Unis. Les codes d'authentification peuvent également être générés localement en utilisant une application smartphone appelé Google Authenticator, disponible en téléchargement gratuit sur le Android MarketPlace, Blackberry ou iPhone App Store. L'éditeur de Moutain View a publié le code source de cette application afin que les entreprises puissent modifier l'interface utilisateur et intégrer leur propre marque. Toutefois, Google ne distribuera pas l'algorithme qui génère le code, explique Eran Feigenbaum. Le processus d'authentification repose sur un standard ouvert appelé OATH pour les terminaux mobiles- à ne pas confondre avec OAuth, un autre protocole d'authentification ouvert, destiné principalement aux applications Web. Les partisans d'OATH comprennent VeriSign, Sandisk et un certain nombre de fabricants de cartes à puce.
Cette fonction sera disponible pour les administrateurs de la version éducation et gouvernement de Google Apps. Les utilisateurs de l'édition Standard et des services grand public tels que Google Docs et Gmail y auront accès « dans les prochains mois », a déclaré Feigenbaum, tout en refusant de dire si elle sera activée avant la fin de l'année.
Une reconnaissance automatique possible
Une fois que l'administrateur a activé la fonction, les utilisateurs de Google Apps doivent fournir leur numéro de téléphone mobile pour l'option SMS ou installer l'application et la configurer en entrant un mot de passe. Après cela, chaque fois que les utilisateurs se connecteront, ils verront une zone de texte supplémentaire les invitant à entrer un code à six chiffres. Pour obtenir ce code, ils peuvent soit en demander un via SMS à partir de la page de connexion ou cliquez sur un bouton dans l'application pour en générer un nouveau. Les utilisateurs qui travaillent fréquemment à partir du même ordinateur, celui de la maison, par exemple - peuvent choisir de la fonction «souviens-toi des vérifications pour cet ordinateur. » Un cookie sera alors placé sur le PC pour indiquer aux serveurs de Google de ne pas demander le code d'authentification. « Cela réduit la protection de la sécurité si la machine est volée », a déclaré Eran Feigenbaum, mais il ajoute « si quelqu'un a un accès physique à votre machine, vous avez des problèmes plus beaucoup plus graves ». Toutefois, pour des ordinateurs à accès public, la double authentification fournit un niveau supplémentaire de protection, car le code donné par SMS n'est valable que pour une durée de temps limitée.
Ceux qui ont différentes identités sur Google Apps pour le travail et Gmail pour leurs messages personnels pourront programmer Authenticator avec deux identités, leur permettant de générer des codes différents pour chaque compte.
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