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(22/07/2010 22:24:57)
Avec le zEnterprise 196, IBM réinvente le mainframe
Avec le zEnterprise 196, IBM remet en selle sa plate-forme mainframe pour les années à venir. Big Blue entend bien placer au centre du datacenter et du cloud sa plate-forme centralisant les technologies maison. « Après le support de Linux en 2000 (...) et l'arrivée de processeurs plus performants en 2008, nous continuons d'innover sur cette plate-forme » souligne Rod Adkins, vice-président en charge de l'activité Systems et Technology chez IBM. « Aujourd'hui, nous proposons une solution permettant de regarder son système informatique comme une seule entité. » La firme d'Armonk a en effet donné à son mainframe zEnterprise la capacité de manager des systèmes Power7 et des blades x équipées d'Intel Xeon sur une console d'administration unique. Le z196 peut accueillir jusqu'à 96 processeurs et 114 lames avec huit coeurs chacune. Pour reprendre les propos de Steve Mills, vice-président en charge de l'activité Software, « cette annonce est un des changements les plus significatifs pour la plate-forme depuis ces 20 dernières années et intègre un grand nombre d'innovations. »
Des puces quatre coeurs à 5,2 GHz
Au chapitre matériel, le zEnterprise 196 repose sur des processeurs quatre coeurs à 5,2 GHz associés à 3 To de mémoire, soit deux fois plus que la précédente plate-forme, le z10, équipé de puces quatre coeurs à 4,4 GHz. Le nouveau processeur Z intègre deux fois plus de mémoire cache et une centaine d'instructions supplémentaires. Le système se présente sous la forme de la traditionnelle grande armoire auxquelles on peut ajouter des éléments complémentaires de type Power7 et BladeCenter x86 qui fonctionneront avec AIX et Linux. 
À la question de savoir quand Windows sera supporté, Ambuj Goyal (en illustration ci dessus), directeur Developpement & Manufacturing de la branche Systems & Technology, répond simplement que « c'est à l'étude suite à la demande de certains clients. Windows va venir». Mais aucun planning n'a été indiqué. « Les solutions x86 sont parfaitement supportées avec les principales distributions Linux et les machines virtuelles KVM et VMware. Nous proposons les mêmes capacités qu'un serveur Intel traditionnel, mais avec la sécurité d'un mainframe. Aujourd'hui 30% des serveurs X86 sont animés par Linux contre seulement 1% il y 10 ans, nous répondons donc à une grande partie du marché. » Impossible de savoir comment sont reliés les différents systèmes dans un z196, Amjub Goyal se contente de sourire en assurant que l'administration est parfaitement intégrée pour l'utilisateur qui peut gérer son système informatique avec beaucoup moins de complexité. Une partie des câbles et des équipements réseau deviennent par exemple inutiles puisque toutes les connexions se font au niveau du mainframe. À la question de savoir si des technologies héritées du rachat de PSI par IBM il y a deux ans déjà, sont réutilisées, Steve Mills et Amjub Goyal nous ont catégoriquement répondu que non. Toutes les technologies utilisées dans ce z196 sont issues de développements internes. Mais impossible de savoir pour l'instant quel type de switchs sont intégrés pour relier les différents équipements. Les extensions Power7 et BladeCenter sont gérés par l'Unified Resource Manager qui distribue la mémoire et les espaces disques. « Nous avons enfin réalisé une architecture de convergence entre différentes architectures », précise simplement Amjub Goyal.
