Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 7081 à 7090.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(11/08/2010 19:17:47)

Une pénurie de DRAM se profile, selon iSuppli

Les fabricants de memoires vives sont actuellement confrontés à des problèmes d'approvisionnement, constate le cabinet d'études iSuppli. D'une part, ils n'arrivent pas à se procurer les équipements de production nécessaires à la fabrication. D'autre part, ils rencontrent des difficultés dans la mise en oeuvre des plus récentes technologies.

Au moment où le marché des ordinateurs personnels repart (22,4% de progression au second trimestre par rapport à l'an dernier), les fabricants de DRAM ont toujours du mal à se remettre de la récession. L'an dernier, beaucoup d'entre eux manquaient de ressources pour acheter de nouveaux équipements. Cette année, ils ont donc inondé les fournisseurs de commandes. Dans le secteur de la DRAM, la concurrence impose aux fabricants de livrer le plus possible de composants, de la taille la plus réduite, dans les délais les plus courts. Cela les oblige à acquérir de nouveaux équipements chaque année mais aussi à avoir plus de compétences pour produire toujours plus de chips par tranche de silicium.

Les prix des PC ont déjà augmenté cette année

Un problème d'approvisionnement en DRAM pourrait pousser les prix à la hausse. D'où le risque de voir le prix des PC augmenter. iSuppli ne fait aucune prévision sur la hausse qui résulterait de ces problèmes. Mais Acer, l'un des plus grands fabricants de PC au monde, fait remarquer que les prix des ordinateurs personnels ont déjà augmenté cette année, pour la première fois depuis cinq ans, pour des raisons similaires. La hausse du prix des mémoires DRAM figurait déjà parmi les coupables.

Le principal outil qui fait actuellement défaut aux fabricants de DRAM est un équipement de lithographie par immersion qui, selon iSuppli, ne seront pas disponibles en nombre suffisant cette année. En effet, le cabinet d'études estime que les entreprises chargées de produire ces équipements essentiels ne pourront pas en livrer suffisamment pour répondre aux besoins de l'industrie. Seuls quelques fabricants de DRAM disposent déjà du matériel dont ils ont besoin.

Trois fabricants de DRAM tirent leur épingle du jeu

L'autre problème soulevé par iSuppli est lié au rendement dans la fabrication des puces. Les fabricants de DRAM s'emploient en permanence à produire des puces plus petites. Mais la technologie pour y parvenir est longue à maîtriser et d'autant plus difficile à mettre en oeuvre que les tailles sont de plus en plus réduites.

Actuellement, les fabricants de DRAM sont confrontés à des problèmes liés à la technologie sub 50-nm, fait savoir iSuppli, indiquant que seuls quelques fabricants de puces ont réussi à faire la transition vers cette technologie de pointe. Selon lui, trois d'entre eux, Samsung Electronics, Hynix Semiconductor et Micron Technology, se trouvent en position favorable pour profiter de la hausse du prix des puces, parce qu'ils maîtrisent déjà la dernière technologie. Un rapport préliminaire publié par Gartner, confirme que Samsung, qui a capté 35,3 % des revenus de l'industrie de la DRAM au cours du deuxième trimestre, a maintenu son avance, suivi par Hynix avec 20,9 %, Elpida Memory avec 17,3 %, Micron avec 13,3 % et Nanya Technology avec 4,4 %. (...)

(11/08/2010 16:04:49)

Lotus Notes/Domino : IBM tique sur un rapport de Gartner

Ed Brill, directeur du marketing produits chez IBM Lotus, n'a pas apprécié la teneur d'une récente étude de Gartner portant sur la migration de Lotus Notes et Domino vers une autre solution de messagerie. Dans un billet de blog publié en fin de semaine dernière, il n'a pas manqué de donner son point de vue sur la question. Avis que Tom Austin, vice-président chez Gartner et auteur du rapport, juge un tantinet partial.

Le rapport intitulé "Migrer depuis les messageries de Notes/Domino peut être judicieux dans certains cas", explique que davantage d'utilisateurs de Lotus s'adressent au cabinet d'étude pour être conseillés dans leur migration vers d'autres systèmes de messagerie. C'est beaucoup de bruit pour rien, selon Ed Brill qui aurait plutôt titré : "La migration de Notes/Domino ne se justifie pas dans plupart des cas ». Mais, cela ferait sans doute vendre moins de prestations de conseil, ajoute-t-il.

