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(23/07/2010 14:05:03)
La virtualisation plus concrète et plus attractive que le cloud
La virtualisation facilite la consolidation et la maintenance d'un ensemble de serveurs. Elle justifie ainsi des coûts élevés par rapport à des évolutions matérielles conséquents. " L'un de nos clients a pu justifier un renouvellement de serveurs, car il n'avait pas besoin de payer des licences serveurs VMware supplémentaires " a déclaré Chris Wolf, analyste infrastructures au Gartner. " Ils se sont équipés de serveurs à 12 coeurs pour remplacer des serveurs 4 coeurs et peuvent désormais exécuter plus de machines virtuelles sur moins de serveurs, représentant ainsi des économies importantes."
Paul McWilliams, rédacteur en chef de NextInnings.com, un site financier axé sur les investissements technologiques souligne que " la plupart des technologies de rupture aboutissent à d'importantes économies uniquement lors de la première implémentation. Toutefois, l'amélioration de la puissance des serveurs x86, de meilleurs mécanismes d'accélération des serveurs virtuels à base de processeurs Intel et AMD, ajouté au nombre croissant de produits spécifiquement conçus pour les machines virtuelles, autorisent des réductions de coûts, même pour la seconde ou la troisième génération d'infrastructures virtuelles." Il ajoute que " si la première génération de solutions de virtualisation était concentrée sur les processeurs, aujourd'hui, elles s'étendent au niveau matériel, réseaux et stockage pour travailler plus efficacement."
Une sémantique difficile à appréhender
Un rapport d'IDC publié en juin estimait qu'en 2009 les services Cloud comptaient pour 16 milliards de dollars dans les 2,5 trilliards de dollars de dépenses mondiales consacrées à l'informatique, prévoyant que ce chiffre atteindrait les 55,5 milliards de dollars d'ici à 2014, soit 12% de toutes les dépenses en IT. Pour sa part, un rapport publié le 6 juillet par Forrester Research indique que "nombre de clients prêts à investir dans le Cloud Computing et les technologies afférentes, souffrent de la confusion qui règne autour du Cloud."
Crédit Photo: D.R
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Selon ses conclusions, le trouble vient d'une part des fournisseurs qui appliquent le terme " cloud " à tous les produits de leur catalogue, d'autre part de l'incapacité des vendeurs à expliquer clairement les avantages de cette technologie. " De nombreuses entreprises hésitent à se lancer dans le cloud computing. Au contraire, ils connaissent les avantages concrets qu'ils peuvent tirer des technologies de virtualisation sur lequel les services cloud devraient être construits," explique Bernard Golden, PDG du cabinet de consultant Hyperstratus et blogueur de CIO.com. " Vous démarrez la virtualisation avec un niveau de base et vous ajoutez plusieurs couches pour obtenir plus de souplesse ou de la résilience, jusqu'à avoir éventuellement une automatisation complète, une gouvernance et d'autres éléments que vous associez au cloud computing," déclare t-il.
Un phénomène inéluctable
Chris Wolf indique qu' "il existe un écart sur l'adoption des services de base de la virtualisation " et d'ajouter " Les primo-adoptants affichent un taux de virtualisation situé entre 60 et 100 % ; les tardifs se situent généralement entre 20 et 40 %." La concurrence reste vive, explique-t-il, sur ces outils primaires de virtualisation. " Les clients qui planifient des projets Cloud sur le court terme ont tendance à exécuter VMware; ceux plus axés sur les coûts se tournent souvent vers Microsoft ou Citrix."
Même si les investisseurs optimistes placent la valeur marchande de VMware à 29 milliards de dollars avec un ratio coût/bénéfice "gonflé" à 140," déclare Paul McWilliams, " la virtualisation va continuer à stimuler les ventes des stocks et des produits IT. " J'aurais du mal à citer une entreprise de technologie qui dit avoir vu baisser la demande matériel. En général la plupart disent plutôt que la demande reste forte ou qu'elle est meilleure," dit encore Paul McWilliams. " La virtualisation est particulièrement attractive. Une fois que vous l'avez essayé, vous ne pouvez plus vous en passer."
Annuels Microsoft : Office 2010 fait grimper les résultats au 4e trimestre
Apple n'aura finalement pas surpassé Microsoft, qui aura su rester solide notamment grâce à la sortie d'Office 2010 et des bonnes ventes de Windows 7. Pour son quatrième trimestre, la firme de Redmond voit son chiffre d'affaires en hausse de 22% par rapport à la même période en 2009. Celui-ci passe donc de 13,1 à 16,04 milliards de dollars. Au niveau du bénéfice net, l'entreprise n'obtient pas les mêmes hausses qu' Apple, mais garde néanmoins l'avantage. Avec 48% supplémentaires par rapport à l'année dernière, le bénéfice net est de 4,52 milliards de dollars. Les estimations de Thomson Reuters sont donc dépassées de près d'un milliard de dollars pour le chiffre d'affaires, et de 500 millions de dollars pour le bénéfice net.
Seven, Azure et la Xbox
Peter Klein, directeur financier de Microsoft, a indiqué durant une conférence que la division Windows & Windows Live avait rapporté 4,5 milliards de dollars à elle seule ce trimestre, et l'activité Serveurs & Outils à hauteur de 4 milliards. 175 millions de copies de Windows 7 ont été vendues depuis son lancement, et les ventes trimestrielles ont généré un milliard de dollars de revenu. Il équipe 16% des ordinateurs mondiaux selon la firme. « Le cycle de renouvellement des ordinateurs d'entreprise s'est accéléré grâce à la sortie de crise, et nous avons enregistré une croissance à deux chiffres pour les ventes de licences pour le second trimestre d'affilée ». Néanmoins, le directeur financier précise qu'Azure, lancé plus tôt dans l'année, ne devrait pas représenter une part importante du chiffre pour l'année fiscale à venir, l'objectif actuel étant « d'établir une position de leader sur le marché du cloud computing ». Quant à la division Entertainment, responsable des projets Xbox notamment, elle enregistre 1,6 milliards de chiffre d'affaires, alors que dans les faits, elle est encore une fois dans le rouge, ayant fait perdre 172 millions à Microsoft. Steve Ballmer a repris les rênes de cette branche, mais il faudra attendre les prochains trimestres pour voir les premiers effets de ce changement.
Ce dernier trimestre de l'année fiscale est aussi l'occasion pour Microsoft de faire part de ses résultats annuels, eux aussi positifs. Le chiffre d'affaires progresse de 7%, à 62,48 milliards de dollars, et le bénéfice net de 29% à 18,76 milliards de dollars.
France.fr devrait renaître fin août
Lancé le 14 juillet dernier, France.fr, le premier portail de promotion de la France à l'étranger, a dû être fermé quelques heures seulement après sa mise en service. Le public devrait pouvoir y accéder dans la deuxième quinzaine d'août, une fois toutes les vérifications techniques finalisées, indique le Sig (Service d'informations du gouvernement). Un message, adressé aux internautes sur le portail, avance une « relance opérationnelle », d'ici la fin de la saison estivale et dès novembre, une nouvelle version permettant aux touristes du monde entier de collaborer à l'animation du site Web.
France.fr a délivre des informations pratiques destinées notamment aux touristes étrangers. Les renseignements fournis (1 million de documents) sur le site Web devaient notamment être accessibles en cinq langues, dont l'Anglais et l'Espagnol.
(...)(23/07/2010 10:59:53)BNP Paribas délocalise son support informatique en France
BNP Paribas souhaitait externaliser le support informatique de son réseau banque de détail en France. Il s'agissait de disposer d'une solution plus flexible, industrialisée mais adaptée à ses propres enjeux métier. Le contrat concerne 35 000 postes sur tout le territoire avec des obligations élevées de qualité de service et de sécurité.
Pour allier ces contraintes et l'industrialisation, BNP Paribas a fait le choix d'un plateau situé en France et appartenant à la SSII Steria, habituée de ce genre de contrats même si celui-ci est l'un des plus importants signés dans notre pays. La SSII a donc confié la gestion de ce contrat à un plateau de 56 personnes expérimentées situé à Roanne, dans le département de la Loire, et formé les agents au contexte particulier de la banque.
Placer des prestataires en province, surtout dans des zones en situation économique difficile, permet de conjuguer faible coût et proximité culturelle tout en garantissant une conservation de toutes les données traitées sur le territoire national.
Le montant du contrat n'a pas été révélé.
Orange Business Services se cherche un avenir
(Source EuroTMT) Lors de la présentation à la presse du plan Conquête 2015, Stéphane Richard, directeur général de France Télécom, n'a presque pas évoqué les activités d'Orange Business Services, la filiale dédiée aux services aux entreprises.
Hormis quelques allusions au Cloud Computing et au développement des réseaux, OBS apparait comme le parent pauvre de ce programme de reconquête. Il est vrai que son portefeuille est moins glamour et donc moins vendeur auprès des investisseurs et des journalistes que celui de la téléphonie mobile, avec l'iPhone et autre 4G, ou même de la fibre optique pour les particuliers qui promet de la VOD (Vidéo à la demande) et du streaming tous azimuts. Cette discrétion des nouveaux dirigeants de France Télécom est peut être donc liée à leur méconnaissance des activités d'OBS. A moins qu'ils ne se demandent ce qu'ils doivent faire de cette entité. Car depuis quelques mois, certaines voix s'interrogent sur l'avenir d'OBS au sein du groupe.
Né en 2006 d'un assemblage d'entités internes et d'acquisitions, à savoir Equant (opérateur télécoms international), Transpac (fleuron X25 du groupe qui a pris beaucoup de temps à migrer vers IP), Groupe Diwan et Silicomp (intégrateur), Orange Business Services est pourtant une entité conséquente. Il emploie plus de 20 000 personnes à travers le monde et a réalisé en 2009, un chiffre d'affaires de 7,6 milliards d'euros ce qui a représenté plus de 16 % du chiffre d'affaires du groupe France Télécom. Ses marchés sont très vastes et du fait de son histoire sont assez hétérogènes. Si l'on y retrouve tout naturellement, les activités liées directement aux télécommunications, OBS opère aussi sur le marché de la télé-santé, de la domotique, des services informatiques et donc maintenant du Cloud Computing.
Une concurrence plus rude
Par ailleurs, tant que la croissance était au rendez-vous, cette diversité était plutôt bien vue. N'y a-t-il pas eu des rumeurs sur un possible rachat de Cap Gemini par France Telecom ? Mais aujourd'hui, les services aux entreprises vont mal.
Au premier trimestre 2010, le chiffre d'affaires a chuté de 7 % par rapport à la même période de 2009. Malgré certains éléments conjoncturels tel que le report de projets, on peut douter d'une vraie reprise en 2010. Car la richesse du portefeuille est difficile à gérer et oblige OBS à multiplier ses ressources afin de faire face à la concurrence.
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Pour s'en rendre compte, il suffit d'aller piocher dans le document de référence annuel 2009, de plus de 500 pages, dans lequel France Télécom recense ses différents adversaires sur le marché des entreprises. Parmi eux figurent SFR Business Team, les opérateurs alternatifs de la boucle locale à l'exemple de Numéricâble-Completel, de Colt, les opérateurs de services globaux tels que BT, AT&T, Verizon, les opérateurs des pays émergents dont Reliance ou encore Tata Communication, les opérateurs nationaux, les intégrateurs de réseaux avec Nextira One ou Spie Communication ou de systèmes comme IBM Global Services, HP, Atos Origin et enfin « les acteurs issus du monde de l'Internet qui se positionnent auprès des entreprises en leur proposant des services de VoIP ou des solutions en mode Cloud Computing, comme Amazon ou Salesforce » ! On comprend que pour l'opérateur français, la tâche est rude alors que les entreprises ont réduit leurs investissements, que certains concurrents n'hésitent pas à faire du dumping et qu'il faut revoir les marges à la baisse pour rester compétitif.
L'affaiblissement de France Télécom sur le marché de l'entreprise se fait surtout sentir au niveau des PME. Certes l'opérateur historique détient une énorme part de marché en France sur ce secteur. Mais peu à peu ses positions se voient combattues au profit de ses concurrents comme SFR qui a restructuré l'offre de Neuf Cegetel ou Bouygues Télécom qui se positionne avec succès sur certaines niches. Sans compter les opérateurs locaux qui connaissent bien les entreprises régionales ou même un acteur comme Hub Télécom qui aujourd'hui cherche des relais de croissance hors des plateformes aéroportuaires.
Une reprise en main nécessaire
De nombreuses PME à la recherche de solutions de données telles que les communications unifiées, la mise en place d'IPBX, s'étonnent que France Télécom ne réponde pas à leur appel d'offre ou ne cherche pas à être concurrentielle. « On a l'impression que la société a vraiment été atteinte dans son fonctionnement en 2009 et que les commerciaux peinent à reprendre le rythme » explique le dirigeant d'une société de transport.
Les analystes reconnaissent que les turbulences qui ont touché la société l'année dernière et le départ de la figure emblématique d'OBS, à savoir Barbara Dalibard, ont eu un impact sur l'activité de la branche entreprise. Mais aujourd'hui, ils sont plus optimistes à l'image d'Henri Tcheng de BearingPoint, qui considère que sous la houlette de son nouveau patron, Vivek Badrinath, OBS est maintenant en ordre de marche pour redevenir profitable.
Avant cela, il faudra sans doute que l'activité économique mondiale, et notamment celle de la vieille Europe, redémarre, mais aussi peut être que France Télécom allège son portefeuille professionnel pour, non pas se positionner partout, mais cibler les vrais marchés en croissance.
Apple se dote discrètement d'un réseau de consultants
A l'heure où les Apple Premium Resellers européens (APR) sont réunis en Angleterre (les 22 et 23 juillet), les partenaires du constructeur vont certainement lui poser des questions sur la création, discrète mais partout en Europe, d'un réseau de consultants dédiés à la marque. Baptisé « Apple Consultants Network », ce réseau dispose d'ores et déjà d'un site Internet qui fournit les renseignements de 12 consultants. « Dans les semaines à venir nous allons ajouter les coordonnées de consultants certifiés dans votre région. Une fois le réseau en place, vous pourrez faire appel à des professionnels certifiés offrant une large gamme de services et solutions IT », précise simplement Apple à l'adresse des internautes.
Faut-il comprendre que l'ensemble du territoire français sera couvert ? Quel est le positionnement de ces consultants Apple par rapport aux APR ? Apple ne répond pas directement à ces questions. Dans tous les cas, le Président des Apple Premium Reseller, Elie Abitbol, par ailleurs fondateur de MCS à Nice, déclare ne pas être au courant du déploiement de ce nouveau réseau.
L'un de ces consultants, Ludovic Pascalon, basé à Toulouse, estime « qu'il est avant tout complémentaire des APR, qui ont la maîtrise du SAV ». Notamment spécialisé dans le secteur de la santé, son entreprise, Services M.a.c., existe depuis 2004. Interrogé sur ce sujet, Apple a simplement répondu via son service de presse qu'il ne pouvait pas donner d'information. On ne peut donc qu'en conclure que les Apple Premium Resellers n'assuraient pas ou pas correctement ces activités de consulting.
Forrester : le Green IT continue sa lente expansion
L'étude Forrester concernant l'état actuel de la mise en place du Green IT dans le monde se base sur les réponses de 531 professionnels IT mondiaux, originaires de 476 entreprises ou PMI/PME différentes. Elle démontre principalement qu'en matière d'adoption, c'est l'argument « coût » qui prime durant la décision, plus qu'une réelle volonté de préserver la planète. Malgré tout, la conséquence reste la même, et 59% des entreprises prennent en considération le critère écologique lors de la mise en place d'équipements IT. On observe des variations de ce chiffre selon la zone géographique sondée et la taille de l'entreprise.
L'étude similaire réalisée en 2007 donnait un résultat de seulement 25% sur cette prise en compte de l'écologie. Néanmoins, comme précisé auparavant, c'est principalement l'argument de la baisse des coûts énergétiques qui, à 68% des entreprises, prédomine. A l'opposé, la raison purement écologique observe une importante chute, passant de 50% en octobre 2007, à 28% de réception positive chez les professionnels.
Une meilleure communication des avantages
Selon l'enquête, quelques obstacles freinent encore le développement du Green IT. Déjà, l'absence de présentation claire des avantages compétitifs que cela pourrait représenter pour l'entreprise, et de l'éventuel retour sur investissement est un facteur qui touche 40% des sondés. La tâche de mettre plus en avant le potentiel ROI revient donc aux fournisseurs de services. De même, cet avantage compétitif n'est que rarement prioritaire par rapport à des choix économiques plus pressants . Les bienfaits environnementaux ne représentent 12% d'entre eux, tandis que 26% préfèrent mettre l'accent sur une amélioration de l'efficacité des systèmes d'information et 20% sur l'optimisation des process. Enfin, l'absence d'une direction relative à ces sujets entrave aussi leur potentielle mise en place. Seuls 10% des interrogés déclarent disposer d'une telle structure, et ce chiffre chute à 4% en Amérique du Nord et 8% en Asie, alors que l'Europe semble quelque peu en avance sur le sujet avec 18%. Ici encore réside le rôle d'une meilleure promotion des solutions Green, afin de sensibiliser à l'impact inter-services des économies réalisées.
Certaines solutions sont à la mode
Autre constat, l'intérêt pour les services Green IT reste certes stable, mais dramatiquement bas. 76% des entreprises et PMI/PME déclarent en effet ne pas avoir de projet à ce niveau, et seules 7% d'entre elles ont déjà adopté une de ces solution. Par ailleurs, celles qui pensent que le secteur IT a un rôle central dans le déploiement de solutions écologiques dans l'ensemble de l'entreprise est en chute, passant de 43% à 38% depuis l'an dernier. La virtualisation des serveurs est le projet actuellement le plus implanté, 68% des sondés y étant déjà passé, et 22% comptant le faire d'ici à fin 2011. La solution ayant visiblement le plus d'avenir dans l'immédiat concerne la suppression des applications redondantes, qui obtient le chiffre le plus élevé d'intentions d'implémentation, avec 35% d'ici fin 2011. En termes d'économies d'énergie concrètes et importantes, la réduction du nombre d'imprimantes et la maîtrise de l'alimentation des ordinateurs sont déjà adoptées par respectivement 66% et 41% des entreprises.
La gestion de l'émission de carbone et de l'énergie en entreprise (ECEM) est quant à elle en pleine croissance. Par rapport aux chiffres de novembre 2009, on observe 6% d'adoptions supplémentaires, pour un total de 19% (23% en Europe). Résultats encore un peu légers étant donné que le marché des fournisseurs d'ECEM se développe rapidement. Forrester déclare d'ailleurs suivre l'activité de 70 d'entre eux. Le vrai signe de la croissance de ce marché réside ici non pas dans le nombre d'entreprises y ayant déjà recours, mais dans l'augmentation de celles-qui prévoient de le faire d'ici deux ans ou plus. Elles étaient 13% en novembre dernier, et sont désormais 27%.
Crédit Photo : D.R.
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