Etendre la technologie System z
Avec son zEnterprise, IBM entend bien conquérir de nouveaux marchés et étendre la technologie des Z Séries en jouant notamment sur le TCO. Si le TCA reste toujours plus important que sur les systèmes Power ou X86, IBM indique après de savants calculs et une bonne dizaine de slides que son architecture hybride est censée couter un tiers de moins sur trois ans. La démonstration de Steve Mills met en scène 1603 serveurs X86 prenant en charge 10 000 workloads d'un côté et une architecte zEnterprise hybride avec 5 z196 (334 IFLS), 195 blades X86 et 250 lames Power7. Au final, le coût total d'acquisition et de fonctionnement serait inférieur d'un tiers, mais ce type de calcul est est toujours très compliqué et ne répond pas toujours à des décisions rationnelles. Il faut bien évidemment prendre en compte l'existant et les capacités techniques du personnel.Big Blue met toutefois en avant des arguments très convaincants comme un gain de performance de 60% pour une même consommation électrique ou l'automatisation d'un grand nombre de tâches au sein de ce « datacenter in the box ». Brad Day, analyste au Forrester Research, qualifie ce nouveau système de « très différent de ce qui a été fait avant » et parle même de « réelle rupture ». Brad Day croit comprendre que l'approche d'IBM est de focaliser sur la consolidation et la virtualisation, spécialement quant il voit que beaucoup de ressources Mips sont utilisées avec Linux sur les mainframes ?
Une arrivée attendue
L'arrivé de ce System z explique en partie la baisse de 24% du chiffre d'affaires d'IBM sur la partie mainframe au dernier trimestre. C'est typiquement le cas quand on nouveau système arrive. Reste à savoir comment les clients vont accueillir cette annonce. Steve Mills se montre très confiant, aussi bien avec les anciens clients qui pourront, comme à l'accoutumée, migrer leurs z10 vers cette architecture hybride mais également avec la conquête de nouveaux utilisateurs. Et de citer en exemple une jeune compagnie pétrolière américaine spécialisée dans la prospection.
Au chapitre disponibilité, le zEnterprise 196 et son extension Power7 sont livrables partir du mois de septembre. Pour le module BladeCenter, il faudra patienter jusqu'à l'année prochaine.
Crédits photos : IBM
(...)(22/07/2010 17:48:11)Le logiciel libre français souhaite la création d'un statut de fondation
Le statut de fondation est courant aux Etats-Unis dans le monde de l'Open Source, mais beaucoup moins en France. Le Conseil National du Logiciel Libre souhaite que ce statut arrive dans l'hexagone et a donc écrit à Nathalie Kosciusko Morizet, secrétaire d'Etat au Développement de l'économie numérique dans ce sens. Argumenté, ce courrier plaide pour la reconnaissance au sein de ce statut de l'intérêt général qui est au coeur des principes du libre.
Certes, les considérations fiscales et économiques ne sont pas écartées de cet intérêt pour un tel statut. Une fondation pourrait ainsi recevoir des dons et des legs, et obtenir certaines exemptions fiscales. Patrice Bertrand, porte-parole du CNLL est conscient que la fiscalité à l'heure du plan de rigueur « devra être observée avec bienveillance par le gouvernement ».
Une autre option aurait pu être retenue, celle de l'association avec une reconnaissance d'utilité publique. Patrice Bertrand verrait d'un bon oeil une réponse positive de la ministre sur ce dernier point, même s'il reste attaché au statut de la fondation. A suivre.
Des malwares sur certaines cartes mères de serveurs Dell
Le problème concerne un nombre restreint de cartes PowerEdge " Le billet indique que "ce malware a été détecté dans le firmware de gestion de serveurs embarqués." Forrest Norrod, vice-président et directeur général des plates-formes serveurs chez Dell, écrit dans un mail que " le problème affecte les cartes mères de remplacement de quatre types de serveurs, les PowerEdge R310, R410, R510 ainsi que les modèles T410." Il ajoute que " le code malveilant ne peut se manifester que dans des configurations spécifiques ou si l'antivirus du client est inactif ou obsolète."
Il précise que "ce virus n'affecte pas les systèmes produits dans nos usines et qu'il est uniquement limité aux pièces de rechange. Dell a retiré de sa chaîne d'approvisionnement toutes les cartes mères touchées et les nouveaux stocks de remplacement ne sont pas infectés par ces logiciels malveillants".
Découvert par hasard et communication superficielle
Le responsable n'a par contre fourni aucun détail sur la nature des malware identifiés, ni sur la manière dont ils affectent les serveurs ou les solutions possibles pour y remédier. Forrest Norrod a néanmoins déclaré que " Dell, conscient du problème, a établi la liste des clients concernés et est en contact avec eux," ajoutant qu'il publierait prochainement plus d'informations à ce sujet sur le site web du constructeur.
La réaction de Dell est intervenue après qu'un client a révélé publiquement avoir été contacté par un technicien qui souhaitait prendre rendez-vous pour nettoyer son serveur de ses logiciels malveillants. Dell a indiqué qu'il ne pensait pas que le problème aurait un impact sur ses clients. "A ce jour nous n'avons reçu aucuns rapports relatifs à la sécurité des données,» peut-on encore lire dans le message publié par Forrest Norrod.
Dell précise également que les systèmes d'exploitation autres que Windows ne sont pas touchés par le virus, et que les nouvelles cartes mères livrées avec les systèmes PowerEdge ne sont pas infectées.
Trimestriels Nokia : Les bénéfices du finlandais sombrent de 40%
Nokia vacille. Après les rumeurs de remplacement de son PDG, Olli-Pekka Kallasvuo, voilà que le Finlandais annonce une chute de 40% de son bénéfice net au deuxième trimestre 2010, passant de 380 millions d'euros à 227. Les ventes sur ce trimestre ont pourtant généré 10 milliards d'euros de chiffre d'affaires, certes un peu moins que les estimations optimistes (12,87 milliards) des analystes de chez Thomson Financial.
Quantitativement, le constructeur a vendu 111,1 millions de téléphones, et son PDG assure que la situation devrait aller en s'améliorant avec l'arrivée du N8 sur le marché du smartphone. Carolina Milanesi, vice présidente chez Gartner, précise que c'est justement dans ce domaine que l'entreprise a pris un retard important, celui-ci affectant donc directement ses bénéfices. Elle demeure très sceptique quand au succès du N8 face à des concurrents comme l'iPhone ou terminaux Android.
Les ventes sont certes élevées, mais concernent principalement les téléphones entrée de gamme à faible marge. Sur le plan des parts de marché au niveau mondial, le groupe finlandais recule à 33% contre 35% au trimestre précédent. En matière de prospective, le constructeur a confirmé les positions des analystes en expliquant qu'il y avait peu de chance pour que ses revenus augmentent en 2010.
Illustration : Olli-Pekka Kallasvuo. Crédit Photo : Nokia
Le Power of Ethernet coûte cher à Cisco
Network-1 Security Solutions, société spécialisée dans l'achat et la commercialisation en mode licence de droits de propriété intellectuelle, a annoncé qu'elle avait réglé l'affaire concernant son brevet sur la technologie Power-over-Ethernet. Cette dernière consiste à alimenter électriquement les équipements (téléphones, commutateurs) via la prise Ethernet.
Le litige avait été initié en février 2008 par Network-1, société spécialisée dans l'achat et la commercialisation en mode licence de droits de propriété intellectuelle, contre Cisco et sa division grand public Linksys, mais également contre Foundry Networks (depuis racheté par Brocade), Extreme Networks, Enterasys, 3Com (depuis devenue filiale de HP), Adtran et Netgear. Il s'agissait d'une violation du brevet « Remote Power ». Cette affaire a été instruite par la Cour américaine du district du Texas. A l'issue du jugement, Cisco doit immédiatement verser 32 millions de dollars ainsi qu'une redevance s'élevant jusqu'à environ 80 millions de royalties au cours des neuf prochaines années. En outre, l'équipementier américain a accepté de payer des royalties à partir de 2011, dont le montant sera basé sur les ventes de ses produits utilisant la technologie Power-over-Ethernet. L'arrangement prévoit que ces reversements soient plafonnés à 8 millions de dollars par an jusqu'en 2015 et à 9 millions ensuite jusqu'au terme du brevet en 2020.
Le versement de ces royalties est soumis à certaines conditions, parmi lesquelles figure le maintien de la validité du brevet. Le montant réel des royalties pourrait être inférieur à ce qui est annoncé dans le communiqué selon Network-1. Cisco a en revanche refusé tout commentaire au sujet des sommes qui pourraient réellement être versées.
Clémence et négociations minimales pour les autres
De leur côté, les sociétés Adtran, Enterasys, Extreme Networks et Foundry ont également été condamnées à payer 32 millions de dollars d'amende. Elles ont par contre accepté de payer la licence du « Remote Power » en mode non exclusif. En parallèle, les poursuites ont été levées contre 3Com, mais HP, sa maison-mère, comparaitra devant la Cour du District du Texas pour ses produits PoE. Enfin, Netgear n'a pas été inclus dans cet arrangement car la société s'est déjà entendue avec Network-1.
Cette dernière détient aujourd'hui six brevets recouvrant diverses technologies de télécommunication et de réseaux de données. Le brevet « Remote Power » a été délivré par l'Office américain des brevets et des marques le 17 avril 2001 et expirera le 7 mars 2020.
Les acteurs télécoms s'engagent dans le développement durable
La Fédération française des télécoms (FFT), par le biais de son président Frank Esser, a signé jeudi la « Charte d'engagement volontaire du secteur des télécoms pour le développement durable », en présence de Chantal Jouanno, secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie, et Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat au Développement de l'économie numérique.
Concrètement, les grands acteurs des télécoms (opérateurs, équipementiers, etc.) s'engagent sur cinq points principaux, à savoir la maîtrise de la consommation énergétique des réseaux (réduire celle des box par exemple y compris en mode veille), la diffusion des usages innovants des TIC (réseaux d'énergie intelligents, travail à distance, dématérialisation, etc.), la généralisation d'offres de reprise des téléphones usagés, la responsabilisation de la chaîne complète de production et l'inscription dans une démarche de progrès continu et d'éco-responsabilité des entreprises de ce secteur.
Dans son préambule, la charte rappelle les chiffres d'une étude menée par l'Idate et BCG que la diffusion des TIC, si elle est accompagnée d'une incitation judicieuse aux bonnes pratiques dans le reste de l'économie et la société, peut contribuer directement à réduire de 7% les émissions des gaz à effet de serre d'ici 2020, soit un tiers de l'objectif français de 20% selon les protocoles actuels.
Crédit Photo: FFT
(...)(22/07/2010 15:14:25)Baromètre Hitechpros/CIO : Les enseignements du second trimestre 2010
En cette fin de semestre 2010, on retrouve dans les secteurs d'activités les plus demandeurs, le secteur des « Assurances » avec 12,57 % des demandes, ainsi que les secteurs des « Services aux entreprises » 16,17 % et « Commerce et distribution » représentant 11,38 % des appels d'offres. Ces trois secteurs comptabilisent à eux seuls depuis le début de l'année presque la moitié des demandes des clients.
La technologie « .net » arrive, sur ce deuxième trimestre 2010, en tête des compétences demandées par les clients avec plus de 8 % des demandes. Elle retrouve sa place dans le trio de tête après avoir passé un semestre en recul. Les compétences « Autres SQL » et « Oracle » la suivent de près représentant respectivement 7,8 % et 6,9 % des demandes.
Concernant les autres compétences techniques, elles se répartissent entre 0 et 4,60 % des demandes. Dans la catégorie des professions les plus demandées, le trio de tête reste le même mais l'ordre des premières places a changé par rapport au trimestre dernier. Ainsi, le métier « Développeur » obtient la première place avec 22,81 % des demandes, suivi du métier « Chef de projet » avec 15,79 %. Pour finir, viennent les « Consultants » 14,04 %.
Des évolutions progressives
En termes de secteurs d'activités demandeurs, il y a peu d'évolutions. Ainsi, on constate que le secteur « Assurances » a maintenu sa place incontestable du secteur d'activité le plus demandeur en compétences informatiques. Depuis plus d'un an, il obtient la majorité des demandes avec cependant une légère baisse au fil des trimestres. Avec 21,6 % des demandes à la même période de l'année dernière, il récolte aujourd'hui 12,57 % de celles-ci.
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Le secteur « Service aux entreprises » a su s'imposer depuis le début de l'année, une surprise sachant qu'il représentait seulement 3,09 % des demandes au deuxième trimestre 2009, 2,6 % au troisième trimestre 2009 et 9,4 % au 4ème trimestre 2009. A noter une forte augmentation du secteur « Médias, communication, loisirs » avec 4,32 % des demandes au deuxième trimestre 2009, il atteint aujourd'hui 10,18 % des demandes. Serait-il le nouveau secteur prometteur des trimestres à venir ?
Du coté des compétences techniques, deux technologies restent particulièrement demandées et ont gardé leur place dans le trio de tête depuis un an. Ainsi, « .net » et « Autres SQL » sont restées sur l'ensemble de l'année parmi les compétences les plus recherchées. Quant à la technologie « Oracle », troisième acteur du trio de tête, sa répartition dans la demande a évolué de 4,2 % à la même période l'année dernière en montant jusqu'à 11,1 % en fin d'année 2009 pour se situer au deuxième trimestre 2010 à 6,9 %. « Systèmes Exploitation Windows » quant à elle a vu sa part dans la demande diminuer progressivement depuis un an pour passer de 11,4 % à 3,7 %. Enfin, concernant les métiers, l'analyse du deuxième trimestre 2010 par rapport au deuxième trimestre 2009 met en évidence plusieurs points.
Les métiers les plus demandés restent toujours tout au long de l'année ceux de « Chef de projet », « Consultant » et « Développeur ». Cependant, nous pouvons noter une intéressante progression du métier « Développeur » en baisse au trimestre précédent avec 17,8 % il remonte au second trimestre à 22,81 % des demandes. Une autre différence, par rapport au 2er trimestre 2009, est celle du métier « Chef de projet » représentant aujourd'hui 15,79 % des métiers demandés contre 21,60 % pour le trimestre dernier.
(...)(22/07/2010 12:23:46)
Trimestriels CA Technologies : Des chiffres sans surprise
Les résultats du premier trimestre 2011 de CA Technologies sont visiblement conformes aux attentes de l'entreprise. Avec un chiffre d'affaire de 1,091 milliards de dollars, la hausse sur l'année s'élève à 5%, et à 3% à taux de change constant. Le revenu par action passe quant à lui de 0,37 $ à 0,43 $, soit un bond de 16%.
Le bénéfice net, pour sa part, affiche une croissance de 14%, s'élevant pour le trimestre à 223 millions de dollars. L'entreprise analyse ces résultats par les effets du rachat de NetQoS, Nimsoft et 3Tera. La firme souligne néanmoins un faible taux de renouvellement des produits par les clients et des durées d'engagement plus courtes.
Bill McCracken, directeur général, déclare : « nous allons continuer à effectuer les changements opérationnels au sein de la société pour améliorer nos actions et accélérer la vente de nos derniers produits en date ». Il ajoute que « les demandes des clients servent d'aiguillon à notre modèle économique », ce qui expliquerait peut-être la faible croissance globale.
Enfin, l'entreprise estime que pour ses résultats annuels, le chiffre d'affaires total devrait être compris entre 4,4 et 4,5 milliards de dollars. L'orientation stratégique a été réaffirmée par le dirigeant « Pour cette année fiscal 2011, nous concentrons nos efforts sur notre activité Mainframe et nous continuons le développement de nos produits dédiés à la gestion de la virtualisation, la qualité de service et la gestion des identités et des accès, qui sont fondamentaux pour l'émergence des technologies de Cloud Computing et SaaS »
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