Pour appuyer son hypothèse, Ed Brill relève quelques extraits du rapport, tels que "les clients d'IBM qui choisiront de migrer vers Microsoft seront probablement déçus" ou encore "IBM reste un fournisseur de solutions de messagerie solide et fiable." Enfin, pour le responsable produits de Big Blue, dire qu'il y davantage de clients Notes/Domino songeant à migrer tient plutôt du potin. En fait, indique-t-il, les ventes de nouvelles licences ont augmenté au cours du second trimestre.

De son côté, Tom Austin, juge que le billet de blog d'Ed Brill ne fournit pas une vue complète de la situation. Par exemple, entre le 1er juillet 2009 et le 30 avril 2010, les analystes de Gartner ont été sollicités par 116 clients différents, à une ou plusieurs reprises, pour obtenir des conseils sur une migration éventuelle hors du système de messagerie de Notes." A contrario, il fait remarquer dans un second billet que "les clients de Microsoft n'ont pas consulté Gartner pour obtenir des conseils sur l'opportunité de migrer vers Notes et Domino pour la messagerie." Selon lui,  "cette disparité est un élément important." Enfin, le vice-président de Gartner souligne que l'analyse contenue dans le rapport est basée sur des données de fond et résulte de discussions très sérieuses au cours desquelles des professionnels ont exprimé leurs préoccupations et fait état des questions qu'ils se posaient. (...)

(11/08/2010 15:16:43)

Skype veut entrer en bourse

Skype a déposé à la Securities and Exchange Commission un dossier d'introduction en Bourse sur le marché new-yorkais, le Nasdaq. Le prix et le nombre d'actions qui découleront d'une telle proposition ne sont pas encore connus pour l'heure, mais l'entreprise espère de cette façon récupérer 100 millions de dollars environ. Cela peut sembler modeste, mais en dépit de sa notoriété, le chiffre d'affaire de la société sur les six premiers mois de l'année n'est estimé qu'à 400 millions de dollars.

Skype sort d'ailleurs à peine d'une période difficile après avoir été vendu par eBay à un groupe d'investisseurs et subi des troubles judiciaires coûteux entre ses fondateurs (Niklas Zennstrom et Janus Friis) et ses propriétaires. Ebay avait déjà songé à une introduction en Bourse avant de finalement renoncer à sa participation dans la société, la VoIP ne s'étant pas révélée aussi rentable qu'escompté.


Crédit Photo : © Copyright 2006, The Nasdaq Stock Market, Inc. (...)

(11/08/2010 12:54:09)

Microsoft a livré son Patch Tuesday

En fin de semaine dernière, Microsoft a annoncé qu'il enquêtait sur une vulnérabilité non corrigée de Windows révélée par un chercheur israélien de Tel Aviv, Gil Dabah, également connu sous son surnom d'Arkon. Selon ce dernier, la faille se situe dans le noyau du système d'exploitation : « Le noyau de Windows comporte une vulnérabilité de saturation de bloc mémoire ». Pour attester de l'existence de ce bug, il a publié un élément de preuve sur le site RageStorm.net qu'il anime lui-même avec deux autres chercheurs.

Jerry Bryant, responsable de groupe, chargé des réponses sur les questions de sécurité chez Microsoft, a déclaré que l'éditeur allait étudier les éléments d'une éventuelle vulnérabilité dans le noyau Windows et prendrait les mesures appropriées pour protéger ses clients. Microsoft a communiqué sa réponse hier et livré parallèlement 15 mises à jour de sécurité dans le cadre de son Patch Tuesday mensuel, dont 13 applicables à Windows. Une conférence Web de 90 minutes est également prévue ce 11 août, à 11 h AM Pacific Time, au cours de laquelle Jerry Bryant et Adrian Stone, responsable senior du programme de sécurité chez Microsoft, répondront aux questions.

L'entreprise danoise Secunia, spécialisée dans la traque aux bugs, avait fait savoir vendredi dernier qu'elle avait mis en évidence le problème dans le pilote Win32k.sys, un composant du noyau dans le sous-système de Windows. Les pirates pourraient exploiter la faille en utilisant l'API GetClipboardData qui permet de récupérer les données du presse-papiers de Windows. Une exploitation de cette faille pourrait, si elle aboutissait, permettre à des pirates d'exécuter leur code d'attaque en mode kernel, une porte ouverte pour infecter le PC avec des logiciels malveillants ou pour le pillage des données résidant sur la machine. « La faille est présente dans plusieurs versions de Windows, dont les versions SP3 XP, Server 2003 R2, Vista, Windows 7 et Windows Server 2008 SP2, » a déclaré Secunia, qui note néanmoins le bug comme « moins critique », soit à l'avant dernière place dans le classement des menaces établi par l'entreprise de sécurité informatique.

Cette année, Microsoft a corrigé 13  vulnérabilités dans le kernel de Windows. En juin par exemple, le patch MS10-032 réparait trois vulnérabilités dans Win32k.sys. En avril, le MS10- 021 en annulait huit bugs et en février, le correctif MS10-015 en réparait deux. Tavis Ormandy, un chercheur spécialisé dans le dépistage de bugs au niveau du kernel a déclaré sur Twitter  : « C'est comme d'habitude. Il ne s'est pas passé plus de quelques jours cette année sans que Microsoft ne soit touché par des failles de noyau. » Lui même fait état de trois vulnérabilités repérées cette année. La plupart de ces bugs étaient considérés comme «importants» par Microsoft, soit au deuxième rang dans l'échelle des menaces, parce qu'ils ne pouvaient pas être exploités à distance et nécessitaient que l'attaquant puisse avoir un accès physique directe à l'ordinateur pour ouvrir une session valide d'identification. D'après lui, la faille découverte par le chercheur israélien est également de ce type. (...)

(11/08/2010 12:16:09)

IBM s'offre Datacap, spécialiste de la capture de documents

Big Blue poursuit sa politique d'acquisition en annonçant, ce  mardi,  le rachat de Datacap, pour un montant qui n'a pas été communiqué. Situé à Tarrytown (New York), Datacap est un éditeur spécialisé dans la capture de documents. Les solutions qu'il propose donnent la possibilité d'extraire des informations à partir de formulaires ou de formats non structurés, tels que les factures ou les déclarations d'impôts, ce qui  permet d'économiser du temps, et de réduire les coûts liés aux processus manuels.

IBM dispose de capacités similaires avec l'offre de gestion de contenu d'entreprise acquise avec le spécialiste américain FileNet. en 2006. Mais la firme d'Armonk semble vouloir utiliser les solutions de Datacap comme fondation de sa stratégie de capture de documents.

200 clients, dont des organismes gouvernementaux

Les administrations et les entreprises doivent traiter un nombre toujours croissant de données non structurées et sont contraintes d'améliorer la gestion de leurs documents archivés en raison des contraintes réglementaires toujours plus exigeantes.

Datacap compte quelque 200 clients, parmi lesquels des organismes gouvernementaux tels que les services fiscaux de Virginie, ou encore la division santé  de Blue Cross Blue Shield of Arizona.

Scott Blau, le PDG de Datacap, a été nommé directeur de la gestion de contenu d'entreprise chez Big Blue. IBM et Datacap sont partenaires de longue date. L'éditeur racheté a également noué des accords avec des concurrents du géant informatique sur le marché de gestion de contenu, tels que Oracle, Open Text et EMC.

(...)

(11/08/2010 11:34:58)

Google pourrait s'offrir un spécialiste de la monnaie virtuelle

Si l'on en croit TechCrunch, Google serait en passe d'acheter Jambool, société créant de la monnaie virtuelle et le système de paiement associé. La firme de Mountain View espère ainsi continuer à glâner tous les éléments constitutifs d'un réseau social capable de rivaliser avec Facebook, à l'instar de ses partenariats avec les éditeurs de jeux comme Zynga, Playfish et autres. Les rumeurs sont ici basées sur diverses sources du site TechCrunch, et n'ont toujours pas été confirmées par l'une ou l'autre des sociétés impliquées. Ces mêmes sources affirment par ailleurs que la transaction aurait coûté entre 70 et 75 millions de dollars à Google.

Plus avantageux que les Facebook Credits pour les développeurs

Jambool est l'éditeur de la plateforme d'achat de monnaie virtuelle Social Gold, qui offre la possibilité aux développeurs d'applications de mettre en place de véritables économies virtuelles au paiement sécurisé à l'entrée. Social Gold est tarifé à la transaction, retenant entre 7 et 10% des sommes gagnées par les développeurs par cet intermédiaire. On peut remarquer quelques similarités avec les Facebook Credits récemment lancés, la principale différence résidant dans le pourcentage retenu par la plateforme, qui dans le cas de Facebook s'élève à 30% de la transaction. Vikas Gupta, directeur de Jambool a d'ailleurs publié une entrée sur son blog, s'intitulant « The Case Against Facebook Credits » pour critiquer le système.

Si les rumeurs s'avéraient fondées, il s'agirait là de la 18ème acquisition de Google pour 2010, dont plus récemment Slide, éditeur d'applications à destination des réseaux sociaux, pour un montant compris entre 180 et 230 millions de dollars. Ces dernières acquisitions sont donc toutes dans la même lignée de perfectionnement de Google Me, le futur réseau social du géant d'Internet.

Crédit Photo : Jambool

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >